Découverte en Égypte, sous la patte droite du Sphinx, d'une salle d'archives renfermant les preuves de l'existence de l'Atlantide et confirmant la thèse de Robert Bauval à propos de la corrélation d'Orion.
Au cours des dernières décennies, les égyptologues les plus brillants et les plus novateurs ont eu de grandes difficultés à se faire reconnaître. On peut citer les cas de Wallis Budge, de Capart, de Badawy, de Trimble, de Wainwright, d’Hassan, de Rundle Clark… Ils ont tous, à des degrés divers, été méprisés, calomniés ou tournés en dérision. Et même le livre de Robert Bauval, Le Mystère d’Orion, paru à Londres en 1994, n’a pas eu le succès qu’il aurait mérité. Leurs thèses dérangent, car elles s’éloignent de «l’égyptologiquement correct», de ce «prêt-à-penser» académique et lénifiant qui voudrait nous limiter à «l’acquis» scientifique des générations passées, alors que ce soi-disant acquis ne fait le plus souvent que participer à un habile montage destiné à endormir l’humanité dans de pseudo-certitudes.
Grâce à l’éveil rapide des consciences conjoint aux dernières avancées technologiques en matière de robotisation, il devient cependant aujourd’hui de plus en plus difficile aux tenants de l’approche matérialiste et darwinienne de continuer à nous cacher LA VÉRITÉ… Et l’échéance d’une bombe médiatique à retardement se précise inexorablement jour après jour, celle de la révélation au public du Secret du Sphinx et de la Grande Pyramide. |
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