Vie pratique - Actualités
Iran ou corée du nord : le point de depart de la troisieme guerre mondiale ?

niouze du 27/03/2011

La Chine durcit le ton contre la coalition internationale

Opposé à une intervention militaire contre le régime de Tripoli, le gouvernement chinois réclame un cessez-le-feu immédiat en Libye, où il possède d'importants intérêts économiques.

(les propheties ne peuvent etre changé et on va l'avoir cette guerre mondiale qui va tuer les deux tiers de l'humanité)


info prise sur france24 clique ici


tient il y a un autre blog qui parle de ca :
les_evenements_a_venir clique ici


news du 26 octobre 2007

Bush cible en Iran les Gardiens de la révolution
déclarations de George W. Bush, évoquant un risque « de troisième guerre mondiale »

L'organisation armée est accusée de soutien au terrorisme.

APRÈS DES MOIS de menace, l'Administration Bush a annoncé hier la mise en place du plus vaste éventail de sanctions contre le régime iranien depuis la Révolution islamique de 1979. En désignant les Gardiens de la révolution comme entité responsable de la prolifération d'armes de destruction massive, et en inscrivant la Force al-Qods sur la liste des soutiens du terrorisme, les États-Unis s'en prennent pour la première fois directement à une institution militaire d'un État étranger.

La mesure est assurée d'avoir des répercussions considérables, tant dans le bras de fer entre Washington et Téhéran qu'auprès de la communauté internationale. L'objectif est « d'augmenter le prix payé par l'Iran pour son comportement irresponsable », a expliqué le secrétaire d'État, Condoleezza Rice. « En traitant avec les Iraniens, il est impossible de connaître ses clients et d'être sûr que l'on n'est pas en train d'aider involontairement » le régime, renchérit le secrétaire au Trésor, Henry Paulson.

Les décrets présidentiels signés hier visent une vingtaine d'institutions et d'individus en Iran, y compris le ministère de la Défense et les trois principales banques du pays, qui seraient « privées d'accès au système financier international. » L'effet du dispositif devrait s'étendre à toutes les entreprises qui traitent avec ces entités, quelle que soit leur nationalité, en les exposant à des sanctions dans leurs activités aux États-Unis.

Le ministère iranien des Affaires étrangères a dénoncé dans la soirée ces nouvelles mesures, estimant qu'elles étaient « contraires aux lois internationales ».

L'organisation des Gardiens de la révolution compterait 125 000 membres, ses propres forces terrestres, aériennes et navales et contrôlerait les missiles balistiques iraniens. Ses activités économiques s'étendent aux secteurs pétrolier et pharmaceutique, au bâtiment, aux voitures et aux télécommunications. La force d'élite al-Qods constitue son bras armé à l'étranger, accusé de former et d'équiper les milices chiites en Irak. Elle soutient aussi le Hezbollah au Liban et le Hamas palestinien.

Chine et Russie réticentes

Le secrétaire d'État a fait valoir que le durcissement de Washington s'inscrit dans une approche diplomatique. « Nous restons ouverts au dialogue sur tous les sujets, a dit hier Mme Rice, mais si les dirigeants iraniens continuent sur la voie de la confrontation, les États-Unis agiront avec la communauté internationale pour résister à ces menaces. » Washington espère que sa décision unilatérale sera imitée par ses alliés en Europe et en Asie, alors qu'un projet de résolution durcissant les sanctions de l'ONU butte sur les réticences de la Chine et de la Russie.

Après les déclarations de George W. Bush, évoquant un risque « <B> de troisième guerre mondiale
», les spéculations promettent d'être relancées sur la possibilité de frappes américaines contre les sites nucléaires et les bases des Gardiens de la révolution en Iran. Pour l'instant, un seul des onze porte-avions de l'US Navy qui constitueraient les plates-formes de lancement de raids aériens se trouve dans le golfe Persique.

figaro.fr
corée du nord ça se detend nettement
corée du nord ça se detend legerement
niouzes corée du nord
corée du nord
Edition du 25 décembre 2006
Nucléaire iranien : un dossier explosif

Le Conseil de sécurité de l’ONU vient d’adopter, avant-hier samedi, une résolution qui sanctionne l’Iran pour ses activités nucléaires. L’esprit du texte de cette résolution - la 1737 - se nourrit de la volonté d’empêcher Téhéran d’aller plus avant dans son programme nucléaire. Aucun pays ne doit plus collaborer, suivant les termes de la résolution 1737 de l’ONU, à permettre à l’Iran de s’équiper des moyens technologiques et matériels qui lui permettraient à plus ou moins court terme une maîtrise du nucléaire à des fins autres que civiles. En fait, à l’unanimité de ses membres, le Conseil de sécurité a fondé sa résolution sur la dangerosité d’un pays dont l’instance juge, sans le dire, mais en le suggérant, qu’il veut forcer la porte du club fermé des puissances atomiques. Ce dont Tehéran se défend en arguant que l’Iran, s’estimant dans son bon droit et souverain pour le faire, n’ambitionne que le développement d’un programme pacifique. Les nations occidentales n’en croient évidemment pas un seul mot. Les Etats-Unis et les nations européennes ont travaillé avec détermination pour que l’Iran soit sanctionné. Et cela en dépit du fait que les investigations de l’Agence internationale de l’énergie atomique n’ont pas fait la preuve que l’Iran enrichissait de l’uranium dans un but militaire. L’intervention de l’AIEA pouvait-elle d’ailleurs infléchir quoi que ce soit, tant on sait - depuis l’implication de l’agence mondiale dans le dossier irakien - ses conclusions peuvent rester lettre morte. La question qui se pose alors, aujourd’hui, est de savoir si la résolution 1737 de l’ONU est le premier jet d’actions qui pourraient aller crescendo et inclure une option directement punitive. A cet égard, la balle est dans le camp de l’Iran. Téhéran, qui a pris acte de la résolution onusienne, n’en affiche pas moins son intention de continuer la conduite de ses activités nucléaires excluant la perspective, tout au moins pour l’immédiat, de retourner à la table des négociations comme le lui ont recommandé un certain nombre de capitales après l’annonce des sanctions adoptées par le Conseil de sécurité de l’ONU. En résumé, Téhéran paraît modérément perturbée par la résolution 1737, se bornant même à lui opposer la mise en œuvre de 3000 centrifugeuses pour poursuivre l’enrichissement de l’uranium. Cela amène à s’interroger sur le niveau d’avancée des activités nucléaires de l’Iran et à se demander si même le Conseil de sécurité a pu juger sur pièces, autrement dit sur des faits patents, puisque même l’AIEA reste dans l’expectative et envisage de poursuivre ses enquêtes sur le dossier nucléaire iranien. Au point où en est ce dossier, la résolution 1737 de l’ONU laisse les choses quasiment en l’état. Car il y a tout lieu de croire que l’Iran s’attendait raisonnablement à ces sanctions prévisibles depuis suffisamment longtemps pour lui permettre de trouver des parades aux mesures d’empêchement édictées par le Conseil de sécurité, celui-ci étant déja mis devant le fait accompli du nucléaire iranien. C’est en cela que ce dossier est, au sens direct du mot, un dossier explosif. Et c’est vraiment le cas de le dire.

Edition du 25 décembre 2006
Nucléaire iranien : un dossier explosif

Le Conseil de sécurité de l’ONU vient d’adopter, avant-hier samedi, une résolution qui sanctionne l’Iran pour ses activités nucléaires. L’esprit du texte de cette résolution - la 1737 - se nourrit de la volonté d’empêcher Téhéran d’aller plus avant dans son programme nucléaire. Aucun pays ne doit plus collaborer, suivant les termes de la résolution 1737 de l’ONU, à permettre à l’Iran de s’équiper des moyens technologiques et matériels qui lui permettraient à plus ou moins court terme une maîtrise du nucléaire à des fins autres que civiles. En fait, à l’unanimité de ses membres, le Conseil de sécurité a fondé sa résolution sur la dangerosité d’un pays dont l’instance juge, sans le dire, mais en le suggérant, qu’il veut forcer la porte du club fermé des puissances atomiques. Ce dont Tehéran se défend en arguant que l’Iran, s’estimant dans son bon droit et souverain pour le faire, n’ambitionne que le développement d’un programme pacifique. Les nations occidentales n’en croient évidemment pas un seul mot. Les Etats-Unis et les nations européennes ont travaillé avec détermination pour que l’Iran soit sanctionné. Et cela en dépit du fait que les investigations de l’Agence internationale de l’énergie atomique n’ont pas fait la preuve que l’Iran enrichissait de l’uranium dans un but militaire. L’intervention de l’AIEA pouvait-elle d’ailleurs infléchir quoi que ce soit, tant on sait - depuis l’implication de l’agence mondiale dans le dossier irakien - ses conclusions peuvent rester lettre morte. La question qui se pose alors, aujourd’hui, est de savoir si la résolution 1737 de l’ONU est le premier jet d’actions qui pourraient aller crescendo et inclure une option directement punitive. A cet égard, la balle est dans le camp de l’Iran. Téhéran, qui a pris acte de la résolution onusienne, n’en affiche pas moins son intention de continuer la conduite de ses activités nucléaires excluant la perspective, tout au moins pour l’immédiat, de retourner à la table des négociations comme le lui ont recommandé un certain nombre de capitales après l’annonce des sanctions adoptées par le Conseil de sécurité de l’ONU. En résumé, Téhéran paraît modérément perturbée par la résolution 1737, se bornant même à lui opposer la mise en œuvre de 3000 centrifugeuses pour poursuivre l’enrichissement de l’uranium. Cela amène à s’interroger sur le niveau d’avancée des activités nucléaires de l’Iran et à se demander si même le Conseil de sécurité a pu juger sur pièces, autrement dit sur des faits patents, puisque même l’AIEA reste dans l’expectative et envisage de poursuivre ses enquêtes sur le dossier nucléaire iranien. Au point où en est ce dossier, la résolution 1737 de l’ONU laisse les choses quasiment en l’état. Car il y a tout lieu de croire que l’Iran s’attendait raisonnablement à ces sanctions prévisibles depuis suffisamment longtemps pour lui permettre de trouver des parades aux mesures d’empêchement édictées par le Conseil de sécurité, celui-ci étant déja mis devant le fait accompli du nucléaire iranien. C’est en cela que ce dossier est, au sens direct du mot, un dossier explosif. Et c’est vraiment le cas de le dire.

le 26 Novembre 2006
Impossible de douter de la volonté de l'Iran de se doter de l'arme atomique selon Washing
l'iran ne veut pas ceder et continu son programme d'enrichissement de l'uranium...
le conseil des 5 sont devant cet etat de fait et feront au maximum des sanctions economiques et un blocus au niveau des marchandises diverses, que faire d'autre ?
les etats unis sont plus energique et impulsifs, ils n'hesiterons pas a lancer une offensive directe contre l'iran, mais l'iran est soutenue par la chine qui a clairement mentionné qu'ils n'accepteront pas une attaque de l'iran (ils ne supporte pas l'attitude que les etats unis ont à se meler de la gestion de pays tel que l'irak et n'accepteront pas une offensive militaire contre leur allié)
la seule solution pour eux : utiliser, soutenir et fournir l'israel pour faire le sale boulot a leur place, mais personne n'est dupe, tout le monde est au courant de leurs arrangements...
la situation est extremement delicate et risque de deboucher sur un conflit generalisé, car au pire des cas : les etats unis attaquent directement l'iran, la chine riposte sur les etats unis et sur leurs alliés, bon nombre de pays musulmans se joignent a la chine et bonjour le bazar...
il a ete predis que si les etats unis attaquerais l'irak (le message a ete transmis ou tout debut bien avant le conflit) au dela d'une certaine date (elle a ete largement depassée), cela pouvait genere la destruction des 2 tiers de la population mondiale dans le futur... on y est... le potentiel explosif de la situation est bien la !!!
- je ne vais pas vous dire quel sont les raisons reelles de l'attaque contre l'irak, vous etes au courant ?
inutile de se fourrer la tete dans le sac en se disant "je suis positif, je vehicule l'Amour, rien de facheux ne peut arriver, je fait confiance etc..." effectivement ca aide le monde d'etre positif, mais si une situation doit exploser elle explosera car au moment du passage a l'ere du verseau, les nouvelles energies arrivent de plus en plus jusqu'a atteindre son apogé en 2012. qu'est ce qu'elle vont faire les energies negatives (ils n'y a pas d'energies negatives a proprement parler) et explosives qui ne sont pas canalisées ? elles ne vont pas rester comme ca sans rien faire, car la pression (energetique) monte, monte... si l'energie n'est pas canalisé ca petera d'un facon ou d'une autre... la pression energetique monte, monte ?? tant mieux pour les travailleurs de lumiere, il suffit de se mettre au diapason de cette energie, on la sent c'est collosal...

restez la tete dans le sac si vous le souhaitez, personnelement je me prepare psychologiquement et energetiquement

- voir aussi sur le troisieme secret de fatima, fin du regne de l'eglise et 3eme guerre mondiale entre autre...

il conviens de rester informé pour pouvoir anticiper au niveau individuel... ca ne coute rien de faire quelques reserves diverses de facon discrete. a chaque fois que vous faite vos emplettes, vous en achetez un peu plus pour votre reserve de survie, mieux vaut s'y preparer a l'avance meme s'il ne se passe rien plutot que d'etre devant le fait accomplit comme un c..

des commentaires ? des idees ? voir le forum merci

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Nucléaire: l'Iran peut mieux faire
La réponse de Téhéran ne remplit pas les conditions exigées par l'ONU.
QUOTIDIEN : Jeudi 24 août 2006 - 06:00

«Très longue», «complexe»... Alors que les Européens évitaient d'être trop tranchants sur la réponse de l'Iran à leur demande de suspendre son enrichissement d'uranium, les Américains ont été des plus clairs, hier, affirmant que celle-ci «ne remplit pas les conditions de l'ONU» pour éviter les sanctions.
Date butoir. Les premières réactions de la communauté internationale avaient donné la mesure du dialogue de sourds existant avec la République islamique. Mardi, à huit jours de la date butoir fixée par le Conseil de sécurité à Téhéran pour obtempérer, l'Iran proposait en effet des «négociations sérieuses», mais sans afficher la moindre intention de satisfaire à l'exigence primordiale de suspension immédiate de son enrichissement de l'uranium. Le «retour à la table des négociations» est «lié» à cette suspension, rétorquait hier Philippe Douste-Blazy, le chef de la diplomatie française, en soulignant que «les Iraniens connaissent les règles du jeu».
Ainsi en dépit du risque de sanctions, l'impasse paraît réelle, l'Iran jouant toujours au chat et à la souris. Assurant que la République islamique est «assez flexible pour parler de toutes les questions», un responsable iranien confirmait hier qu'elle «refusait la suspension comme préalable» . L'agence semi-officielle Mehr enfonçait même le clou en déclarant que l'Iran annoncerait dans les prochains jours un «important succès» de ses scientifiques dans «leurs programmes de recherche» nucléaire. Non sans préciser : «Ce succès soulignera la maîtrise de la République islamique des différents secteurs de la science nucléaire, et renforcera la place de l'Iran en tant que pays nucléaire.»
Tractations. Le groupe 5 + 1 (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) s'est donné quelques jours pour présenter son analyse de la réponse iranienne. Soucieux de se laisser le temps de mener, jusqu'à la date fatidique du 31, de longues tractations aux Nations unies, certains de ces pays se montrent très prudents. D'autant qu'est patente la volonté de Téhéran de diviser le Conseil de sécurité entre, d'un côté, ses partenaires commerciaux russes et chinois, et, de l'autre, les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne qui ont soutenu des sanctions .
Berlin dit ainsi «analyser précisément le texte complexe» de l'Iran. Bruxelles en demande une «analyse détaillée et prudente» . Moscou affirme qu'il faut en «comprendre les subtilités et trouver les éléments constructifs» . Pékin appelle «à faire preuve de flexibilité» en poursuivant les négociations. Cette relative souplesse n'est pas de mise aux Etats-Unis. «Le Conseil de sécurité réclame une suspension totale et contrôlable de tout le processus d'enrichissement», précisait hier le département d'Etat peu après que l'ambassadeur américain à l'ONU eut rappelé la menace de sanctions. Soulignant que son pays restait prêt à soumettre une résolution en ce sens si Téhéran ne «satisfait pas aux termes définis» par les grandes puissances, Washington menait hier des consultations avec des membres du Conseil de sécurité pour savoir comment répondre.
La guerre de positions, qui dure depuis maintenant plus d'un an entre la communauté internationale et Téhéran, en était donc là. Et répondant aux Américains, l'Iran se disait à nouveau «prêt à affronter toute situation». AFP





Iran ou corée du nord : le point de depart de la troisieme guerre mondiale ? (Vie pratique - Actualités)    -    Auteur : apocalypse - Canada


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dernière mise à jour : 2011-03-27

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