Akalal :
Ce n’était pas encore le désert !
Sur cette partie du globe, dont il sera donné ultérieurement l’emplacement exact, où se situe actuellement un vaste désert de rocailles et de sable, s’étendait à l’époque un immense territoire fertile, couvert d’une végétation luxuriante au milieu de laquelle serpentaient des cours d’eau. Du haut de falaises, devenues aujourd’hui des collines de pierrailles brûlées par le soleil, tombaient de nombreuses cascades d’eau fraîche.
Des populations groupées, en ce que nous pourrions nommer des villages dont les cases, ou plutôt les maisons, étaient dépouillées de mobiliers superflus, aux intérieurs simples mais très confortables et, prés de la porte de chacune, des ruches. Une ou plusieurs ruches en activité et placées là où nous serions maintenant plus habitués à y voir une ou des niches à chiens !
Partout régnait une paix simple et naturelle impossible à concevoir avec l’état d’esprit des hommes du XXI° siècle. Tout dans ces « villages » respirait la sérénité, la vie harmonieuse et sans problèmes, enfin tels que nous pouvons actuellement les imaginer, découlant d’une vie communautaire.
Sur une question précise, Barbara a mentionné à plusieurs reprises et en insistant sur ce fait, que ces habitants du pays d’Akalal, ainsi que ceux des autres peuples évoluant eux aussi à cette époque, étaient les descendants de civilisations plus anciennes, antérieures et contemporaines de celle des Atlantes.
Il y avait à cette époque des matériels et des produits élaborés avec des matériaux que nous ne pourrions plus ni créer, ni utiliser à l’heure actuelle. Ils étaient faits à base de matières premières que nous ne saurions plus transformer à partir de ce que nous possédons car, d’une part, nous en avons perdu et oublié les techniques et, c’est le plus important, nous n’avons plus la même morphologie biologique et surtout mentale et psychique que possédaient ces très lointains ancêtres, contemporains de ces époques reculées.
Si nous retrouvions intact un individu de cette période, les différences morphologiques constatables nous apparaîtraient très infimes, mais en réalité très importantes sur le comportement physique, totalement différent du fait du large fossé séparant nos facultés psychiques et mentales actuelles de celles autrement développées dont étaient dotés ces hommes du passé...
Et, conséquence fondamentale de ces différences, un autre facteur intervient dans le comportement, l’état du mental, du psychisme et donc des activités de ces temps : sur le plan cosmique notre Terre ne recevait pas les mêmes influx ionisants, le magnétisme terrestre et le sens de rotation du Globe n’étaient pas non plus les mêmes que maintenant.
A notre bien compréhensible surprise en entendant cette « révélation » l’un de nous posa une question « Mais comment conçois-tu ce dont tu parles ? »
« C’est ce que suggère ce que je vois. Il me vient l’image d’une voiture. Oui d’une voiture. Je comprends : C’est la réponse à ta question ! » - Un silence, puis « Imagine, tu prends ta voiture pour aller de Marseille à Lille. Tu vas traverser toute la France et, suivant la météo, tu rouleras successivement dans une zone de soleil, puis de pluie et peut-être aussi de brouillard, pour passer sous un orage. Sur mille kilomètres tu rencontreras des différences de temps, alors tu as compris. Notre Terre fait partie de notre système solaire, lequel est inclus dans une galaxie, une parmi des milliards.
Notre système solaire se déplace à une vitesse incroyable, entraîné par ‘notre’ galaxie et tous ces ensembles traversent, eux aussi, des zones de ‘climats’ intergalactiques différents et comme le vide est une notion fausse, il y a ce que beaucoup nomment l’Ether, dont nous ne connaissons d’ici, de notre petite tête d’épingle qu’est la Terre, encore pratiquement rien sur la diversité de la composition éthérique du soit-disant vide sidéral, nous devons admettre qu’au cours des âges, nous subissons des influx différents dont les fréquences et les durées nous sont inconnues.»
Notre Planète n’était pas la même
La pesanteur sur Terre alors était également différente, tous ces phénomènes paraissant aberrants actuellement, étaient dus au fait que notre Galaxie tout entière traversait une certaine « Zone Cosmique » qui n’était pas celle dans laquelle nous évoluons depuis déjà des milliers d’années. Barbara ajouta : « La qualité de l’air et de l’atmosphère était hétérogène et ‘quelque chose’ vibrait différemment dans l’air ! »
Donc, si l’homme était en apparence physiquement semblable à ce que nous sommes, à quelques infimes différences près, mais très importantes sur son comportement, il ne vibrait pas lui-même sur la même partition de fréquences tel que nous « vibrons » actuellement. Les fréquences potentielles n’étaient pas comparables sur le plan énergétique physique et, à cette époque, il utilisait davantage ses facultés mentales et psychiques, la Force de la Pensée était chez lui une complémentarité physique, technologique, pourrions-nous même affirmer.
Considérant ces concepts, il serait donc vain et ridicule de tenter une comparaison car, si l’environnement était similaire, même si nous ne trouvions guère de dissemblance en comparant notre environnement actuel , nos facultés mentales et psychiques n’auraient plus les mêmes fonctions et nous serions étonnés de la somme de puissance énergétique que nous pourrions déployer si, dans tout cet environnement vibratoire, nous y étions placés durant le temps nécessaire à une accoutumance laquelle, sans nul doute, malgré cet aspect positif, serait infiniment pénible, sinon dangereux à tous les niveaux de nos facultés.
Cela peut nous aider à comprendre le danger pour certains inconscients non ou mal préparés, à tenter des « expériences » dites spirites ou encore de certaines formes de yoga mental particulier, desquelles ils sortent complètement « déphasés » si toutefois, et cela est hélas déjà arrivé à certains plus souvent qu’on le croit, une issue fatale physique ou psychique les envoie « ad-patres » ou, dans le meilleur des cas, deviennent pensionnaires à vie dans un établissement spécialisé des affections psychiatriques...
Sans le savoir et même sans en avoir conscience, ils quittent une fréquence vibratoire habituelle pour entrer, même durant peu de temps, dans un autre niveau fréquentiel auquel le corps humain et le tissus neuronique de notre cerveau ne sont pas accoutumés.
La Tradition Orale, transmise à travers de longues périodes du temps de notre Terre, qu’entretenait au long des siècles la lignée des Grands Initiés, s’étant succédés au-delà des bouleversements planétaires, des cataclysmes naturels et ceux provoqués par les hommes, apportait et transmettait le souvenir de générations d’hommes différents (Géants, dieux, etc…)
Toutefois cette transmission orale de l’enseignement de connaissances originales avait un grave défaut : Il se modifiait imperceptiblement, par déformation progressive des langues et des dialectes et aussi par l’interprétation de toute une symbolique, qui tout en restant identique dans les tracés (un carré reste toujours un carré, un cercle, un cercle, etc), changeait imperceptiblement de sens au fur et à mesure que les structures mentales évoluaient. Les dizaines de siècles passant, la connaissance originale ne pouvait plus avoir la même signification révélée « en fin de course ».
Il est alors facile de comprendre pourquoi, il y a encore quelques siècles et même actuellement encore chez certains groupes humains, les Maîtres tentaient de « ressembler » à leurs ancêtres et conserver ainsi les mêmes pouvoirs, facultés et connaissances.
Les seuls pouvoirs qu’ils détenaient encore résidaient dans la pratique d’exercices psychiques et les bribes de connaissance leur restant, pouvaient encore leur donner l’apparence d’une supériorité sur la masse profane ignorante et superstitieuse.
Il n’est pas non plus étonnant de constater que les prêtres égyptiens et ceux des civilisations précolombiennes en Amérique Centrale sont presque toujours représentés avec le crâne allongé. Les hommes destinés à être initiés, et donc à recevoir certaines connaissances et à devenir des chefs spirituels, étaient choisis dés la plus jeune enfance suivant des critères nous restant encore obscurs mais qui, vraisemblablement était liés à la position planétaire à leurs naissances.
Cette sélection faite, le jeune crâne était emprisonné entre des planchettes de bois, fermement maintenues en place par des bandelettes de toile que l’on serrait progressivement durant toute la prime croissance, lui donnant cette forme allongée particulière :
Cette déformation anatomique devait permettre à l’individu soumis à ce traitement, d’atteindre et d’utiliser des facultés ‘psy’ que bien évidemment la masse du peuple ne pouvait acquérir sans cette « préparation ».
Il reste toutefois à se convaincre que ces déformations apportées au cerveau, de par la forme que lui conférait la boîte crânienne, puissent avoir une réelle influence déterminante sur des possibilités psychiques et mentales, plus fécondes pour les exercices particuliers qu’auraient à pratiquer des prêtres et des maîtres initiés.
A notre avis, et nous penchons davantage pour cette théorie valant tout autant que la précédente, c’est plus par « mimétisme » que cette déformation anatomique était pratiquée.
En effet, il faut comprendre que lors de la description faite des individus nous ayant précédés et, en particulier ceux que les deux séances de psychomètrie lui avait fait « visionner », qu’ils avaient effectivement le crâne plus allongé vers l’occiput, forme que l’on retrouve parfois lors de trouvailles sur ces sites archéologiques.
C’est peut-être cette légère différence anatomique qui, entre autres, procurait à nos lointains ascendants certains avantages dont ils tiraient naturellement profit, sans que cette particularité leur semble extraordinaire car ils en étaient tous dotés. Ce n’est pas exclus, mais n’en constitue pas une preuve absolue, tout au plus cette disposition de la boîte crânienne peut prétendre suggérer cette hypothèse.
Une harmonique physique et psychique.
De par toutes les conditions réunies venant d’être citées, bien différentes de celles qui nous sont connues actuellement, les hommes de cette époque disposaient donc de la maîtrise de l’Esprit sur la Matière.
Ces possibilités peuvent sembler aberrantes à nos sens actuels mais, n’oublions pas que nous sommes placés dans un contexte tout autre que celui dans lequel évoluaient ces hommes d’il y a quatre cents siècles !
Nous rapportons des faits que, par recoupement, nous considérons comme exacts car nous sommes absolument certains que les disciplines de sciences dites « parallèles » sont à prendre au sérieux, telle la psychométrie, une science exacte dont nous ne pouvons plus douter.
Trop de sommités savantes de par le monde, au rationalisme indélébile, ont eu la preuve du sérieux de cette pratique, ayant eu les moyens de vérifier matériellement sur sites les informations reçues par ce procédé paradoxal par des praticiens de valeur dans l’art de la psychométrie.
Une autre coïncidence étonnante : Il est extraordinaire qu’un homme comme Pierre Guilder, dont nous avons exposé par ailleurs les travaux « inconscients » nous ait apporté, au travers des traductions et interprétations de ses « codex », des confirmations troublantes cadrant avec ce que notre amie Barbara nous a révélé de son côté.
Tout au long de notre quête permanente de la Connaissance, en chercheurs pragmatiques nous interdisant toute incursion dans les méandres aléatoires de la subjectivité, nous avons été amenés à comprendre que des méthodes différentes d’investigation nous apportaient des éléments identiques quant aux utilisations extraordinaires des Energies de plus en plus variées découvertes (ou plus exactement redécouvertes) ayant un point commun dans leurs applications, en particulier celles de l’Harmonique bien connue des illustres chercheurs mathématiciens-physiciens des XV° au XVIII° siècle.
Plus les fréquences vibratoires de la Pensée sont sensibles à celle de l’environnement immédiat ou lointain, plus il est aisé pour l’Homme de maîtriser les énergies qui l’entourent et celle dont il est le porteur potentiel.
Ne soyons donc plus étonnés que des individus ayant vécu en des temps reculés, possédant des facultés qui ne sont plus les nôtres - ou tout au moins dont il ne nous reste que quelques lambeaux épars et incontrôlables - aient été capables d’activités physiques qui nous échappent : nous sommes désormais devenus psychiquement différents. Notre structure mentale est toute autre. Des centaines de siècles nous en séparent et si nous prétendons que l’espèce humaine a évolué, l’on peut se poser froidement la question : dans quel sens ?
Ces hommes d’un autre âge, tellement éloignés de nous qu’ils peuvent sembler appartenir à un autre Monde, n’utilisaient pas la pensée telle que nous pouvons le supposer.
Il ne leur suffisait pas de formuler un ordre mental pour, par exemple, soulever de terre des objets dont le poids dépassait celui de leurs possibilités musculaires. Ceci est une vue simpliste !
Ils utilisaient des « supports » jouant le rôle d’accélérateurs psychiques, ou d’amplificateurs. Ces « supports » étaient des minerais d’une pureté telle que leur matière en devenait vivante ainsi d’ailleurs qu’ils le sont toujours restés.
Ces supports étaient des cristaux -toujours présents parmi nous- que nos physiciens utilisent de plus en plus. Leurs applications en sont infinies mais, nous ne disposons plus de certaines facultés psychiques permettant, pour certains, de les « activer » en ‘accordant’ nos propres fréquences avec celle de leur vibration moléculaire chacun suivant sa destination !
Chaque cristal, ayant sa structure particulière, pour pouvoir ainsi devenir ‘actif’ sous le contrôle fréquentiel du psychisme de l’Homme, doit être lui-même placé dans des conditions que ces gens-là maîtrisaient parfaitement, afin que sa structure moléculaire soit en parfait accord avec la fréquence vibratoire pouvant être émise par le cerveau humain.
Malgré tous les efforts de Barbara, pour tenter de décrire avec des mots précis ce qu’elle « voyait », il lui était impossible de traduire des procédés technologiques dont elle visionnait les applications que, même un physicien hautement qualifié, s’il avait eu la possibilité de les voir lui-même fonctionner, serait incapable d’en décrire et d’en expliquer les techniques.
Il n ‘aurait pas les moyens matériels de mesures fréquentielles déterminant les effets produits. Nous ne disposons pas d’appareils étalonnés ou étalonnables le permettant car, s’agissant de notions nous échappant totalement, nous ne pouvons les imaginer !
A l’écoute, ou la réécoute des propos de Barbara, nous avons le très désagréable sentiment d’être placés face à des inconnues dont les structures sont insaisissables à nos sens et à nos paramètres habituels.
Nous nous retrouvons, dans un autre domaine, confrontés aux mêmes dilemmes technologiques que les plus éminents spécialistes devant les conséquences du phénomène ufologique, dont on a constaté les effets, ou même dans certaines unités de centres de recherches aux USA, ayant tenté d’analyser des « métaux » composant les structures d’engins « crashés » récupérés au sol. Ces centres sont en effet dans l’impossibilité de comprendre et d’émettre la moindre théorie (officiellement tout au moins) sur l’utilisation d’alliages de divers métaux intimement associés à des particules cristallines (encore -et pas par hasard- le cristal !)
Il est certain que lorsque nous aurons avancé de quelques pas dans ce domaine, qui réservera à la science quelques surprises bien plus grandes que la re- découverte des applications de l’électricité, nous serons étonnés des révolutions technologiques qui pourront en découler...
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