l'iran ne veut pas ceder et continu son programme d'enrichissement de l'uranium...
le conseil des 5 sont devant cet etat de fait et feront au maximum des sanctions economiques et un blocus au niveau des marchandises diverses, que faire d'autre ?
les etats unis sont plus energique et impulsifs, ils n'hesiterons pas a lancer une offensive directe contre l'iran, mais l'iran est soutenue par la chine qui a clairement mentionné qu'ils n'accepteront pas une attaque de l'iran (ils ne supporte pas l'attitude que les etats unis ont à se meler de la gestion de pays tel que l'irak et n'accepteront pas une offensive militaire contre leur allié)
la seule solution pour eux : utiliser, soutenir et fournir l'israel pour faire le sale boulot a leur place, mais personne n'est dupe, tout le monde est au courant de leurs arrangements...
la situation est extremement delicate et risque de deboucher sur un conflit generalisé, car au pire des cas : les etats unis attaquent directement l'iran, la chine riposte sur les etats unis et sur leurs alliés, bon nombre de pays musulmans se joignent a la chine et bonjour le bazar...
il a ete predis que si les etats unis attaquerais l'irak (le message a ete transmis ou tout debut bien avant le conflit) au dela d'une certaine date (elle a ete largement depassée), cela pouvait genere la destruction des 2 tiers de la population mondiale dans le futur... on y est... le potentiel explosif de la situation est bien la !!!
- je ne vais pas vous dire quel sont les raisons reelles de l'attaque contre l'irak, vous etes au courant ?
inutile de se fourrer la tete dans le sac en se disant "je suis positif, je vehicule l'Amour, rien de facheux ne peut arriver, je fait confiance etc..." effectivement ca aide le monde d'etre positif, mais si une situation doit exploser elle explosera car au moment du passage a l'ere du verseau, les nouvelles energies arrivent de plus en plus jusqu'a atteindre son apogé en 2012. qu'est ce qu'elle vont faire les energies negatives (ils n'y a pas d'energies negatives a proprement parler) et explosives qui ne sont pas canalisées ? elles ne vont pas rester comme ca sans rien faire, car la pression (energetique) monte, monte... si l'energie n'est pas canalisé ca petera d'un facon ou d'une autre... la pression energetique monte, monte ?? tant mieux pour les travailleurs de lumiere, il suffit de se mettre au diapason de cette energie, on la sent c'est collosal...
restez la tete dans le sac si vous le souhaitez, personnelement je me prepare psychologiquement et energetiquement
- voir aussi sur le troisieme secret de fatima, fin du regne de l'eglise et 3eme guerre mondiale entre autre...
il conviens de rester informé pour pouvoir anticiper au niveau individuel... ca ne coute rien de faire quelques reserves diverses de facon discrete. a chaque fois que vous faite vos emplettes, vous en achetez un peu plus pour votre reserve de survie, mieux vaut s'y preparer a l'avance meme s'il ne se passe rien plutot que d'etre devant le fait accomplit comme un c..
des commentaires ? des idees ? voir le forum merci
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Nucléaire: l'Iran peut mieux faire
La réponse de Téhéran ne remplit pas les conditions exigées par l'ONU.
QUOTIDIEN : Jeudi 24 août 2006 - 06:00
«Très longue», «complexe»... Alors que les Européens évitaient d'être trop tranchants sur la réponse de l'Iran à leur demande de suspendre son enrichissement d'uranium, les Américains ont été des plus clairs, hier, affirmant que celle-ci «ne remplit pas les conditions de l'ONU» pour éviter les sanctions.
Date butoir. Les premières réactions de la communauté internationale avaient donné la mesure du dialogue de sourds existant avec la République islamique. Mardi, à huit jours de la date butoir fixée par le Conseil de sécurité à Téhéran pour obtempérer, l'Iran proposait en effet des «négociations sérieuses», mais sans afficher la moindre intention de satisfaire à l'exigence primordiale de suspension immédiate de son enrichissement de l'uranium. Le «retour à la table des négociations» est «lié» à cette suspension, rétorquait hier Philippe Douste-Blazy, le chef de la diplomatie française, en soulignant que «les Iraniens connaissent les règles du jeu».
Ainsi en dépit du risque de sanctions, l'impasse paraît réelle, l'Iran jouant toujours au chat et à la souris. Assurant que la République islamique est «assez flexible pour parler de toutes les questions», un responsable iranien confirmait hier qu'elle «refusait la suspension comme préalable» . L'agence semi-officielle Mehr enfonçait même le clou en déclarant que l'Iran annoncerait dans les prochains jours un «important succès» de ses scientifiques dans «leurs programmes de recherche» nucléaire. Non sans préciser : «Ce succès soulignera la maîtrise de la République islamique des différents secteurs de la science nucléaire, et renforcera la place de l'Iran en tant que pays nucléaire.»
Tractations. Le groupe 5 + 1 (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) s'est donné quelques jours pour présenter son analyse de la réponse iranienne. Soucieux de se laisser le temps de mener, jusqu'à la date fatidique du 31, de longues tractations aux Nations unies, certains de ces pays se montrent très prudents. D'autant qu'est patente la volonté de Téhéran de diviser le Conseil de sécurité entre, d'un côté, ses partenaires commerciaux russes et chinois, et, de l'autre, les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne qui ont soutenu des sanctions .
Berlin dit ainsi «analyser précisément le texte complexe» de l'Iran. Bruxelles en demande une «analyse détaillée et prudente» . Moscou affirme qu'il faut en «comprendre les subtilités et trouver les éléments constructifs» . Pékin appelle «à faire preuve de flexibilité» en poursuivant les négociations. Cette relative souplesse n'est pas de mise aux Etats-Unis. «Le Conseil de sécurité réclame une suspension totale et contrôlable de tout le processus d'enrichissement», précisait hier le département d'Etat peu après que l'ambassadeur américain à l'ONU eut rappelé la menace de sanctions. Soulignant que son pays restait prêt à soumettre une résolution en ce sens si Téhéran ne «satisfait pas aux termes définis» par les grandes puissances, Washington menait hier des consultations avec des membres du Conseil de sécurité pour savoir comment répondre.
La guerre de positions, qui dure depuis maintenant plus d'un an entre la communauté internationale et Téhéran, en était donc là. Et répondant aux Américains, l'Iran se disait à nouveau «prêt à affronter toute situation». AFP
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