Après son extraordinaire rencontre avec Orthon et le survol éthérique de plusieurs planètes de notre système solaire, George Adamski commença à donner des conférences et à rendre visite à de hautes personnalités dans le monde entier pour leur transmettre le message de paix des Frères et Sœurs de l’espace. Parmi ces personnalités ont figuré le pape Jean XXIII, la reine Juliana des Pays-Bas et surtout le président américain John F. Kennedy.
Beaucoup de personnes se sont étonnées qu’à sa mort en 1965, George Adamski ait été enterré à Arlington, cimetière théoriquement réservé aux héros américains, et qui plus est non loin de la tombe de John F. Kennedy, assassiné trois années auparavant. L’une des dernières révélations de l’agent de renseignements Milton W. Cooper, peu de temps avant sa propre élimination en 2001 (Cf. notre page : Les révélations de Milton W. Cooper), est qu’Adamski partageait avec le président Kennedy un extraordinaire secret. Ils étaient, selon lui, tous deux très préoccupés par les activités secrètes des ET Gris aux États-Unis et sur notre planète (Cf. notre page : La mission d’Ashtar). Kennedy vouait secrètement un véritable culte à George Adamski ; il le considérait comme un héros national et c’est lui qui avait demandé qu’à sa mort, sa dépouille figure parmi celles des plus grandes figures de l’histoire américaine, dans la glorieuse nécropole d’Arlington. Milton Cooper a d’ailleurs également rapporté que lorsque Kennedy révéla à certains membres de son gouvernement qu'il était au courant des activités préjudiciables de certains extraterrestres « non-humains » sur le sol américain, qu’il estimait de son devoir d’en parler au Congrès et à la nation et qu’il allait le faire au cours d’un grand message télévisé, on l'en empêcha en l'assassinant à Dallas (Cf. La mission d’Ashtar).
Mais revenons à George Adamski et à sa rencontre avec Orthon : emmené par ce dernier à plusieurs reprises à bord d’un vaisseau de l’espace construit sur Mars et dirigé par des Maîtres vénusiens, il eut un jour avec lui une bouleversante conversation à propos de l’avènement de l’Âge d’Or de notre humanité et en révéla le contenu à son amie Charlotte Blodget. Voici un extrait de cette extraordinaire et ô combien prémonitoire conversation à bord du vaisseau vénusien :
Dialogue avec Othon
Orthon : « Il pourrait vous intéresser d’apprendre qu’un basculement de votre Terre sur son axe se prépare actuellement (Cf. notre page : Le débalancement des pôles). S’il était total, afin de compléter le cycle, une grande partie des terres qui à présent sont submergées émergeraient. Durant une longue période, l’eau saturant le sol s’évaporerait et provoquerait une formation constante de nuages autour de votre Terre. En cas de basculement complet, les conditions seraient à nouveau réunies pour un allongement de la durée de votre espérance de vie; si les habitants de votre planète apprenaient à vivre en accord avec les Lois du Créateur, vous pourriez facilement vivre plus de 1000 ans dans le même corps.
Ce basculement de l’axe de votre Terre est l’une des raisons pour laquelle nous la surveillons, car sa relation avec les autres planètes de la galaxie est très étroite. Son renversement complet affecterait toutes les autres planètes et altèrerait les voies par lesquelles nous voyageons dans l’espace.
- George Adamski : « Un renversement brutal n’entraînerait-il pas une catastrophe planétaire ? »
- Orthon : « C’est probablement ce qui arriverait, bien que vous n’ayez pas encore compris les lois qui gouvernent les rapports de votre humanité avec cette planète que vous habitez. Je veux dire que les voies erratiques que les humains ont choisi de suivre sont la véritable raison de leur ignorance de l’instabilité de leur planète. À travers les âges, il y a eu bien des signes et des présages dont vous avez refusé de tenir compte. La plupart ont été signalés dans vos Écritures saintes sous forme de prophéties. Mais vos peuples n’y ont pas prêté attention. Bien que quelques unes aient déjà été accomplies, la leçon n’a pas été profitable. Il n’est pas sage de vouloir devenir indépendant du Créateur de l’Univers. L’humanité aurait dû comprendre qu’elle avait tout à gagner en se laissant guider par la main de Celui qui lui a donné la Vie.
Si l’homme veut vivre sans catastrophe, il doit considérer son prochain comme lui-même, l’un étant le reflet de l’autre. Le désir du Créateur n’est pas de voir l’humanité se détruire elle-même. »
- George Adamski : « Je crois savoir que nous sommes sur le point d’entrer dans un nouveau cycle. Certains de mes frères terriens l’appellent « Âge d’Or », d’autres « Verseau ». Pouvez-vous m’éclairer à ce sujet ? »
- Orthon : « Sur notre planète, nous n’appelons pas les changements de cette façon, car nous ne connaissons que le progrès. Mais pour répondre à votre question, pour votre compréhension, nous dirons que vous approchez de l’Âge Cosmique, pour peu que vous puissiez comprendre cela. Vous êtes déjà dans votre « âge d’or », puisque la plupart d’entre vous adorent l’or plus que Dieu. Et vous êtes déjà dans votre « âge du verseau » (Verseur d’Eau), puisque la Terre a déjà commencé à vous affliger par excès ou par manque d’eau. L’appellation de vos périodes de changements contribue en elle-même à bloquer votre compréhension. Les Terriens doivent apprendre à vivre et à progresser au rythme de ces changements naturels au lieu de se préoccuper des noms qu’il convient de leur donner. »
- George Adamski : « Comment définiriez-vous l’Âge Cosmique ? »
- Orthon : « En fait, nous le considérons comme un âge de « compréhension cosmique ». C’est la première fois que vous êtes, dans le sens large du mot, devenus conscients de la probabilité de mondes habités autres que le vôtre. En apparaissant dans nos vaisseaux de l’espace, comme nous l’avons fait à maintes reprises, nous avons obtenu que, même ceux qui ne voulaient pas croire à notre existence, n’ont à présent plus guère le choix. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il y a une évidence écrasante que la vie n’est pas née par accident sur votre planète, comme quelques-uns de vos plus grands astronomes l’ont affirmé. L’humanité se manifeste dans votre monde parce que cette planète n’est qu’un petit élément d’une vaste et infinie Création ordonnée par l’Unique et que la Terre est assujettie, comme toutes les autres planètes, aux Lois Divines.
Nos vaisseaux se livrent dans vos cieux à des performances qu’aucun avion terrestre ne pourrait accomplir. Partout dans le monde, les pilotes de vos avions nous ont vus et se sont émerveillés. Des milliers de personnes nous ont contemplés et ont été étonnées. Des milliers d’autres observent les cieux en espérant nous apercevoir.
Tout cela a été prédit par des hommes autrefois. Ils ont écrit dans les prophéties que le monde entier serait troublé et que les signes seraient que les Fils de Dieu viendraient du Ciel sur la Terre pour délivrer les peuples. Les conditions de votre monde aujourd’hui vous ont placés, comme ce fut votre volonté, sous l’ombre de la mort. Votre monde est troublé. Et puisque le mot que vous utilisez pour désigner l’espace est « ciel », et puisque nous aussi sommes Fils et Filles de Dieu, ne se pourrait-il pas que ce soit maintenant, précisément, que l’ancien oracle s’accomplisse ?
Il a aussi été prédit que lorsque le temps viendrait, les races noires se lèveraient et demanderaient le droit au respect et le statut d’hommes libres si longtemps refusé par vous, les hommes à la peau claire. Cette prophétie n’est-elle pas en train de s’accomplir aujourd’hui sur la Terre ?
Vous voyez, nous connaissons bien l’histoire de votre monde. L’idée selon laquelle nous sommes vos Frères et les Gardiens de votre planète est juste. C’est en remplissant ce rôle que nous venons vers vous et vous disons : laissez le Créateur de l’Univers être Celui qui guidera votre monde, afin que vos troubles s’évanouissent comme les ténèbres devant la Lumière.
Que serait l’homme sans le souffle de la Vie ? Et Qui le donne ? Ne se trouve-t-il pas partout pour le bénéfice de tous ? Alors… que le Terrien apprenne que son Dieu n’est pas en quelque lieu éloigné, mais toujours près, dans toutes Ses manifestations et dans l’homme lui-même. »
Orthon cessa de parler et, pendant un moment, George Adamski demeura assis, la tête baissée, imprégné de l’énergie de ses paroles. Peu à peu, il prit conscience d’une chaleur qui semblait pénétrer dans son esprit. Levant les yeux, il vit, en regardant les visages de ceux qui l’entouraient, que cette chaleur qu’il ressentait était une bénédiction qui coulait à travers eux.
Alors le Maître vénusien qui se trouvait à bord du vaisseau et qui avait assisté à cet échange entre Orthon et George, se leva et s’approcha de ce dernier, plongeant son regard profondément dans ses yeux. Et il lui parla ainsi :
« Mon enfant, ce que notre Frère vient de vous dire semble en contradiction avec ce que votre peuple a appris à considérer comme la vérité. Cela, en soi, n’a que peu d’importance, puisque tout ce que l’on nous enseigne au fil des jours ne sert en définitive que de tremplin vers de plus grandes vérités auxquelles on n’accède que plus tard. C’est la loi du progrès. Une fois dans le droit chemin, il ne peut en être autrement. Il est essentiel que les hommes travaillent et luttent ensemble avec l’esprit ouvert, sachant bien que tout n’est jamais connu.
Il existe un guide infaillible pour déterminer si le chemin est droit ou non. C’est très simple. Si les résultats de vos pensées et de vos actions sont mauvais, alors le sentier que vous suivez vous éloigne de la Lumière. Si de bonnes choses marquent le chemin que vous prenez, alors votre vie, la vie de vos enfants et de leurs enfants seront joyeuses. Des bénédictions que ne rompront ni la maladie ni la discorde seront votre héritage éternel. »
Le Maître toucha la main de George en signe d’adieu et quitta la pièce dans un silence vibrant des paroles qu’il venait de prononcer.
George regarda alors longuement les visages de ses amis afin de les imprimer dans sa mémoire. Il n’y eut aucune parole d’adieu, mais chacun leva la main et il leva la sienne. Puis il laissa Orthon le conduire à travers le vaisseau jusqu’à la petite navette qui devait le ramener sur la Terre.
Rédigé en 1955 par C. Blodget d’après les propos de George Adamski
réunis ensuite dans le livre « Inside the Space Ships »
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