Direct International Science Consortium : D.I.S.C.
Le siège de D.I.S.C., fondé en mars 1995, est à Londres
13 Blackburn Mower Strand, Grahame Park Estate London NW9 5NG
Tél : +44 (0) 181 200-0714 Fax : +44 (0) 181 200-5932
D.I.S.C.détient la connaissance nécessaire à : la construction d’un SEG de 11 kW à usage domestique sur 240V ou 110V en courant alternatif (il peut être construit pour l’industrie à tous voltages et ampérages) et à la construction d’un vaisseau volant dénommé véhicule à anti - (IGV).
Neuf personnes entourent le Pr Searl, dont John Thomas, co-fondateur. Il est possible d’appeler le Pr Searl au Tél. 0181 200 0714, Fax 0181 200 5932 ou par e-mail sur le site http://www.moose.co.uk/userfiles/prof.j.searl/index.html
Il existe d’autres correspondants aux USA, en Allemagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Australie
Parmi eux, des physiciens, des ingénieurs, pilotes d’avions, informaticiens et d’autres personnes qui font connaître les travaux de Searl et ses livres.
Voir une nouvelle conception de SEG par Dave Squires sur le site de Jean-Louis Naudin. Cette extension faite d'après les travaux sur le moteur électrostatique à capacité et haut voltage, le PFT MK2 n'a pas encore été expérimentée mais son auteur pense que le déséquilibre de vecteur S -Poynting est la cause du mouvement des rouleaux. http://www.fortunecity.com/tattooine/delany/256/html/newseg.htm
Sinclaire Technology Research Ltd.
Box 839, Fort Langley, B.C. Canada, V1M 2S2.
Fax : 604 888-8641 et e-mail : magnet@smartt.com.
Pierre Sinclaire est un scientifique qui a consacré de longues années à la recherche d’avant garde sur des sources d’énergie alternative. Son travail a attiré l’attention de différents groupes qui l’ont chargé de construire des prototypes et de faire des expériences avec ces sources d’énergie. C’est ainsi qu’il a travaillé sur les principes de physique vibratoire de John Keely au sujet desquels, il a donné en 1988, sur l’invitation de Dale Pond (Président de Delta Spectrum Research) une conférence à Philadelphie.
Pierre Sinclaire s'est également intéressé à la production d’hydrogène par le mélange eau - essence destiné à donner une meilleure combustion dans les moteurs classiques, il a rendu visite à Stanley Meyer. Il a également construit un prototype de Testatika et écrit un article (distribué par the Space Energy Association, SEA de Floride) sur son fonctionnement et sa capacité potentielle, article qui a suscité des commentaires de la communauté scientifique allemande.
Il a travaillé aussi sur une alimentation sans transformateur pour les ordinateurs portables et des systèmes de distribution d’énergie allégés pour Master Tech. Corp.
De 1989 à 1995 il a travaillé avec David Hamel
(ndlr : voir TOP SECRET N°1)
Il a travaillé avec David Hamel sur une reproduction de l’un des quatre prototypes qui avait montré des effets antigravitationnels et d’autres effets inhabituels à Maple Ridge : le GMD (Gravity Magnetic Device) présenté au 3ème congrès de Denver, au Colorado, en avril 96.
Il met l’accent sur le fait que l’énergie produite, entourant le GMD est très puissante et rayonne en causant des interruptions de flux d’électrons dans les systèmes électriques (lampes, voitures, transformateurs) et interfère avec les transmissions électromagnétiques mais avec un système de contrôle adéquat, on peut stopper facilement ces effets. L’un des buts principaux du GMD est de comprendre les effets des champs magnétiques opposés inclus à angles de vecteurs variables, comme dans les théories avancées par Tom Bearden.
Tout comme l’appareil de l’Anglais Searl, le GMD montre une poussée verticale très forte qui le fait s’élever en l’air. Lorsque l’on comprendra le mécanisme interne qui est la cause des champs électrogravitationnels secondaires, on aura alors la possibilité de créer différentes machines capables de donner une énergie abondante.
Remarques sur le fonctionnement du G.M.D. par P. Sinclaire
La configuration des éléments à l’intérieur du GMD est telle qu’elle donne une variation incluse constante de champs magnétiques opposés. A l’état de repos, les cônes mobiles sont équilibrés et stabilisés dans une répulsion de champ magnétique, comme un palier magnétique. C’est ce qui est le plus difficile à faire.
On démarre le GMD en faisant descendre à l’intérieur de la coque un aimant central placé sur le dessus de la caisse, en direction des cônes mobiles en équilibre magnétique momentané.
Ce faisant, cet aimant central opposé à celui qui est fixé au centre du cône supérieur, oblige le cône supérieur à se déplacer de côté, déséquilibrant ainsi l’équilibre magnétique entre les cônes à l’intérieur du GMD. Les cônes se tiennent en repoussoirs les uns par rapport aux autres pendant un court moment, et puis une énergie ressemblant à un plasma commence à se produire autour du GMD. L’énergie crée un changement de couleur, du rouge orange au bleu clair puis au blanc. Après cela, le GMD commence à perdre du poids et fait une ascension très importante comparée à son poids.
« Jusqu’ici, le prototype a montré le même effet mécanique que David Hamel a annoncé. Quand le cône est déplacé à la main, l’air circule dans et en dehors du trou central et des bords extérieurs du GMD. Puisque le système de contrôle n’est pas terminé et les parois extérieures pas encore recouvertes, je ne peux pas parler de l’effet secondaire qui apparaît autour du GMD, mais compte tenu du fait que toutes les fonctions mécaniques ont prouvé leur justesse, je crois que l’effet devrait être celui annoncé.
A ma connaissance, cinq personnes se distinguent avec des appareils qui utilisent le principe d’opposition de champ magnétique à angles de vecteur, appareils qui font montre d’effets inhabituels similaires à ceux des appareils de David Hamel :
John Searl avec son disque en lévitation, John Hutchinson qui a montré le champ magnétique en opposition en se servant de bobines Tesla à diverses fréquences
W.J. Hooper et son appareil d’essai qui possède une bobine électromagnétique placée de telle façon que tous les champs magnétiques soient en opposition les uns par rapport aux autres et ceci dans un récipient métallique blindé ; il a montré une relation directe entre le champ à l’intérieur du récipient et le champ électrique apparaissant à l’extérieur.
Floyd Sweet qui a fabriqué plusieurs appareils prouvant qu’en exerçant une pression sur un aimant avec un champ magnétique opposé, celle-ci induit l’aimant à produire un champ secondaire dans l’espace environnant, en le piégeant ensuite avec des bobines scalaires.
Wilbert Smith qui a montré qu’en utilisant des bobines électromagnétiques bobines comme celle de Hooper, mais en faisant chevaucher deux bobines identiques, on produisait des effets inhabituels.
Tom Bearden qui, selon moi (Sinclaire) est le seul à avoir avancé la meilleure théorie pour expliquer un tel comportement énergétique inhabituel. Il a aussi expliqué ce qui est cause de cette réaction au niveau atomique »
Les schémas sont disponibles sous deux semaines pour $6 (port compris) à l’adresse indiquée. Des informations supplémentaires dans " The Granite Man and The Butterfly " de Jeane Manning et la vidéo intitulée " Conference at the Vernon Science Center " disponibles sur le site de " Project Magnet Inc."
Internet http://www.projectmagnet.com et cascadia-net.com.
ZINSSER Rudolf
Physicien allemand, ingénieur consultant en électricité, inventeur, ancien directeur de Zinsser Innovation Institut Allemand d’Aéronautique et d’Astronautique à Idar-Oberstein, Allemagne. Il a également travaillé en Afrique du Sud.
Dès les années 50, Zinsser avait découvert que certaines éprouvettes, exposées un court instant à un champ d’ondes progressives non électromagnétiques, sont soumises à une force qui peut durer des minutes, des heures, voire plusieurs mois, sans autre influence extérieure.
Son exposé, au congrès de la D.V.S. à Hanovre en 1981 avait été suivi de vives critiques de la part des allemands. Il était présent à Toronto en 1981, et les congressistes ont mieux accueilli sa démonstration qu’en Allemagne. Les Canadiens lui ont apporté leur soutien financier.
Le transducteur cinétobarique de Zinsser
Son transducteur cinétobarique, par un contrôle prolongé de la direction de son champ de gravitation local, transforme l’impulsion motrice ainsi déclenchée (soit la force motrice multipliée par son temps d’action) en énergie cinétique.
C’est par une brève mais efficace induction à haute fréquence qu’une masse d’eau voit changer sa " transparence " orientée vis à vis de la pression du champ gravitationnel. L’interception des forces du champ gravitationnel qui entre se modifie.
Il soumet environ 200 ml d’eau contenue dans un cylindre de plastique pendant une durée de une minute à une heure, à une impulsion électrique -de courant continu en dents de scie.
Cette impulsion ou déclencheur modifie le comportement de l’eau par rapport à la gravité pendant de longues périodes, voire des mois. Son installation est composée pour l’essentiel d’une balance de torsion très fiable et d’un dispositif d’enregistrement.
Dans ses essais, en 1970, il utilise des éléments de circuit oscillant à haute fréquence, les plus simples étant constitués d’un circuit avec condensateur et bobine, ou des éléments conducteurs à haute fréquence dans de l’eau conductrice ou même dans de l’eau non salée, dans un récipient adéquat.
Il faut, pour enregistrer ces écarts, puis les tracer, une balance ultra sensible. L’énergie est gratuite, ce que l’on peut prouver aux arrêts de la balance, et est des milliers de fois plus forte que celle dépensée par le déclencheur. C’est comme si on comparait l’énergie du déclencheur à celle nécessaire pour hisser les voiles sur un bateau. Cela n’a rien à voir avec la propulsion du bateau, mais fait que la seconde énergie, celle du vent peut être utilisée.
Il a été très difficile de déterminer et d’éliminer les perturbations externes, telles celles des tubes fluorescents que l’on éteint, les décharges lointaines d’éclairs, et même la présence humaine qui peut libérer des effets durant une ou deux heures .
Le Pr Peschka de l’Institut de Recherche Allemand de Technologie Aérienne et Spatiale de Stuttgart a confirmé les travaux de R. Zinsser en testant avec succès son installation. Il en a exclu toute intervention de mouvements sismiques, de courants atmosphériques, de champs statiques électriques ou magnétiques, de turbulences dues aux courants de convection, d’effets lumineux, de variations de la teneur de l’air du laboratoire en vapeur d’eau ou en gaz carbonique.
Le Pr Peschka a étudié les possibilités d’utiliser les effets de Zinsser comme force de propulsion pour de futurs véhicules spatiaux. Il crut pourtant reconnaître l’action (démentie par Zinsser) de faibles énergies électromagnétiques dans la gamme des ondes de radio ou des micro-ondes.
R. Zinsser pense que Peschka n’a décrit dans ses critiques que des manifestations secondaires de l’effet cinétobarique. Pour le Pr Zinsser son transducteur capte l’énergie du vide.
ET AUSSI
AMES ALAN
Appareil électromagnétique " Alcon Technologies Devices " à anti-gravité (Références ISNE 1994).
COOK Robert
Inventeur chez CIP Systems à Palmdale, (CA) qui a présenté au congrès de la DVS à Toronto, en 1981, son appareil dans lequel un poids en accélération est enlevé à un bras - support par un mécanisme très compliqué, pour être ensuite mis en mouvement dans la direction opposée.
EDDINGTON
En 1922, ses expériences ont montré que l’effet gravitationnel d’une masse pouvait, en fait, dévier la lumière.
EGELY Györgi
Physicien hongrois qui travaille sur l’énergie de gravitation. Il a mis au point un petit appareil autonome présenté brièvement sur ARTE le 31/01/97 à 20 heures.
HUTCHINSON John
Nous en parlerons en détail dans le prochain dossier sur les appareils sans pièces en mouvement en citant également les nombreuses expériences de lévitation qu'il a réussies et filmées. La vie de cet inventeur avait totalement changé en 1979 lors d'une expérience où le démarrage de son montage à haut voltage éjecta un morceau de métal qui vint le frapper : il avait découvert " l'effet Hutchinson ".
KELLY Don
International Association for New Science, IANS, Ft Collins CO.
Pour d’autres infos : SEA/US Newsletter PO Box 11422 Clearwater Florida 34616
Don Kelly a participé au congrès IANS en 1993 au Colorado où il a montré une maquette du convertisseur de Sweet Floyd. Il est co fondateur de Space Energy Association et éditeur de Space Energy Newsletter aux USA. NEN a publié un résumé de ses plus récentes informations en février 1997.
Les clés des procédés à Energie Libre semblent comprendre des bobinages non inducteurs. Certains appareils ont des bobinages à deux fils sur des aimants ferrite recouvrant du baryum. Ces assemblages donnent un retard de temps de 40 % sur une hauteur de chute de 1,50 m environ.
Dans ses récents essais de chute de gravité, il a trouvé une relation certaine entre ces composants soumis à une énergie et la perte de poids des matériaux. Dans d’autres pays, des recherches ont permis de vérifier que des masses en rotation perdent du poids à des vitesses de rotation élevées. Mais au moment où l’intérêt des chercheurs était maximum, l’EPA, l’agence de protection de l’environnement à interdit la fabrication et la vente du baryum, toxique, selon elle, et a suggéré de le remplacer par du strontium dans les aimants.
MURRAY Jim
S'inspirant de Tesla, ce chercheur parrainé par BWT a mis au point un appareil amplificateur de couple qui exploite une géométrie spéciale. La gravitation est mise à profit pour doubler le couple des appareils magnétiques. La roue supérieure, la plus lourde et qui d’une certaine façon est toujours en train de tomber, se déplace sur la roue inférieure En tournant, elle amplifie le couple. Pour chaque livre de force appliquée vers le bas pour faire tourner la roue, on obtient un gain net de 2 livres de force vers le haut, pour doubler le couple.
SANDY KIDD
Ingénieur écossais qui fait des expérimentations avec un appareil à anti-gravité qui est un défi aux lois physiques car il résiste à la gravitation terrestre et produit plus d’énergie que celle qu’on lui envoie.
Alors qu’il était technicien radariste de la Royal Air Force, un jour où, perché sur une échelle il enlevait un appareil à gyroscope d’un bombardier, il a eu l’inspiration pour son appareil quand, en essayant de sauter à terre, le gyroscope qui continuait à tourner le jeta violemment sur le sol.
L’explication scientifique engourdit l’esprit de la plupart des gens mais cela a lancé Sandy dans une nouvelle carrière qui l’a occupé depuis 30 ans. Des chercheurs de l’Université d’Edimbourg participent au projet de l’appareil à hauteur de $1 million. (Article de journal de Arthur Dale).
THOMAS John. A Jr
373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316
Tél : + 1 716 467 2694 Fax : + 1 716 338 2663
http://www.servtech.com/public.jasontee &
Marlin Lewis
Entertainment Enterprises 10550 Wilshire Boulevard #1302 Los Angeles, CA 90024
Il est recommandé de contacter John Thomas pour obtenir des informations supplémentaires au sujet du Pr Searl, car c'est lui qui connaît le mieux ses travaux. Depuis mars 1995, il a fondé avec lui DISC, Direct International Science Consortium.
Il a écrit une série de livres fascinants qui résument les détails de la Loi des Carrés que Searl dit être nécessaire pour produire l'anti-gravité et l'Energie Libre et peut-être aussi d'autres effets. Il y décrit aussi le disque à lévitation de Searl. On en trouve des extraits de son livre : « Antigravité, le rêve devenu réalité » sur le site de KeelyNet ; son premier livre « Antigravité » est particulièrement recommandé.
Pour récupérer des documents, suite à l'incendie qui a détruit la maison de Searl, il lance un appel à toutes les personnes qui ont photographié et filmé les disques à gravitation inverse du Pr Searl lors de leurs démonstrations.
WINFIELD Mel
Vancouver (BC)
Au congrès de Toronto, en 1981, remplaçant le physicien Gordon Allen de chez Boeing, il a fait quelques expériences intéressantes où différentes choses : des tuyaux de métal, des morceaux de plastique, de fer, et de bois, étaient mis en lévitation à environ 50 cm au-dessus du sol avant de retomber en suivant une trajectoire en arc latéral. C’est une induction extérieure à très haute fréquence qui produisait la modification des forces gravitationnelles dans ces objets. A noter : l’explosion de la bobine d’une perceuse qui commençait à léviter. De très fortes libérations d’énergie étaient apparemment induites dans les bobinages du moteur électrique. C’est la Compagnie Canadienne Pharos (voir Hutchinson) qui a construit cet équipement aux propriétés antigravitationnelles et perturbatrices.
DES THÉORIES AU SUJET DE LA GRAVITATION
On peut se demander pourquoi il va beaucoup être question d'éther (aether) dans cette partie alors que le sujet est la gravitation. La réponse tient au fait que l’éther en tant que médium est probablement nécessaire au phénomène d’antigravitation.
On considère les forces gravitationnelles comme extrêmement faibles en regard des forces électrostatiques et magnétiques. Comment le champ de gravité d’une masse telle que la terre peut-il être suffisamment perturbé pour neutraliser la force de l’attraction terrestre ? Cela ne semble pas être faisable si la gravité voyage dans un espace vide. Cependant, si l’espace est rempli d’une substance du genre éther, également essentielle à la propagation de la gravité, alors on peut concevoir que l’on puisse contrôler cet éther pour avoir la possibilité de manipuler la gravité en se servant de l’énergie contenue dans ce même éther. Donc, l’évidence de l’éther décrite ci-dessus rend plus plausible le concept d’anti-gravité.
Dans ses écrits sur la gravitation, le Dr Nieper dit que seuls quelques rares scientifiques comme A. Magyari, K.P Stanyukovitch, et le groupe d’Anatol J. Schneiderov se sont jusqu’ici sérieusement penchés sur ce problème et ont critiqué les déficiences des lois existantes.
Depuis 1953, le Dr Nieper pensait, comme Magyari et Stanyukovitch, que le rayonnement du champ '' radional '' pénètre les corps aussi bien que les masses dans l'univers mais en perdant ainsi de l'énergie. Cette énergie qui quitte le corps après l'avoir pénétré est inférieure à celle qui provient de l'extérieur ce qui a pour conséquence l'accélération gravitationnelle dans la direction de la masse. Pour exemple, l'interception par la Terre de l'énergie gravitationnelle qui la pénètre lui fait perdre 4 à 4,5 % de masse (un document NASA sur les lunes de Jupiter indique même 25 %).
De nombreux auteurs se demandent s'il n'est pas possible d'expliquer la chaleur du Soleil par d'autres mécanismes que celui de la fusion, mais par la densité du champ de tachyons, que le Dr Nieper dénomme coussin périsolaire. Le Dr Nieper a établi une théorie dite de l'écran gravitationnel qui l'a amené à penser que le magnétisme statique d'un noyau de fer ou une induction électromagnétique modifie la ''transparence'' du rayonnement du champ radional et le fait dévier, ce qui expliquerait par exemple les accélérations de la baguette de sourcier ou du pendule.
Nieper, Stanyukovitch et Schneiderov avaient rejeté, depuis longtemps, comme improbable, l’hypothèse d’une attraction de masses ou d’une attraction de la terre. Au début des années 20, Levetzow, ingénieur allemand pensait que l’accélération gravitationnelle n’est pas un phénomène d’attraction mais de pression. Il n’a pu faire passer sa vision des choses face à Einstein qui vivait à la même époque à Berlin et avait une influence puissante. Néanmoins, plusieurs physiciens russes ont suivi ses idées.
Théorie de J.M.J.Kooy et J. Berghuis
La constante de Gravité serait une fonction du rayon de courbure d’un espace cosmique sphérique. Il semble pertinent de mentionner la mer de gravitons qui constitue une hypothèse de J.M.J.Kooy physicien hollandais et qui est en rapport avec un texte de Dudley qui parle de la mer de neutrinos.
Concevoir la gravité en tant que force externe implique davantage la possibilité que les corps ne s’attirent pas l’un vers l’autre mais sont mus ensemble par une sorte de rayonnement cosmique provenant de toutes les directions de l’infini physique. L’espace tout entier est occupé par des particules gravitationnelles se déplaçant de façon homogène (dans tous les sens) qu'il nomme gravitons venant de toutes directions. Ils existent depuis l’aube des temps, ont à peu près la même taille que les neutrinos, se déplacent beaucoup plus vite que la lumière et ont une masse résiduelle imaginaire. Ces particules entrent constamment en collision avec les particules ordinaires mais en raison de leur isotropie l’effet total des collisions est nul.
On peut les assimiler à des photons, sans masse résiduelle, mais avec une masse positive en raison de leur vitesse. On peut alors appeler ces particules " quantum de gravité ". Un graviton (à masse négative) serait alors une " absence " de quantum de gravité, de même que dans la théorie quantique relative à l’état " plein ", on peut concevoir l’absence d’un électron comme une " cavité " qui peut se déplacer à travers la structure solide.
Imaginons dans cette radiation gravitationnelle que l’on suppose uniformément distribuée, 2 particules élémentaires impénétrables à cette radiation ; l’équilibre de la pression de radiation sur chacune d’elles sera perturbé, et les particules auront tendance à aller ensemble. Si la distance entre 2 particules matérielles est grande comparée à l’étendue des particules elles-mêmes, cette apparente attraction mutuelle sera inversement proportionnelle au carré de la distance. L’attraction gravitationnelle entre 2 corps macroscopiques serait alors due à l’impénétrabilité des particules élémentaires les constituant, comme à la radiation gravitationnelle... Les conséquences de ce qui précède sont importantes en cosmologie.
En supposant un espace cosmique sphérique, le rayonnement gravitationnel se répandra dans l’espace tout entier, de manière uniforme. Cet espace se dilatant, la densité de radiation gravitationnelle décroîtra. On peut donc s’attendre à ce que la constante gravitationnelle diminue avec l’augmentation du rayon de courbure. Mais, d’un autre côté, le rayon local de courbure de l’espace dépendra de la densité d’énergie locale, et par conséquent, aussi, de la densité de radiation gravitationnelle. Si cette radiation agit sur les masses matérielles selon la description ci-dessus, sa densité d’énergie diminuera, et le rayon de courbure augmentera. C‘ est seulement en utilisant la mécanique classique que l’influence perturbatrice d’une vitesse finie de gravitation a été prise en compte.
Cependant, quand deux corps ayant une certaine masse s’approchent l’un de l’autre, ils font mutuellement écran à une partie des gravitons qui se déplacent dans leur direction, la mer de gravitons perd son isotropie et pousse les corps l’un vers l’autre. Kooy a déduit cette théorie des mathématiques, et il a découvert qu’elle était en accord avec les lois normales de la gravité. La constante de la gravitation dépend ainsi de la densité de la gravité, et décroît avec l’expansion de l’Univers.
Ce qui signifie, qu’en réalité, il n’existe pas de masse pesante, mais seulement de masse " inertielle ". Qui plus est, Kooy pense que l’esprit humain est capable d’influencer une structure atomique de telle manière que l’absorption des gravitons devient une fonction de leur angle d’incidence, et que, ainsi on peut arriver à la télékinésie et la lévitation, ce qui constituerait des servo-effets, l’énergie elle-même étant fournie par les gravitons. Il ajoute une fantastique vision du futur : si nous pouvions provoquer et réguler cette absorption différentielle, nous n’aurions plus du tout besoin d’être liés à la chimie ou à l’énergie nucléaire...
Réflexions de William F. Hassel
Lors du congrès 1996 du MUFON (Mutual Ufo Network) il disait :
''Il semble évident que les effets gravitationnels ou antigravitationnels sont associés à un mouvement giratoire de particules chargées... Le phénomène UFO fait souvent référence à des objets en sustentation et des perturbations de flux à proximité des véhicules, laissant penser que l’air est accéléré autour du véhicule, ce qui produit une poussée.
Mais de nombreux rapports font état d’objets en lévitation à proximité du sol, dans le calme, ce qui suggère l’utilisation de forces antigravitationnelles...
Ici, l’anti-gravité est définie comme une technique capable de produire apparemment un champ gravitationnel, neutralisant le champ terrestre ou réduisant la masse d’un objet. Donc, nous ne considérerons pas la suspension électrostatique ou magnétique comme des effets antigravitationnels. Même si elle est faisable, nous ne traiterons pas ici la gravité comme moyen de propulsion dans l’espace.
...On suppose que l’anti-matière peut montrer des propriétés antigravitationnelles, en respectant la matière ordinaire. Les particules d’anti-matière comme des électrons positifs, des protons négatifs et des anti-neutrons, peuvent avoir des masses gravitationnelles négatives. Bien qu’on puisse créer ces particules en laboratoire, puisque leur vitesse résultante est voisine de celle de la lumière, on ne peut pas encore mesurer la flexion d’un rayon de telles particules, à cause de la gravité terrestre, et ainsi tester leurs propriétés gravitationnelles.''
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