ATTENTION !
Aliment irradié
Nous avons vérifié les données scientifiques de ces documents, en consultant [le site http://www.citizen.org/ cmep] où travaille également Ralph NADER. Ce site états-unien est merveilleux et dénonce les abus, mensonges, mauvaises actions et combines, des grandes organisations internationales qui ont ’pignon sur rue’ comme l’AIEA, l’OMS, et des organisations mondiales d’élevages et de transports d’animaux.. Je souhaite vraiment aux personnes honnêtes d’avoir la joie de visiter ce bon site.
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TEXTES d’ANTIPAS - TAHAT KÔL NEWS Neuvième année. Numéro du 07 février 2004
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Modifications génétiques et irradiation des aliments :
Un duo d’enfer qui menace la sécurité alimentaire ! Ni nutritifs ni sûrs. Il est prouvé que les aliments génétiquement modifiés et les aliments irradiés sont nutritionnellement moins bons comparés aux aliments non altérés. Les aliments modifiés génétiquement ont des gènes d’autres espèces ajoutés à leurs propres génomes qui peuvent influer négativement sur les nutriments présents. Par exemple, les modifications de structure génétique du soja peuvent changer la manière dont les cellules produisent les proteïnes.
La recherche indique que les aliments irradiés ont une valeur nutritionnelle plus basse que leurs homologues naturels. Par exemple, l’irradiation détruit 80% de la vitamine A des oufs et 48% du béta-carotène du jus d’orange[i]. L’irradiation induit la production de composés chimiques qui continuent de détruire les nutriments durant le stockage et la préparation comme le montre ce tableau :
Perte en vitamine E sur des noisettes[ii]
Irradiation Stockage (12 semaines) Cuisine TOTAL
Non-Irradiée néant 4% 29% 33% Irradiée 17% 25% 49% 91%
La sécurité des aliments génétiquement modifiés n’a jamais été prouvée. Au lieu de cela, les scientifiques s’en remettent au "faites nous confiance, nous sommes les experts". Comme dit ci-dessus, les nouveaux gènes dans les aliments OGM peuvent altérer les réactions chimiques de la cellule, menant à la création de nouveaux toxiques ou allergènes. Par exemple, les graines de soja OGM de Monsanto ont 26,7% de plus d’inhibiteur de trypsine, un allergène majeur qui a des effets anti-nutritionnels[iii]. Les produits GM peuvent également contribuer à une augmentation de la résistance aux antibiotiques. Ainsi dans une expérience des plantes avec des gènes de résistance à des antibiotiques ont été cultivées avec un champignon. Le champignon a acquis les gènes de résistance aux antibiotiques[iv]
L’alimentation irradiée n’est guère plus sûre si on considère qu’elle subit un rayonnement équivalent à plus de 233 millions de radiographies du thorax. L’exposition à ce fort niveau énergétique provoque la formation de « produits radiolytiques uniques », ceux qui n’existent pas naturellement dans les aliments. Un de ces produits radiolytiques appellé 2-DCB est spécifique à l’alimentation irradiée et il a été prouvé qu’il favorise le développement de cancers et de dommages génétiques chez le rat, mais également des dommages génétiques et cellulaires dans les cellules humaines.
D’autres produits radiolytiques incluent les radicaux libres, qui déclenchent des réactions en chaînes dans le corps qui lèsent les membranes cellulaires et rendent ainsi le corps plus susceptible aux cancers, diabètes et aux problèmes de cour et du foie.
Ce qu’ils ne savent pas ne les choquera pas
L’industrie de la biotechnologie qui soutient la modification génétique et l’industrie du nucléaire qui soutient l’irradiation semblent déterminer à faire des OGM et des aliments irradiés la norme sur les marchés mondiaux.
Ils s’opposent invariablement à l’étiquetage des OGM et des aliments irradiés, ce qui ne facilite pas la tâche des consommateurs qui veulent savoir ce qu’ils mangent.
Le Codex Alimentarius est un groupe des Nations-Unies responsable en matière d’établissement de règles internationales alimentaires. En mai 1998, sous la pression de l’industrie de la biotechnologie, il a décidé que l’étiquetage des aliments génétiquement modifiés était discriminatoire et donc un obstacle au commerce infondé. Le gouvernement américain, sous la pression de l’industrie, n’étiquettera pas les aliments GM. Le message est clair : ne demandez rien parce qu’on ne vous le dira pas.
Les aliment irradiés sont commercialisés avec une radura, un cercle autour d’une fleur. Ce symbole semble inoffensif et pour un consommateur non averti peut apparaître comme un symbole d’approbation.
ATTENTION !
Aliment irradié
Ce consommateur n’est pas aidé par les efforts du lobby des pro-irradiation qui désigne ce procédé dangereux par des termes anodins comme ’processus électronique’ ou ’pasteurisation à froid’ .
La ligne à ne pas franchir : les gouvernements et les leaders de l’industrie craignent qu’un public informé induise une baisse des marges de profits. Des millions de dollars ont déjà été investis dans ces technologies et les investisseurs ne laisseront certainement pas leur argent se perdre. Vers qui vont-ils se tourner à présent ?
En avant vers les Pays du Sud !
Les industries de la biotechnologie et du nucléaire se sont tournées vers le Sud avec une batterie de textes alambiqués sur le commerce : la façade, aider les plus pauvres et les intentions, faire du profit. Pourtant leurs récoltes de mauvaise qualité nutritionnelle n’aideront pas une population en malnutrition sévère. Le dumping de l’aide alimentaire ne fait rien pour s’atteler aux causes sous jacentes de la famine, mais crée une dépendance plus grande à l’aide étrangère et pousse les populations indigènes au fermage locatif.
Les partisans de la nourriture GM clament que les grains enrichis peuvent aider à traiter la malnutrition. Ils martèlent que le riz doré est une façon de parer à la déficience en vitamine A. Ce qu’ils ne disent pas c’est qu’un adulte devrait pour cela avaler 3,6 kg de riz par jour. De plus, un corps en malnutrition ne possède pas les graisses nécessaires à la conversion du béta-carotène du riz doré en vitamine A.
Incontestablement l’irradiation des aliments cause des pertes nutritionnelles. L’utiliser pour nourrir une population en déficience nutritionnelle, est illogique et dangereux. L’industrie alimentaire est enthousiasmée par l’irradiation parce qu’elle augmente la durée de vie des aliments qui peuvent être alors transportés sur de longues distances sans qu’ils soient gâtés. Cela représente des économies importantes pour cette industrie et permet aux consommateurs des pays riches de consommer des fruits exotiques. Pourtant le pourcentage de perte nutritionnelle augmente pendant la période de stockage.
Ainsi, la manière dont l’industrie souhaite utiliser l’irradiation pour aider les populations carencées sur le plan nutritionnel conduira à leur fournir des aliments carencés. Et en plus de cela, les personnes en malnutrition ont une résistance aux toxiques moins grande et donc les aliments irradiés avec leurs produits radiolytiques pourraient s’avérer mortels.
Les aliments GM ou irradiés contribuent à la dépendance du Tiers Monde à un business international. Les semences GM "terminator" produisent des récoltes qui ne germeront pas d’une année sur l’autre, les agriculteurs devant alors racheter leurs semences tous les ans aux firmes de biotechnologie. Ces semences manipulées ne survivent pas sans application de produits chimiques achetés aux mêmes firmes. Les technologies génétiques coûtent cher et les agriculteurs se retrouveront locataires de leurs propres terres pour travailler pour le compte de firmes étrangères.
De même, l’irradiation est un procédé hautement industrialisé qui dépend d’une production de masse et de regroupements d’entreprises pour pouvoir faire des profits. Comme l’irradiation permet de doubler ou tripler la durée de "vie" des aliments, tue les insectes parasites et masque les conditions sanitaires déplorables de la production de viandes industrielles, les firmes alimentaires internationales peuvent augmenter la production alimentaire dans les pays en voie de développement où le travail coûte moins cher et où l’utilisation des produits chimiques est souvent faite de manière illégale.
Les producteurs locaux et de taille familiale ne peuvent lutter contre les exploitations de taille industrielle qui compte sur le travail bon marché. Leur disparition permet aux firmes de gagner en contrôle sur la production alimentaire mondiale.
Dans ce monde de prix bradés et de profits, les concepts de qualité, sûreté, durabilité et justice sont sans valeur. Au lieu de faire face aux vraies raisons de la famine mondiale, les firmes de la biotechnologie et du nucléaire promeuvent de part le monde des technologies dangereuses. Nous devons protéger notre sécurité alimentaire !
Qu’est ce que vous pouvez faire ?
·Soutenir les producteurs locaux de votre marché et arrêter le gaspillage lié aux transports des aliments, cesser la consommation de fruits exotiques si non garantis sans irradiation.
· Ecrire aux représentants gouvernementaux et leur demander de ne pas autoriser l’irradiation des aliments dans le pays !
· Contacter Public Citizen à cette adresse : cmep@citizen.org,
· Visiter le Site Public Citizen Les aliments irradiés présentent des dangers
pour notre santé et pour celle de nos descendants. Demandez « Modifications génétiques et irradiations des aliments » à François Veillerette, Mèl
Documents qui nous ont été transmis ce 4 février 2004 par « Le Mouvement pour les Droits et le Respect des Générations Futures (MDRGF) » dont l’animateur est monsieur François VEILLERETTE de F-60380 St DENISCOURT.
Nous avons vérifié les données scientifiques de ces documents, en consultant [le site http://www.citizen.org/ cmep] où travaille également Ralph NADER. Ce site états-unien est merveilleux et dénonce les abus, mensonges, mauvaises actions et combines, des grandes organisations internationales qui ont ’pignon sur rue’ comme l’AIEA, l’OMS, et des organisations mondiales d’élevages et de transports d’animaux.. Je souhaite vraiment aux personnes honnêtes d’avoir la joie de visiter ce bon site.
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TEXTES d’ANTIPAS - TAHAT KÔL NEWS Neuvième année. Numéro du 07 février 2004
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Modifications génétiques et irradiation des aliments :
Un duo d’enfer qui menace la sécurité alimentaire ! Ni nutritifs ni sûrs. Il est prouvé que les aliments génétiquement modifiés et les aliments irradiés sont nutritionnellement moins bons comparés aux aliments non altérés. Les aliments modifiés génétiquement ont des gènes d’autres espèces ajoutés à leurs propres génomes qui peuvent influer négativement sur les nutriments présents. Par exemple, les modifications de structure génétique du soja peuvent changer la manière dont les cellules produisent les proteïnes.
La recherche indique que les aliments irradiés ont une valeur nutritionnelle plus basse que leurs homologues naturels. Par exemple, l’irradiation détruit 80% de la vitamine A des oufs et 48% du béta-carotène du jus d’orange[i]. L’irradiation induit la production de composés chimiques qui continuent de détruire les nutriments durant le stockage et la préparation comme le montre ce tableau :
Perte en vitamine E sur des noisettes[ii]
Irradiation Stockage (12 semaines) Cuisine TOTAL
Non-Irradiée néant 4% 29% 33% Irradiée 17% 25% 49% 91%
La sécurité des aliments génétiquement modifiés n’a jamais été prouvée. Au lieu de cela, les scientifiques s’en remettent au "faites nous confiance, nous sommes les experts". Comme dit ci-dessus, les nouveaux gènes dans les aliments OGM peuvent altérer les réactions chimiques de la cellule, menant à la création de nouveaux toxiques ou allergènes. Par exemple, les graines de soja OGM de Monsanto ont 26,7% de plus d’inhibiteur de trypsine, un allergène majeur qui a des effets anti-nutritionnels[iii]. Les produits GM peuvent également contribuer à une augmentation de la résistance aux antibiotiques. Ainsi dans une expérience des plantes avec des gènes de résistance à des antibiotiques ont été cultivées avec un champignon. Le champignon a acquis les gènes de résistance aux antibiotiques[iv]
L’alimentation irradiée n’est guère plus sûre si on considère qu’elle subit un rayonnement équivalent à plus de 233 millions de radiographies du thorax. L’exposition à ce fort niveau énergétique provoque la formation de « produits radiolytiques uniques », ceux qui n’existent pas naturellement dans les aliments. Un de ces produits radiolytiques appellé 2-DCB est spécifique à l’alimentation irradiée et il a été prouvé qu’il favorise le développement de cancers et de dommages génétiques chez le rat, mais également des dommages génétiques et cellulaires dans les cellules humaines.
D’autres produits radiolytiques incluent les radicaux libres, qui déclenchent des réactions en chaînes dans le corps qui lèsent les membranes cellulaires et rendent ainsi le corps plus susceptible aux cancers, diabètes et aux problèmes de cour et du foie.
Ce qu’ils ne savent pas ne les choquera pas
L’industrie de la biotechnologie qui soutient la modification génétique et l’industrie du nucléaire qui soutient l’irradiation semblent déterminer à faire des OGM et des aliments irradiés la norme sur les marchés mondiaux.
Ils s’opposent invariablement à l’étiquetage des OGM et des aliments irradiés, ce qui ne facilite pas la tâche des consommateurs qui veulent savoir ce qu’ils mangent.
Le Codex Alimentarius est un groupe des Nations-Unies responsable en matière d’établissement de règles internationales alimentaires. En mai 1998, sous la pression de l’industrie de la biotechnologie, il a décidé que l’étiquetage des aliments génétiquement modifiés était discriminatoire et donc un obstacle au commerce infondé. Le gouvernement américain, sous la pression de l’industrie, n’étiquettera pas les aliments GM. Le message est clair : ne demandez rien parce qu’on ne vous le dira pas.
Les aliment irradiés sont commercialisés avec une radura, un cercle autour d’une fleur. Ce symbole semble inoffensif et pour un consommateur non averti peut apparaître comme un symbole d’approbation.
Ce consommateur n’est pas aidé par les efforts du lobby des pro-irradiation qui désigne ce procédé dangereux par des termes anodins comme ’processus électronique’ ou ’pasteurisation à froid’ .
La ligne à ne pas franchir : les gouvernements et les leaders de l’industrie craignent qu’un public informé induise une baisse des marges de profits. Des millions de dollars ont déjà été investis dans ces technologies et les investisseurs ne laisseront certainement pas leur argent se perdre. Vers qui vont-ils se tourner à présent ?
En avant vers les Pays du Sud !
Les industries de la biotechnologie et du nucléaire se sont tournées vers le Sud avec une batterie de textes alambiqués sur le commerce : la façade, aider les plus pauvres et les intentions, faire du profit. Pourtant leurs récoltes de mauvaise qualité nutritionnelle n’aideront pas une population en malnutrition sévère. Le dumping de l’aide alimentaire ne fait rien pour s’atteler aux causes sous jacentes de la famine, mais crée une dépendance plus grande à l’aide étrangère et pousse les populations indigènes au fermage locatif.
Les partisans de la nourriture GM clament que les grains enrichis peuvent aider à traiter la malnutrition. Ils martèlent que le riz doré est une façon de parer à la déficience en vitamine A. Ce qu’ils ne disent pas c’est qu’un adulte devrait pour cela avaler 3,6 kg de riz par jour. De plus, un corps en malnutrition ne possède pas les graisses nécessaires à la conversion du béta-carotène du riz doré en vitamine A.
Incontestablement l’irradiation des aliments cause des pertes nutritionnelles. L’utiliser pour nourrir une population en déficience nutritionnelle, est illogique et dangereux. L’industrie alimentaire est enthousiasmée par l’irradiation parce qu’elle augmente la durée de vie des aliments qui peuvent être alors transportés sur de longues distances sans qu’ils soient gâtés. Cela représente des économies importantes pour cette industrie et permet aux consommateurs des pays riches de consommer des fruits exotiques. Pourtant le pourcentage de perte nutritionnelle augmente pendant la période de stockage.
Ainsi, la manière dont l’industrie souhaite utiliser l’irradiation pour aider les populations carencées sur le plan nutritionnel conduira à leur fournir des aliments carencés. Et en plus de cela, les personnes en malnutrition ont une résistance aux toxiques moins grande et donc les aliments irradiés avec leurs produits radiolytiques pourraient s’avérer mortels.
Les aliments GM ou irradiés contribuent à la dépendance du Tiers Monde à un business international. Les semences GM "terminator" produisent des récoltes qui ne germeront pas d’une année sur l’autre, les agriculteurs devant alors racheter leurs semences tous les ans aux firmes de biotechnologie. Ces semences manipulées ne survivent pas sans application de produits chimiques achetés aux mêmes firmes. Les technologies génétiques coûtent cher et les agriculteurs se retrouveront locataires de leurs propres terres pour travailler pour le compte de firmes étrangères.
De même, l’irradiation est un procédé hautement industrialisé qui dépend d’une production de masse et de regroupements d’entreprises pour pouvoir faire des profits. Comme l’irradiation permet de doubler ou tripler la durée de "vie" des aliments, tue les insectes parasites et masque les conditions sanitaires déplorables de la production de viandes industrielles, les firmes alimentaires internationales peuvent augmenter la production alimentaire dans les pays en voie de développement où le travail coûte moins cher et où l’utilisation des produits chimiques est souvent faite de manière illégale.
Les producteurs locaux et de taille familiale ne peuvent lutter contre les exploitations de taille industrielle qui compte sur le travail bon marché. Leur disparition permet aux firmes de gagner en contrôle sur la production alimentaire mondiale.
Dans ce monde de prix bradés et de profits, les concepts de qualité, sûreté, durabilité et justice sont sans valeur. Au lieu de faire face aux vraies raisons de la famine mondiale, les firmes de la biotechnologie et du nucléaire promeuvent de part le monde des technologies dangereuses. Nous devons protéger notre sécurité alimentaire !
Qu’est ce que vous pouvez faire ?
·Soutenir les producteurs locaux de votre marché et arrêter le gaspillage lié aux transports des aliments, cesser la consommation de fruits exotiques si non garantis sans irradiation.
· Ecrire aux représentants gouvernementaux et leur demander de ne pas autoriser l’irradiation des aliments dans le pays !
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· Visiter le Site Public Citizen http://www.citizen.org/cmep
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Dépôt légal à la Bibliothèque Royale de Belgique, 4 Boulevard de l’Empereur, 1000 Bruxelles
Editeur responsable : Maurice Eugène ANDRE, auteur spécialisé en protection NBCR (nucléaire, biologique, chimique, radiologique) , président du Parti Progressiste belge (PPB), Quai du Halage, 54 à 4600 - Visé, Belgique. Tél : 0032 - (0) 4 374 24 62. Article Copyleft, reproduction de ce numéro autorisée par tous les moyens de diffusion.
Pour terminer la lecture de ce numéro, découvrez the meatrix, un remarquable petit film d’animation sur l’alimentation industrielleet vos yeux s’ouvriront davantage.
Les Editions d’Antipas - Tahat Kôl news sont composées de documents écrits déposés à la Bibliothèque Royale de Belgique et de documents électroniques paraissant sur le site d’ANTIPAS, coordonnées : http://users.skynet.be/mauriceandre/
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