Spiritualité, Nouvel-Age - Sciences Parallèles
Les planètes creuses

Les planètes creuses

C’est à l’intérieur des planètes que se prépare notre avenir.

Il y a un peu plus de quarante ans, en présentant sa carte de la Terre (Cf. illustration ci-dessous), établie sur la base des rapports secrets de l’Amiral Byrd et du livre de Raymond Bernard, « The hollow Earth », Max Fyfield s’attira les sarcasmes et les quolibets des sommités scientifiques de l’époque. Dans les années 1970, lorsque Omraam Mikhaël Aïvanhov fit une série de conférences sur l’Agartha, elles lui valurent également les ricanements d’une partie de son auditoire.



Intérieur de la sphère terrestre selon Max Fyfield


Mais les mentalités ont heureusement fini par évoluer, et aujourd’hui le monde scientifique est peu à peu en train de découvrir - ou plutôt de redécouvrir, car les Atlantes, les Mayas et les anciens Égyptiens connaissaient déjà cette vérité - et de reconnaître que la Terre est bel et bien creuse et que l’ensemble des planètes de notre système solaire et même des autres systèmes de notre galaxie le sont également.

Les planètes ne sont au départ que des amas de particules gazeuses rejetées par les étoiles. Sous l’effet combiné du refroidissement de ces gaz expulsés de leur milieu originel et de l’action de la force centrifuge, il peut se produire une sorte de condensation qui aboutit à la formation d’un corps sphérique, les rejets les plus denses se matérialisant à la périphérie de la sphère sous forme de substances liquides puis solides. Mais l’intérieur de la sphère reste creux et ses pôles ouverts.

Un tel processus conduit inexorablement à l’apparition d’une source d’énergie centrale, sorte de soleil qui, d’une certaine manière, est à la planète ce que le noyau est à l’atome. Certains voyageurs de l’astral arrivent à percevoir la teinte légèrement orangée de ces soleils internes qui irradient une lumière douce et agréable. Les noyaux solaires des planètes rayonnent sur un spectre qui recouvre toutes les fréquences compatibles avec le développement de différents niveaux de vie et de conscience, y compris dans le plan physique.

Les créatures qui habitent à l’intérieur des planètes vivent bien plus longtemps et dans des conditions bien plus faciles que celles qui restent plongées dans la dualité externe des jours et des nuits, des hivers et des étés, du chaud et du froid. Ceci s’explique d’ailleurs facilement à la lumière d’une loi élémentaire de la dynamique : lorsqu’un corps orbite autour d’un autre corps de masse plus importante, sa périphérie est naturellement soumise à une force centrifuge, génératrice d’instabilité et de turbulences, alors que sous l’effet gravitationnel inverse appelé force centripète, son centre demeure continûment en position de stabilité et d’équilibre. C’est la raison pour laquelle les êtres les plus évolués des différents systèmes planétaires de notre galaxie ont naturellement tendance à élire résidence à l’intérieur des planètes plutôt que sur leur surface externe, un peu de la même manière qu’un homme raisonnable choisira d’habiter à l’intérieur de sa maison plutôt que sur son toit.







Cette photo prise en 1977 par l’orbiteur de la sonde Viking 2 à la verticale du pôle nord de la planète Mars, montre que les ouvertures des pôles ne sont pas l’apanage exclusif de la Terre.





La Terre n’échappe pas à cette règle. Hors d’atteinte de tous les scénarios catastrophes qui guettent aujourd’hui l’humanité de surface en raison du réchauffement climatique, de la dérive des continents, de la pollution physique et psychique qui empoisonne notre air, souille nos océans et épuise la vitalité de nos sols, l’intérieur de notre planète demeure un écosystème vierge et préservé, avec ses montagnes, ses rivières, ses océans et ses vastes cavités à la végétation luxuriante où se sont retrouvées différentes familles d’êtres évolués. Les niveaux de fréquence élevés auxquels ils sont soumis leur permettent d’échapper à la maladie, au vieillissement et à une grande partie des péripéties inhérentes à notre expérimentation 3 D de surface.

Les premiers habitants de la Terre Creuse furent des Colons intragalactiques. Ils venaient des Pléiades, du Centaure et de la Lyre, mais aussi du Bouvier, du Cygne, d’Orion, de la Licorne, de Cassiopée, et d’autres systèmes habités de notre galaxie.

Par la suite, les élites spirituelles des anciennes civilisations de Lémurie puis d’Atlantide y furent accueillies. Enfin, au cours des siècles passés, un certain nombre de bienfaiteurs de l’humanité ont été invités à titre individuel à rejoindre les sanctuaires de la Terre Creuse en raison de leur avance sur le niveau global d’évolution des populations installées en surface. Durant les 100 dernières années, une cinquantaine d’habitants de la surface ont été accueillis au sein des cités resplendissantes du monde souterrain. Parmi eux figurent le mahatma El Morya Khan, le peintre Nikola Roerich, le physicien Nikola Tesla et le grand Maître indien Nimcaroli Babaji. D’autres, comme l’alchimiste Nicolas Flamel, y vivent depuis plusieurs siècles, car l’échelle du temps y est compactée et le processus du vieillissement des cellules considérablement ralenti.

Jadis, les ouvertures et points de passage entre l’intérieur et l’extérieur de la Terre étaient multiples et facilement accessibles. En dehors des deux grandes ouvertures des pôles, il existait de nombreuses galeries permettant d’atteindre les cavités de la Terre Creuse à partir de la surface. Ainsi, la bibliothèque d’Alexandrie, fondée par Ptolémée Ier, l’un des héritiers de l’empire d’Alexandre, fut-elle à l’origine construite à l’emplacement même d’un corridor qui reliait l’Égypte à la grande Bibliothèque multidimensionnelle de Porthologos, située sous l’actuelle mer Égée.

La bibliothèque d’Alexandrie, qui renfermait plus de 700.000 textes sacrés, fut détruite une première fois en 47 avant Jésus-Christ en raison d’un incendie déclenché par les envahisseurs romains, puis, après sa reconstruction, à nouveau ravagée par les flammes en 391 après Jésus-Christ, et encore une autre fois en 645.

Les raisons occultes de cet acharnement du destin n’ont jusqu’à présent jamais été clairement expliquées. Alexandrie était en fait une porte ouverte vers les royaumes intraterrestres, un passage utilisé par les initiés kabbalistes pour atteindre les Archives Akhashiques de la Connaissance universelle. Lorsqu’il fut avéré que les érudits de la Septante cherchaient à commettre les mêmes transgressions que les anciens Mages de l’Atlantide et tentaient à nouveau de s’approprier les clés de la Connaissance universelle pour pouvoir dominer le monde, les Maîtres de Porthologos décidèrent de fermer cette porte vers la Terre intérieure et autorisèrent sa destruction. Les légions de César et, plus tard, les mercenaires de l’émir Amr Ibn al As ne firent qu’appliquer à leur insu un ordre qui provenait en réalité de régions bien plus élevées de la Conscience humaine. Il s’agissait, pour les Intraterrestres, de se protéger coûte que coûte des intrusions et des agressions de l’extérieur.

Cette politique de fermeture et de séparation a été maintenue jusqu’à aujourd’hui, et depuis l’engloutissement de l’Atlantide, ni l’Agartha ni la Catharie ni la Nouvelle-Lémurie n’ont eu à subir d’attaque extérieure ; les visiteurs des cités souterraines de la Terre Creuse sont, depuis l’époque lointaine de sa colonisation extraterrestre, des invités triés sur le volet par leurs hôtes, en fonction de leur aptitude énergétique à intégrer le très haut champ vibratoire généré par l’aura des grands Êtres qui assument leur gouvernance.

Depuis le premier incendie de la bibliothèque d’Alexandrie, tous les portails vers la Terre Creuse ont été progressivement fermés, qu’il s’agisse par exemple de celui des Pyrénées sous le Pic Bugarach, de celui de Lhassa au Tibet, où il existait un moyen d’accéder secrètement au monde intérieur depuis le Palais du Potala, de celui du Pérou, progressivement immergé par les eaux du lac Titicaca, et où se trouve aujourd’hui un sas par lequel continuent de transiter des traceurs magnétiques en provenance de différentes planètes de notre galaxie, ou encore de celui de Kimberley Range en Australie. Même les entrées des pôles, demeurées longtemps sans aucune protection, en raison du climat glacial et de l’environnement hostile qui règnent sur la banquise et qui permettaient, jusqu’à l’avènement des nouvelles technologies industrielles, de maintenir naturellement ces deux ouvertures à l’abri d’expéditions d’aventuriers ou de militaires, sont aujourd’hui soigneusement protégées par de puissants blindages électromagnétiques qui empêchent désormais les drones, avions furtifs et autres satellites espions d’identifier l’emplacement exact de ces portes.




Contrairement à ce que pourrait laisser supposer la très belle image de synthèse ci-dessus, l’accès à la Terre Creuse par l’ouverture du pôle nord n’est pas une entreprise aisée.





Il ne suffit pas d’avoir de l’entraînement et le goût du risque pour franchir la muraille électromagnétique qui protège le périmètre entourant la principale porte vers l’Agartha. Malgré de nombreuses mises en garde (elle avait notamment dû être amputée des deux orteils à la suite d'une précédente tentative), l’aventurière franco-finlandaise Dominick Arduin (ci-contre), qui tentait une nouvelle fois d’atteindre le pôle nord à ski en solitaire, en a fait la terrible expérience en mars 2004.



Si l’on ajoute que l’épaisseur de la croûte terrestre est d’environ 1300 kilomètres, on comprendra aisément qu’il soit impossible de creuser un trou depuis la surface pour tenter de pénétrer dans la Terre Creuse.

Les astrophysiciens américains sont extrêmement fiers d’avoir envoyé récemment des robots sur Mars et d’avoir ramené des images de bonne qualité de sa surface. Il faut cependant relativiser ce succès : les planètes de notre système solaire ne sont équipées d’aucun dispositif de protection externe. Par conséquent, ceux qui ont marché sur la Lune il y a quarante ans, pourront, sans difficulté majeure, réitérer leur exploit inutile sur Mars et même sur d’autres planètes bien plus éloignées. Car il est en réalité bien plus facile de se rendre sur la surface de la Lune, de Mars ou de n’importe quelle autre planète que de pénétrer dans la Terre Creuse. C’est toujours l’intérieur des planètes, leur centre vital que les êtres évolués qui les habitent cherchent à préserver, rarement leur enveloppe externe.

Les expéditions actuellement organisées par nos gouvernements à destination des autres planètes de notre système ne sont pas destinées à aider l’humanité ni à l’élever vers la conscience de l’universalité, mais à flatter l’ego surdimensionné de quelques personnes avides d’être reconnues et glorifiées pour leur soi disant « intelligence ».

Dans la mesure où leur survie n’est pas directement menacée, les Intraterrestres, Intralunaires et Intramartiens laissent faire ces expérimentations stériles, dont le coût exorbitant pourrait certainement être mieux utilisé à lutter contre la faim, le sida, ou à faire triompher l’idée de Fraternité sur notre planète.

Cependant l’heure de l’émergence des « Êtres de l’intérieur » semble désormais toute proche, et il faut savoir que le jour tant attendu par certains, tant redouté par d’autres de la manifestation d’envergure des extraterrestres de la Confédération, prélude à la transition de la Terre et à l’Ascension de notre humanité, sera également celui de l’apparition des Intraterrestres et de leur manifestation au grand jour.

Bien sûr, tout ceci ressemble à de la science-fiction. Il ne s’agit pourtant pas d’une élucubration, mais d’un simple calcul de probabilité effectué à partir de l’enregistrement télépathique de données présentes bien réelles, même si elles échappent encore à notre approche cartésienne et objective de l’univers et de ses lois. C’est pourquoi il faut se préparer dès MAINTENANT à cette extraordinaire rencontre.

Notre technologie est incapable de sauver l’ancien monde. Seule, une acceptation sans réserve de l’idée de Fraternité peut nous ouvrir l’accès au Monde Nouveau.


Olivier de Rouvroy
Mars 2004




Les planètes creuses (Spiritualité, Nouvel-Age - Sciences Parallèles)    -    Auteur : jean - Canada


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dernière mise à jour : 2009-07-23

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