Spiritualité, Nouvel-Age - Sciences Parallèles
Histoires etranges et insolites

Il ne pleut pas des cordes, mais plutôt des carpes ! Quoi de plus étrange que de se réveiller le matin après un orage et de découvrir des mares... de poissons ?

Les pluies de poissons, malgré leur côté insolite, sont plus fréquentes qu'on ne le pense. Les journaux regorgent de faits divers où nos amis aquatiques pleuvaient sur des villes. Ces poissons sont en général de petite taille, entre 3 et 10 cm : ce ne sont pas des baleines qui tombent du ciel, mais plutôt des sardines, des poissons rouges ou des carpes.

Des pluies marquantes
En décembre 2002, c'est le village de Korona, en Grèce, qui a subi une pluie de poissons. En août 2000, c'est la ville de Great Yarmouth, dans la région du Norfolk en Angleterre qui a été victime d'une averse poissonnière. Avant ça, en 1989, un couple australien du Queensland affirme avoir ramassé 600 petites sardines dans le jardin après une ondée. Et la liste est encore longue. Le 18 février 1861, après une secousse sismique à Singapour, les habitants affirment qu'il a plu pendant 3 jours… des poissons-chats. Déjà durant l'Antiquité, des témoignages relatent ces pluies de poissons, comme au VIème siècle avant J-C, dans la région de Chéronée, dans le Péloponnèse grec.

Une explication scientifique sans appel
Pour les scientifiques, l'arrivée des poissons sur les villes s'explique par des phénomènes météorologiques. En effet, les pluies de poissons suivent en général des tempêtes. Les vents aspireraient donc les poissons dans l'eau, pour les déposer dans nos jardins. Cela n'explique pas comment ces poissons sont sélectionnés, puisqu'une seule espèce de poissons tombe du ciel la plupart du temps. De plus, ils sont vivants, et accompagnés d'aucun débris ni autre animal. Les tempêtes n'effectuent pas ces sélections, et les vents aspirent tout sur leur passage. Dans d'autres cas, comme celui de la pluie de poissons de Singapour en 1861, un scientifique français, Francis de Castelnau, avait constaté que l'averse était survenue pendant une migration des poissons-chats en question. Il avait découvert que pendant leurs déplacements, les poissons-chats étaient capables de se mouvoir sur terre, pour aller de mares en mares. Une explication scientifique qui dément la thèse de la pluie de poissons !

D'autres pluies d'objets et animaux divers
Ces pluies de poissons ne semblent pas prêtes de s'arrêter. D'autres objets et animaux tombent du ciel régulièrement dans le monde entier. Depuis l'Antiquité, des récits de pluies de sang ou de produits à base de sang jalonnent l'histoire. Des morceaux de viande sont même tombés du ciel aux Etats-Unis, dans le Kentucky, en 1876. Le ciel envoie aussi de la nourriture végétale sur nos têtes : en 1867, à Dublin, ce sont des noisettes qui sont tombées, et des haricots africains ont inondé le Brésil en 1971. Mais l'averse insolite qui reste la plus courante est celle d'animaux, et surtout de grenouilles. Mais on compte aussi des souris, tombées en Norvège en 1578, des serpents à Memphis aux Etats-Unis, ou encore des canards.
L'équipage de la station spatiale internationale signale un incident
[27/11/2003 09:49]

MOSCOU (AP) -- L'équipage russo-américain de la station spatiale internationale (ISS) a entendu un bruit grinçant comme si un corps étranger avait raclé la paroi extérieure de la station mais les responsables spatiaux russes ont déclaré jeudi que les hommes étaient en sécurité et qu'il n'y avait aucun signe dans l'immédiat d'un quelconque dégât.

Selon un responsable spatial, le bruit pourrait provenir d'un équipement de la station mais un porte-parole des Forces spatiales a attribué le bruit à une collision avec un débris de l'espace.

Interrogé au téléphone par l'Associated Press, ce porte-parole, qui a requis l'anonymat, a expliqué que les forces spatiales avaient repéré un objet sur l'orbite de la station mais qu'il était très petit et qu'il ne constituait pas une menace.

Valery Lyndin, un porte-parole du centre de contrôle de Moscou «tous les systèmes de la station fonctionnent normalement» après que ce bruit a été signalé tôt mercredi. Les caméras extérieures surveillant la paroi extérieure de la station n'ont décelé aucun signe de dégât», a-t-il dit à l'Associated Press.

De son côté, Sergueï Gorbounov, un porte-parole de l'Agence aérospatiale russe a déclaré sur la chaîne privée NTV que l'équipage avait entendu ce qui «ressemblait à une cannette d'aluminium qu'on écrasait» mais que l'inspection qui a suivi n'a pas permis de découvrir un quelconque impact.

L'ISS est actuellement habité par l'astronaute américain Michael Foale et le cosmonaute russe Alexandre Kaleri.

Des milliers de débris et morceaux d'engins spatiaux gravitent autour de la Terre et les Forces spatiales russes les surveillent pour s'assurer qu'ils ne posent aucune menace pour l'ISS mais pour les satellites. Dans le cas où un débris est considéré comme suffisamment gros pour causer un dégât, l'ISS est redirigée vers une orbite plus sûre.
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La NASA a demandé aux satellites du Pentagone de vérifier l'ISS
[04/12/2003]

CAP CANAVERAL, Floride (AP) -- A la demande de la NASA, le Pentagone utilise des satellites espions pour vérifier que la Station spatiale internationale (ISS) n'a pas subi de dégâts extérieurs qui pourraient expliquer les lourds bruits métalliques entendus la semaine dernière par les deux hommes à bord, l'astronaute américain Michael Foale et le cosmonaute russe Alexandre Kaleri.

Le souvenir de la catastrophe de la navette Colombia, qui a explosé au dessus du Texas le 1er février dernier, tuant les sept astronautes à bord, a incité l'agence spatiale américaine à faire preuve de précaution.

«Chacun se dit 'OK, assurons-nous que rien ne nous ait échappé», a expliqué mercredi Charles Precourt, un responsable du programme de navettes qui est désormais le directeur adjoint du programme de l'ISS de la NASA. Il a déclaré à l'Associated Press que le Département de la Défense avait mis sa technologie à disposition pour examiner la station orbitale depuis que les bruits ont été signalés le 26 novembre dernier. Jusqu'à présent rien de suspect n'a été découvert.
Néanderthal : une espèce distincte de la nôtre ?
Source : CIRS, le 30/01/2004

L’homme moderne et l’homme de Néanderthal seraient deux espèces distinctes, d’après une étude mathématique basée sur des données relatives aux crânes d’hommes modernes, d’hommes de Néanderthal et d’un large échantillon de primates non-humains existants actuellement.

Ce résultat pourrait contribuer au débat entre les tenants d’un modèle de continuité régionale des origines humaines, qui maintiennent que Néanderthal est une sous-espèce d’Homo sapiens ayant contribué à l’évolution des Européens modernes, et les tenants du modèle d’une origine unique, pour qui l’homme de Néanderthal est une espèce séparée.

L’équipe de chercheurs, dirigée par Katerina Harvati, de l’Université de New York, a utilisé une nouvelle technique appelée morphométrie géométrique, afin de mesurer le degré de variation entre les crânes. Le but des chercheurs était dans un premier temps de mettre au point une méthode quantitative permettant de déterminer le degré de différence justifiant la classification des spécimens en espèces différentes. La seule façon de procéder était, selon eux, d’examiner la morphologie de squelettes d’espèces vivantes aujourd’hui, en l’occurrence ceux de primates.

Sur cette base, l’importance des différences entre homme moderne et homme de Néanderthal a amené les chercheurs a se déclarer en faveur de l’hypothèse de deux espèces séparées à l’intérieur du genre Homo.
Les Anciens Spationautes

Au VIIe siècle, à Palenque, le corps du défunt roi Maya Pacal ( d'une taille supérieure à la moyenne ) fut placé dans un sarcophage autour duquel une pyramide fut érigée.

La dalle recouvrant ce sarcophage est des plus troublante, car en la regardant horizontalement, certains veulent y voir un astronaute aux commandes de son engin, tandis que les archéologues essaient de nous expliquer qu'il faut regarder la dalle verticalement, et que cela n'est qu'une synthèse des concepts fondamentaux de la religion des Mayas et que Pacal est assis sur "l'Arbre de Vie"...

Neuf petits crânes en obsidienne d'origine Maya ont été retrouvés dans le temple du Serpent à Plumes à Teotihuacan ainsi que dans d'autres pyramides. Leur taille varie de 15 à 23 millimètres.
Selon des prêtres Mayas, une légende voudrait qu'ils représentent les 9 individus "initiateurs" d'une race extraterrestre...

En Equateur, on a retrouvé ces statuettes, oeuvres d'un « clairvoyant » ou bien reproductions de "visiteurs" ?

En 900 avant J.C., statue japonaise à scaphandre "fermé par deux gros boulons", trouvée à Tokomai.

Il y a 3 000 ans, entre la Bolivie et l'Equateur, des artistes ont fabriqué cette céramique d'un être à gros crâne revêtu d'une combinaison.

Il y a 4 000 ans avant J.C. des artistes sumériens ont sculpté ces statuettes d'environ 14 centimètres, au corps d'humanoïdes mais à tête étrange et... toujours de grands yeux...
Ces statuettes sont exposées au musée de Bagdad.

En 5 000 avant J.C., au Japon, des artisans primitifs de la tribu Dogu ont façonné ces statuettes en bronze... à grands yeux...
Notre histoire foisonne de récits sur des êtres d'apparence humaine habitant les régions de la plupart des continents.

Certaines légendes portent à croire que ces bipèdes à l'épaisse toison ont toujours existé, occupant, aux confins de la civilisation, une niche écologique situé quelque part entre l'homme et le reste du règne animal.
Le plus célèbre de ces monstres est probablement l'Abominable Homme des neiges ou, comme l'appellent les Sherpas, yéh-téhou yéti. Ses traces ont souvent été relevées en Inde, au Népal et au Tibet, parmi les neiges éternelles de l'Himalaya. Mais nombre de ceux qui étaient prêts à admettre l'existence de telles créatures estimaient que ce nom ne correspondait pas à leur mode de vie. Il paraissait peu probable qu'ils puissent trouver suffisamment de nourriture dans les montagnes enneigées pour y vivre en permanence. Leur domaine devait se situer dans les forêts des hautes vallées: ce ne serait donc pas des « hommes des neiges ». Pour les Sherpas, le Yéti est un personnage familier qu'ils ont incorporé à leur folklore avec davantage d'humour que de crainte. Pour les occidentaux, il en résulte à de nombreuses expéditions sans résultats et de quelques photographies floues.
En Amérique du Nord, on fait également allusion à une créature semblable. Une tribu d'autochtones de Colombie britannique, les Salish, le désigne par l'expression populaire de Sasquatch, qui correspond également à la créature que les Huppas du nord de la Californie appellent oh-mah-ah, ou omah en abrégé. Ces différents noms signifient tout simplement « hommes sauvages des bois ». Or c'est dans ces régions fortement boisées que les blancs venus par la suite ont également rencontré cette créature, voire même relevé des signes de son passage. Ils lui donnèrent également un nom : Bigfoot. Plusieurs photographies du Bigfoot ont été prises, dont la plupart s'avèrent être des canulars. D'autres sont à discuter, comme le film de Roger Patterson montrant une créature recouverte de poils se déplacant dans le lit d'un cours d'eau situé en Californie du Nord . Patterson fut incapable de préciser la vitesse à laquelle il avait tourné ce film, détail technique essentiel qui aurait pu en faciliter l'analyse. Plusieurs individus prétendent même avoir été enlevé par ces êtres étranges. Certains affirment qu'il s'agirait d'un extra-terrestre, étant donné la coïncidence manifeste entre la recrudescence d'apparitions du monstre et la vague d'observations d'OVNI dans les mêmes régions.
Il existe bien d'autres observations de ce genre dans d'autres régions du globe. Le sud de la Malaisie abrite, dit-on, l'Orang-dalam, étrange animal velu, haut de 3 m et à l'odeur fétide. En Asie centrale est encore signalée la présence d'une race quasi humains appelés Almas, vivant en société, qui, dans certains cas, s'accouplèrent avec des humains. Selon des récits, les Almas vivent généralement la nuit et évitent les hommes. D'habitude, on en voit que un ou deux à la fois, et de loin. Étonnament, les habitants de cette région considèrent les Almas comme une race d'êtres humains inférieurs officiellement classées parmi les animaux communs.
Les savants insistent sur le fait qu'une photographie, un témoignage ou un empreinte de pas ne constituent pas des éléments déterminants. Une preuve matérielle reste toujours nécessaire: un squelette ou un crâne. Nul n'a émis l'idée que le Sasquatch ou le Yéti étaient immortels; pourtant on n'a découvert aucun corps ni même aucun squelette. Cependant, on trouve rarement dans la forêt les restes de grands animaux, étant donné que les prédateurs dispersent très rapidement leurs dépouillent. Malgré cela, on aurait déjà dû pouvoir examiner un corps de sasquatch; en raison de son allure si humaine, personne n'a jamais pu se résoudre à le tuer.




Histoires etranges et insolites (Spiritualité, Nouvel-Age - Sciences Parallèles)    -    Auteur : Chagka - Maroc


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dernière mise à jour : 2007-04-29

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