Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.
Révélations d’Éric Julien

Révélations d’Éric Julien

Éric Julien nous fait découvrir certains aspects étonnants de ses contacts avec des créatures bleues d’outre-espace avant son apprentissage à bord de leur vaisseau.

Le premier livre de l’énigmatique Éric Julien, "La Science des Extraterrestres", traitant de la question des OVNI et de leurs modes de propulsion, est devenu en quelques mois un best-seller de l’ufologie.

Son nouvel ouvrage, "Enfants des Étoiles (Désirez-vous nous voir apparaître ?)" retrace les principales expériences de ce contacté atypique. Le premier tome, disponible fin avril 2006, décrit la période de sa vie allant de son enfance aux événements étranges et spectaculaires qui précédèrent et accompagnèrent sa brusque disparition du domicile de sa compagne en mars 2004. (Le deuxième tome, qui sera publié dans quelques mois, nous fera découvrir l’intimité de ses relations avec des créatures bleues et ce qu’il a découvert au cours de son voyage à bord de leur vaisseau).

À la suite de cette mystérieuse disparition, il affirme avoir vécu des séances de pilotage d’OVNI au cours d’une nuit de dix jours "de temps dilaté", avant d’être retrouvé deux mois plus tard sur l’île de la Réunion, ce qui lui a valu l’acharnement de nombreux détracteurs.

Le fait qu’un collectif E.T. ait pressenti Éric Julien pour lui apprendre à piloter l’un de leurs vaisseaux peut cependant s’expliquer pour deux raisons : la première est qu’il avait déjà une expérience de près de vingt années dans l’aéronautique : il était pilote professionnel d’avions biréacteurs et fut même, à une époque, animateur au Space Camp qui appartenait, entre autres, à l’astronaute français Patrick Baudry. Les "spaciens" - comme on les nomme - s’entraînaient sous ses yeux dans le module de pilotage de la future navette spatiale européenne (Hermès), dans la centrifugeuse, au simulateur de gravitation lunaire et au MMU trois axes (Manned Manoeuver Unit) de sortie extravéhiculaire.





La seconde raison du choix d’Éric Julien par des E.T. réside vraisemblablement dans son intérêt pour les OVNI et son érudition en matière d’ufologie et de technologies extraterrestres. Il est en effet connu depuis plusieurs années pour son article sur le temps 3D dans lequel il avait décrit pour la première fois avec précision les quatre technologies mises en œuvre dans les OVNI. Il dit avoir obtenu ces informations à l’occasion d’un contact psychique intense en 1990 alors qu’il était encore pilote professionnel.

La présence et l’influence des extraterrestres est extrêmement perceptible, presque palpable dans les lignes qui vont suivre. Le lecteur aura par moments l’impression de pouvoir les toucher. C’est en tout cas ce que nous avons déjà tous ensemble réussi à faire par la pensée, puisque le Référendum Mondial « Désirez-vous nous voir apparaître ? », initié par Éric Julien sous le pseudonyme de Jean Ederman, (Cf. notre page Changeons le monde par effet de levier !) a d’ores et déjà commencé à montrer ses effets.

Ce qui nous paraissait improbable il y a peu est en train de se réaliser dans les faits. Pour la première fois de notre histoire, des extraterrestres ont commencé à se montrer massivement en différents points du globe. Depuis trois ans, ils accumulent des signes forts de leur bonne volonté à notre égard (Cf. le texte ci-dessous). Ils demeurent le plus souvent à l’état lumineux, mais ils ont promis de se matérialiser si nous le désirons collectivement.

Ce référendum planétaire n’est donc pas encore terminé et notre action peut encore faire pencher la balance vers une ère de paix et de coopération mutuellement bénéfique. Les extraterrestres bienveillants continuent de nous poser la même question déterminante et vitale : « désirez-vous nous voir apparaître ? » Éric Julien l’affirme : « Je les ai regardés dans les yeux. J’y ai vu la compassion envers chacun d’entre nous, et un respect particulier envers ceux qui agissent. »

Mais notre détermination est-elle suffisante ? Les nuages s’amoncellent et l’orage risque d’éclater à tout moment au sein de notre humanité tourmentée. L’élan engendré par les quelques sites Internet qui ont répercuté le message mondial en France et à l’étranger fut incontestable. Il constitue un premier effet de levier. Mais il faut maintenant passer à une autre échelle et continuer inlassablement à diffuser ce message autour de soi… ou bien se résigner à vivre la transition collective vers l’Ère Nouvelle dans la douleur.

Se voiler la face est la dernière tentation de l’ego !

Voici quelques extraits de "Enfants des Etoiles (Désirez-vous nous voir apparaître ?)".


Le guide spirituel extratemporel.

« Juin 2003 : Alors que je me trouvais sur le bord de la piscine de notre résidence de la Saline, je profitai de la température clémente que le ciel réunionnais du littoral dispensait en fin de journée. Je fis un appel en direction des extraterrestres. Alors que j'avais les yeux fermés, un contact visuel eût lieu. L'image était extrêmement nette. J'étais face à un petit être qui m'arrivait au niveau de la poitrine. Je n'ai pu apercevoir de lui que le visage et les épaules jusqu'aux bras. Cette apparition était vraiment saisissante de réalité. Nous étions dans une sorte de salle blanche, ou dans un décor extérieur d'une extrême blancheur. Nous étions seuls à ce qu'il me semble. Sa peau était bleu clair et ses yeux étaient très grands, de forme oblongue vers l'arrière du crâne. Ce crâne était large, au moins une fois et demi le nôtre, puis effilé vers l'arrière et le haut. Ses grands yeux - quatre à cinq fois la dimension des nôtres - étaient violets et étincelants par endroit. La bordure de ses yeux était plus brillante. Cette couleur violette était aussi présente sur la peau en petits points éparpillés. Je l'ai trouvé d'une grande beauté.

Il régnait beaucoup de paix de son visage et son intention était juste de montrer qu'il avait entendu mon appel. J'ai ressenti que son rôle sur Terre était important. Cela dit, les yeux étaient plus proches de l'indigo que du violet pur. Le plus frappant, et c'est ce à quoi je ne pouvais m'attendre, ce sont ces luminescences mauves dans les yeux, autour des yeux et sur la peau par petits points, comme des diodes.

D'autres rencontres de ce type eurent lieu alors que je me trouvais en compagnie d'une autre personne chez qui je résidais temporairement. De nombreux événements, tant psychiques que physiques s'égrenèrent durant plusieurs mois jusqu'à un contact d'un genre nouveau… »


La piste d'atterrissage.





« Été 2003 : Les contacts se multiplièrent au point qu'ils en devenaient quotidiens. Outre les nombreuses opérations médicales que les extraterrestres me dispensaient lors de mes voyages de conscience, dits aussi remote viewing, je prenais des cours de pilotage de vaisseau dans une base souterraine située sous les Grands Lacs, à la frontière entre États-Unis et Canada.





Avant d’y venir, il me faut décrire certaines interventions chirurgicales auxquelles je me soumettais en pleine connaissance de cause sans difficulté. Elles étaient effectuées dans une salle appropriée contiguë à la salle d’accueil sur un plan de conscience non physique. Une grande table trônait au milieu d’une salle blanchâtre. Au-dessus, légèrement sur les côtés, plusieurs appareils étaient disposés de façon à atteindre sans difficulté le patient. Le dispositif ressemblait beaucoup à une salle de dentiste.

Certains bras, dont il était difficile de dire s’ils étaient articulés ou non, possédaient de longues aiguilles, d’autres un appareillage plus imposant duquel sortaient des faisceaux lumineux plus ou moins intenses. Alors que je fus allongé, je vis que les praticiens extraterrestres à la peau bleuâtre et à l’encéphale disproportionné s’activaient derrière mon crâne. Je vis apparaître des arceaux épousant la forme de la tête. De chaque extrémité des arcs sortait un pointeur en direction des tempes et du front. Je sentis qu’un quatrième pointeur était appliqué au somment du crâne.

Tandis que je constatai la liberté de mouvement de mes membres, l’un des extraterrestres me demanda de me concentrer sur ce que j’allais ressentir à l’intérieur de ma boîte crânienne, en évitant de faire le moindre mouvement. Le seul fait de porter attention sur un lieu pour le moins virtuel pour mes yeux normaux suffit à évacuer l’envie de bouger. Il m’expliqua que des forets de lumière allaient transpercer les couches éthériques successives de mon encéphale pour se rejoindre en son milieu. Le but était tout d’abord de nettoyer les paquets filandreux de cristallisation psychique qui m’empêchaient de visualiser correctement la réalité du voyage de conscience. L’objectif était donc de m’aider à y voir de plus en plus clair dans les méandres de la conscience perceptive.

C’est alors que pour la première fois de mon existence je sentis mon cerveau vivant, comme peut l’être une bouteille d’eau pétillante que l’on vient d’ouvrir. Je sentais se dissoudre des enchevêtrements de circuits réflexes auxquels je m’étais habitué. Ces circuits ressemblaient un peu à une toile d’araignée qui se serait insinuée dans les circonvolutions du cortex cérébral. Les connexions dont mon cerveau s’alimentait en temps normal devaient être reconfigurées pour les optimiser au voyage de conscience. Je sentis concrètement dans mon corps physique, resté dans l’Indre en France, des picotements aux tempes, sur le front et au-dessus du crâne. J’eus la nette impression que des tiges métalliques traversaient de part en part ma tête. Pourtant, aucune douleur ne vint me troubler. Je sentis des zones de chaleur électrique entre mes deux oreilles. Mais la taille de ces zones était curieusement supérieure à celle de mon crâne lui-même. Aucun effet secondaire désagréable ne se manifesta.

Ce ne fut pas le cas de mon œil droit. Les extraterrestres m’indiquèrent que pour atteindre une meilleure visualisation en simulateur de vol, et pour piloter concrètement un vaisseau, il était indispensable de procéder depuis la base souterraine, sur le plan de conscience du voyage mental, à plusieurs modifications physiques. L’une de celles-ci consistait à injecter une énergie particulière dans mon bras droit astral. Je ressentis parfaitement, dans mon corps physique, l’introduction d’une sonde au milieu du bras. Elle était bien sûr invisible dans la réalité matérielle, mais la sensation d’intrusion était très nette.

Mais plus impressionnante encore fut l’opération de la cornée de mon œil droit. Je vis en voyage de conscience l’instrument qui s’approchait de mon iris droit. Le scalpel lumineux fit avec une remarquable précision le tour de ma cornée. Tandis que la paupière matérielle était normalement fermée, j’eus aussitôt une douleur aigue dans mon œil physique droit. Cette douleur intense m’obligea à quitter sur le champ la base extraterrestre par le procédé psychique habituel. La souffrance dura toute la journée et me contraignit à l’inactivité quasi-totale. Fort heureusement, les extraterrestres m’avaient averti des effets secondaires. Ce qui me permit de patienter et d’attendre la disparition « naturelle » de cette douleur. (…)

C'est ainsi qu'il nous fut demandé de réaliser une piste d'atterrissage bien physique pour l'un des vaisseaux, à côté de la maison dans l’Indre en France.



Piste d’atterrissage aménagée sur instructions des extraterrestres


Elle était située en bord de Creuse dans un environnement forestier bucolique. A côté de la maison, un terrain vague de trois à quatre mille mètres carrés était envahi de ronces et d'arbustes. Personne n'y venait jamais. Nous nous sommes donc mis à débroussailler la moitié du terrain. Cette opération, qui avait pour but de ne pas nous blesser au moment du contact physique conscient à venir, dura un mois complet. La progression fut difficile et harassante car l’épaisseur des tiges était importante. Il nous fallait un courage et une foi à toute épreuve pour se donner toute cette peine. De plus, comme nous n'en avions parlé à personne, ce travail se fit dans le plus total isolement moral. Bientôt, le terrain était nivelé et la piste d'atterrissage fut prête. Mais nous ne savions pas du tout quand un vaisseau devait se montrer.

Les semaines passèrent et aucun vaisseau physique ne s'approchait. En revanche, nous eûmes des apparitions étranges dans le jardin. Des entités éthérées se déplaçaient. Nous percevions des formes tantôt très grandes, tantôt petites. J'ai vu clairement à plusieurs reprises ces formes évanescentes. Les trois chattes de la maison se mettaient en arrêt devant des présences invisibles et bondissaient tout à coup, comme si de curieux personnages les caressaient sans avoir préalablement fait connaissance. Eliott, le teckel, se mettait à aboyer sans raison aucune, de nuit comme de jour, en particulier dans le couloir principal de la demeure. Toutes ces activités mystérieuses n'allaient pas sans des contacts psychiques avec nos amis. Ils nous expliquèrent que notre surveillance s'était terriblement accrue par des créatures peu recommandables. Ils ne pouvaient donc pas s'approcher.

Plusieurs événements émaillèrent les quelques semaines qui suivirent la réalisation de la piste d'atterrissage. La nuit, trois lumières formant un triangle isocèle survolèrent la maison à plusieurs reprises. Il est probable qu'il s'agissait d'un vaisseau triangulaire réputé être de la partie hostile. Sur la colline d'en face, nous aperçûmes en fin de soirée des lasers rouges pointés dans notre direction alors que cette colline est absolument déserte. Bruits et scintillements mystérieux se succédaient. La situation semblait bloquée. Mais la partie n'était pas finie… »


Espionnage et surveillance.

« Incontestablement, mes contacts avec les extraterrestres semblaient suivre une courbe ascendante. Les rencontres se faisaient crescendo. Il devint évident que le plus important était à venir. Je m’attendais donc à de nouvelles aventures. Aussi suis-je devenu plus attentif aux signes subtils.

Je vais donc aborder quelques uns d’entre eux avant de décrire l’événement de ma disparition de la nuit du 11 au 12 mars 2004. Une liste exhaustive serait fastidieuse à énumérer.





Une série de rêves surprenants, mettant en scène des extraterrestres et des humains, évoquait un scénario de l’avenir. Une atmosphère de suspicion et de résistance entourait des opérations d’évacuation. Une base lunaire accueillait des astronautes d’un nouveau genre puisque des enfants y vivaient. D’autres situations montraient la part croissance de la présence extraterrestre dans mon environnement. Il se fit de plus en plus clair que les autorités militaires ne devaient pas rester indifférentes à la problématique OVNI. Mais entre le ressentir et le constater, la différence est notable. Alors que je me trouvais encore en France métropolitaine, trois accès personnels furent trouvés ouverts le même jour alors qu’ils avaient été verrouillés : une porte de garage, le portail d’entrée et les portières avant du véhicule alors que ce dernier était en ville.





À deux reprises, des viseurs lasers rouges furent aperçus en cours de soirée sur la colline faisant face à la maison que nous habitions sur le bord de Creuse. Ils étaient distincts et inquiétants. Il faut préciser que personne n’habite cette petite colline extrêmement boisée et feuillue. C’était, en revanche, un promontoire idéal pour surveiller la maison.





Une recherche d’indices probants de l’irruption d’un vaisseau extraterrestre semble avoir été secrètement entreprise à proximité de la piste d’atterrissage dont j’ai parlé dans l’épisode précédent. Hélicoptères et véhicules militaires ont été aperçus dans ce secteur alors qu’ils y sont habituellement absents. Suite à ma disparition dans la nuit du 11 au 12 mars 2004, ma compagne alerta la gendarmerie d’Eguzon dans la Creuse. Comme la procédure le veut, des gendarmes se sont déplacés jusqu’au domicile pour prendre sa déposition et noter des indices utiles. Mes affaires étaient encore présentes. (…) Par un curieux hasard, ce gendarme était précisément intéressé par la question des OVNI !

Lorsqu’un an et demi plus tard, en septembre 2005, j’ai rencontré ce même gendarme à l’occasion d’une invitation personnelle, il m’apprit qu’il avait contacté le SEPRA à Toulouse, aussitôt après la déposition de ma compagne, ainsi que le préconise son manuel de gendarme. Le Service d’Expertise des Phénomènes Rares Aérospatiaux est, en effet, en charge au sein du Centre National d’Etudes Spatiales des enquêtes sur les OVNI. Or, après être tombé sur un numéro de téléphone correspondant à une entreprise privée (le livret n’était donc pas à jour), il composa le second numéro indiqué et tomba cette fois sur le répondeur du SEPRA. Il y laissa un message fort distinct à la fois par son origine (Gendarmerie d’Eguzon) et le caractère exceptionnel de la situation (disparition d’un individu après atterrissage d’OVNI). Il faut se souvenir que ce gendarme avait constaté de visu l’existence du terrain vague voisin, c’est-à-dire la piste d’atterrissage. Ce qui le choqua fut le silence total du SEPRA qui suivit son appel. À aucun moment, affirma-t-il, le SEPRA ne donna suite. Précisons que Badecon le Pin, lieu de l’incident, n’est qu’à cinq heures de route de Toulouse et que le mois de mars n’est pas une période de vacances.

Ma compagne m’a indiqué, alors que j’avais disparu, et après l’appel du gendarme au SEPRA, qu’une colonne de véhicules militaires légers s’était arrêtée sur le chemin surplombant la maison et le champ voisin dans les dix jours qui ont suivi ma disparition. Elle a affirmé avoir clairement vu ces militaires qui observaient dans la direction du terrain d’atterrissage. Certains utilisaient même des jumelles. Ils étaient armés. Quelques uns étaient debout dans leur véhicule pour mieux apercevoir le terrain. Rien d’autre que ce terrain ne pouvait représenter un quelconque intérêt en ces lieux. Le plus remarquable est qu’en sept ans de vie dans cette zone, ce fut la première fois que l’on vit des militaires sur ce chemin qui, en fait, est une impasse !





Le plus curieux est que ma compagne se tenait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine face à ces militaires. À aucun moment ils ne la considérèrent mais restaient, tout au contraire, figés sur leur observation. Ils constatèrent alors, qu’à l’exception de la zone que nous avions défrichée pour permettre à un vaisseau d’atterrir, les ronces montaient à près d’un mètre cinquante de haut, interdisant à quiconque d’approcher cette zone, sauf à entrer dans la propriété que nous habitions, seul accès à la piste d’atterrissage !

On me demanda un jour pourquoi fallait-il dégager les ronces pour que les extraterrestres me prennent à bord de leur vaisseau. Les extraterrestres ne l’ont-ils pas déjà fait à plusieurs reprises sans que l’individu n’ait eu à bouger de chez lui ? Ils ont en effet parfaitement la possibilité d’agir ainsi. Mais ce que cet interlocuteur n’avait, semble-t-il, pas compris était le caractère extraordinairement important de la démarche consciente et volontaire de l’approche du vaisseau par un être humain dans un contexte de rapprochement et de respect mutuel des races. Ainsi, dégager les ronces m’était plus précieux que pour eux. Car comment avancer face à un tel obstacle ? Néanmoins, mes amis extratemporels devaient également éloigner tout risque matériel pour leur train d’atterrissage qui aurait pu rester emprisonné dans les liens inextricables des végétaux. Je devais monter à bord et non pas me faire enlever ! La différence psychologique est pour le moins colossale. »

Disparition en pleine nuit.

« Quel était l’objet de cette surveillance rapprochée ? Pourquoi les militaires et les extraterrestres s’intéressaient-ils à mes activités ? Un événement fit grand bruit dans la petite communauté ufologique francophone, mais aussi par delà les frontières, notamment aux États-Unis : ma disparition !

Revenons à la nuit du 11 au 12 mars 2004. Alors que nous nous étions endormis vers 23h00 dans cette maison de bord de Creuse, je fus soudain réveillé par une voix : « c’est l’heure ! ». Il était alors environ 00h30. Je fus immédiatement debout en apercevant une lumière intense derrière les volets de la chambre. Je m’habillais promptement et me dirigeai vers la porte-fenêtre du salon. Je savais ce que signifiaient cette voix et cet éclat de lumière. En sortant sur la terrasse, je constatai une brume très lumineuse dont le point d’origine était situé sur le terrain vague voisin. Je m’approchai alors de la clôture, à l’endroit où nous avions aménagé une ouverture que nous avions déjà empruntée lors d’une précédente abduction. Cette fois, la différence était de taille : j’étais parfaitement conscient de l’événement ! Conscient et volontaire. Il ne s’agissait donc pas d’un enlèvement mais bien d’une rencontre entre créatures conscientes de races différentes.





À mesure que j’avançais, une forme discoïdale se dessinait dans le champ. Je franchis, non sans une forte émotion de joie, mêlée de crainte, le petit muret à peine plus haut que les mollets. Puis, écarquillant les yeux, je me retrouvai à une trentaine de mètres de l’engin. L’atmosphère était chargée d’une curieuse vibration. La luminosité était supportable mais mon corps était parcouru par une étrange électricité.

Ce que je savais être un vaisseau lenticulaire, possédait un dôme sur la partie supérieure. Il avait de modestes dimensions. Son diamètre était d’environ quinze mètres. Sa hauteur de cinq ou six mètres. Il était probablement posé sur quatre pieds inclinés mais je n’en apercevais que trois, ceux qui étaient les plus proches de moi. Le quatrième devait être occulté par l’extraordinaire lumière que le vaisseau émanait. La longueur des pieds semblait être de plus de deux mètres, offrant une vision nette de la partie inférieure de l’engin. Un détail me troubla. Le pied central était beaucoup plus large. L’aspect était d’un gris métallisé très clair ne possédant aucune couture apparente. Seul un cercle très lumineux d’environ cinq mètres de diamètre au centre du disque donnait une indication technique de son fonctionnement.

Tandis que je m’approchais encore, la taille du vaisseau se mit à grandir dans une sorte de tremblement illusoire. Je fus saisi d’incompréhension. J’eus l’impression de basculer dans un autre monde, une sorte d’univers parallèle où les repères changeaient imperceptiblement. Tout en étant captivé, presque hypnotisé par ce phare incongru, je tentais de temps en temps de jeter un œil sur l’environnement. Je baignais si intensément dans cette lumière qu’il m’était impossible d’affirmer qu’il s’agissait d’un événement nocturne. Les arbres, la maison derrière moi, comme le poteau électrique que je venais de croiser, étaient d’un blanc éclatant. Pourtant, dans cette blancheur je distinguais nettement des couleurs.

C’est alors qu’en observant attentivement la masse qui me faisait face, je vis de nombreux faisceaux de couleurs à la circonférence du vaisseau. Il devenait de plus en plus imposant devant moi. Je ne me souviens pas de m’être arrêté dans ma progression vers la nef. Pourtant, j’eus la sensation d’avoir de plus en plus de mal à avancer, comme si je luttais contre le temps.

Tout se déployait au ralenti. Mes muscles refusaient de m’obéir aveuglément et je dus faire un effort conscient pour mettre un pied devant l’autre. Mes repères devenaient de plus en plus confus et une bouffée de panique fit irruption. Je pris soudain conscience que le vaisseau devait être habité. Ce fut précisément à ce moment que je vis une créature descendre par le pied central qui s’avéra être une passerelle d’accès au vaisseau. Mon cœur se mit à battre la chamade, comme des coups de gong rapides et bruyants dans ma poitrine.

Tous mes sens étaient en alerte et je sentis le monde tourner autour de moi. Mes tempes cognaient d’ivresse dans cette incroyable rencontre. L’être se posta devant moi au pied du discoïde alors que je n’étais plus qu’à cinq mètres de la nef. A peine quelques détails surgirent de cette extraordinaire vision. Une créature d’environ un mètre cinquante, possédant une grosse tête posée sur un corps frêle, montrait des mouvements amples et très lents.





Sa peau était bleue pâle et ressemblait à celle d’un dauphin. Ses très grands yeux en amande semblaient sourire. Ils pétillaient de petites lumières indistinctes. Le contraste le plus surprenant fut celui de ce corps chétif dont le propriétaire, à travers ses grands yeux sombres parsemés de diodes luminescentes, se voulait rassurant à mon égard. Si l’un de nous deux devait avoir peur, c’était bien lui. Il semblait si famélique et angélique en même temps dans un monde matériel hostile. Mais sa maîtrise de la situation me paraissait incontestable. Il dominait aisément chaque seconde qui s’écoulait.

Je progressai encore vers lui, poussé autant par la curiosité que la volonté de ne pas donner le moindre signe de peur.

Je désirais me montrer digne de cette rencontre historique. Je fixais ses yeux emplis d’amour. J’eus l’impression de flotter légèrement au-dessus du sol. Déjà, la nef me recouvrit par-dessus. Elle fut si proche qu’il me sembla que j’aurais pu la toucher en tendant le bras vers le haut. Soudain, tout alla très vite. A peine avais-je entrevu l’ombre de ce toit immense qu’un flot d’émotions me submergea et me fit perdre connaissance. Je me dirigeai vers un destin complètement différent. Tôt ou tard, je serais à bord d’un vaisseau extraterrestre !

Personne ne pourrait me croire. Personne n’accepterait l’impensable. Quelques minutes seulement avaient dû s’écouler depuis mon réveil jusqu’à cet instant de tourbillons intérieurs. Pourtant, l’événement m’avait paru une éternité de sensations nouvelles. Avant le grand trou noir, une ultime lueur parvint à mon esprit. J’eus le sentiment d’être dans un total isolement face à l’inconnu. Mais cet inconnu m’était déjà familier. Nous étions deux, face à face, seuls au monde ! (…) »






Pilotage d’un vaisseau extraterrestre.

« - Comment vas-tu Jean ? fit la même voix de ténor.

- Koran ? Koran l’Instructeur ? balbutiai-je incrédule.

Des scènes apparurent devant mes yeux au point que j’en perdis la vision de la salle. Je vis en accéléré les dizaines d’apparitions de la base souterraine des extraterrestres où je me projetais en voyage de conscience au cours de l’été 2003. J’y accédais toujours de la même manière, par la salle d’accueil. A côté, la salle des simulateurs de vol, composée de box d’entraînement disposés comme un laboratoire de langue, était dirigée par celui que les apprentis pilotes appelaient l’Instructeur : Koran !





Je revis ces élèves en une fraction de seconde. La plupart étaient extraterrestres, mais de temps en temps, des enfants humains, entre cinq et douze ans, passaient par là. Plus rarement, des adultes venaient faire une visite de découverte. Leur point commun était l’apprentissage plus ou moins poussé du pilotage de vaisseau spatial. Je faisais partie du groupe des adultes humains. Même si la majorité des cours consistait en une formation technique et théorique, nous utilisions parfois le matériel pour des projections spatio-temporelles, c’est-à-dire des navigations simulées.

- Jean, es-tu avec nous ? demanda gentiment Olma.

- Je suis là ! dis-je soudain en revenant au présent.

Koran tourna le siège épais sur lequel il était assis tandis que Yusan s’était déjà installé sur celui qui se trouvait à sa gauche. Je hochai la tête pour marquer autant mon respect que ma cordialité envers Koran. Il me rendit ce signe d’affection par un sourire.

- Veux-tu piloter un vrai vaisseau ? m’interrogea-t-il.

- Je ne suis pas sûr d’en être capable.

- Si tu n’essaies pas, tu auras raison. Tu en seras incapable. Tiens-tu à avoir raison ?

La façon dont il s’exprimait mentalement montrait la parfaite maîtrise qu’il avait de la diplomatie. Voulais-je donner raison à mes limites ? Devais-je faire preuve d’un complexe d’infériorité ? Et si j’échouais ?

- Tu échoueras souvent, répondit-il aussitôt.

- Tu vois donc que c’est inutile.

- C’est la manière dont tu échoues qui conditionne la réussite. Si chacun savait déjà tout, si chacun réussissait tout à la première tentative, il n’y aurait pas d’évolution dans l’univers, ni de désir d’évoluer.

(…) Il prit ma main droite et la posa sur le cadran tactile. Je sentis instantanément un frémissement qui parcourut mon corps des pieds à la tête. Il appuya sur le dos de ma main en insistant sur la nécessité de la garder bien à plat. Je compris aussitôt que mes hôtes possédaient une plus grande facilité de pilotage avec leurs mains frêles et naturellement ouvertes. J’appris que de tels attributs physiques, comme la platitude des mains, étaient le signe d’un niveau d’évolution supérieur, y compris chez les êtres humains.





Il me demanda de respirer profondément. Je pris alors conscience que j’emmagasinais les particules énergétiques de l’atmosphère sans véritablement inspirer et expirer de l’air. Je demeurai ainsi quelques minutes à me concentrer sur ces flux et reflux lumineux qui pénétraient autant dans mes poumons que les pores de ma peau. Ce fut très étrange. J’eus l’impression que mon corps tout entier n’était qu’une seule et même oscillation rapide. Les battements de mon cœur ressemblaient à une fréquence sonore grave faisant office de porteuse à la manière d’une station de radio. (…)

Tout à coup, je sentis mon corps exploser, se dilatant dans tout le vaisseau. Je n’étais plus qu’un œuf énorme et mou, déformé par une main invisible qui le malaxait. Je crus que mon cerveau allait éclater. Des centaines de sensations désagréables et d’images distendues s’imposèrent à moi. La nef s’emparait de mon âme tant et si bien je faillis vomir et perdre conscience.

- KORAN ! m’écriai-je. QUE DOIS-JE FAIRE ? Je ne contrôle rien.

- Ne bouge pas ! Ne pense pas ! Mais respire.

- Que se passe-t-il ?

- Vous faites simplement connaissance, toi et le vaisseau. Il prend ton pouls. Il intègre ta vibration personnelle.

À peine avait-il fini sa phrase que je vécus une extraordinaire sensation. Les fréquences qui étaient jusqu’alors chaotiques et bourdonnantes s’estompèrent. Mes nausées diminuèrent rapidement et je ressentis un chant puissant et harmonieux à l’intérieur.





Ce fut comme une chorale composée de milliers de voix résonnant au cœur d’une cathédrale. Mais j’étais l’édifice lui-même. Je vibrais à l’unisson du vaisseau. Il venait de s’adapter à ma fréquence et moi à la sienne. J’étais NOUS ! (…)

Mais une série d’images plus nettes s’interposèrent. Je vis, non pas des paysages, mais une suite de figures géométriques en volume qui eurent une correspondance dans mon corps, comme si la nef fouillait des points d’acupuncture. Je ressentis nettement des frissons simultanément à des endroits physiques sans aucun rapport apparent entre eux à mesure que ces dessins s’imposaient. On eût dit un couturier prenant les mensurations intérieures de mon être.





Je passais un scanner holographique plutôt indiscret, décryptant la moindre anomalie, la moindre pensée perverse. Peut-être le vaisseau passait-il en revue ses programmes de sauvegarde afin de ne pas affecter son intégrité ? À l’inverse du pilote terrestre consciencieux qui vérifie son avion avant de mettre en route les moteurs, le vaisseau suivait méticuleusement sa check-list, vérifiant tour à tour mon système nerveux, mon réseau sanguin, mes connexions cérébrales et mes fréquences harmoniques selon des lois numériques inconnues. D’autres fonctions étaient probablement l’objet de son attention, mais il devint clair pour moi à ce moment précis que la machine était maîtresse à bord. Mais à quoi pouvais-je alors servir ? (…) »


Prélude à une apparition massive.

« Depuis le Référendum Mondial, des dizaines, voire des centaines de lumières apparaissent ensemble ici ou là sur la planète. La fin du message des extraterrestres de septembre 2003 stipulait :

" Imaginez notre venue demain. Des milliers de vaisseaux. Un choc culturel unique dans l’histoire de l’homme actuel. Il sera trop tard pour regretter de s’être abstenu de choisir et de diffuser, car cette découverte sera irréversible. Nous insistons pour que vous y réfléchissiez sans précipitation, mais réfléchissez-y ! Et DÉCIDEZ ! "

La stratégie des extraterrestres bienveillants fut jusqu’alors de se présenter à un nombre très faible de témoins avec un très faible nombre de vaisseaux pour marquer les consciences individuellement. Cette fois, pour faire écho au message collectif "Désirez-vous nous voir apparaître ? ", les apparitions sont proportionnelles à l’impact de cette question référendaire. Les extraterrestres insistent, par cette démonstration, sur la nécessité absolue de réfléchir à la question. Ils font, depuis quelques mois, la preuve qu’ils sont vraiment capables d’apparaître en masse et non pas isolément. Beaucoup ont souri dans les premières semaines du Référendum planétaire à la naïveté de la question. Désormais, nous devrons nous montrer plus matures et responsables. (…)

Les exemples de cette exubérante activité ne manquent pas. Le 10 décembre 2004, une flotte massive de lumières très haut dans le ciel est apparue passant très lentement au-dessus de Guadalajara au Mexique.





Vers 12h30 des centaines de boules volèrent ensemble en formation dans une parfaite harmonie. Parmi ces sphères un disque matériel beaucoup plus gros fut aperçu. Cette différence de taille est parfaitement expliquée par la Relativité Absolue et l’adoption d’un écoulement temporel différent. La démonstration massive et pacifiste des extraterrestres fut filmée par deux habitants de Guadalajara, indépendants l’un de l’autre, et fut diffusée à la télévision nationale mexicaine. Les scientifiques de l’Instituto de Meteorologia y Astronomia de Guadalajara n’ont pu expliquer ce phénomène ni par l’hypothèse naturelle, ni par celle de la supercherie. Au sens traditionnel, ce cas est inexpliqué.





Le Mexique a connu des rassemblements d’OVNI sans précédent. Tout d’abord le 11 avril 2005 au-dessus de Mexico City où l’on vit 54 boules de lumières filmées par deux personnes différentes et retransmises sur la chaîne nationale de télévision dans l’émission "Los Grandes Misterios" de Jaime Maussan. Il fut impossible aux spécialistes d’identifier les lumières.

Vint ensuite le même type d’événement où de multiples OVNI furent observés, photographiés et filmés le 24 juin 2005 au-dessus de San Luis Potosi et de Xalapa, toujours au Mexique. Là encore de nombreux témoins constatèrent d’incroyables scènes. Parmi les témoins de Xalapa, le gouverneur de Veracruz, Fidel Herrera Beltran, entourés de policiers et de journalistes ayant photographié et filmé l’événement, observa 14 disques métalliques stationnaires pendant presque trente minutes.





Du côté de San Luis Potosi, des centaines de sphères lumineuses passèrent pendant plusieurs minutes le plus tranquillement du monde dans le ciel mexicain. Ces deux événements furent rapportés dans les médias télévisuels nationaux.

Plus près de nous, le 5 janvier 2006 une flotte de sphères lumineuses fut photographiée au-dessus de Madrid en Espagne. Cette flotte était séparée en deux groupes se dirigeant vers l’ouest. Les points lumineux qui demeurèrent en formation étaient beaucoup trop brillants pour être confondus avec des oiseaux. L’apparition dura une minute au cours de laquelle les mouvements rapides et saccadés démontraient l’origine extraterrestre de ce phénomène.

Trois semaines plus tard, le 27 janvier 2006, plus de vingt témoins remarquèrent dans le ciel de Milnerton, dans la banlieue de Cape Town, plus de 150 sphères lumineuses et brillantes vers 17h00 pendant dix minutes. Un an plus tôt, au-dessus de cette même ville, une soixantaine de lumières avaient déjà été observées.





Le 28 janvier, puis le 30 janvier 2006, des centaines de boules lumineuses ont été filmées pendant plus de deux minutes au-dessus de l’Espagne.

De même, le 30 janvier 2006 vers 11h20 du matin, Rich Giodarno a filmé pendant une vingtaine de secondes un rassemblement de plusieurs dizaines de lumières brillantes dans le ciel de Pheonix en Arizona, aux États-Unis. Une liste exhaustive de telles concentrations d’OVNI serait fastidieuse.

Les événements ne s’arrêteront pas là. Mais ils suffisent d’ores et déjà à prendre la question du Référendum Mondial très au sérieux. Pour la première fois de toute l’histoire de l’humanité, des manifestations massives d’extraterrestres se multiplient sur la planète après que leur appel ait été diffusé dans le plus grand anonymat et par le média le plus rapide et le plus étendu au monde (Internet).

Vous pouvez encore agir pour que cet effet de levier soit irréversible et que l’apparition massive de vaisseaux extraterrestres dans toutes les nations permette à l’humanité de changer son destin destructeur. »


Extraits de "Enfants des Étoiles
(Désirez-vous nous voir apparaître ?)"
Éric Julien – Éd. JMG (à paraître fin avril 2006)




Révélations d’Éric Julien (Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.)    -    Auteur : jean - Canada


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dernière mise à jour : 2009-08-04

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