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Nihon Riken Co, Ltd

Kawai est l’inventeur d’un moteur Motive Power Generating Device qui a obtenu le brevet US n° 5436518 le 25/07/95. L'appareil est noté 7 sur 10 par I.N.E. Pour Thomas Bearden qui a étudié les moteurs Japonais (Takahashi et Kawai), c’est le moteur Kawai qui paraît avoir atteint une capacité de production par un effort stratégique dûment doté de moyens financiers depuis plus de vingt ans . Les développements de ce moteur ont aussi été suivis par Eugène Mallove qui a publié un résumé du brevet suivi de commentaires ainsi que la transcription d’une émission de télévision Japonaise du 20/10/1993 traitant de l’énergie des aimants permanents


Outre leur implication dans la Fusion Froide, les Japonais ont déjà essayé un moteur de 45 CV, à sur-unité évidente, le Wankel magnétique dans une voiture Mazda.

" Les implications inquiétantes pour leur industrie, leurs science et leur stabilité financière ont de quoi dégriser les USA. L’arrivée sur le marché américain d’un certain pourcentage de véhicules non polluants, c’est à dire électriques, a été repoussée jusqu’en 1997. Les fabricants américains y sont irrémédiablement engagés mais ce qu’ils offrent est lourd, encombrant, peu pratique, cher, et demande une maintenance intensive. Il faut recharger souvent et pendant longtemps les volumineuses batteries et les performances, l’autonomie en particulier sont faibles. De plus l’équipement de ces véhicules en accessoires est spartiate "dit T. Bearden.


Les Japonais semblent prêts à introduire massivement une gamme de moteurs électriques puissants, autonomes, à sur-unité, fonctionnant sur une unique batterie ainsi que des véhicules performants, luxueux équipés de tels moteurs. (Que penser des les récentes alliances entre constructeurs automobiles Européens et Japonais - Renault-Nissan en particulier ?).

Thomas Bearden dit que les hommes d’affaires Japonais sont des samouraï et le combat commercial n’est qu’une autre forme de combat. De plus leur manque de sources d’énergie par rapport à leurs besoins importants, les ont mis à la merci des pays riches. Ces samouraï Japonais ont résolument attaqué le problème à la base en y mettant tout leur cœur, leurs moyens financiers et résolument dans le seul but de gagner . C’est maintenant un fait accompli.


" C'est un nouveau Pearl Harbor dans le domaine de l’énergie électrique à sur-unité dont les USA ne se remettraient pas " dit Thomas Bearden.

Le fonctionnement du moteur Kawai par Thomas Bearden

Kawai se sert de l’attraction zéro en tant que condition deregauging(pour plus de commodité ce terme sera conjugué comme un verbe ). Un cycle de champ conservateur est un cycle dans lequel le frein est égal à la poussée en avant. Eliminer la partie du cycle où il y a freinage est une forme deregauging.Nota : c’est un changement dans le potentiel scalaire magnétostatique qui est remis à zéro par la bobine sans énergie pendant la partie d’un autre cycle conservateur.

Le moteur Kawaï utilise bien leregauginget non les champs conservateurs pour fonctionner vraiment en sur-unité, avec un COP > 1. C’est ainsi qu’il peut faire fonctionner une voiture et être en accord avec toutes les lois de la thermodynamique et de la physique.

Le moteur Kawai est bien plus symétrique et simple que le moteur magnétique Wankel. Il ne nécessite pas une profusion coûteuse d’aimants de stator. La maintenance et la fiabilité, les coûts réduits de production peuvent être davantage améliorés que pour le Wankel. Les plus grands avantages de ce moteur tiennent dans le fait

- qu’un grand nombre deregaugingse produisent lors d’une seule rotation de l’assemblage de rotor, ce qui permet d’avoir un rapport élevé entre la puissance et le poids

- que chaque électroaimant reçoit de l’énergie seulement quand il contribue au couple dextrogyre qui entraîne le moteur

- que chaque bobine est dé - énergétisée pourregaugerle système pendant les périodes où les bobines créeraient autrement un couple anti horaire si elles continuaient à recevoir de l’énergie.

Comme matériau magnétique le moteur utilise de l’acier pur épais de 30 mm, formé de dents magnétiques de 218 mm de diamètre et d’encoches de 158 mm de diamètre. Il utilise un aimant ferrite en tant qu’aimant permanent. La force magnétique sur l’aimant est de 1.000 gauss. On applique aux électroaimants un courant de 19,55 watts à 17 volts et 1,15 ampères. Dans ces conditions, on obtient une rotation de 100 tours minute, un couple de 60, 52 kg/cm et une sortie de 62,16 watts, ce qui fait environ 317 % de rapport sortie/entrée !

Kawaï place l’électroaimant du stator le plus proche de telle sorte qu’il attire le flux venant d’un aimant annulaire central au centre du conducteur de flux magnétique, ensuite il réalise un phénomène de pompage en dé-énergétisant la bobine lorsqu'elle arrive dans la zone de frein retour. Il n’y a aucune production de mouvement de force s’opposant au rotor ou à l’élément mobile. Le moteur Kawaï fait ce qu’il annonce, en réduisant de façon spectaculaire le frein venant des champs des électroaimants du stator, car il n’y a aucun champ activé dans les électroaimants pendant les secteurs de frein de la rotation.

Sur ce schéma extrait du brevet, on peut voir huit instantanés de l’avance du rotor d’un moteur Kawaï.







Il s’agit d’une des extrémités rotor/stator d’un appareil à deux rotors, l’autre assemblage similaire rotor/stator étant à l’autre extrémité de l’axe central.

En 9A, la pièce de pôle 14 a trois dents extérieures réparties à égale distance sur le pourtour, alternées avec trois encoches. Un bout de l’aimant 13 fournit la source de flux qui passe à travers la pièce de pôle. Les électroaimants étant dé- énergétisés, les matériaux de leurs cœurs 16c, 16d, 16g, 16h, et 16k, 16l sont dans l’ombre du flux venant de l’aimant central 13 et allant vers l’extérieur de la dent 14 b.

En 9B, les électroaimants 16a, 16e et 16d reçoivent de l’énergie. La zone ombrée montre la convergence nette du flux venant de l’aimant 13 dans la pièce de pôle et le bord de la dent. Les électroaimants étant magnétisés en mode attraction, le rotor aura un couple tendant à élargir la trajectoire de flux provenant de l’aimant 13 et allant aux électroaimants activés. Il existe ainsi un couple dextrogyre sur le rotor et il commencera à tourner dans le sens horaire. Note : chaque électroaimant fonctionne indépendamment des deux autres.

Les schémas 9C, 9D, 9E, et 9F montrent que le rotor continue à tourner dans le sens horaire, élargissant la trajectoire de flux correspondante aux trois électroaimants activés. A ce moment là, le couple sur le rotor est dextrogyre.

En 9G, cette trajectoire est élargie au maximum, les bords d’attaque des trois dents sont juste en train d’entrer dans les domaines des électroaimants suivants 16j, 16b, et 16f. C'est en symétrie par rapport à la position d’origine de 9B. Par conséquent les électroaimants 16i, 16a, et 16e sont désactivés et les électroaimants 16j, 16b, et 16f sont activés.

De façon symétrique, ceciregaugeet remet l’appareil dans sa position d’origine de 9B et le cycle recommence. On voit qu’à chaque rotation complète de l’axe, chacune des trois dents du rotor estregaugée12 fois, A chaque rotation d’axe il y a au total 36 regauging/ remise au départ/ réalimentation en énergie, soit au total 72 pour les deux qui ce qui permet au moteur de gagner en puissance et souplesse.

Au moment de l’envoi de l’énergie, une dent entre juste dans chaque bobine du stator. Avec une énergie en mode d’attraction par rapport à l’aimant en anneau autour de l’axe, le flux dans la pièce de pôle fait un bond en passant d’un flux complètement élargi (couple radial faible ou qui s’éclipse sur le rotor) à un flux en diagonale et rétréci (avec un couple radial plein et dextrogyre sur le rotor). Comme il a été dit précédemment, le flux rétrécit et son angle exerce une composante de force d’accélération tangentielle dextrogyre sur le rotor.

Chaque bobine est dé-énergétisée avant qu’elle puisse commencer à exercer une force électromotrice de retour (ce qui se passerait si elle restait énergétisée au moment où le bord de fuite passe dessus et rétrécit la trajectoire de flux).

C’est ainsi que le moteur Kawaï utilise l’attraction magnétique normale pour accélérer le rotor sur une petite distance, etregaugervers l’attraction zéro pour éliminer la partie de frein retour du champ attractif. Ilregaugeà zéro comme condition au "reset."






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TOUT sur les machines à Energie Libre - KAWAI Teruo (Spiritualité, Nouvel-Age - Energies libres)    -    Auteur : Zen - Inde


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