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L’URSS et ses expériences DANS LE DOMAINE DES ONDES STATIONNAIRES ELECTROMAGNETIQUES

L’URSS et ses expériences DANS LE DOMAINE DES ONDES STATIONNAIRES ELECTROMAGNETIQUES, PULSEES, A BASSE FREQUENCE ET A HAUTE ENERGIE

Le 14 octobre 1976, les communications radio sur toute la planète ont été interrompues par des ondes radio puissantes émanant d’URSS.

De nombreux centres d’écoute officiels répartis dans le monde entier enregistrèrent à cette occasion des détails caractéristiques. Plus tard, ces signaux réapparurent, quelquefois à très basse fréquence ou à très haute fréquence et à des intervalles et durées irréguliers.

Des protestations officielles ont été adressées à la Russie par le Canada, l’Angleterre, les Etats-Unis et les pays Scandinaves. La Russie s’excusa pour l’interférence occasionnée, dit-elle, par les expériences qu’elle menait.

Les personnels des centres de radiocommunications, aussi bien amateurs que professionnels, interceptèrent ces émissions essayant d’identifier leur nature, leur origine et leur but.

Les Services de la Défense et du Renseignement des USA étaient particulièrement concernés et en décembre 1976, ils avaient la conviction que les émissions provenaient de puissants ''signaux radar au-dessus de l’horizon'' russes.

Pendant un certain temps, ceci devint l’explication officielle et c’était très plausible.

Mais, ensuite, la nature des radiations changea de façon spectaculaire. De très grandes ondes EM stationnaires étaient formées sur des centaines de km de long, provenant du sous-sol et montant droit jusqu’à la ionosphère. Ces ondes stationnaires avaient une périodicité variant de 4 pulsations/seconde à 26/s.

Evidemment cela ne pouvait pas être des « signaux radar au dessus de l’horizon », tout le monde devait revoir ses idées.

Pendant environ un an, ces ondes EM apparurent sporadiquement sans davantage d’explication de la part des Russes, seulement un promesse de réduire leurs expériences et éventuellement de tout arrêter.

D’innombrables explications ont été avancées côté Ouest mais le seul progrès substantiel a été de déterminer que les radiations EM provenaient d’une source près de Riga en Lettonie.

L’émetteur à Gomel ** près de Minsk fut seulement adjoint à l’opération quand les choses commencèrent à devenir incontrôlables au printemps de cette année.

Actuellement la compréhension de ce phénomène (acceptée par un grand nombre de scientifique, de chercheurs et analystes professionnels, mais pas par tous et certainement pas par la majorité des hommes politiques et autres profanes influents) relie un certain nombre d’événements apparemment disparates et indépendants.

Un scientifique soviétique au Canada, au cours d’une visite d’échange officielle a dit qu’il connaissait, en Russie, quelques personnes maintenant très âgées qui avaient connu Tesla dans leur jeunesse.

Apparemment, quelques temps avant, ces personnes avaient été contactées par des scientifiques russes qui tentaient de tirer d’elles toute l’information dont elles pourraient se rappeler concernant les premières expériences de Tesla.

Pendant qu’il travaillait au Québec, ce savant russe et un certain nombre d’autres personnes inconnues, comprenant des fonctionnaires canadiens, rendirent très souvent visite à Arthur Mattews (le dernier assistant survivant connu de Tesla) et tous désiraient des détails sur l’installation d’origine de Tesla.

Le délégué soviétique indiqua que la reproduction et le développement du travail primitif de Tesla était en train d’être entrepris en URSS. Après que les Russes aient produit leurs ondes stationnaires EM à basse fréquence, pulsées, à très haute puissance, des rapports météorologiques arrivant au Centre National de Recherche Atmosphérique de Boulder (Colorado) montrèrent qu’un mécanisme de blocage était en effet situé le long de la côte Ouest de l’Amérique du Nord. Un autre était localisé sur la côte Est et un troisième en Europe, allant du Nord au Sud, suivant la frontière entre Pologne et Russie, du haut de la Finlande vers le bas de la Roumanie.

Ces systèmes bloquants se produisent quelquefois naturellement, mais ils ne durent jamais longtemps. Ces trois systèmes de blocage durèrent pendant un temps inhabituellement long, vraiment trop long pour qu'on les pense issus de causes naturelles, et en même temps on n’avait aucune explication rationnelle ou autre.

Simultanément avec ces blocages météorologiques, des ondes stationnaires EM de très grande ampleur étaient détectées et coïncidaient géographiquement avec eux.

Ces ondes contenaient un taux énorme d’excitation électrique, assez, selon certains experts pour dévier les alizés normaux. Pendant leur durée il y avait un temps anormalement froid aux USA et au Canada, avec de la neige à Miami et des inondations, et un temps bouleversé en Europe de l’Ouest. Une fois les ondes dissipées, il y eut une mauvaise sécheresse dans la partie Ouest des USA.

Les forces militaires des USA dirigées par le Pentagone, utilisent des satellites espions pour contrôler les activités militaires russes. Parmi beaucoup d’autres choses, ils contrôlent l’emplacement des sous-marins soviétiques tout autour du globe. Ceci se fait en détectant une radiation à très basse fréquence produite par les propulseurs des sous-marins lorsqu’ils tournent. Pendant un certain laps de temps les signaux reçus à ce sujet par les satellites espions ont été interrompus par quelques signaux étranges que les chefs de la Défense étaient incapables d’identifier jusqu’à ce qu’on leur parle de l’existence de ces ondes à très basse fréquence que les Russes étaient en train de produire. Ils vérifièrent immédiatement et trouvèrent que les signaux qu’ils recevaient provenaient en effet de cette source.

En 1976 une publicité considérable était donnée à un rapport parlant du fait que les Russes avaient réussi à pointer un laser sur quelques satellites espions américains et les avaient aveuglés. Ces rapports ont tout d’abord été démentis par le Ministère de la Défense.

Plus tard, le Pentagone reconnaissait que les satellites avaient été aveuglés mais incriminait l’existence de flamboiements inhabituels provenant de pipe-lines de gaz disjoints situés sur le territoire russe. C’était un peu tiré par les cheveux. Dans les exposés les plus récents, le secrétaire de la Défense Harold Brown a admis que 2 satellites avaient été détruits par les Russes au moyen d’une technologie de rayonnement électronique. Des sources provenant des Service secrets scandinaves affirment que plusieurs satellites ont été détruits mais on ne peut pas le confirmer.

Pour chaque objet physique dans l’univers il existe une fréquence particulière, qui par une vibration mécanique sera mise en résonance et l’énergie communiquée à chaque cycle s’accumulera et l’amplitude de la vibration augmentera jusqu’à ce que l’objet casse ou éclate.

Il arrive ainsi que les fréquences de résonance pour les très grands navires pétroliers s’étendent dans la bande de fréquences utilisées par les Russes pour créer ces ondes stationnaires géantes. Des experts des deux côtés du rideau de fer, sont maintenant convaincus que ces ondes peuvent provoquer la destruction de ces grands pétroliers s’ils sont pris dans une zone où ces ondes sont actives.

Plus précisément, des recherches discrètes sont en cours pour d’essayer de déterminer s’il est vrai que de récentes mésaventures de ce genre ont été ainsi causées.

Les travaux de Nikola Tesla n’ont pas, non plus, été ignorés aux USA. Le Pentagone a été intéressé par une partie du phénomène que Tesla décrivait, et avait donné son approbation à des travaux de développement et d’expérimentation. Un de ceux-ci est un contrat avec Golka Associates *** de Brockton (Massachusetts)

Cette compagnie avait été fondée par Robert A. Golka, un homme qui avait été fortement intéressé par les théories et les travaux de Nikola Tesla et les avait étudiés à fond. Selon ce contrat, dans un hangar de l’Air Force à Wandover (Utah), Robert Golka a construit l’équivalent moderne de l’appareil de Tesla.

Son but n’a pas été de reproduire exactement le matériel de Tesla, et ses expériences, mais de les interpréter en termes de connaissances et de matériaux modernes, croyant de cette façon qu’un saut quantique de progrès peut être fait à un niveau un peu plus poussé que ce que Tesla avait réussi à faire.

Ces résultats ont été divulgués, mais, disent les sceptiques, sont peu vraisemblables pour découvrir les lois fondamentales que seul Tesla connaissait et a emporté avec lui dans la tombe.





L’URSS et ses expériences DANS LE DOMAINE DES ONDES STATIONNAIRES ELECTROMAGNETIQUES (Spiritualité, Nouvel-Age - Energies libres)    -    Auteur : Steph - USA


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