Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.
Les ''Grands Blancs''

Contrairement aux idées reçues ou véhiculées par les militaires américains, les extraterrestres ''Grands Blancs'' sont une race profondément spirituelle et pacifique.

Alors qu'il occupait un poste d'observateur météo au Nevada sur la Base Nellis de l'US Air Force, entre 1965 et 1967, Charles James Hall eut des contacts avec un groupe d'êtres aliénigènes (non humains), des "Grands Blancs" (Tall Whites), qui y séjournaient et effectuaient des transferts de technologie avec des militaires américains. Son expérience a été consignée dans un gros ouvrage en trois volumes publié aux États-Unis en 2003 et intitulé "Millennial Hospitality".

Bouleversé - pour ne pas dire traumatisé - par cette expérience et craignant pour la sécurité de sa famille, Charles Hall a préféré attendre que ses enfants aient grandi et soient devenus indépendants, mais également d'avoir lui-même le recul nécessaire, avant de raconter l'expérience de ses contacts avec ces extraterrestres humanoïdes de grande taille, à la peau blanche et crayeuse et aux grands yeux bleus en amende, qui ne sont pas sans évoquer les mystérieux "Corteum" dont il a déjà été question sur notre site (Cf. Le mystère des WingMakers. C’est pourquoi il s'est livré à des confessions de façon très tardive.

Mais il s’est bien rattrapé depuis et n’en finit plus désormais de raconter son étrange histoire !

Suite à la parution de son livre en 2003, deux importantes interviews ont notamment été accordées, l’une au philosophe Michael Salla en 2004, l’autre au journaliste Karma One en 2005. Elles sont retranscrites ci-après.

Après avoir été bouleversé par le témoignage de Charles Hall, le Docteur Salla, auteur de la première interview (également publiée dans le N° 38 de la revue Nexus de mai 2005), n’était cependant pas au bout de ses surprises. Par l’intermédiaire de la télépathe Eve Marchal, il vient en effet d’entrer lui-même en contact avec un Grand Blanc du nom d’Eyden, et de découvrir cette race sous un jour tout à fait nouveau, très différent en tous cas de celui qu’il avait imaginé il y a quelques années.





Charles J. Hall (ci-dessus : à gauche en 1965 à l’époque des faits, et à droite en 2005) est titulaire d'une licence en phy¬sique (1972) et d'une maîtrise en physique appliquée (1973) de l'université d'État de San Diego (Californie), ainsi que d'une maîtrise de gestion de crise décisionnelle (1983) de la Nova University de Fort Lauderdale (Floride). Il a plus de 18 années d'expérience en con¬ception de logiciels, et plus de 9 années d'expérience en conception/création de sites Internet, incluant ceux destinés à usage militaire et gouvernemental. Il a aussi 18 années d'expérience en analyses scientifiques dans le domaine nucléaire. Il dispose d'une autorisation d'accès à un niveau secret du Département américain de la Défense.


I. Première interview de Charles J. Hall

Michael Salla : Pourquoi aviez-vous initialement qualifié votre livre de "fiction" ?

Charles Hall : Il fallait que je me protège, ainsi que ceux qui travaillaient avec moi. J’ai changé les noms pour protéger des innocents, d’anciens militaires et me protéger moi-même. Plusieurs noms ont été modifiés à la demande des intéressés eux-mêmes, car certains ont subi de graves pressions psychologiques et des traumatismes. Mais tout ce qui est relaté dans mon livre est authentique et aussi fidèle que possible à mon expérience des événements.

Michael Salla : Comment vous êtes-vous souvenu de toutes les conversations rapportées dans le livre ?

Charles Hall : Je ne tenais pas de journal mais consignais l'essentiel dans un registre. Pour écrire le livre, je me suis fié surtout à mes souvenirs ; j’ai revécu mes émotions et cela m’a aidé à restituer les événements et les conversations. Les épisodes clefs étaient gravés dans ma mémoire. Il m’a fallu résumer de nombreuses conversations et certaines ont dû être reconstituées. C'est le cas pour mes entretiens avec des membres des forces aériennes. Mes conversations avec les Grands Blancs [G.B.] sont presque transcrites mot à mot, pour la simple raison que ceux-ci parlaient très peu. Les individus masculins ne parlaient presque pas, alors que les femmes G.B. étaient plus bavardes. S'ils ne portaient pas leur équipement de transmission, les G.B. ne communiquaient pas du tout.

Michael Salla : Quand avez-vous commencé à écrire le livre ?

Charles Hall : Pendant la période de 1965 à 1968, j’ai d’abord raconté mes expériences à quelques proches. Lorsque j’ai disposé d'un traitement de texte en 1985, j’ai commencé à les taper puis à les enregistrer sur disquettes. Ce fut un processus lent, pour des raisons techniques autant qu'émotionnelles, parce que cela me faisait revivre ces expériences. En 1965, il m’avait fallu, six mois avant de maîtriser les peurs que j’éprouvais vis à vis des G.B.

Michael Salla : Quand le livre a-t-il été terminé ?

Charles Hall : Dans les années 1980, mais à l'époque je n'ai pas réussi à trouver un éditeur intéressé, et à cela se sont ajoutées mes responsabilités familiales. En 2002, me trouvant sans emploi, j’ai commencé à corriger, retravailler puis publier ce que j’avais déjà écrit. Mon éditeur, Firstbook, n'est pas entièrement satisfait de ce qu'il a publié jusqu'ici et voudrait remanier encore le premier volume. L’essentiel du livre a été en chantier de 1985 à 2002, et l'édition définitive réalisée entre fin 2002 et fin 2003.

Michael Salla : Avez-vous pris des photos ?

Charles Hall : Jamais. Lorsque j’étais sur le terrain, mon premier souci était de rester en vie, il n'était pas question de prendre des photos. Au début, je croyais rêver, (c'est pour cela que l'Aire 51 a été baptisée "pays du rêve"). Plus tard, lorsque j’ai réalisé que les G.B. étaient authentiques, j’ai tenté, à chaque retour à la base, de m'en laver la mémoire, ce qui excluait l'idée de prendre des photos. Craignant, en outre, d'importuner les G.B., j’ai toujours observé un comportement très réservé. Il eût été imprudent de les photographier, cela aurait pu les fâcher ; et de toute façon ils étaient capables de détruire ces preuves, car ils avaient accès à toutes mes affaires personnelles.

Michael Salla : Savez-vous si d'autres militaires ont pris des photos des G.B. ?

Charles Hall : Non, mais je me souviens avoir aperçu des photos de G.B. qui m’avaient semblé authentiques dans un livre de poche publié au début des années 1990 ; elles avaient été prises par une mère au foyer qui se rendait à Albuquerque au Nouveau Mexique ; tandis qu'elle attendait au bord d'une grand route, elle vit passer un véhicule de reconnaissance et prit six photos de G.B. qui mesuraient environ 2 mètres de haut.

Michael Salla : Avez-vous reçu des pressions ou des recommandations de ne pas divulguer les événements de Nellis ?

Charles Hall : Non. L'information météorologique n'a jamais fait partie des domaines classifiés. En tant qu’observateur météo, je n'ai jamais été obligé de prêter serment de silence. Les ordres que je recevais étaient classifiés, mais pas mes activités. Cette décision avait été prise par un comité qui incluait les G.B. et certaines personnes du Pentagone. J’étais théoriquement libre de communiquer avec les G.B. sans avoir à le rapporter systématiquement.

Les généraux américains étaient prêts à tout pour obtenir des transferts de technologie. Ils ont même autorisé les G.B. à tuer les militaires qui les insulteraient, les menaceraient ou leur feraient du tort. Les hauts responsables étaient prêts à sacrifier des subalternes à la vindicte des G.B. plutôt que de voir entravé l'échange de technologies.

Michael Salla : D'autres militaires ont-ils été mis à mort pour avoir agressé ou irrité des G.B. ?

Charles Hall : En septembre 1965, un incident s’est produit près de la montagne à Indian Springs où les G.B. avaient leur base principale. Les G.B. avaient été pris pour des moutons "bighorn" par deux chasseurs qui avaient loué des chevaux avec l'intention de ramener un trophée du désert. Ils s’étaient séparés et l'un d'eux a tiré sur l’un de leurs enfants. Les G.B. l’ont attrapé et remis aux gardes militaires humains. Ceux-ci l'ont exécuté et ont fait croire à un décès accidentel. Puis les gardes ont retrouvé le deuxième chasseur ; ils l’ont passé à tabac et mis au trou pendant environ six semaines.

Habituellement, si on ne blessait personne, qu'on n'était pas armé et qu'on se comportait en simple randonneur, les G.B. n'intervenaient pas. Ils ne tuaient que s'ils étaient mena¬cés ; leur doctrine semblait être : « Œil pour œil, dent pour dent ». Si on ne faisait rien pour les effrayer ou les agresser, au pire ils effarouchaient pacifiquement les intrus pour les éloigner.

Michael Salla : Qu'est-ce qui vous fait dire que les généraux étaient si avides de recevoir de la technologie des G.B. ?

Charles Hall : Ils auraient fait n'importe quoi pour entretenir de bonnes relations avec les G.B., afin d'obtenir leur technologie. Ceci fut corroboré par une conversation que le G.B. "instructeur" eut un jour avec moi. Les généraux américains ne s'opposaient jamais à ce que les G.B. tuent des militaires qui auraient causé du tort à l’un de leurs enfants. Les G.B. échangeaient des technologies telles que des systèmes radios et communications, mais rien de ce qui touchait aux vitesses supraluminiques. Ces échanges se limitaient à ce qui pouvait leur être utile, comme l'accès à nos systèmes de télécommunication. Ils aidaient au développement de véhicules à propulsion nucléaire, mais pas à celui de systèmes de propulsion pour le voyage spatial. Ils ne partageaient pas avec les généraux leurs technologies antigravité destinées à l'espace.





Les généraux américains les accompagnaient parfois dans leurs véhicules de patrouille dont la technologie était donc partagée, puisque ces véhicules étaient cons¬truits sur Terre avec nos matériaux et l'aide des militaires US. Les G.B. assistaient aussi à des réunions secrètes et participaient à des recherches communes de technologie.

Michael Salla : Dans le premier tome de votre ouvrage, vous racontez un incident au cours duquel vous avez reçu des images mentales émises par les G.B. concernant l'époque de la colonisation de l'Ouest. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Charles Hall : Alors que j’étais en train de lire un livre sur l'histoire de la colonisation de l'Ouest, dans la région de la Death Valley [Vallée de la Mort] et d’Indian Springs, j’ai reçu des images mentales de G.B. dépeignant ce qui s’était réellement passé à l'époque dans cette région.

Michael Salla : Estimez-vous que les images mentales que vous avez captées correspondent à des évènements passés réels, ou bien sont-elles des illusions ?

Charles Hall : J’ai senti que ces images mentales reflétaient des événements historiques réels. Et j’ai observé que lorsque les G.B. partaient, les visions cessaient. Cela laisse supposer qu’ils souhaitaient me transmettre une information historique.

Michael Salla : Dans votre livre, vous situez en 1954 les premiers rapports de la présence de G.B. dans la région de Nellis. Y a-t-il des indices qui, selon vous, révéleraient leur présence. à une date antérieure ?

Charles Hall : Les plus anciennes informations concernant la présence de G.B.sur la base de Nellis datent de l'année 1954, mais ils étaient sans doute déjà là quelques années auparavant.

Michael Salla : Pensez-vous que les G.B. soient présents dans la région d’Indian Springs depuis plus de 200 ans ?

Charles Hall : Oui. On m'a informé que Pamela (une femme G.B.) était née dans cette vallée à l'époque de James Madison, le quatrième président des USA (1809-1817). Ils semblent apprécier ce lieu principalement pour la chaleur de son climat ; c’est un élément d'importance pour eux.

Michael Salla : À votre avis, pour quels motifs les G.B. séjournent-ils sur la Terre ?

Charles Hall : Ils l'utilisent comme base pour leurs longs voyages spatiaux, exactement comme l'US Navy utilise certaines îles dans le Pacifique. Ils se servent de cette base pour réapprovisionner et réparer leurs vaisseaux. Ils parcourent de longues distances dans l'espace et ont besoin de bases telles que la Terre où ils trouvent tout ce dont ils ont besoin.

Étant donné que des vaisseaux arrivaient et repartaient avec régularité, j’en ai déduit qu'il s'agissait de transports commerciaux.

Michael Salla : Pensez-vous que les visiteurs n'aient d'autre objectif que d'utiliser la Terre comme base spatiale et qu'ils n'aient aucune intention de nous coloniser ni de con¬trôler nos gouvernements ?

Charles Hall : Oui, c'est ce que je crois. Les G.B, sont très satisfaits de ce qu'ils ont. Ils ont une longévité dix fois supérieure à la nôtre, mais ce lent vieillissement implique qu'ils mettent aussi dix fois plus de temps à guérir de leurs blessures ou maladies. Ils m’ont observé attentivement lorsque je me suis remis d'une légère lésion en une journée et ils ont été abasourdis de voir à quelle vitesse je pouvais guérir. Cependant ils préfèrent rester entre eux et ne cherchent pas du tout à coloniser la Terre ni à dominer nos gouvernements. Ils ne s'inquiètent que d'entretenir de bonnes relations avec le gouvernement des États-Unis afin de conserver leur base.

Michael Salla : Dans le troisième tome, vous décrivez un incident au cours duquel vous avez été brûlé par une arme à micro-ondes. Pouvez-vous en reparler ?

Charles Hall : Les G.B. possèdent une arme en forme de stylo qui peut provoquer une vive douleur, la mort ou simplement le sommeil. Un jour, un garde de la CIA, qui aidait une femme G.B. à monter les marches du bâtiment du Congrès, l’a heurtée par inadvertance et elle l’a menacé, à tel point qu'il a dû la convaincre de le laisser en vie. Cette "arme-stylo" peut être utilisée pour stimuler les fréquences des atomes de calcium présents dans notre organisme, ce qui provoque de vives sensations de brûlure, tout en ne brûlant pas vraiment. Lorsque cette arme est réglée pour agir sur l'iode, elle peut causer des hémorragies mortel¬les. C’est un peu comparable à ce que fut la grande peste noire, lorsque les gens saignaient à mort parce que leurs artères affaiblies devenaient poreuses.

Lorsque l’arme est réglée pour stimuler les fréquences des atomes de sodium, elle provoque des décharges nerveuses extrêmement douloureuses, et réglée à forte puissance, elle peut même entraîner la mort. La stimulation des atomes de calcium donne le résultat inverse : calme, relaxation, sommeil, etc. parce que cela détend les nerfs. Quant à l'action sur les atomes d'iode, cela provoque la mort par hémorragie interne à la suite d’une modification chimique qui rend poreuses les parois des artères ; le sang se répand dans les tissus environnants puis dans l'organisme ainsi que dans la glande thyroïde.

Les G.B. que j’ai rencontrés étaient tous d'humeur instable, passant sans transition de l'amitié à l'hostilité.

NOTA : Nous découvrirons, grâce au témoignage d’Eve, que cette soi-disant "instabilité" n’est en réalité qu’une forme de réactivité à notre propre manque de maîtrise de nos émotions. Étant capables de capter les pensées et les sentiments des humains, les Grands Blancs font ainsi obstacle à notre côté négatif, ce qui, pour un esprit insuffisamment préparé, peut facilement laisser supposer une attitude irascible, voire hostile à notre égard. Mais il n’en est rien. C’est nous-mêmes et nos propres peurs qui générons cette impression d’instabilité.

Suite à un malentendu que j’ai décrit dans mon livre, j’ai moi-même été atteint par l'arme-stylo réglée sur l'iode. J’ai immédiatement été victime d’une hémorragie interne. Je me souviens qu'une femme G.B. amicale s'est alors approchée de moi et elle s’est mise à exécuter une sorte de danse gracieuse autour de moi. Son âge correspondait à celui d’une jeune fille humaine de 19 ans. Elle mesurait environ 1m80. Elle avait un compagnon masculin qui, je pense, devait être son frère, car ils se comportaient comme des jumeaux. Entre elle et moi il n'y avait aucune crainte. Souvent, le soir, lorsque je préparais les ballons-sondes pour le lendemain, elle venait se placer près de moi, à côté ou légèrement en arrière. Elle s'approchait souvent à portée de mon bras sans montrer la moindre frayeur ; et cette confiance était réciproque. Par contre, son frère était visiblement craintif et gardait toujours ses distances (15 à 20 mètres). Manifestement je ne lui déplaisais pas, mais il restait méfiant. Par exemple, il ne me tournait jamais le dos lorsqu'il se trouvait à moins de 30 mètres.

Michael Salla : Si cet incident a pu se produire malgré le climat de confiance que vous aviez réussi à établir avec les G.B, cela n’implique-t-il pas que les autres membres de l'humanité soient encore plus menacés que vous ne l’avez été ?

Charles Hall : C'est un fait que, malgré les bonnes relations et les services rendus, les G.B. sont toujours susceptibles de diriger leurs armes contre nous. Ils ont des tempéraments et des personnalités très différentes des nôtres. Le capitaine G.B. que j’ai décrit dans mon livre était un type assez sympathique, mais il ne s'approchait des humains que lorsque c'était absolument nécessaire. Il ne s'intéressait à nous que dans la mesure où cela pouvait l'aider dans ses activités. Il y avait un écart culturel évident, comparable à celui qui existe entre la culture japo¬naise et la nôtre, ce qui n'empêche pas un américain de devenir l’ami d’un japonais. Il y avait en fait de très importantes différences de personnalité d'un G.B. à l’autre.

Michael Salla : Quand avez-vous communiqué directement avec les G.B. pour la dernière fois ?

Charles Hall : Après avoir été affecté au Vietnam en 1967, je n’ai plus eu aucun contact avec les G.B.

Je voudrais ajouter que tout n’a pas été raconté dans mon livre. Par exemple, en 1965, lorsque des généraux américains ont fait visiter aux G.B. les quartiers où je logeais. La première fois, j’ai vraiment cru rêver ! Je me souviens que les généraux proposaient aux G.B. de les faire accompagner par des officiers à bord de leurs vaisseaux de reconnaissance. Les généraux américains envisageaient que deux jeunes officiers accompagnent les G.B. dans leur véhicule spatial "long courrier" (un engin de couleur noire conçu pour rejoindre d’autres étoiles de notre galaxie). J'ai aussi vu de mes yeux des généraux américains embarquer et débarquer, avec leurs homologues G.B., de leurs véhicul¬es de patrouille qui étaient eux de couleur blanche.

À l’époque, j’ai estimé risqué d'inclure cela dans mon livre, car je soupçonnais qu'il s'agissait d'informations sensibles, probablement secrètes. Les G.B. observaient à la lettre les accords conclus. J’ai moi-même passé un accord avec eux. Il avait été convenu que jamais ils ne s’approcheraient de moi subrepticement, afin de ne pas m’effrayer, et je leur avais promis la réciproque. Cet accord fut strictement observé dans toutes les relations que j’ai eues avec les G.B. et cela m’a aidé à survivre. J’ai compris que, une fois un accord conclu, on pouvait fondamentalement leur taire confiance.


Charles Hall
Interviewé par Michael Salla le 2 décembre 2004

Annexe à la première interview : commentaire du Docteur Michael Salla.

« J’ai trouvé Charles Hall crédible et convaincant dans ses réponses à mes questions. Il a fait preuve d'intégrité et s’est montré sincère, se contentant de ne décrire que des éléments de sa propre expérience. Il a relaté son histoire de manière objective, sans en omettre la dimension émotionnelle vivace, permettant de prendre en compte son état d'esprit, ce qui incline à ne pas douter du sérieux de ses déclarations. Les émotions que Charles dépeint avec objectivité donnent la possibilité de mesurer à quel point ce qu'il a vécu a bouleversé sa vision du monde et celle de ceux qui l'entouraient. Ce qu'il rapporte des relations des généraux américains avec les G.B. illustre bien le strict respect de leurs accords mutuels.

Les G.B. sont très formalistes, une caractéristique qui semblait bien convenir aux militaires US. Ceci s’est vérifié lors des échanges de technologies dont Hall dit qu'ils étaient d'importance vitale pour les Américains. Les G.B. firent clairement entendre que seules certaines catégories de technologies seraient échangées et que celles qui concernaient les voyages dans l'espace en seraient exclues. Selon Charlie, ces échanges concernaient la construction des véhicules patrouilleurs utilisés par les G.B. Il est possible que le fait de livrer aux G.B. les matériaux nécessaires à cette construction ait offert aux scientifiques américains certai¬nes indications sur la conception de leurs vaisseaux spatiaux.

Une question subsiste aujourd’hui : Quels avantages les G.B. ont-ils reçus en échange de la permission accordée aux Américains d'assister à la construction de leurs grands vaisseaux spatiaux ? Si la technologie nécessaire à la construction de petits véhicules a été livrée, quelles ressources terrestres ont pu être proposées en échange ?
Nota : Eve répond partiellement à cette question dans la troisième partie de ce texte.

Charles Hall s'avère être un personnage intelligent et réfléchi. Il possède une licence en physique et une maîtrise en physique appliquée (nucléaire), et il pense avoir compris les principes fondamentaux du système de propulsion utilisé par les G.B. dans leurs vaisseaux spatiaux.

Il n'y a pas été par quatre chemins pour décrire le comportement intimidant des G.B. et leur promptitude à utiliser des moyens potentiellement mortels pour se protéger, et surtout pour protéger leurs enfants contre les éventuelles menaces, que celles-ci soient volontaires ou accidentelles. Ainsi qu'il le décrit dans ses livres, le simple fait de surprendre ou d'effrayer leurs enfants suffisait à ce qu'ils menacent les humains avec leurs armes perfectionnées.

Au cours de l'interview, il a simplement déclaré que les G.B. ne réagissaient que lorsque, pour l'une ou l'autre raison, ils se sentaient menacés. Il a précisé que le principe "œil pour œil, dent pour dent", qu'ils observaient est somme toute traditionnel dans la société humaine : c'est la fameuse loi du talion à laquelle se réfère la Bible.

NOTA : Michael Salla a découvert récemment (Cf. la troisème partie de cette page) qu’en réalité, les Grands Blancs ne pratiquent pas la loi du talion. Mais comme ils captent les pensées des humains, ils savent se prémunir instantanément contre leurs velléités agressives ou belliqueuses, même lorsqu’elles sont soigneusement dissimulées.

Charles s’est montré moins sévère à l'égard des G.B. au cours de son interview que dans ses livres. J'espère pouvoir éclaircir un jour cette contradiction, car elle devrait aider à en savoir plus sur les raisons de la présence des G.B. sur la Terre. Charles a soutenu qu'ils n'avaient pas d'intentions colonisatrices ni de volonté de contrôler les gouvernements terrestres. Il a fait la comparaison entre cette base G.B. et les bases militaires américaines dans le Pacifique ou en Italie, où le principe consiste à faciliter les opérations, tout en respectant les souverainetés et les mœurs locales. De même que le gouvernement et les militaires US sont sensés ne pas avoir l'intention d'exercer un contrôle sur l'Italie, les G.B. n'auraient pas l'intention de contrôler la Terre.

Cependant, si les G. B. ont besoin de la Terre en tant que base pour leurs activités commerciales trans-espace, il serait sans doute naïf de croire qu'ils n'ont pas la moindre intention de se mêler des affaires humaines et d'influencer les institutions politiques. L’histoire humaine à montré que, lorsqu'une puissance installe une base sur un territoire étranger, il est ensuite plus difficile de l'en faire partir et de l'em¬pêcher d'intervenir dans les affaires politiques locales. Cette étape est peut-être déjà franchie, suite à des ac¬cords passés entre les G.B et des comités humains secrets chargés des affaires extraterrestres.

NOTA : Là encore, il est probable que le Docteur Salla ait désormais changé de point de vue et ne croit plus du tout aujourd’hui aux éventuelles velléités des G.B.de contrôler nos gouvernements.

En se basant sur certains échanges et sur les visions historiques reçues, Charles pense que les G.B. sont chez nous au moins depuis le début des années 1950, voire depuis deux siècles ou davantage. C'est une question cruciale qu'il faudra approfondir, car il est évident que la connaissance de l'époque de la première présence des G.B. sur Terre influencera notre évaluation de leurs ul¬times motivations…

En résumé, j'estime que le témoignage de Charles Hall est d'importance primordiale et susceptible d'éveiller l'attention d'un large public. Certains médias commencent déjà à aborder son histoire comme une révélation majeure et son auteur force l'adhésion à ses thèses grâce à son évidente intégrité, sa clarté et sa cohérence. La révélation des expériences de Hall à la base aérienne de Nellis à Indian Springs de 1957 à 1967 sera sans doute déterminante dans la prise de conscience de l'opinion publique de la réalité de la vie extraterrestre et des implications de sa présence pour notre planète. »


Michael Salla




NOTA : Le Dr. Michael Salla (ci-contre) est titulaire d'un doctorat en philosophie de gouvernement de l'université de Queensland et d'une maîtrise en philosophie de l'université de Melbourne, Australie. Il a occupé des postes académiques à la School of International Service, American University, Washington DC (1996-2001), et au Department of Political Science, Australian National University, Canberra, Australie (1994-96). Il a enseigné en tant que membre de faculté adjoint à l'université George Washington, à Washington DC, en 2002.




II. Seconde interview de Charles J. Hall (extraits)

Karma One : Avez-vous eu connaissance de cas d’enlèvements d’êtres humains par des G.B. ?

Charles Hall : Non, je n'ai jamais vu de G.B. enlever des gens d'une manière malveillante comme le décrivent les cas typiques d'abductions. Au contraire, comme je l’ai raconté dans mes livres, alors que j'étais sur le terrain, dans leur domaine, quand les G.B. estimaient qu'un être humain était en danger ou avait besoin d'aide, il leur arrivait de s'en approcher pour le secourir s'ils le pouvaient. L'homme, terrifié et confus pouvait aisément confondre ce comportement avec une tentative d'enlèvement. Certaines activités peuvent parfois apparaître aux yeux des humains comme étant des enlèvements alors qu'elles n'en sont pas en réalité.

Karma One : Considérez-vous les G.B. comme des êtres surnaturels ?

Charles Hall : Mes observations personnelles à ce sujet sont les suivantes :

- Je n'ai jamais vu quoi que ce soit qui pourrait m'amener à croire que les G.B. soient des êtres surnaturels, qu'ils seraient là pour ensemencer notre planète, créer des hybrides ou qu'ils utilisent des portes interdimensionnelles ou intertemporelles, que ce soit vers le passé ou vers l'avenir.

- J'ai pu observer régulièrement des vaisseaux G. B. qui voyageaient de façon routinière plus vite que la vitesse de la lumière.

Karma One : Dans certaines histoires à propos des races extraterrestres, on peut trouver des descriptions de certains “grands blonds nordiques” aux yeux bleus. Pensez-vous que l'on puisse établir un lien entre le phénomène des G.B. et cette typologie d'extraterrestres ?

Charles Hall : Je n'en ai aucune idée. Je ne peux que parler de mon expérience personnelle. Il n'y a aucune corrélation que je puisse voir entre les G.B. et les présumés extraterrestres de type nordique.
Karma One : Avez-vous des informations à propos de la première interaction entre l'US Air Force et les G.B. lorsque l'armée est arrivée dans le Nevada pour construire la base de Nellis ? Vous semblez dire que les G.B. n'étaient pas exactement des nouveaux venus mais qu'en réalité ils étaient installés à cet endroit bien longtemps avant l'armée US ?

Charles Hall : Je ne dispose pas d'informations personnelles concernant les premières interactions entre le gouvernement US et les extraterrestres G.B. Cependant la G.B. que j’ai rencontrée et qui se faisait appeler “l'enseignante” affirmait que Pamela (l’une des leurs) était née dans la vallée d'Indian Springs à l'époque où James Madison était le Président des États-Unis. Cela remonte aux environs de l'année 1812.

Nota : Indian Springs est une région située en plein cœur de la base de Nellis au sud de l'Aire 51 et “appartenant” aux G.B.

J’ai vérifié que les légendes des anciens Grecs qui remontent à 972 avant J.C. se réfèrent à un groupe de “dieux” G.B. que l'on disait provenir d'un ensemble d'étoiles appartenant à la constellation du Bouvier. Ils désignaient “Acturus” (Alpha de cette constellation) sous l'appellation du “Veilleur”.

Karma One : Dans l'imaginaire public, la base de Nellis de l'US Air Force est généralement associée à l'Aire 51. Ce lieu est supposé être une base pour les extraterrestres que l’on désigne communément sous le nom de "Petits Gris". On dit que ces entités extraterrestres vivraient dans des bases souterraines profondes et entretiendraient des relations agitées avec l'US Air Force. Avez-vous entendu parler de l'existence d'autres races extraterrestres à Nellis ? Si oui, quelles étaient les relations entre les G.B. et les Petits Gris ? Les G.B. vous ont-il parlé d'autres races extraterrestres ? Comment les considèrent-ils ? Est-ce qu'ils nous ont mis en garde contre le danger constitué par d'autres races extraterrestres ?

Charles Hall : Selon ma compréhension du phénomène, les seuls extraterrestres présents sur les terres de Nellis sont les G.B. J’ai de bonnes raisons de croire que les G.B. et les Petits Gris se détestent mutuellement. Je suis à peu près certain que les G.B. n'auraient jamais permis aux Petits Gris de venir dans une zone voisine de leur propre base et de leurs propres habitations ou dans quelque endroit où leurs enfants pourraient se trouver. Pour cette raison, je ne crois pas qu'il y ait des Petits Gris sur l'Aire 51, sur l'Aire 52 ni dans les autres zones de Nellis.




Les environs de la base de Nellis : une région en apparence aride et désolée, mais pourtant hautement stratégique du point de vue des G.B.

En ce qui concerne votre question relative aux autres races extraterrestres, je vous citerai un extrait de mon livre : j’avais demandé à "l’enseignante" s’il existait d’autres planètes comparables à la Terre dans l'espace. “Oui,” m’a-t-elle répondu, “il y en a un certain nombre. Cependant, parmi les êtres que nous avons observés, les humains sont les seuls êtres "évolués" qui continuent à vivre proches de leurs animaux... De même, les humains mangent à peu près n'importe quoi. Sur tous les autres mondes, les êtres intelligents ne mangent que des plantes. Nous, par exemple, sommes strictement végétaliens”.

Karma One : En supposant que les G.B. soient les seules créatures extraterrestres vivant à Nellis et dans l'Aire 51 sur Papoose Dry Lake, pensez-vous que les histoires à propos de Petits Gris vivant là seraient de la désinformation, un écran de fumée ?

Charles Hall : Les G.B. ne vivent pas sur l'Aire 51 (Groom Lake) ni sur l'Aire 52 (Papoose Lake). Ils vivent dans des souterrains de l'Aire 53. Leur base principale est dans une montagne à l'est de l'Aire 53, qui se trouve être l'Aire 54. Les Aires 53 et 54 et les parties occidentales des « territoires de jeux du désert du Sud Ouest » (Desert Southwest Game Range) sont connues sous le nom de Dreamland. C'est une région qui est si contrôlée, surveillée et interdite que j'avais par exemple une carte officielle de l'US Geographical Survey (l'autorité gouvernementale qui publie les cartes les plus complètes) qui ne montre et ne détaille aucune des montagnes et des vallées de cette région. Cette carte ne figure qu'une grande zone blanche baptisée “territoires inexplorés”. Les G.B. sont les seules créatures que j'ai personnellement vues dans les déserts, les vallées et les montagnes au nord d'Indian Springs, dans le Nevada. Cependant, je suis certain que les “Petits Gris” sont réels et sont ici sur Terre.

Je suis certain que la Terre est régulièrement visitée par différentes races extraterrestres. Cependant, je suis également convaincu que le gouvernement US diffuse périodiquement de la désinformation et de fausses informations qui font partie d'une campagne visant à générer un “écran de fumée”, comme vous dites. Je crois qu'une partie substantielle de l'information relative à l'Aire 51 est effectivement de la désinformation et un leurre…

Karma One : Les G.B. semblent très ambigus sur le plan émotionnel. Vous les décrivez dans votre livre comme arrogants et capables de tuer quelqu'un en un clin d'œil, et d'un autre côté, vous affirmez qu’ils peuvent montrer de l'amour et de la compassion comme ils le font par exemple avec leurs enfants. Comment avez-vous perçu leur comportement émotionnel ? S'agit-il là d'une absence d'émotions ou d'une manière différente de les exprimer ?




Portrait-robot de Grand Blanc dessiné par Lynette Ruiz, artiste-peintre travaillant pour le compte du Département de Police d’Anaheim. (On notera que pour éviter le casse-tête de la représentation des cheveux, la chevelure a cette fois tout simplement été éliminée !)

Charles Hall : Les G.B. que j’ai rencontrés étaient très différents les uns des autres, comme le sont les humains. Les réactions émotionnelles des uns étaient éloignées de celles des autres. Pour qu'un humain puisse survivre à leur contact, il lui était nécessaire de reconnaître et de comprendre à quel point chacun d'entre eux était différent et représentait une individualité.

Karma One: Lorsqu'on lit vos récits, vous semblez faire preuve d'un profond sentiment de désarroi et de crainte à l'égard des G.B. Vous dites qu’ils ont l'air humain mais qu’en même temps, ils ne nous ressemblent absolument pas. Pouvez-vous nous décrire vos premières émotions lorsque vous les avez vus pour la première fois. Votre inquiétude provenait-elle de leur taille, du fait qu'une vive lumière émanait d'eux ?

Charles Hall : Je voudrais d’abord préciser que je n'avais aucun point de référence dans l'expérience de la rencontre avec des créatures qui ne proviennent pas de notre planète. Je n'avais reçu aucun briefing de mes supérieurs. Il faisait nuit noire comme dans un four. J'avais mon abri dans les grands baraquements vides de la base d'Indian Springs. J'étais complètement seul dans ces baraques. La réalité est très différente de ce que l'on peut supposer. L'expérience que j'ai vécue avec eux pendant deux ans et même vers la fin de cette période, n'a jamais été sereine…

Karma One : Avez-vous fait l'objet de menaces, de pressions ou de manipulations de la part de l'US Air Force (vos ex-employeurs) ou du gouvernement US en général ?

Charles Hall : Non ! La décision de m'envoyer, moi et pas un autre, dans ces territoires a été prise par un comité d'individus qui incluaient des G.B. et des généraux de haut rang de l'US Air Force ainsi que de hauts responsables du gouvernement des États-Unis. Les G.B. veillent méticuleusement à ce que les accords soient respectés et attendent du gouvernement américain qu’il soit tout aussi méticuleux qu'ils le sont eux-mêmes…

Souvenez-vous aussi que je n'étais qu’un simple observateur météo. J'étais un conscrit. On ne m'a jamais montré de documents “classifiés”. On ne m'a jamais convié à des briefings secrets. Je n'ai jamais fait partie d'un quelconque programme classifié comme la construction d'un avion secret. Je n'ai jamais pris de photographies. Je n'ai jamais dérobé du matériel appartenant au gouvernement, ni aucun agenda ni livre de bord lorsque j'ai quitté les terres de Nellis. Je ne suis sorti de Nellis qu'avec mes souvenirs.

Karma One : Quelles furent les réactions de vos amis, proches et collègues lorsque vous avez révélé votre histoire ? Et quelles furent aussi les réactions des ufologues ? Avez vous été surpris par ces réactions ?

Charles Hall : J'ai parlé des extraterrestres à mon épouse au début des années 70 alors que nous n'étions mariés que depuis 3 mois. Elle n'était pas très intéressée par le fait de savoir si les extraterrestres existaient ou non. Elle a simplement dit : “ Tout ce que je sais, c'est que si j'en rencontre un, j'espère me comporter d'une manière digne qui apporterait du crédit aux humains ”.

Au cours des années, j'ai raconté mon histoire à des amis, à mes enfants et à des collègues. Il est difficile de décrire leurs réactions puisque les gens n'expriment pas souvent leurs vrais sentiments afin de ne pas vous froisser et aussi pour préserver la relation que vous entretenez avec eux. Depuis que j'ai publié les livres, je dirais que les réactions des ufologues ont généralement été de nature cordiale…

Karma One : Avez-vous été capable de corroborer votre histoire avec les témoignages d'autres personnes qui ont également travaillé à Nellis, dans la région et dans d'autres régions du monde où les G.B. se seraient installés ?

Charles Hall : Parmi les personnes qui ont travaillé pour l'US Air Force et qui ont servi avec moi à Indian Springs, nombreuses sont celles qui ont vu des G.B. dans le désert. Et au cours des années qui ont passé depuis cette histoire, j'ai moi-même personnellement rencontré plusieurs personnes qui ont vu les G.B.

Karma One: Les vaisseaux que vous décrivez ne correspondent pas aux descriptions classiques des soucoupes volantes ou des appareils de type “Triangle noir volant”. Avez-vous aussi vu ce genre d'appareils ? Savez-vous si les appareils de type disque ou triangle volants sont des vaisseaux que l'on peut aussi trouver dans l'arsenal des G.B. ?

Charles Hall : J'ai personnellement assisté à des vols de vaisseaux noirs triangulaires. Ils font typiquement beaucoup de bruit. Je crois pouvoir affirmer que tout vaisseau qui fait beaucoup de bruit lorsqu'il vole a été construit par l'US Air Force. Le vaisseau G.B. utilise un système de propulsion à antigravité. C'est parfaitement silencieux. Cela ne laisse aucune trace, pas même un son. Je note que le vaisseau qui s'est écrasé à Roswell en 1947 avait la forme d'un disque et pouvait également se déplacer dans un silence parfait…

Karma One : Pour ce que vous en savez, l'organisation de leur société pourrait être comparée à quel genre de structure ? Une société militarisée et centralisée ? Une forme de démocratie ou une société orientée sur les sciences et le commerce ?

Charles Hall : J'ai personnellement observé que leur société est dotée d'une organisation comparable à la nôtre, assez proche du système américain ou européen.
Karma One: Les G.B. ont-ils une sorte de religion, une conception métaphysique de l'univers ?

Charles Hall : Je n'en ai aucune idée. Ils n'ont jamais discuté religion ou philosophie avec moi. Cependant, lorsque "l'enseignante" était en train de parler avec d'autres extraterrestres G.B., elle leur a dit que je croyais en Dieu et ils ont tous compris ce qu'elle voulait dire. Un nombre significatif d'événements de ce genre m'ont convaincu qu'ils ont également une religion et sont naturellement religieux.

Karma One: Vous affirmez que les G.B. craignent nos “capacités intuitives et nos perceptions extrasensorielles”. Pourriez-vous nous expliquer ce point ? Sommes-nous si intuitifs à leur égard et en comparaison d'eux ?

Charles Hall : Il m’a semblé que les G.B. envient notre capacité mentale "multi-tâches", multifonctions. Ils ne semblent être capables de se concentrer que sur une seule chose à la fois. Les G.B. sont physiquement plus fragiles que nous ne le sommes et par conséquent, ils nous craignent un peu comme nous, humains, craignons naturellement les gorilles dans la jungle. Cette peur n'a aucun rapport avec nos capacités intuitives et nos perceptions extrasensorielles.

Ils ont également peur parce que nous sommes entièrement chez nous, sur la planète Terre. Nous, en tant qu'êtres humains, sommes naturellement conçus pour survivre ici sur Terre. Nous comprenons les animaux et sommes à l'aise en leur compagnie. Nous nous disputons les uns avec les autres, nous nous battons, nous rions de la situation puis nous redevenons amis. Nos corps peuvent supporter d'énormes dégâts physiques et guérir rapidement. Nous supportons les piqûres d'abeilles, les morsures de chiens, les ruades d'ânes, les pertes de connaissance, etc. Nous aimons regarder des sports de contact ou y participer.

Eux seraient incapables de pratiquer ou d’endurer ce genre de choses. Ils considèrent la Terre comme une “étendue sauvage, froide et désolée”. Le fait qu’il y a des guerres sur notre planète et que nous n’hésitons pas à nous entretuer les amène à percevoir les humains comme des créatures rudes, primitives et désordonnées qui ont découvert un peu par hasard comment fabriquer des armes nucléaires. Ils craignent naturellement ce côté primitif.

Karma One : Les G.B. semblent avoir des capacités télépathiques et utiliser le "mind control", le contrôle du comportement. Peuvent-ils lire les pensées et à quelle distance ? Est-ce un pouvoir naturel, ou bien ont-ils besoin de recourir à un dispositif technologique ?

Charles Hall : Les G.B. ne peuvent lire les pensées humaines que s'ils emploient leur technologie. En particulier, ils doivent porter un dispositif de communication électronique. J'ai pu constater que la plus longue distance sur laquelle ces appareils fonctionnaient était de 500 mètres. Il arrivait fréquemment, particulièrement le jour, qu’un groupe de G.B. viennent à l'endroit où je me trouvais sans qu’ils ne portent leur dispositif électronique. À ces occasions, si aucun d'eux n'avait appris à parler l'anglais; la seule manière de communiquer avec eux était gestuelle.

S'ils choisissaient d'hypnotiser électroniquement un être humain, ils devaient utiliser l'un de leurs appareils à micro-ondes. Dans ce cas, l'être humain pouvait être contrôlé, exactement de la même manière que s'il avait été hypnotisé par un magicien au cours d'un spectacle.

Je note que les G.B. ont une capacité d'audition au moins aussi bonne que celle d'un chien. Comme les chiens ou les rhinocéros, il semble qu'ils soient capables d'entendre des sons dont la fréquence est bien trop élevée pour une oreille humaine. Je crois d’ailleurs que, comme les rhinocéros, leurs cordes vocales peuvent aussi produire des sons bien trop élevés pour être entendus par un humain. Lorsque certains d'entre eux venaient à proximité de l'endroit où je me trouvais, ils pouvaient parler entre eux en employant des sons que je n'entendais pas. À ces occasions, on aurait pu croire qu'ils communiquaient télépathiquement entre eux.

NOTA : Les facultés télépathiques des G.B. ont depuis été confirmées.

Karma One : Connaissez-vous le genre de technologies que les G.B. auraient pu échanger avec l'US Air Force: des ovnis, des armes, de la technologie relative au contrôle mental ?

Charles Hall : Les G.B. étaient uniquement disposés à échanger de la technologie avec les militaires américains s'ils y voyaient un avantage. Je suis certain que la technologie relative à la construction de meilleurs dispositifs de radiocommunication et d'électronique en général a été un secteur sur lequel les G.B. et les militaires US ont pratiqué un échange technologique. La création de meilleures constructions et matériaux de constructions qui peuvent être employés pour réparer leurs "vaisseaux d'exploration de l'espace profond" (Deep Space Craft) a été un autre secteur.

Les G.B. étaient d'accord pour échanger de l'information relative à la médecine, à la nourriture, aux vêtements, à l'électronique, à des réacteurs nucléaires ainsi que des détails scientifiques concernant notre système solaire et les systèmes solaires voisins tout comme la création de meilleurs métaux, de céramiques et de matières plastiques. Cependant, ils ont toujours refusé d’échanger des secrets technologiques relatifs à la propulsion, à l'antigravité, aux voyages dépassant la vitesse de la lumière et aux formes variées d'armements avancés. Ils préfèrent de loin constituer des équipes mixtes avec les militaires US, au sein desquelles ils fournissent et pilotent eux-mêmes les vaisseaux.

Karma One : Le gouvernement américain et la CIA sont-ils au courant de l'existence des G.B. et d'un accord avec l'US Air Force, ou bien cet accord est-il d'ordre privé, une sorte d'opération occulte ne regardant que l'US Air Force et les G.B.?

Charles Hall : Je suis à peu près certain que les G.B. ont passé plusieurs accords avec les plus hauts niveaux du gouvernement américain, ce qui inclut le président des États-Unis, le Congrès, l'US Air Force, les militaires en général et la CIA. Je suis également à peu près certain que les chefs G.B. ont rencontré les plus hauts responsables du gouvernement, ce qui inclut le président, plusieurs sénateurs de haut rang, les généraux les plus hauts gradés de l'US Air Force, ainsi que les plus hauts responsables de la CIA. Il est plus que vraisemblable que certains leaders politiques actuels soient tout à fait au courant qu'il y ait eu des rencontres avec les G.B.

Karma One: Avez-vous des regrets d'avoir vécu cette expérience ?

Charles Hall : Non, je n'ai jamais regretté d'avoir vécu ces événements. Si l'on m'avait donné le choix, je les aurais revécus sans l'ombre d'une hésitation, aussi pénibles qu’ils aient été. J'ai toujours été très fier du service que j'ai rendu à mon pays. Si le choix m'était donné, je recommencerais volontiers, même si cela impliquait que je doive revivre les mêmes épreuves.

J'ai apprécié l'opportunité de répondre à vos questions ; merci.


Charles Hall
Interviewé par Karma One le 15 avril 2005




Les ''Grands Blancs'' (Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.)    -    Auteur : jean - Canada


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dernière mise à jour : 2009-07-22

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