Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.
Pourquoi avons-nous abandonné la colonisation de la Lune ? Toutes les infos dérangeantes sur la lune

Avant de vous lancer dans ce dossier passionnant qui fait le tour des mystères de la Lune, arrêtez-vous une seconde et posez-vous simplement la question suivante : que savons nous de la Lune ?

Les astronautes sont allés là-bas, ils ont parcouru quelques kilomètres, ramassé quelques cailloux, pris des photos, et hop, trois petits tours et puis s’en vont ! Depuis, la Lune semble avoir perdu tout intérêt au yeux de la Nasa.

Aujourd’hui nous envoyons des sondes dans l’espace, nous lançons des navettes dans la proche périphérie de la Terre, mais lorsque nous nous projetons dans l’avenir, nous ne rêvons plus de la Lune. Il semble que la Lune soit morte ; qu’elle appartienne au passé. L’avons-nous donc explorée de fond en comble ? Pas du tout ! En réalité si on cumule l’ensemble des missions Apollo qui se déroulèrent sur 4 années, de 1968 à 1972, la durée totale du séjour des astronautes sur le sol lunaire n’a pas excédé 300 heures, dont seulement 80 ont été consacrées aux sorties (exploration, prélèvements d'échantillons, dépose de matériel…)

C’est bien peu pour l’exploration d’un astre tout entier ! Si l’on se réfère aux seules missions officielles américaines et soviétiques, l’immense majorité de la Lune nous demeure encore totalement inconnue ; sans parler de son sous-sol. Or, puisque nous savons si peu de chose à son sujet, pourquoi donc l’avons-nous abandonnée si brutalement ? Et comment se fait-il que les gens ne se posent pas plus souvent la question ? Sommes-nous devenus amnésiques pour avoir oublié à ce point les ambitions de conquête que nous avions ? Que sont devenus ces beaux projets de bases lunaires que nous projetions d’aménager ? Tout était prévu, calculé sur 20 ou 30 ans. On se souvient encore du brillant discours de JFK : « Nous avons choisi d’aller sur la Lune, non parce que c’est facile mais parce que c’est difficile ! »
jfkgomon.wav

C'est trop cher, la Lune ? Comment croire que la construction de stations spatiales exiguës qui coûtent des milliards de dollars et qui sont dotées d’une espérance de vie limitée soit plus rentable ? C’est absurde ! Sur la Lune nous aurions pu édifier des bases au cœur des nombreuses cavités. Elles auraient été destinées à durer. Nous aurions pu nous lancer dans des programmes d’exploitation à long terme de ses ressources.

Trop loin la Lune ? Aujourd’hui, techniquement, le voyage Terre/Lune ne poserait plus de problème.

Pas pratique ? Allons bon, l’assemblage de boîtes de conserve tournant dans le vide, et qui retomberont inexorablement sur nos têtes, avec les risques que cela comporte, voilà une solution bien pratique !

Ne soyons pas naïfs ! Non seulement j’ai l’impression que nous avons tourné en rond depuis 40 ans à l’intérieur de nos navettes, mais en plus, que nous avons tourné en rond dans le mauvais sens !

Une anecdote tirée du site :
http://perso.wanadoo.fr/alexandre.schwenck/ nous raconte quelle fut la dernière phrase prononcée sur la Lune par le dernier astronaute à avoir quitté le sol lunaire (Gene Cernan de la mission Apollo 17)
Dernière phrase officielle (à l'intention des médias) est-il besoin de le préciser :

"Le défi américain d'aujourd'hui a forgé la destination de l'Homme de demain. Nous quittons la Lune et Taurus-Littrow comme nous sommes venus et, si Dieu le veut, nous y reviendrons avec la paix et l'espoir pour l'Humanité toute entière".

Et juste en dessous le webmaster nous indique quelle fut en réalité l’ultime phrase non officielle de ce même astronaute en remontant dans le LEM et s'adressant à son camarade Jack Schmitt : "Allez Jack, tirons-nous d'ici".

Serions nous donc partis « comme des voleurs ? »

Encore une fois, pourquoi avons-nous abandonné la colonisation de la Lune ?

Voilà une question qui devrait nous tracasser. Cependant tout se passe comme si un grand hypnotiseur, roi de l’embrouille, nous avait fait apparaître cet abandon comme la chose la plus naturelle du monde. Or, c’est peut-être justement là le plus grand mystère de la Lune : cet abandon, s’il n’y avait pas tous les autres !



La Lune Satellite naturel de la Terre.
· orbite : 384400 km de la Terre
· diamètre : 3476 km
· masse : 7,35e22 kg
Malgré sa taille réduite, vue depuis la Terre, le diamètre apparent de la Lune est généralement identique au diamètre apparent du Soleil (beaucoup plus grand, mais beaucoup plus loin), ce qui nous vaut souvent de belles éclipses, ou les deux astres se recouvrent presque parfaitement. Cependant la distance Terre-Lune oscille légèrement au fil du temps, et le diamètre apparent de la Lune devient parfois légèrement inférieur ou supérieur à celui visible du Soleil.

La face cachée
La Lune intrigue notamment par sa face dite "cachée", parce que c'est toujours la même face qui est orientée vers la Terre. Ceci parce que la Lune tourne de manière synchrone avec la Terre, c'est-à-dire qu'elle est constamment en phase avec son orbite.

Ceci s'explique par l'attraction gravitationnelle qu'exerce la Terre sur la Lune (une attraction inverse existe également, provoquant les "forces de marée" sur la Terre). Si au départ sa période de rotation est plus rapide que sa période de révolution autour de la Terre, l'attraction de la Terre provoque des déformations et des forces de friction à l'intérieur de la Lune. Une partie de l'énergie cinétique de rotation est alors libérée sous forme de chaleur et la rotation ralentit. Au bout d'un certain temps, la rotation de la Lune est suffisamment ralentie pour que sa période soit égale à celle de la révolution autour de la Terre : on a alors atteint un état stable (plus de forces de friction car plus de mouvement relatif) et le système reste dans cet état. Ce cas de figure n'est pas propre à la Lune : de nombreux satellites tournent en phase avec la rotation de la Terre : on les qualifie alors de géostationnaires.

En décembre 1969, le docteur Seaborg déclare à Moscou que l'équipage d'Apollo 11 a découvert sur la face cachée de la Lune des traces suspectes, dont la symétrie fait notamment penser aux empreintes que laissent les roues de véhicules. D'autres part, certaines tâches feraient penser à des constructions implantées sur le relief lunaire.
Le cratère Aristarque
De nombreuses hypothèses ont été faites à propos de cette face cachée, comme les particularités insolites du cratère Aristarque (Aristarchus) où des lumières miroitantes auraient notamment été observées en 1821. Les astronomes y virent une simple illusion d'optique lorsque, 3 ans plus tard, une lumière y apparut de nouveau : elle avait la forme d'une étoile. Puis en 1959, on y signala une lumière clignotant. Le soir même de cette dernière observation, 2 objets ronds, lumineux, quittèrent la Lune à une vitesse incroyable. 2 ans plus tard, on y observa de nouveaux clignotements lumineux ; dans la même journée, 5 objets quittèrent le satellite côté est, avec 15 secondes environ d'intervalle. Puis on y découvrit une sorte de câble lumineux, et un objet noir comme de l'encre situé sur son bord.

Visible avec de simples jumelles, on observa de puissantes lueurs, dans ce cratère le 15 novembre 1965 et, ce qui est encore le plus curieux, les autorités officielles de la NASA le confirmèrent.

En 1958 et en 1961, un astronome soviétique, Nikolai Kozyrev, y détecta une éruption volcanique. L’année suivante, 4 astronomes américains le confirmèrent à nouveau. En 1962, 2 taches ovales de lumière rouge furent observées sur son bord, tandis qu'en juin 1965, on vit un étrange rayon de lumière blanche, brillante, en jaillir, alors que le cratère Aristarque était dans la zone d'ombre. Le mois suivant, un rayon de lumière blanche apparut plusieurs fois, durant une minute et demie à chaque manifestation. Tous ces faits sont propres à un seul cratère.
La Mer des Crises
On parle aussi du foyer d'activités fantastiques que représenterait la Mer des Crises. On a même évoqué l'existence d'une végétation lunaire.
On relève dans la Mer de Crises des groupes de lumières variant d'intensité et disposées en figures géométriques qui disparurent après 2000 observations, une arche de 3 km, du brouillard, un réseau de raies et de taches brillantes, un grand nombre de dômes, une tour immense, et le fameux "Pont O'Neill" dont le docteur H. P. Wilkins assura qu'il était artificiel et avait 30 km de portée, ainsi que 2 à 3 km de large. Dans la même région que ce pont, on nota un peu plus tard un très brillant éclat de Lumière, bleu puis blanc, comme causé par un immense miroir réfléchissant. On y releva aussi une "chaussée" qui disparut par la suite.
Montagnes, dômes, cratères, lueurs apparaissent, disparaissent ou changent de forme
Des milliers et des milliers d'autres cratères parsèment le sol lunaire. Certains d'entre eux possèdent des caractéristiques qui leur sont propres, et d'autres restent stables. Des régions entières donnent l'impression d'être animées d'une vie trépidante.

La Mer des Pluies, par exemple, est bosselée de petites montagnes dont 3, Pice, Piton et Lahire, prennent parfois des teintes aveuglantes, analogues à la réverbération produite par la neige, et possèdent de singuliers rayons lumineux qui, tels des phares, jaillissent de leur sommet !

Le 29 septembre 1958, le docteur Kenzaburo Toyoda, de l'université Meiji, observe dans la nuit la Lune et y voit un phénomène fantastique qui se déroule dans la mer de la Sérénité, et à gauche de la mer de la Tranquillité : en lettres très noires et très nettes, il voit les 2 mots suivants, placés l'un sous l'autre : PYAX et JWA. 2 autres personnes voient ces mots au télescope. On aperçut aussi un X dans le cratère Erasthotènes, et la lettre grecque gamma dans le cratère Littrow.

Si l'on se contente de simples témoignages visuels, la contestation est aisée, mais lorsque des photos troublantes ont été prises, comme ce fut le cas pour Ranger VII qui transmit des clichés représentant de mystérieux dômes... En 1966, Lunar Orbiter 2 ramena pour sa part des photos où l'on peut voir sur une surface d'environ 225 m sur 165, 7 protubérances inexplicables. La plus importante avait 15 m de large à la base et de 12 à 22 m de haut.

Mais cela peut paraître insignifiant puisque, depuis 1930, plus de 200 dômes (...) ont été localisés, généralement en terrain plat. Cette observation a été renouvelée en 1960 : ils étaient hémisphériques.
Le professeur M. K. Jessup, astronome américain, signala d'autres faits encore plus troublants : des cratères avaient disparu ! Un bouleversement de terrain aurait pu expliquer un tel événement si, l'astre étant de surcroît considéré comme mort, ces cratères n'avaient été remplacés par d'étranges dômes ou de coupoles en matière transparente, donc artificiels.

H. P. Wilkins, en tant que chef de la section lunaire de l'association astronautique britannique, fit également des déclarations sans détours à propos du cratère Alzahen par exemple. Signalé au début du 19ème siècle, ce cratère s'est en effet volatilisé. En 1867, le cratère Linné a, lui aussi, disparu. Et, pour donner une idée de la puissance du phénomène, ce dernier avait un diamètre de 10 à 11 km.

Par ailleurs, les cratères Messier et Pickering déroutent les spécialistes. Ils changent de forme, allant de l'ovale au triangle, alors que les formes des cratères voisins ne varient pas. D'ailleurs, une observation faite à partir d'Apollo 8 au sujet de Pickering ouvre de stupéfiants horizons : des rayons lumineux semblent en sortir, et les cratères, dont le diamètre fait plusieurs km, ont leurs parois intérieures taillées en terrasses.

Dans la Mer de la Fertilité, 2 petits cratères, très proches l'un de l'autre, changent continuellement de forme. On releva, d'autre part, dans le cratère Platon, des lumières qui ressemblaient à celles d'une procession.
En mai 1945, dans la revue Rockets, un commentaire sur le rapport du British Astronomical Journal formulé par R. Richardson attira l'attention sur une étrange constatation faite en 1938 :

« La bande n'est pas continue et ne ressemble pas à une tache ou à une couche. Elle est composée de veinules, ou de petites raies, finement entrelacées. 4 heures plus tard, on remarqua une expansion régulière vers la face ouest inférieure. L'observateur revit le 16 janvier 1938 la même zone colorée et, la nuit suivante, remarqua qu'elle était descendue de flanc sur le sol ; ce n'était plus alors une bande, mais une surface colorée irrégulière. »

Déjà, en 1923, Flammarion nota des variations colorées notables autour du cratère Platon, donc dans la même région.

Lors d'une éclipse totale de la Lune le 22 octobre 1790, l'astronome Herschell découvre plus de 150 points lumineux de couleur rouge sur la surface lunaire, avec un télescope qui ne grossit que 320 fois.
Théories étonnantes
Selon 2 chercheurs russes, Mikhaïl Vassine et Alexandre Chtcherbakov, la Lune serait un astre creux. Selon les calculs de la densité de la Terre et de la Lune, il y aurait à l'intérieur de cette dernière un vide incontestable. Ils auraient déterminé la nature de l'enveloppe de la Lune en 2 coques superposées dont celle, située à fleur de croûte, aurait une épaisseur de 4 km et servirait à stopper les météorites.

Extrêmement résistante, cette première coque aurait arrêté la pénétration de météorites importantes à seulement 2 km de profondeur, alors que, normalement, celles-ci aurait dû pénétrer jusqu'à environ 50 km de profondeur. La seconde coque mesurerait environ 30 km d'épaisseur. A l'intérieur de l'astre, un immense trou pourrait abriter une infrastructure artificielle et une vie intelligente. Ainsi, pourraient s'expliquer les impacts visibles à l’œil nu de météores extrêmement massifs que la Lune aurait rencontrés et heurtés dans sa course spatiale, avant de se mettre autour de la Terre en orbite obligée, c'est-à-dire en ne présentant toujours que la même face, comme un gigantesque microscope étudiant la Terre.

Ainsi pourrait aussi s'expliquer le phénomène extraordinaire qui se produisit lorsque, une douzaine d'heures après le retour des cosmonautes dans la cabine d'Apollo 11, le LEM, inutilisable, s'écrasa sur la surface de la Lune. Celle-ci en trembla durant 2 h environ, d'après le sismographe qu'Aldrin et Armstrong installèrent à plusieurs centaines de kilomètres du point d'impact. Il est curieux de constater que personne, sur le moment, ne songea à s'étonner qu'une masse ridicule de 16 tonnes ait pu ainsi faire trembler un volume de 1100 milliards de km3.

D'autre part, une analyse des matériaux lunaires aurait prouvé que le satellite est plus vieux que la Terre elle-même, de 1 milliard d'années environ.
Tout aussi étrange est le phénomène détecté par les instruments déposés lors des vols Apollo 12 et Apollo 14, en novembre 1969 et en janvier 1971 : des séries de petites secousses survinrent à intervalles réguliers.
Les Mystères de la Lune

I Introduction

Le 7 Février 1998 nous apprenions dans le quotidien local que l'Association "GUADELOUPE ECHANGES ET CULTURES" créée en 1996 avait invité en Guadeloupe l'astronaute Harrisson SCHMITT, Docteur en géologie de l'Université d'Harvard, dernier visiteur de la Lune, en Décembre 1972, en compagnie du commandant de bord d'Apollo 17, Eugène CERNAN. La conférence, intitulée "Jusqu'à la Lune et au-delà" et illustrée d'un diaporama montrant probablement les images recueillies pendant les 22 heures d'exploration lunaire de la mission Apollo, a eu lieu le 17 Février 1998 au Centre des Arts.

Sans vouloir minimiser l'aspect humain et scientifique de la mission d'Apollo 17 où le courage et l'endurance des hommes ont été mis à rude épreuve, et qui leur a permis de récolter 113 kg d'échantillons de sol, en parcourant près de 35 km avec la jeep Lunar Rover, nous pouvons regretter que cette dernière mission lunaire n'ait pas levé le moindre carré du voile des nombreux mystères qui s'attachent à notre satellite la Lune, dont on évite de parler soigneusement en public, mais seulement dans les cercles scientifiques autorisés et que nous allons remettre ici à l'ordre du jour.

II Quelques mystères lunaires non résolus.

Jetons donc un coup d'œil furtif sur certains de ces mystères :

1°) - La différence de densité moyenne 3,33g/cm3 pour la Lune et 5,5g/cm3 pour la Terre, ainsi que la composition des roches lunaires, bien moins riches en métaux que celles de notre bonne Terre, semblent éliminer l'hypothèse que la Lune ait été à l'origine arrachée de la Terre. Cette hypothèse a pourtant, en ce moment, la très grande faveur des scientifiques, qui pour cela font intervenir le choc de la Terre avec une planète presque aussi grosse que Mars, choc qui transformerait d'abord la Terre en une planète avec un anneau comme Saturne puis dans le temps record incroyable d'une année l'anneau devrait réaliser son accrétion pour former la Lune. 27 simulations numériques de différents centres de recherches réalisés pour vérifier cette hypothèse ont abouti au même résultat. (Voir la revue Ciel et Espace n°333 de Février 1998). Donc il est préférable pour l'instant d'admettre que la Lune pourrait venir d'ailleurs. Mais comment a-t-elle pu être capturée par la Terre pour se placer sur une orbite formant un cercle presque parfait, nécessitant un freinage rigoureux lors de la satellisation, alors que les satellites des autres planètes décrivent généralement des ellipses plus ou moins étirées? La probabilité d'une telle capture est donc pratiquement nulle.

2°) - Mais cet événement devient très surprenant, quand on sait que la Lune possède ce que l'on appelle une rotation obligée, ce qui signifie qu 'elle tourne sur elle-même dans le même temps qui lui faut pour effectuer sa révolution autour de la Terre, soit environ 27,3 jours (exactement 27 Jours, 7 heures 43 minutes et 11,5 secondes). La conséquence de cette rotation, dite aussi synchrone est que la Lune nous présente toujours la même face. Si la Terre avait une rotation obligée autour du soleil, elle présenterait toujours le même hémisphère grillé face au soleil et l'autre resterait dans la nuit glacée perpétuelle.

Nous nous sommes demandés, si cette situation, appelée par les spécialistes, "la résonance spin-orbite", était courante dans le système solaire. Voici la réponse que nous avons obtenue sur le site :
http://fransyl.multimania.com dont l'adresse e-mail est fransyl@club-internet.fr :
"Oui ! puisque c'est le cas de la plupart des satellites naturels des planètes du système solaire. Un peu plus de 60 satellites naturels sont répertoriés actuellement dans le système solaire. Il y en a exactement cinquante qui ont la même synchronisation que la Lune, c'est à dire qu'ils effectuent une rotation sur eux-mêmes précisément dans le même laps de temps où ils bouclent une révolution autour de leur planète respective, ce qui a pour effet, lorsque leur excentricité orbitale est faible (ce qui est généralement le cas), qu'ils montrent toujours la même face à la planète."

Dans un article remarquable d' Éric Bois de la revue "Pour la Science" , n°285 de Juillet 2001, nous avons appris, que la Lune possédait un deuxième synchronisme: En effet, d'une part son axe de rotation tourne (comme celui d'une toupie) autour d'une position moyenne et décrit la surface un cône (appelé cône de précession) en 18,6 ans, et d'autre part, la Lune voit de plus, l'axe perpendiculaire à son plan orbital, décrire également un autre cône, en exactement aussi, 18,6 ans. Cette seconde précession a pour conséquence, le décalage des nœuds ascendant et descendant, points d'intersection de l'orbite de la Lune et de l'écliptique (plan de l'orbite moyenne de la Terre passant par le centre du soleil). A chaque fois que la Lune croise le plan de l'écliptique, les nœuds se décalent légèrement pour ne retrouver leur position initiale qu'au bout de 18,6 ans. Ce deuxième synchronisme peut-il une fois de plus être mis sous le compte de l'effet du hasard ?...
Aux spécialistes de répondre...

Ce double synchronisme de la Lune, nous dit la revue précitée, engendre deux fréquences supplémentaires dites "fréquences de résonance" de 2,9 ans et de 80,1 ans, qui combinées aux fréquences déjà citées de 27,3 jours et 18,6 ans, régissent donc toutes les perturbations connues de la rotation de la Lune. Cela joint en plus, au fait que son volume représente près de 2% de celui de la Terre et sa masse 1%, pourcentages de loin supérieurs à tous ceux obtenus par toutes les autres planètes et leurs satellites, va entraîner donc le fait que le "duo Terre-Lune" se présente comme une "planète double", ce qui en fait un couple presque unique en son genre dans le système solaire, ( Remarquons en passant aussi l'exception du couple Pluton-Charon, encore plus extraordinaire, car le satellite Charon tourne autour de Pluton en 6,39 jours et la planète Pluton tourne sur elle-même, chose bien bizarre, exactement en 6,39 jours également, si bien que Pluton possède un hémisphère où Charon apparaît totalement immobile dans le ciel comme le serait un satellite géostationnaire pour la Terre).

3°) Préoccupons-nous maintenant de l'ancienneté des roches lunaires: La revue américaine, trimestrielle de Juin 1976 intitulée "UFO REPORT" contenait un article remarquable de huit pages de Don Wilson tiré probablement de son livre "Our mysterious space ship Moon" paru aux États-Unis en 1975 et seulement en 1979 en France. Jetons, voulez-vous, un coup d'œil furtif sur l'information hors norme que contient cet article, qui est en anglais bien sûr, et dont nous vous donnons la modeste traduction d’un court extrait :

« ...Mais le premier spécimen de roche que l'astronaute Neil Armstrong ramassa dans la Mer de la Tranquillité après son alunissage se révéla dater de plus de 3,6 milliards d'années. Mais ce ne fut qu'un début dans l'histoire de ce mystère d'ancienneté. L'une des pierres rapportées au cours de ce premier voyage, se révéla d'un âge déconcertant de 4,3 milliards d'années. Une autre roche (la n°13) atteint la datation encore plus exceptionnelle de 4,5 milliards d'années. Et un échantillon de sol rapporté par Apollo 11, se révéla vieux de 4,6 milliards d'années - l'âge même que les scientifiques attribuent à la Terre et au système solaire. De même, les sondes inoccupées soviétiques, décelèrent dans l'une des plus anciennes mers de la Lune, la Mer de la Fertilité, des pierres âgées de 4,6 milliards d'années.
Cependant selon le périodique d'astronomie bien connu, "Sky and Telescope", la Conférence sur la Lune de 1973, à laquelle participèrent la plupart des spécialistes lunaires de la NASA, révéla que l'on avait découvert une roche lunaire datant de 5,3 milliards d'années. Un autre rapport, fondé sur la méthode potassium-argon qui est aujourd'hui, le système de datation, le plus précis, établit que "certaines pierres" ont atteint l'âge incroyable de 7 milliards d'années.
Et s'il faut croire un autre rapport "deux pierres rapportées par Apollo 12 ont été estimées pour avoir l'âge de 20 milliards d'années."
Incroyable ? Apparemment, car il s'agit là de 4 fois l'âge de notre planète et notre système solaire... Autant que nous le sachions, c'est la limite d'âge extrême qui ait jamais été attribuée à une partie de l'Univers...

Dans un article de "Chemistry" de Février 1974, le Dr Urey avance que des pierres lunaires ont révélé qu'elles contenaient des isotopes du Xenon produites par la fission du plutonium 244, qui n'existe pas sur la Terre, ce qui indiquerait que la Lune est beaucoup plus ancienne.

Que dire de plus, si ce n'est encore que : Le sol et les roches lunaires ont suscité tant de contradictions qu'une équipe de savants de l'Institut Technologique de Californie (Caltech) a présenté un rapport intitulé "The Lunatic Asylum " ( L'Asile de Fous)..."

Ou encore : Au lieu de nous donner des réponses aux questions clefs et aux problèmes cruciaux que l'on se pose au sujet de la Lune, un scientifique a déclaré à l'époque : "La Lune nous a donné des réponses pour lesquelles nous n'avons pas encore formulé de questions."

4°) - Quelle est d'autre part, la nature de ces concentrations de masses énormes appelées pour cela "mascons" et qui sont enfouies à différents endroits dans le sous-sol lunaire? Ces mascons ont la particularité de perturber les trajectoires des sondes en orbite autour de la Lune. Découverts vers 197O, ils se localisent principalement sous les mers lunaires.

5°) - Les différents sismomètres déposés par les astronautes sur la Lune ont enregistré des ondes de surface dont les vibrations ont été beaucoup plus longues que ce que l'on avait prévu lors de l'impact de la partie supérieure du "Lem", précipitée sur la lune avant le retour sur Terre.

L'expérience a été réalisée plusieurs fois et la Lune a vibré parfois plus d'une heure, ce qui a fait dire au géophysicien Maurice Ewing: "C'est comme si l'on avait heurté une cloche...". La lune serait-elle donc creuse? Évidemment aucune explication satisfaisante n'a jusqu'à présent été trouvée.

6°) - La Lune n'est pas morte comme on pourrait le croire. Des phénomènes lumineux insolites ont été aperçus à sa surface depuis très longtemps. Au cours des trois derniers siècles et en 1971, on notait près de 1500 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires, nommés pudiquement "phénomènes transitoires" par les spécialistes, (TLP:Transient lunar phénoména) ont été notés sur la surface lunaire, dont plus de 200 concernant la seule région du cirque d'Aristarque. Mais relevons ici, un cas assez récent : Quelle était la nature de la tache très brillante, couleur rouge rubis en forme d'ovale très allongée sur près de 22 km de long, découverte le 27 Novembre 1963 par les astronomes James Greenacre et Edward Barr de l' Observatoire Lowel dans I'Arizona ?

L'observation faite sur l'arête du rempart du cratère d'Aristarque pourtant dans l'ombre à ce moment là, dura 75 mn, des clichés en noir et blanc furent obtenus, et on peut les voir à la page 65 de la revue Science et Vie n° 559 d'avril 1964.

7°) Des structures géométriques notoires apparaissent sur la Lune.
(ndlr : ne manquez pas dans ce même dossier, le chapitre consacré à l’affaire du Paris-match, extrait du même site Artivision.)


Enfin, pourquoi la NASA n'a-t-elle pas envoyé plutôt (dans les 6 missions qui ont exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large pesant des centaines de tonnes et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ? Ces traces sont très nettement visibles sur la photo n° 67-H-1135 de la NASA et que l'on peut voir dans les ouvrages : "Ils n'étaient pas seuls sur la Lune " de G. Léonard (Belfond Mars 1978) et " La Lune et ses défis à la science " de A. Nahon ( Editions Mont-Blanc 1973).


III Conclusion

Il existe beaucoup d'autres mystères sur la Lune que nous n'avons pas évoqués ici, faute de place, comme par exemple les rayonnements très brillants qui s'échappent en étoile de certains cratères comme Tycho, Copernic, kepler... et nous invitons donc tous ceux que maintenant, ces mystères lunaires interpellent et qui aimeraient bien en résoudre quelques-uns uns, à ne pas hésiter d'interroger à ce sujet, Monsieur Harrisson SCHMITT, ou tout autre astronaute, au cours de leurs conférences qu'ils pourraient faire, un jour, ici où là, et nous souhaitons que les réponses soient aussi claires que les questions et que la NASA n'aura pas, comme à son habitude, "préparé le terrain pour noyer le poisson", qui de toute façon sortira un jour de l'eau :"Il n'y a rien de caché qui ne doive être un jour découvert, ni de secret qui ne doive être connu" (Mathieu :X .26).


Et comment trouver finalement une théorie qui englobe tous ces mystères? Jusqu'à présent seule la théorie totalement révolutionnaire, et la plus avancée jamais émise de nos jours par des scientifiques, peut répondre à la question. Il s'agit des deux savants soviétiques à l'époque: Mikhail Vasin et Alexander Chtcherbakov qui proposèrent en Juillet 1971 dans le magazine Spoutnik l’hypothèse hardie suivante, ( qui notons le bien, a été cependant formulée dès 1968 par le Français Jean SENDY, à qui nous rendons ici en passant hommage, à la page 110 de son livre "La Lune clé de la Bible", paru chez JULLIARD.) : " La lune serait un satellite artificiel de la Terre, mis sur orbite autour d'elle par des êtres intelligents qui nous sont inconnus. " (Cette thèse fut aussi exposée dans la revue le "Nouveau Planète" dans son n° 19 de Nov. 1970.)

Nous n'avons pas ici, ni la place, ni la prétention, de résumer tout ce qui a poussé ces savants soviétiques à émettre une théorie aussi fantastique et qui, si elle s'avérait authentique, quand la Nasa dévoilera ses incroyables secrets, alors tout cela nous prouvera, une fois encore, que "la réalité dépasse bien, de très loin, la fiction la plus imaginative."
La Lune championne de l'orthogonalité

I Introduction
"La nature a horreur du vide" disait un bien-pensant qui ne savait pas que la nature, c'est d'abord le cosmos, et que ce cosmos est avant tout fait de "vide". Nous allons maintenant faire une autre affirmation sans doute plus « authentique »: La nature n'aime pas beaucoup les angles droits" entendons-nous bien, il ne s'agit que du "monde macroscopique" car, nous le savons, au niveau microscopique certains cristaux nous présentent souvent des structures basées sur des angles droits. Donc dans notre environnement tridimensionnel, qu'il y ait, un ou deux angles droits qui traînent ici ou là, cela va s'en dire, mais que l'on en retrouve en grande concentration et surtout sur la Lune, cela nous interpelle.

Nous allons donc ici, ouvrir un nouveau débat, qui semble n'avoir jamais encore été abordé franchement, et qui ne manquera pas désormais de s'enrichir des découvertes d'autres internautes en la matière, surtout s'ils disposent de meilleures photos que nous. Le Web sert avant tout à cela... En effet, les photos que vous allez voir sont obtenues empiriquement (avec nos faibles moyens), à partir de documents dejà peu raffinés et seuls les originaux devraient être étudiés avec précision. Donc soyez indulgents sur le manque de netteté de certaines figures ou de certaines bulles d'explications n'ayant pour but que de montrer une partie des éléments qui posent problème, l'internaute ayant tout le loisir d'en découvrir bien davantage sur de meilleurs documents.

Certains contradicteurs n'hésiteront pas à déclarer : "Rien ne prouve que ce sont des angles droits puisque vous ne les avez pas mesurés" … d'autres diront : "Il y a beaucoup plus d'angles qui ne sont pas droits et dont vous ne parlez pas...".

Mais chacun est libre de penser ce qu'il veut. Seule l'accumulation des cas insolites, pourra à la longue faire foi et si les faits s'avèrent authentiques, ceux qui ont fait semblant de ne pas voir, devront prendre le "train en marche" au risque de "glisser et de tomber sur les rails". Mais il serait judicieux au préalable de mettre ici en exergue, le communiqué suivant qui au lieu de faire la joie des journalistes de l'époque pour qu'ils en fassent le scoop de l'année, les a plongés dans un mutisme général notoire :


CONSTRUCTIONS SUR LA LUNE (LENINGRAD)

Lors d'une conférence de presse donnée à Léningrad à l'attention exclusive de la presse scientifique soviétique, deux responsables des programmes de stations automatiques russes sur la Lune, M.V. Kelditch et A.P. Vinogradov, se sont laissés aller à certaines allusions qui ont particulièrement troublé leurs auditeurs. Lors de certains programmes, les appareils soviétiques lunaires auraient enregistré sur notre satellite d'étranges traces de structures architecturales qui pourraient bien ne pas être d'origine naturelle. Des extraterrestres auraient-ils eu, par le passé, des colonies sur la Lune ? Certes, la question n'a pas été posée en ces termes. Mais le mystère n'en demeure pas moins. L’agence spatiale soviétique posséderait des photographies de ces constructions mystérieuses et jugerait peu probable qu'il s'agisse de concrétions naturelles. Reste à les explorer et à déterminer leur provenance, ce qui fera l'objet d'une prochaine expédition automatique russe. Extrait du n°405 de "Nostra : l'actualité insolite " du 10 au 16 janvier 1980."

Certains diront encore: "Nostra était-elle à l'époque une revue crédible ?"
Nous répondrons que, si ce communiqué est authentique (les spécialistes peuvent le vérifier) et si Nostra ne l'avait pas publié, on n'aurait jamais su, de la part des médias dits sérieux ( Le Monde.. La Recherche.. etc.), qu'il avait existé. "A bon entendeur salut"


II La genèse de l’affaire.

Nous présenterons aujourd'hui onze volets qui poseront des interrogations brûlantes à ceux qui voudront bien poursuivre leur exploration. Mais les images ont dû être réduites pour entrer dans le cadre restreint de cet article. Il faudrait pouvoir les agrandir chacune pour bien analyser les détails surprenants que nous y avons relevés.

a) Structures géométriques caractérisées dans le cratère Tycho.

Il n'est pas besoin d'être un spécialiste des structures géologiques pour remarquer sur cette photo de la Nasa n° 67 H1179 du cratère Tycho de la Lune (43° S-11° O.) des formes géométriques notoires où prédominent les angles droits qui ne sont pas, on le sait, le privilège des formes naturelles.

Comme ce cratère fait environ 85 km de diamètre en mesurant le diamètre de la photo, vous obtiendrez facilement l'échelle et vous vous apercevrez aisément du gigantisme des structures en question.

Voyons de plus près quelques agrandissements :

Sur le bas à gauche de la photo apparaît une sorte muraille formant un rempart d' environ 500 m de large ressemblant à ce que sur Terre, on pourrait appeler des "fortifications" et qui se terminent par deux formes rectangulaires différentes ayant toutes les deux environ 7 km de long, mais sur 4 km de large pour le plus petit et 6 km de large pour le plus grand. Les angles droits se distinguent ici très nettement. De plus, on distingue vers le haut gauche du rempart une sorte de T très structuré qui surplombe l'ensemble.

Vers le centre, apparaissent d'autres formes dont les angles droits sont remarquables.

Bien d'autres curiosités pourraient être relevées dans ce cratère, et il suffit d'utiliser pour cela une loupe, et on peut supposer que des photos de la Nasa ayant une bien meilleure résolution doivent bien exister certainement quelque part. Mais terminons par ce complexe de pistes dont une partie est en forme de "F" dont la barre verticale aurait près de 18 km de long et de 3 km de large. Parfaitement perpendiculairement sur la gauche de cet "F", arrive une autre piste plus courte de 2 km de large, et qui forme elle-même un angle d'environ 120° avec une autre plate-forme. Notons que ces pistes sont parfaitement rabotées et sont en plus surélevées par rapport à l'environnement.

On pourrait aisément penser que toutes ses formes sont naturelles, mais l'accumulation des angles droits dans ce site extraordinaire défie toutes les lois statistiques.

b) Structures géométriques caractérisées dans le cratère Arzachel.

De même un petit coup d'œil sur le cratère Arzachel (18,2° Sud et 1,9° Ouest) où l'on distingue un "rocher" central en forme de prisme possédant cependant une partie nettement demi-cylindrique juxtaposée avec d'autres structures caractérisées en arc de cercle. Mais de plus, ce cratère se distingue comme Tycho, par des structures géométriques notoires où les angles droits, les rectangles et même les formes carrées pullulent.

Nous avons découvert une autre vue de ce cratère qui complète parfaitement ce qui précède. En analysant cette nouvelle vue, vous y découvrirez sans doute, bien d'autres signes particuliers.

c) Structures géométriques caractérisées dans le site de Fra Mauro.

En Février 1971 les astronautes Alan SHEPARD et Edgar MICHEL d'Apollo 14 posaient le pied sur la Lune dans la région de FRA MAURO indiquée par une flèche sur la photo. C'est cependant dans le coin que l'on découvre des structures insolites où les angles droits sont légions. Dans la région voisine sur la gauche, on aperçoit des structures en forme de H ou d'Y, des croix, des angles droits à profusion.

A vous donc de juger et de découvrir des merveilles non citées ici, faute de place et il ne faut pas oublier que ces structures font des centaines de mètres de long et souvent des km.

Juste à côté du cratère Fra Mauro par 8° Sud et 17° Ouest, se trouve celui de Parry en dessous. Chose très surprenante, on y voit en premier lieu une rainure très insolite qui "semble" ( pour ménager certaines susceptibilités ) traverser la montagne constituée par le bord du cratère et montagne, qui fait pourtant plusieurs km de haut comme s'il s'agissait d'un vulgaire tunnel. De plus, il y a une autre ouverture béante, légèrement décalée sur la droite et placée au-dessus du point de contact de cette rainure avec le versant intérieur de la montagne. Cette affaire de rainure qui traverse la montagne, a troublé plus d'un observateur, puisque le 05 /02/2000, nous avons reçu de notre ami Mr F. B. le croquis tiré d'un livre moderne (dont nous tairons le nom, pour ne pas lui faire une mauvaise publicité) qui présente la montagne en question comme possédant une faille se juxtaposant parfaitement avec la rainure.

Le problème du tunnel est ainsi parfaitement escamoté en douce. Or cette faille n'existe pas sur la superbe photo prise par les astronautes d'Apollo 14 (voir photo Parry plus bas). Donc nous préférons penser que l'auteur n'avait pas, quand il a fait ce croquis, les informations d'Apollo 14 et qu'il a supposé que la faille existait pour justifier la ligne droite de cette rainure à travers la montagne, plutôt que d'imaginer qu'il ait voulu caviarder, l'inadmissible énigme que lui posait cette rainure.

Sur le bord gauche de cette rainure, on aperçoit aussi une forme curieuse ayant 4 angles droits et ressemblant à une manivelle accrochée sur le bord tout blanc du cratère. A l'extérieur de Parry, deux autres rainures semblent se couper parfaitement à angle droit. Mais ici une autre prise de vue serait nécessaire pour le confirmer.

Plus haut une curieuse rampe monte jusqu'à un plateau très haut placé, puisque la lumière rasante du soleil l'éclaire de tous ses feux. Ce plateau qui domine le coin est constitué de segments à supports parallèles et de divers angles droits qui pullulent aussi d'autre part par ailleurs.

d) Structures géométriques caractérisées dans la région d'Imbrium.

Dans le bassin d'Imbrium on découvre une superbe rainure photographiée par les astronautes d'Apollo16, parfaitement rectiligne et qui aboutit sur la droite à un petit cratère adossé à une structure géométrique caractérisée par des contreforts à angles droits. Au début de cette rainure sur son bord supérieur on aperçoit sans discussion possible un bassin rectangulaire qui doit pourtant faire des centaines de mètres. Jetez donc un coup d'œil sur la photo du bassin Imbrium et vous serez surpris de trouver bien plus de choses que celles repérées.

Sur la droite de cette rainure se trouve une région particulière avec sur la droite vers le haut une forme géante très géométrique avec des angles surprenants et qui est entourée de structures toujours formées d'angles droits.

Plus à droite apparaît une structure cylindrique à étages et dont le pourtour est parfaitement raboté puisqu'il est d'une blancheur notoire.

e) Structures géométriques caractérisées dans le cratère Lichtenberg

Si l'on se plonge sur les caractéristiques des environs de ce cratère (31° Nord- 67 °Ouest), on découvre sans ambiguïté possible, une vaste zone de plus de 10 km où apparaissent de très nombreux rectangles, carrés, trapèzes et segments à supports parallèles, ce qui donne l'aspect indéniable de ruines gigantesques.

Dans la partie inférieure droite de l'image le nombre d'angles droits qui se manifestent est considérable. Comment expliquer cette accumulation ? Aux spécialistes des statistiques de répondre.

Plus bas, on découvre aussi l'ombre rectangulaire d'un pilier vertical qui ne peut être que gigantesque.

f) Structures géométriques caractérisées dans le cratère Marius.

Si nous examinons maintenant le cratère Marius (12° N-51° O) situé à environ 270 km de Képler, on découvre d'abord sur le haut gauche de l'image, une structure faite de deux cylindres étagés parfaitement verticaux et perpendiculaires. Plus bas, apparaît un ensemble complexe insolite où prédominent des angles droits, que l'on trouve aussi dans son environnement immédiat, et que l'on aura aucun mal à déterminer.

Enfin et nous demandons ici aux spécialistes en géologie de nous trouver une théorie acceptable qui peut expliquer comment le petit cratère du bas à droite de l'image a pu être traversé par cette sorte de "pont géant très structuré par formes à angles droits" et placé diamétralement en surplomb sur l'ensemble. De meilleurs clichés de la Nasa, qui doivent bien exister quelque part, de ce petit cratère, nous révéleraient très probablement des détails encore plus surprenants. Que ceux qui ont la possibilité de découvrir ces clichés, ne se privent pas du plaisir que l'on pourrait avoir à les analyser et qu'ils soient assez aimables de nous les faire partager également.

g) Structures géométriques caractérisées dans le cratère Copernic C

Dans le cratère Copernic C, on aperçoit, chose très étrange, deux plate-formes de formes rectangulaires et surtout de couleurs différentes. Au centre de ce cratère, il y a un monticule blanchi jouxtant une sorte de pic qui doit être gigantesque d'après la longueur de son ombre.

Hors du cratère, juste en dessous, apparaît un ensemble de formes ayant des segments à supports parallèles et des angles droits à profusion.

h) Quadrillage caractérisé sur le versant de Tycho.

Regarder maintenant cette photo de la région juste en dessous du cratère Tycho présenté plus haut. On y trouve un quadrillage notoire, fait de pistes de plus de 4 km de long et d'au moins 500m de large. Cette photo est une portion d'un cliché pris par la sonde Clémentine.

Voici maintenant une autre image plus ancienne prise par Orbiter (extraite du livre de F. Link intitulé La Lune chez A. Michel 1970 page 57) et où l'on aperçoit déjà le début du quadrillage précédent le reste étant hélas dans l'ombre. Il est clair que des images plus nettes s'imposent pour bien analyser ces étranges structures. Si vous avez la chance de les trouver pensez à nous SVP. Merci d'avance.

Dans les deux portions des photos précédentes, nous vous laissons le soin de découvrir par vous-même, la profusion régnante de structures ayant des blocs orthogonaux et nous vous invitons à retrouver les originaux plus nets de ces clichés, pour mieux vous éclairer.

i) Structures géométriques caractérisées dans le bassin Schrödinger.

Nous présentons maintenant le bassin de Schrödinder de près de 320 km de diamètre ainsi appelé car il possède deux anneaux concentriques. Si nous examinons, même sans loupe, cette photographie de la Nasa, qui n'est certainement pas la meilleure et la seule que possède cet organisme, nous restons muets d'étonnement devant les éléments bizarres qui sautent aux yeux.

Sur la gauche de la photo, nous observons d'abord dans un petit cratère, une structure très insolite possédant un petit trou central entouré de structures rectangulaires, le tout formant une plate-forme de plus de 5 km de long, d'une blancheur caractéristique d'un nivellement notoire bifurquant ensuite à 120° vers la droite, sur le bord gauche du petit cratère.

Plus bas, un autre petit cratère semble avoir subi le même nivellement mais ce dernier fait plus de 10 km en ligne droite pour bifurquer à 90° vers la droite.

Nous avons aussi repéré sur la partie droite de la photo, trois bassins sombres parfaitement rectangulaires, et il y en a bien d'autres non notés pour ne pas croiser les flèches qui indiquent par ailleurs, une multitude très insolite d'angles droits sur cette région.

j) Structures géométriques caractérisées dans le cratère Copernic.

Le cratère Copernic (10° Nord - 20° Ouest), qui fait 93 km de diamètre et a une profondeur moyenne de 3760 m, est l'un des plus célèbre cratère de la Lune, en raison des mystérieux rayonnements très brillants et très nombreux qui partent de lui, en étoile, dans toutes les directions, sur des centaines de Km vers l'extérieur, ces formations rectilignes étant attribuées soi-disant à des éclaboussures météoritiques.

Juste en bas du centre tout blanc de ce cratère, nous observons deux petits points noirs desquels semblent partir, par contre des rainures sombres qui semblent emprunter des directions orthogonales, mais celles de gauche est moins apparente que la droite. Affaire à suivre donc.

Ces rayonnements blanchâtres demeurent à eux seuls, l'une des plus troublantes énigmes qui s'attachent à notre satellite et un article entier serait nécessaire pour traiter le sujet. Pour les internautes qui veulent en savoir plus, prière de se reporter aux pages 109 à 117 du livre de l'ouvrage : "Ils n'étaient seuls sur la Lune " de G. Léonard (Belfond Mars 1978)

Nous allons analyser ici une petite portion d'un de ses versants. La photographie est hélas l'une des premières photos mosaïques de la Nasa et on y aperçoit les traits verticaux du collage des bandes de balayage de la sonde qui avait été satellisée autour de la Lune à ce moment là.

Il n'est cependant pas besoin d'être un expert en photographie pour découvrir dans cette simple partie de Copernic, vers la gauche de la photo, des structures polygonales insolites où règnent des angles droits, et tout à fait en bas, on y aperçoit deux rainures notoires strictement parallèles et qui semblent même traverser la bande très blanche qui s'étend circulairement sur toute la photo. En haut, nous voyons des structures en escaliers et une excavation rectangulaire très prononcée. Vers la droite, nous avons noté, 6 complexes très insolites ayant de très nombreux angles droits. Enfin comme à notre habitude, nous avons relevé un arbre à multiples embranchements, conduisant à une profusion d'angles droits sur une zone couvrant pourtant des centaines de km2

K) Structures géométriques dans l'environnement d'un cratère X.

C'est en recherchant dans nos dossiers, une photographie de la sonde Surveyor 3, ayant touché la Lune le 17 Avril 1967 et retrouvé, deux ans plus tard par les astronautes Bean et Conrad d'Apollo XII, bizarrement toute jaunie, parait-il, à cause des 120 degrés du midi lunaire, que nous sommes tombés, certains diront encore par hasard, sur une toute petite photo, d'un paysage lunaire, hélas non référencé, si troublant que nous n'avons pas hésité une seconde pour le mettre en ligne. Pour ceux qui ont la chance, de posséder l'original, il s'agit de la photo de la page 62 du fascicule d'Alain Dupas "la Saga de l'espace" dans la collection Gallimard Technique, photo prise en Août 1966 par la sonde américaine Lunar orbiter !

Donc malgré son champ visuel très restreint, cette image nous a laissé muet de stupéfaction, (ce qui pourtant ne troublera pas, le moindre du monde, nous le savons, ceux qui font la politique de l'autruche..).

Observons d'abord le bas de la montagne. Une plate-bande sombre à bords parfaitement parallèles, ressemblant à une route creusée à flanc de montagne s'y étire sur toute la largeur de la photo. Certains pourront dire, qu'il s'agit encore d'un défaut de la transmission électromagnétique photographique comme les rayures apparaissant au bas de la photo. Mais cette plate-bande est segmentée par les trois éléments qui prouvent que la transmission a bien marchée, au moins pour eux. De plus cette plate-bande est juxtaposée vers le haut, avec une large excavation sinon rectangulaire, au moins en forme de parallélogramme.

Sur la droite de la photo, nous avons noté pas moins de quatre structures totalement insolites, surtout celles du haut, qui présentent des blocs à bords parallèles ou au mieux orthogonaux.

Vers le haut de la photo, nous découvrons au moins trois plates-formes encaissées et caractérisées par un nivellement très lumineux. Un peu à gauche, on aperçoit un bassin en forme de croix notoire bien placée au centre d'un petit plateau en pente douce. Juste en dessous plus bas, apparaît une ligne bien nette faîte de petites excavations ou peut-être mieux une fine faille de liaison entre deux structures et parsemée de passages transversaux formant des sortes de petits ponts.

Le "petit cratère" (on ne connaît pas hélas l'échelle) lui, possède deux ouvertures insolites, que seule une meilleure photo nous permettrait de mieux analyser plus avant. On y voit aussi d'ailleurs à l'intérieur sur le croissant tout blanchi de gauche, une petite trouée sombre isolée qui semble, de plus rectangulaire.

Juste à l'extérieur, un peu en bas à gauche de ce cratère, apparaît un ensemble de structures bizarres, mais où se distinguent surtout, au moins 4 bassins sombres de forme rectangulaire ou carrée.

Enfin, et l'internaute curieux le découvrira bien mieux encore, nous apercevons vers le bas, un bassin très insolite possédant une frange formée de petits blocs juxtaposés en éventail autour du bassin.
Etats et Empires de la Lune
Extrait du livre de Michael Lecomte « Des Enigmes et des Hommes »


Le 2 mai 1933

Le titre de ce chapitre fait bien sûr référence à l'ouvrage de Cyrano de Bergerac paru en 1657. Mais ce chapitre aurait pu tout aussi bien s'intituler « La Lune est pleine d'éléphants verts », phrase surréaliste émise par radio-Londres en 1940 à destination de la Résistance. Il va être question ici de certains phénomènes encore inexpliqués qui ont à voir avec l'astronomie.

Les anomalies lunaires font penser à certains amateurs de mystères que notre satellite naturel est habité par des êtres venus d'ailleurs. Elles se comptent par milliers et plusieurs d'entre-elles ont été observées dans l'antiquité, bien avant l'invention du télescope. On leur donne aujourd'hui le nom de phénomènes lunaires transitoires (LTP). Elles sont classées en cinq groupes principaux :

1/ Les phénomènes de brillance
2/ Les dégagements de gaz
3/ Les assombrissements
4/ Les colorations
5/ Les lueurs

Certains LTP, qui pourraient s'ajouter aux énigmes de la première partie de ce livre, sont provoqués par des phénomènes atmosphériques purement terrestres. Il arrive par exemple que la lumière solaire se reflète sur des nuages, traverse l'espace Terre-Lune et vienne éclairer des parties de la Lune restées dans l'ombre. La très grande majorité de ces phénomènes sera probablement expliquée un jour. Une bonne partie d'entre eux le sont pratiquement déjà. Il existe cependant des phénomènes qui n'entrent pas vraiment dans les cinq groupes précédemment cités. Certains d'entre eux ont même tout à fait inclassables.

Parmi ceux qui ne sont pas éminemment énigmatiques les manifestations de brillance ou d'éclats lumineux sont à mes yeux les plus surprenants. Ainsi, le 24 janvier 1956, l'astronome amateur Hougton observa un éclair très brillant qui émanait d'un pic situé sur le rempart Est du cratère Cavendish. Le scintillement se renouvela plusieurs fois de suite.
D'autres effets de scintillement ont été observés par la suite, y compris par des astronautes. Il n'est peut-être pas inutile de rappeler qu'en astronomie le mot amateur n'a pas de sens péjoratif. Les astronomes amateurs collaborent avec les professionnels et de nombreuses découvertes sont dues à des observateurs non-professionnels.

De très nombreux phénomènes ont été décrits par des observateurs sérieux sur la Lune et dans l'espace qui l'entoure mais les auteurs d'ouvrages à sensations commettent des exagérations fantasmatiques dans leurs interprétations. Lorsque l'on détaille leurs démonstrations il est aisé de constater que les constructions et les engins qu'ils affirment distinguer sur le sol lunaire sont imaginaires. Il en va tout autrement des observations faites par les sélénographes de bonne réputation. Telle celle du 29 août 1871, que nous devons à l'astronome franco-américain Etienne Léopold Trouvelot.

Rendue publique en 1885 mais tombée rapidement dans l'oubli elle a été exhumée par Charles Fort en 1923. Elle est tellement insolite que j'ai voulu vérifier si l'ermite du Bronx, emporté par sa passion pour les faits bizarres n'avait pas exagéré son propos. Il n'en est rien : j'ai pu m'assurer à l'observatoire de Meudon, où Etienne Trouvelot a travaillé à la fin de sa vie, que l'observation rapportée par Charles Fort est authentique. On peut effectivement la trouver dans les pages 8, 9 et 10 de L'année Scientifique et Industrielle (volume 1885). Grâce à l'aide précieuse d'une bibliothécaire de l'observatoire de Paris j'ai pu remonter jusqu'au texte original.
Voici donc cette observation qui fut l'objet d'un compte-rendu à l'Académie des Sciences.

« Le 28 août 1871, à midi, j'observais le soleil depuis quelques temps à l'aide d'une lunette de 4 pouces d'ouverture, quand je vis tout à coup passer devant son disque une multitude de corps noirs et opaques. Bien que ce corps fussent en général fort petits, il y en avait cependant parmi eux dont les dimensions étaient appréciables et égalaient en grosseur une petite tache solaire visible vers le centre de l'astre et qui sous-tendaient un angle de 20" à 25". La vitesse de ces corps n'était pas uniforme, et, tandis que les uns se mouvaient avec une très grande rapidité, les autres allaient assez lentement. Leur passage devant le soleil ne se faisait pas non plus
d'une manière régulière et suivie, il y avait comme des instants de repos pendant lesquels on n'en apercevait aucun, et des moments d'activité durant lesquels ils se montraient fort nombreux. Quand apparaissait un de ces corpuscules, il était invariablement suivi par d'autres qui lui succédaient de très prés.

Bien que la direction générale de ces corps sur le disque solaire s'accomplit de l'est à l'ouest, il y en avait cependant plusieurs qui ne suivaient pas cette direction et s'en écartaient même d'une quantité notable qui, en une occasion, en différaient de 70° à 75°. la ligne
tracée par eux sur le soleil différait grandement quant à la forme. Les uns, et c'était le plus grand nombre, suivaient une ligne droite, les autres une ligne courbe, et d'autres, enfin, suivaient une ligne sinueuse et ondulée. Ces corps différaient aussi par la forme. En général, leur forme était plus ou moins circulaire, mais il y en avait aussi de forme triangulaire et de formes beaucoup plus compliquées. Je remarquais particulièrement un de ce corps de forme triangulaire qui semblait tomber vers la Terre et suivait une direction un peu oblique à la verticale. Sa marche était très lente et, en tombant, il se balançait à droite et à gauche comme le fait un disque de métal très mince qui s'enfonce dans l'eau. »

Suivent des réflexions de l'astronome concernant le nombre des corpuscules observés, la direction du vent et la température. Trouvelot dit qu'il n'est pas le seul astronome à avoir observé ces corpuscules mais que les chercheurs qui ont fait de semblables observations ont prétendu qu'il s'agissait de comètes, d'astéroïdes ou d'essaims d'étoiles filantes. Il pose cette question : « (ces corpuscules) étaient-ils tout simplement des insectes voltigeant, des graines ou de poussières emportées par le vent et voyageant avec lui dans l'atmosphère ? » et précise que la direction du vent et la chaleur élevée penchaient en faveur des insectes.

Il finit cependant son compte-rendu par ces lignes :

« On pourrait cependant objecter que si le phénomène était dû soit à des insectes, soit à des graines ou à des poussières, il devrait se reproduire assez souvent. Mais, à en juger d'après ma propre expérience, il semblerait au contraire très rare. En effet, depuis cette observation, j'ai journellement étudié le Soleil et observé sa surface plusieurs milliers de fois, et cela pendant des heures entières, sans avoir jamais revu ce curieux phénomène. Et, à l'exception de quelques rares oiseaux, toujours facile à reconnaître, passant de loin en loin devant lui, je n'ai rien vu qui ressemblât aux corpuscules observés en 1871. »


Conscient du coté très insolite de son observation, Etienne Trouvelot ne la rendit publique qu'au bout de plusieurs années de recherche, après avoir observé le soleil de nombreuses fois dans l'espoir de revoir des corps identiques et de trouver une explication (il vit en fait deux autres corpuscules dans l'après midi du même jour et plusieurs autres quatre jours plus tard, le 1er septembre).

Contrairement à une légende entretenue par certains passionnés, Etienne Trouvelot ne fit pas de rapprochement entre son observation et les objets aperçus depuis les villes de Nuremberg et de Bâle deux siècles plus tôt. Il ne fit pas non plus mention de corpuscules se mettant en vol stationnaire ou comportant des facettes.

Etienne Trouvelot n'était pas seulement astronome. Il s'intéressait de près aux oiseaux et était entomologiste. Une confusion avec des oiseaux ou des insectes est donc très peu probable.

Nous pouvons retenir quelques points particuliers dans son compte-rendu :

- Nous y apprenons que d'autres astronomes ont fait des observations semblables.

- Il est possible de déduire de la phrase : « qui semblait tomber vers la Terre » que Trouvelot avait par moments l'impression que les corpuscules se déplaçaient dans l'atmosphère terrestre.

- Cet astronome a décrit (bien involontairement) le fameux et très insolite mouvement pendulaire baptisé "chute en feuille morte" qui sera plusieurs fois mentionné lors des témoignages d'observation d'ovni un siècle plus tard.

Mais la plus étonnante observation faite par Etienne Trouvelot est sans doute celle du le 20 février 1877.

Voici quelques extraits d'un compte-rendu d'observation qu'un heureux hasard m'a mis entre le mains à l'observatoire astronomique de Paris. Les mots en italique le sont dans le texte original.

« Le 20 février 1877, entre 9h30m et 10h30m, temps moyen de Cambridge (Etats-Unis), j'observais le cratère Eudoxe à l'aide d'un réflecteur de 0,162 mm, quand mon attention fut éveillée par un phénomène inusité que je n'avais jamais remarqué auparavant. A ce moment, les conditions atmosphériques étaient très favorables pour l'observation. (...) Le phénomène consistait en un mince filet lumineux qui traversait la partie méridionale du cratère et s'avançait en ligne droite, allant d'un bord à l'autre en conservant une largeur uniforme. (...) Ce filet lumineux paraissait plus brillant que les parties de la surface qui recevaient la lumière solaire et qui lui étaient contiguës, car il se détachait sur elles avec netteté. Ce trait lumineux, avec le large ruban d'ombre qui le longeait au Nord, produisait sur moi l'impression très décidée que le cratère était traversé en cet endroit par un mur étroit et très élevé (...) Plus d'une année s'écoula avant que je n'eusse l'occasion d'observer de nouveau ce cratère. Le 31 décembre 1878, par une vue excellente, et bien que la ligne du terminateur passât non loin d'Aristillus, je ne pus rien découvrir qui ressemblât à ce que j'avais étudié en 1877. (...) Depuis, j'ai observé ce cratère chaque fois qu'il se présentait dans les mêmes conditions d'illumination, mais je n'ai jamais revu le même phénomène. Dernièrement, le 23 avril 1885, j'ai
examiné avec beaucoup de soin le fond de ce cratère alors exposé aux rayons du Soleil, mais je n'ai rien remarqué qui ressemblât à un mur, sinon qu'à l'Ouest on voyait quelques rocs et débris disposés en ligne droite sur le trajet même du filet lumineux observé en 1877. (...) La longueur considérable de ce mur, qui dépasse 3° (près de cinquante kilomètres), sa régularité parfaite, et la courbe hardie qu'il décrit autour du cratère, (semblerait-il) pour l'éviter, font de cette formation lunaire un objet tout à fait remarquable, qui ressemble à s'y méprendre à quelque viaduc gigantesque dont plus d'un ingénieur serait fier. »

Etienne Trouvelot fit une observation comparable le 4 mai 1881 dans le même cratère et trois ans plus tard dans le cratère Aristarchus. Il avait donné pour titre à son compte-rendu d'observation : "Murs énigmatiques observés à la surface de la Lune".

Des éruptions de gaz soulèvent probablement la poussière lunaire. Par ailleurs, des tremblements de Lune ont été enregistrés, dus en partie à l'attraction Terrestre. La Terre exerce en effet une attraction qui déforme notre satellite de plusieurs kilomètres compte tenu de son diamètre moyen. Ces tremblements, comme les dégazages, peuvent eux aussi faire voler de la poussière mais on ne comprend mal ce qui pourrait rendre cette poussière suffisamment brillante pour être vue depuis le Terre. Il serait trop long de donner ici toutes les hypothèses qui ont été imaginées pour expliquer les anomalies lunaires. Parmi les bizarreries qui ont été enregistrées dans le passé on peut également citer un triangle lumineux aperçu dans le cratère Platon en
1877 (observation Klein).
Ce triangle a été signalé une autre fois dans le courant de la même année (observation Speissen). Les cratères Messier A et Messier B ont été observés près de 300 fois de 1829 à 1837 par l'astronome allemand Johann Heinrich Mädler qui s'étonnait d'une ressemblance frappante unissant ces deux cratères. En 1842, le sélénologue Gruithuisen découvrit qu'ils avaient cessé d'être jumeaux car l'un comme l'autre avaient changé de forme et de profondeur, Messier B étant devenu presque triangulaire. Cette dernière observation a été confirmée par un autre observateur.

Ces anomalies trouveront probablement une explication rationnelle dans les années qui viennent. On peut cependant se demander quelle explication pourra être trouvée au mur énigmatique découvert par Etienne Trouvelot le 20 février 1877.

© Michael Lecomte. "Toute reproduction, même partielle, est interdite sans autorisation écrite de l'auteur".






Ovnis lunaires vus de la Terre

De nombreux astronomes ont remarqué des phénomènes étranges sur la lune. En voici deux exemples extrait du site Them.

Un astronome amateur dit avoir vu
clairement un énorme vaisseau sur la lune

« J'ai fait une observation en septembre 1996. J'utilisais mon puissant télescope 10'', un samedi soir, juste avant la nuit, pour voir les cratères lunaires. Le meilleur moment pour voir les détails d'un cratère est de les attraper dans l'ombre. En regardant vers le bas, dans le cratère, j'ai observé un très large appareil ressemblant à une fusée se tenant verticalement dans le cratère. Le corps principal était le plus élevé, avec deux " booster " de chaque coté. L'appareil était complètement blanc, comme du tuyau PVC. Il était magnifique.

Pour moi, cela ressemblait à un gigantesque transporteur de quelque chose. J'étais sidéré et j'ai regardé tout autour pour voir si un voisin était disponible pour regarder, mais personne n’était à la maison. J'ai alors appelé ma femme (une sceptique) et elle l'a vu aussi. J'ai vu plusieurs objets orbitant entre la terre et la lune, mais c'est la première fois que je vois quelque chose SUR la lune. Mon télescope n'est pas conçu pour photographier, donc pas d'images. »

Commentaires de Sightings :

Comme expert amateur en anomalies lunaires, j'ai un problème avec le rapport de Mr Green. Un : il ne donne pas de données comme la localisation de son observation afin que les chercheurs comme moi-même puissions confirmer son observation. Son puissant télescope, en regard de sa taille et de sa puissance, ne peut pas lui donner autre chose que les vues que j'ai dans mon photo journal. J'ai vu assez de rapports d’amateurs où la résolution n'était pas suffisante pour obtenir une conclusion sur ce qui a été vu. Croyez-moi.

Dans le début des années 80, j'ai eu affaire avec des personnes similaires qui avaient toutes tort dans leurs affirmations. Enfin, Mr Green donne cette excuse que son télescope est un Dobsonia, et donc pas de photos. Je dis mensonge ! Si vous pouvez le voir vous pouvez le photographier. Je suis aussi un astronome amateur.


A New York,
des disques se déplacent à travers la lune

Bronx : le 28 août 1999

Un astronome amateur utilisant un télescope Meade ETX90 déclare avoir observé à 22h00 un objet rond en forme de disque se déplaçant, par deux fois, a travers la face de la lune ! Il enregistra les deux objets sur cassette vidéo à travers son télescope en utilisant un agrandissement X 48. La lune se trouvait en Est / Sud Est à ce moment là.

L'objet était rond sans aucune lumière et pas de marques distinctives. Les disques se déplaçaient à travers la lune en ligne droite. Ils ne faisaient aucun bruit. Après avoir enregistré le premier objet, l’astronome continua à observer la zone, et environ une minute plus tard, il vit à nouveau le même objet ou un objet similaire.

« J'ai vu deux disques ronds, a deux moments différents. Ils n'avaient pas de lumières ni rien d'autre, ils étaient juste ronds, noirs et se déplaçaient à travers la face de la lune. Je ne peux pas dire leur distance, et je n'ai pas eu le temps de les voir de mes yeux nus. J'étais en train d'enregistrer quand je les ai vus donc j'ai les deux sur cassette. Comme astronome ma conclusion est que c'était simplement un ovni. Aucun doute possible ! »
Apollo 11
Le premier pas sur la Lune

Le but de la mission Apollo 11 est de faire alunir 2 hommes et de les ramener sains et saufs sur Terre. Le décollage a lieu le 16 Juillet 1969 à 8 h 32 (EST) depuis Centre Spatial Kennedy (Floride). L'appareil emporte un équipage de 3 personnes : le commandant de mission Neil Armstrong, le pilote du module de commande Michael Collins, et le pilote du module lunaire Edwin Aldrin.

Le 21 juillet, avant le premier alunissage, l'équipage d'Apollo 11 observe un objet volant volumineux qui vogue dans la même direction que la capsule. Observé à travers un petit télescope, il ressemble par moment à un cylindre creux et cabossé, mais en mettant bien le télescope au point, on distingue clairement une forme en "L", « comme une valise ouverte dit Neil Armstrong.

L'équipage pense qu'il s'agit de la fusée de lancement SIV-B, maintenant détachée, mais la base au sol annonce que la fusée en question se trouve à 10000 km de là. L'un des enquêteurs suggérera que cet objet était peut-être un fragment du matériel d'isolation. Neil Armstrong et Michael Collins se posent en douceur sur la Lune tandis qu'Edwin Aldrin reste en orbite basse et filme les faces visibles et cachées de notre satellite naturel.

Les déclarations des 3 astronautes de la mission Apollo 11 furent cependant claires : aucune trace de vie à la surface de la Lune. Mais la rumeur prétend également que les 3 astronautes furent constamment "surveillés" par des ovnis au cours de leur mission. Cette rumeur a pour origine la transcription d'une conversation radio entre l'équipage d'Apollo 11 et la base terrestre de la NASA, baptisée "Mission Control" :

« Qu'est-ce que c'est ? Qu'est-ce que c'est, bon sang ! Je veux absolument le savoir. Les engins sont énormes, je vous dis... Mon dieu, mais c'est incroyable...

« Quoi... que se passe-t-il ?

« Ils sont là, sous la surface.

« Qu'est-ce qui se passe ? Mission Control appelle Apollo 11.
« Affirmatif, nous sommes ici tous les trois. Et ils sont là depuis pas mal de temps, à en juger par les installations... Je vous dis qu'il y a d'autres vaisseaux spatiaux là-bas. Ils sont alignés de l'autre côté du cratère. »

Otto Binder prétend que cette étrange conversation fut captée par un radio-amateur ayant réussi à se brancher sur le canal confidentiel réservé à la NASA.

Il demeure malgré tout très difficile d'authentifier cette conversation. En outre, Neil Armstrong, répondant aux questions de Timothy Good, démentit formellement toute observation anormale :

«Excepté des objets d'origine naturelle, aucun fait bizarre n'a été signalé, trouvé, ou vu au cours de la mission Apollo 11, ni d'ailleurs lors des missions ultérieures.»

Le seul fait corroborant ce témoignage vient de Maurice Chatelain. Lors d'une interview donnée en 1979, Chatelain insiste sur le fait que la durée de transmission du dialogue entre "Mission Control" et Apollo 11 permettait techniquement à la NASA de censurer des informations.

Le 21 juillet 1969 est posée dans la Mer de la Tranquillité une plaque commémorative métallique apposée sur le Lem Columbia, portant le message suivant :

« Ici, des hommes de la planète Terre ont posé pour la
première fois le pied sur la Lune. Juillet 1969 après
J-C ».


Puis le message fait plus direct :

« Nous sommes venus dans un esprit de paix au nom de toute l'humanité ».

Suivent les signatures de Neil A. Armstrong, astronaute, Michael Collins, astronaute, Edwin E. Aldrin Jr. astronaute, Richard Nixon, président des Etats-Unis d'amérique. Sur les pieds de ce Lem existe aussi une "Pierre de Rosette", de la Sprague Electric Company.

Une douzaine d'heures après le retour des cosmonautes dans la cabine d'Apollo 11, le LEM, inutilisable, s'écrasa sur la surface de la Lune. Celle-ci en trembla durant 2 h environ, d'après le sismographe qu'Aldrin et Armstrong installèrent à plusieurs centaines de km du point d'impact.


Apollo 11 : version officielle ?

Selon certains rapports, Neil Armstrong et Edwin "Buzz" Aldrin auraient vu des OVNIS peu de temps après l'alunissage historique d'Apollo 11 le 21 Juillet 1969. Un des astronautes fit référence à une "lumière" dans, ou sur un cratère, lors d'une transmission télévisée; Cette annonce fut suivie d'une requête de contrôle de cette mission pour davantage d'information. On n'en entendit plus parler.
Selon un ancien employé de la NASA, Otto Binder, des radio-amateurs canadiens, avec leurs propres moyens de réception VHF reçurent aisément les conversations de la NASA.

Voici une transmission entre Houston et Apollo 11, après l'atterrissage lunaire :

LA MISSION DE CONTRÔLE : Qui y a t'il? Le contrôle de mission appelant Apollo 11.

APOLLO 11 : Ces "bébés" sont énormes, Monsieur... énormes....Oh, Mon Dieu, vous ne voudriez pas le croire ! Je vous dis il y a d'autres vaisseaux spatiaux ici... Ils sont alignés sur le bord le plus éloigné du cratère... Ils sont sur la lune et nous surveillent...

A 1h50 du matin, tandis que Aldrin et Armstrong effectuent leurs premiers pas sur la Lune, Collins, le pilote du module de commande Colombia continue sa ronde solitaire en orbite lunaire. L'enregistrement officiel qui s'établit entre Houston et Colombia est le suivant.

COLLINS : Ca va. Aucun signe du LEM cette fois. Je peux voir un objet très petit et blanc. Les coordonnées sont...

HOUSTON : Allez-y avec les coordonnées du petit objet blanc.

COLLINS : 0,3 7,6. Exactement à la limite Sud occidentale d'un cratère. Je pense qu'ils le sauraient s'ils étaient dans un emplacement pareil. C'est sur la paroi occidentale d'un lointain cratère.

HOUSTON : Ca va, nous enregistrons 0,3 7,6 et ...


Voici maintenant une entrevue classée entre un professeur anonyme et Neil Armstrong référant aux événements ci-dessus.

LE PROFESSEUR : Que s'est-il réellement passé à l'extérieur d'Apollo 11 ?

ARMSTRONG : C'était incroyable... bien sûr, nous avons toujours su qu'il y avait une possibilité... c'est maintenant certain, nous étions avertis. Il n'a jamais été question jusqu'ici d'une station spatiale ou d'une ville sur la lune.

LE PROFESSEUR : Qu'est ce que vous entendez par "nous étions avertis"?

ARMSTRONG : Je ne peux pas rentrer dans les détails, sauf à dire que leurs navires étaient de loin supérieurs aux nôtres dans la taille et la technologie - Qu'est-ce qu'ils étaient grands ! ...et menaçants... Non, il n'est pas question d'une station spatiale.

LE PROFESSEUR : Mais la NASA avait d'autres missions après Apollo 11 ?

ARMSTRONG : Naturellement - la NASA s'était engagée à l'époque, et nous ne pouvions pas risquer la panique sur terre... Mais c'était réellement une nouvelle excitante...


Qui est déjà sur la Lune ?

"L'armée des Etats Unis et l'US Air Force possèdent 122 photos prises par les astronautes sur la lune montrant une présence extraterrestre"
Colonel Philip Corso (1997)
membre du Conseil National de Sécurité sous la présidence d'Eisenhower



Vous ne verrez pas sur ce site d'OVNI garé au fond d'un cratère, tous "warnings" allumés (quoique... ), mais les preuves troublantes d'une présence extraterrestre.

Ce site a pour but non seulement de sensibiliser un large public, mais aussi présenter à la communauté scientifique des faits méritant des recherches plus approfondies et pourquoi pas l'envoi d'une sonde lunaire consacrée à ce problème.

En envoyant une sonde ou un robot sur la lune aux endroits évoqués par ce site, on pourrait avoir une certitude sur une présence extraterrestre sur la Lune et par la même de l'existence des extraterrestres eux-mêmes (les traces de pas ne s'effacent pas sur la lune !! ).

Du fait de la simplicité des phénomènes d'évolution de la surface lunaire, il est facile de mettre en évidence des formations géologique ou des phénomènes anormaux.


Les principaux phénomènes mis en évidence ont été les suivants :

- Carrières (région de Flamsteed) aux formes polygonales, munies de terrasses et de tas de déblais,

- Cratères comportant des monticules inexplicables,

- Rochers roulants ovoïdes aux trajectoires impossibles dont la surface réfléchit la lumière comme du métal poli,

- Jets de poussières intermittents (alors que la lune n'a pas de volcanisme actif),

- Phénomènes lumineux inexplicables.

Les anomalies Lunaires

Cette page relate les anomalies Lunaires photographiées par les différentes sondes expédiées sur orbite.

Des objets étranges sont présents sur la Lune
Regardez bien cette image du cratère Lobatchevsky. Certaines personnes pensent au décollage d'un objet. D'autres pensent à un jet de matière.

Mais les scientifiques savent qu'il n'y a rien sous le sol de la lune pouvant provoquer un tel jet de matière, alors nous opterons pour un monolithe sur le bord d'un cratère. Mais... Que fait-il encore ici et debout ? Puisque le crash ayant produit le cratère aurait dû le désintégrer !

Regardez cet objet, il remonte tranquillement une pente ascendante. Voici un zoom de la photographie ci-dessus. L'on voit clairement qu'il monte !

Le pire, c'est qu'il n'y a pas un seul objet, mais deux ! Voici une autre vue. Étrange, n’est-ce pas ?

Un cratère dans un cratère
Voyez de quelle façon les cratères Lunaires sont parfaits ! Peut-être même un peu trop... Celui du milieu semble insolite.

Un Sphinx sur la Lune ?
Voici une vue d'ensemble du cratère qui nous intéresse ici.
Zoom sur la photographie
Découvrez le Sphinx Lunaire
Plus de détails

Et pour finir voici une animation en guise de démonstration.

Biohasard
La précision de ce cratère qui se forme sur le bord d'un autre grand cratère.
Aussi, voyez deux formations parallèles, l'une en face de l'autre, sur les bords du petit cratère - lui-même sur le bord d'un cratère.

Écriture - Construction sur le sol
Jetez un œil sur cette photo. Impossible d'affirmer qu'il s'agit d'un phénomène naturel. Au centre et aussi en bas à droite.

Des cratères très spéciaux
Il y a pas mal d'anomalies sur cette image. Remarquez que ces cratères ont une forme pratiquement carrée. Le cratère en haut à droite est très commun et présente toutes les caractéristiques d'un vrai cratère. Mais les autres ? Regardez bien, celui en premier plan présente des anomalies ! Ces "traits" ne semblent pas d'origine naturelle.

Quelque chose de bizarre se trouve en haut à gauche de cette image. Regardez aussi de quelle façon la fissure sur le sol est suivie par des petits cratères. Coïncidences ? C'est un bon moyen de dissimuler les anomalies dues à une construction souterraine. Là aussi, ce n'est qu'une suggestion !

Une telle formation de cratères, les uns après les autres, n'est pas chose possible dans la nature.
Mais d'où peut provenir la luminosité qui ressort de ces deux photos ?
Construction Lunaire
Ceci, dans la Mer Imbrium, ressemble fort à deux installations. Certaines anomalies sont notables. Regardez la même zone sur cet agrandissement.

Un nuage sur la Lune
Non non, vous ne rêvez pas, il s’agit bien d’un nuage sur la Lune !
Tous les astronomes vous diront que la Lune est une boule morte, dans laquelle il n'y a aucune activité. Sur ces photos, l’on voit très clairement un nuage en mouvement !

Quelqu'un aurait-il une explication ? :-)
UN OBJET DANS UN CRATÈRE
Par Jean-Paul REGNIER


C'est en fait la preuve la plus évidente d'un engin artificiel sur la lune : comment expliquer l'existence d'une sorte de cylindre planté, distinctement visible dans le sol et incliné vers le ciel ? Il n'y a pas d'arbre sur la lune.

Quel phénomène naturel a pu faire surgir cette structure d'un sol inerte et relativement récent, faite de matériaux non consolidés mais solides ?

VUE D'ENSEMBLE
Ce cratère est situé près du cratère Kunowski (photo L0 2182 H2).
Il recèle une structure complexe et organisée qui est très différente des rochers assemblés par le hasard.
L'inclinaison des rayons solaires est de 17,72 degrés au- dessus de l'horizon.
Ce cratère a été photographié par Lunar orbiter 2 le 24 novembre 1966.
L'image d'un terrain de football donne l'échelle.

Le contenu de ce cratère est très particulier par le fait que l'on décèle une certaine organisation et des éléments originaux par leur forme.
On peut diviser ce contenu en deux éléments distincts:
- l'élément gauche le plus complexe (une sorte de virgule inversée).
- L'élément droit beaucoup plus simple (en fait un tube incliné, orienté vers le ciel comme un canon) mais aussi le plus inexplicable.

L'élément gauche est structuré
Une partie de cet élément s'aligne le long d'une ligne droite (ligne verte). Une sorte de cône courbe (B) semble pénétrer dans le sol en prenant naissance dans l'alignement précédemment décrit.

Quatre éléments prouvent que l'élément droit est un cylindre orienté vers le ciel :

- L'ombre portée en O sur le sol lunaire chaotique correspond à l'ombre d'un cylindre incliné de 16,2 degrés par rapport au sol lunaire et faisant un angle de 63,5 degrés (plan horizontal) par rapport aux rayons solaires (le soleil est à 17,72 degrés au-dessus de l'horizon lunaire).

- L'extrémité du cylindre (EC) et l'extrémité de l'ombre (EO) correspondent à l'alignement des rayons solaires (73 degrés 22).

- L'extrémité haute (EC) du cylindre est bien éclairée, alors que vu sa position il devrait être dans la pénombre du cratère, s'il était près du sol.

- Le côté du cylindre non exposé au soleil est ombré. La découpe de cette ombre (suivant l'arête du cylindre) est rectiligne et parallèle à l'autre arête du cylindre. Si ce cylindre était posé sur le sol lunaire, l'ombre projetée sur celui-ci épouserait sa forme.

Sur la partie médiane de ce cylindre on distingue une zone de couleur différente


Pour finir rêvons un peu

POURQUOI ONT-ILS ABANDONNÉ LA LUNE ?

1ère hypothèse
On sait qu’à l’époque, en pleine guerre froide, chacun des deux blocs considérait que celui qui coloniserait la lune aurait une position dominante sur la Terre. C’est pour cette raison et non pas pour une question d’ego et de prestige, comme on l’a trop souvent répété, que s’engagea la course à la Lune.

Dans un tel contexte, on peut supposer que le secret le plus absolu ait entouré la suite des missions lunaires. En effet, après le grand show médiatique des missions Apollo, destiné à peaufiner la technologie tout en contentant le contribuable américain, la conquête lunaire a très bien pu se prolonger dans le cadre militaire des fameux programmes « noirs ».

Ceux qui pensent que l’effondrement de l’Union soviétique aurait dû voir éclater la vérité méconnaissent la psychologie des grands stratèges militaires, jaloux de leur secret. De fait, l’armée refusera toujours de révéler un secret qui lui confère un avantage certain sur l’adversaire, quand bien même cet ennemi serait indéterminé.

2ème hypothèse
L’autre hypothèse (que l’armée, soucieuse de cacher son programme, aurait d’ailleurs eu tout intérêt à favoriser tout en prétendant le contraire), est la suivante : lorsque les astronautes posèrent le pied sur la lune, ils découvrirent que celle-ci était déjà occupée !
Voici ce qu’écrivait en 1976 George Léonard, dans son admirable livre « Ils n’étaient pas seuls sur la Lune » :

« …Les engins de travaux publics, les cratères aux crêtes arasées, les objets étranges, les constructions ; nous, c’est à dire nos envoyés spéciaux les astronautes, ont vu tout cela, et ils l’ont vu de près. Et ils ont dit ce qu’ils avaient vu : des êtres vivants et travaillant comme des forcenés, là-haut, sur « notre » lune, presque sous notre nez…
Que fait-on quand on se trouve face à face avec des extraterrestres peu aimables capables d’abattre un pan de montagne d’un coup de pelleteuse ou d’écraser, si la fantaisie leur prend, votre vaisseau spatial d’une chiquenaude ? Que fait-on quand on a acquis la conviction qu’ils ne s’en iront que quand Ils auront terminé les travaux mystérieux qui paraissent tant les absorber ?
C’est simple : on se retire soi-même sur la pointe des pieds.

(ndlr : rappelez-vous les dernières paroles du dernier astronaute d’Apollo 17 : « Tirons-nous d’ici ! »)

Et on annonce au reste du monde que les vols spatiaux ont perdu tout leur intérêt, qu’il n’y a rien sur la Lune et que, de toute façon, cela coûte trop cher d’y aller voir. Si on vous pose des questions gênantes, vous déclarez tout simplement que cela ne regarde personne. Voilà exactement où nous en sommes avec la Lune et ses programmes exploratoires. »

Depuis 1976, il semble que la situation n’ait pas beaucoup changé. Ainsi les deux hypothèses restent valables. Dans le cas d’une conspiration militaire, le débat se résume en une phrase : les anomalies lunaires ont été volontairement placées sur les photos dans le seul but d’égarer les curieux qui veulent savoir pourquoi la lune a été si brutalement oubliée. On ne connaîtra donc la vérité que le jour où chaque citoyen pourra se rendre sur la lune par ses propres moyens. Ce n’est pas pour demain !
La seconde hypothèse nous invite en revanche à étudier de plus près ces anomalies lunaires.

Les photos des missions Apollo
Si les astronautes ont effectivement vu des « choses » sur la lune, il a fallu cacher ces « choses » au public, et donc retoucher certaines photos afin d’éviter la panique sur terre.

On imagine que le laboratoire de développement de la Nasa a dû travailler dur durant toute cette période pour nous restituer des images « convenables » de l’événement. Et bien évidemment, dans certains cas, il fallut reconstituer certaines ombres. Ces reconstitutions n’eurent pas toujours l’effet voulu et certains chercheurs américains comme Richard C. Hoagland, le Dr. Mark Carlotto et bien d’autres, ne tardèrent pas à relever certaines anomalies qu’ils dénoncèrent sur le site :
http://www.lunaranomalies.com/. La thèse fut relayée en France par Philippe Lheureux sur son site http://www.multimania.com/autocoup/ et dans son livre « Lumières sur la Lune ».

La théorie avancée par tous ces chercheurs consiste donc à dire que les images des missions Apollo ont été prises en studio. Il est légitime de s’interroger là-dessus. Voici pour preuve trois images d’entraînement des missions Apollo que nous avons trafiquées en quelques minutes pour les besoins de la démonstration.

Cette manipulation est également possible sur les images de Mars où le décor de Pathfinder fut reconstitué avec un réalisme fou. Moi je ne m’étonne plus d’apprendre que ce petit véhicule n’a pas pu s’éloigner au-delà de 20 mètres de son point d’atterrissage. Et, oui, pour aller plus loin, il aurait fallut abattre les murs ! (joke)

Alors certes, quelques photos de la mission Apollo semblent douteuses, mais j’ai envie de dire : « Et alors ? » Une fois que nous aurons démontré le truquage (ce qui est loin d’être fait), il faudra encore élucider la question la plus importante : pourquoi ces photos ont-elles été trafiquées ?

Toutes les photos de presse sont retouchées pour une raison ou pour une autre. Cette pratique est courante. Pourquoi les images d’Apollo auraient-elles échappé à la règle ? La Nasa aura beau jeu de nous livrer sa dizaine de réponses préparées à l’avance, et sur lesquelles nous pourrons polémiquer des années encore.
Finalement, l’énigme des images Apollo nous conduira dans une nouvelle impasse. De fait, la Nasa ne semble vraiment pas embarrassée par cette affaire. Au contraire, elle l’alimente elle-même sur son site officiel. En effet, elle répond laconiquement aux sceptiques, et, « bon joueur », elle donne même l’adresse de trois sites défendant cette thèse finalement assez inoffensive.

Nous sommes donc en droit de nous demander si cette question n’est pas un os que la Nasa nous a donné à ronger pour gagner du temps. Car pendant que nous nous interrogeons sur l’authenticité des photos, nous perdons de vue le sujet même qui nous occupe : les anomalies visibles sur la lune elle-même !

Quelques anomalies

Ombres et lumières
Ce qui frappe sur certaines photos de la Nasa, ce sont les reflets qui parfois prennent des formes inexplicables, comme sur cette photo d’Apollo 11. Mais ces taches curieuses qui épousent parfaitement le contour des cratères sont-elles réellement des reflets ou bien ont-elles été placées ici pour dérober à nos yeux certains détails.

Sur d’autres photos, apparaissent des zones mystérieusement éclairées comme le prouve cette image d’Apollo 14. Voici le même cliché avec une meilleure définition.
D’autres fois, ce sont les ombres qui surprennent comme sur cette célèbre vidéo qui aurait été prise par Apollo 16 où l’on voit une ombre qui glisse sur le sol lunaire. Pour mieux la mettre en évidence, cette ombre a été entourée d’un grand cercle lumineux. Mais voyez plutôt la vidéo.
cercle.mpeg

Reflets, ombres…que dire encore des « défauts de pellicules » ? Que pensez-vous de cette tache blanche dans le ciel lunaire ?

Lors de la mission Apollo 11, le jour précédent l’alunissage, les astronautes auraient filmé des ovnis lumineux volant à leur côté. Il est très difficile d’interpréter ce document et les « lumières » visibles pourraient se confondre aisément avec des reflets sur le hublot. Cependant, oubliez un instant les « lumières » et concentrez votre attention sur le sol lunaire. En agrandissant l’image, nous devinons des formes géométriques et des sources lumineuses étonnantes qui nous rappelle le livre stupéfiant de Milton William Cooper « Behold a pale horse » dont voici un court extrait :

« Durant les premières années du programme spatial américain et des alunissages chaque tir fut accompagné par un appareil extraterrestre. Une base lunaire surnommée "Luna" fut aperçue et filmée par les astronautes du Projet Apollo. Sur les photos on peut voir des dômes, des flèches, de hautes structures cylindriques ressemblant à des silos, d'énormes appareils d'extraction dont les chenilles laissent des traces en forme de points de suture, ainsi que des vaisseaux extraterrestres de très grande taille aussi bien que d'autres plus petits. »

Vous vous rendrez mieux compte des formes dont nous parlons en visionnant directement la vidéo.
base.mpeg

Observez les « lumières » qui semblent s’approcher de la capsule Apollo 11. Puis étudiez attentivement le sol lunaire visible sur cette vidéo… Agrandissez le cadre et faites passer le document image par image. Cette vidéo ne serait-elle pas un élément de ces prises de vue dont parle William Cooper ?

Sur la lune, les astronautes auraient décidément vu des choses très étranges. Le film suivant aurait été tourné lors de la Mission Apollo 12. On y voit très distinctement un puissant flash suivit par un objet lumineux qui jaillit brusquement d’un cratère voisin.

Du côté de Tycho
Prenons de l’altitude. De la lune, nous connaissons ce que la Nasa a bien voulu nous montrer, c’est à dire pas grand chose. Nous savons cependant que certains cratères présentent des angles droits, que d’autres ont gardé la trace de coulées étranges, que d’autres encore semblent avoir été littéralement rabotés alors que la lune est réputée pour ne pas connaître le phénomène de l’érosion.

Il est malheureusement difficile de tirer des conclusions de toutes ces photos.
Sur le web, 90% des images sont floues ou prises à une altitude moyenne de 2500 km comme celles de Lunar Orbiter :
http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/
Lorsqu’on regarde ces photos, on est dans la situation d’un myope sans lunette !

Si vous vous rendez sur le site de Clémentine :
http://www.nrl.navy.mil/clementine/clib/
vous irez de surprise en surprise. Il existe tellement de paramètres à définir avant de pouvoir afficher une image que la plupart du temps le site vous répondra que la photo n’existe pas. Il faut donc changer un des paramètres, mais lequel ? Et lorsque nous avons enfin la chance de voir s’afficher une image, celle-ci est d’une qualité épouvantable ! Comme le chargement de chaque image prend en moyenne 5 minutes, à la fin nous renonçons. Il existe cependant quelques rares images « en clair » de la mission Clémentine, et nous y trouvons justement des choses remarquables.

Commençons donc avec le célèbre cratère Tycho (Latitude: 43.4°S, Longitude: 11.1°W) dont parlait déjà Stanley Kubrick dans son film « 2001, l’odyssée de l’espace ». En regardant attentivement cette image, nous y avons trouvé de nombreuses structures très intéressantes.

Du côté de Lobachevsky
Le cratère Lobachevsky, sur la face cachée de la lune, présente également sur son flan une particularité surprenante. La Nasa nous livrerait-elle ces images pour le plaisir d’alimenter notre parano ! ? Paranoïa qui s’accroît encore avec cette image du même cratère, prise cette fois lors de la mission Apollo 16, et où l’on remarque bien quelque chose d’anormal ! D’autant plus anormal qu’on observe juste à côté une sorte de rocher d’un blanc éclatant qui dénote avec le gris général de la zone. Vous ne trouverez malheureusement pas le cratère Lobachevsky dans la base de donnée pourtant très riche de Lunar Orbiter.

Du côté d’Anuchin
Poursuivons notre petite promenade sur la lune en utilisant justement les nombreux clichés de la mission Lunar Orbiter. Dans la zone du cratère Anuchin, (Latitude: 49.0°S, Longitude: 101.3°E ) De nombreuses zones paraissent étranges. Il y a en effet au moins deux monticules alignés (peut-être trois en comptant le tout petit monticule à côté de celui de droite), qui pourraient correspondre à des pyramides. Vous trouverez la photo originale à l’adresse suivante :
http://cass.jsc.nasa.gov/htbin/lunar_orbiter/lo.pl?info1492

Ces « pyramides » gigantesques, plus larges que hautes, viennent s’ajouter aux déjà nombreuses observations de structures cyclopéennes de la lune. La photo a été prise d’une altitude d’environ 3000 km. On peut remarquer également tout à côté une sorte d’entrée de galerie souterraine. Il faudrait malheureusement trouver une meilleure photo pour se faire une idée plus précise de la zone.

Du côté d’Archimèdes
Archimèdes est un cratère de 82 kilomètres de diamètre, situé à la latitude 29.7°N, et longitude: 4.0°W. Au sud-ouest du cratère Archimèdes se trouve une zone très accidentée que nous appellerons la « Plate-forme ». Vous trouverez la photo originale de cette zone à cette adresse :
http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/img/4-109H3.jpg

Au nord de cette curieuse structure de forme rectangulaire, à la hauteur du cratère Archimède mais plus à l’ouest, se trouve une autre région remarquable par les formes géométriques de certaines « montagnes ». Nous appellerons cette zone « La flèche » pour une raison qui vous paraîtra évidente.

Illusions d’optiques ?
Voici à présent trois phénomènes d’illusions d’optiques dont nous avons été victimes en étudiant les photos de la lune. C’est en effet ainsi que nous préférons appeler ces découvertes qui dépassent l’entendement. Mais s’agit-il réellement d’illusions d’optiques ? A vous d’en décider.

La première concerne une photographie du cratère Schmidt, publiée dans le numéro 1049 de Paris Match, le 14 juin 1969. Ce numéro consacrait un long article accompagné de nombreuses excellentes photos de la mission Apollo X.
Les coordonnées du cratère Schmidt sont les suivantes : Latitude: 1.0°N, Longitude: 18.8°E
Observez le flan du cratère.

Voici encore une belle « illusion d’optique », située dans la région du cratère Arybhata (Latitude: 6.2°N, Longitude: 35.1°E) Cette image est tirée du site de Lunar Orbiter à l’adresse :
http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/img/4-73H1.jpg On y découvre ce qui pourrait apparaître comme une tour. Nous avons retrouvé une photo de cette même zone, prise par la mission Apollo 10. Malheureusement l’image est coupée exactement au niveau qui nous intéresse.

Voici à présent une image extraite de la très célèbre vidéo de la sonde Ranger 9 que les Américains lancèrent comme un missile sur la lune, afin d’en obtenir les premières informations. Ranger 9 filma le sol lunaire jusqu’au moment de l’impact dans le cratère Alphonsus (Latitude: 13.7°S, Longitude: 3.2°W), l’un des plus célèbres cratères de la lune.

Le diamètre du cratère fait 108 km et ses rebords s’élèvent environ à 2 km. Nous précisons toutes ces mesures afin que vous puissiez avoir une bonne idée de la vision fantastique à laquelle nous vous invitons. En effet, le rebord du côté sud du cratère Alphonsus semble avoir été taillé pour laisser un passage à d’immenses véhicules qui semblent avoir laissé des traces de leurs passages. Au milieu de cette fracture, subsiste une partie du bord du cratère qui paraît (et c’est là que se situe l’aspect fantastique) avoir été sculpté. Le monument ressemble vaguement à celle d’un Bouddha à genoux ou dans la position du lotus. Mais regardez plutôt l’effet de cette superbe « illusion d’optique ».

La présence répétée de ces anomalies
Un autre aspect particulièrement intéressant de la recherche repose sur les similitudes qui peuvent exister entre différentes structures retrouvées sur différents endroits de la lune ou même d’autres corps célestes, à différents moments de l’histoire de l’aventure spatiale. On a pu remarquer une première fois cette occurrence avec l’affaire du Paris Match 1028 que vous avez pu lire dans notre dossier et qui est tirée du site Artivision à cette adresse http://www.chez.com/idylle/docs/match.html

Si vous avez lu l’article «Remue-ménage cosmique» traité également sur le site d’Artivision, vous vous souvenez sans doute de cette structure blanche rectangulaire présente sur Eros.

Il se trouve que cette structure, ou du moins des structures similaires ont été retrouvées sur la lune et photographiées par l’une des missions Lunar Orbiter. La première structure ressemblante se trouve tout près du cratère Archimèdes, tandis que la seconde a été découverte dans le fond d’un cratère d’une zone inconnue de la lune. La photo originale de cette dernière découverte se trouve à cette adresse :
http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/img/4-172H3.jpg
Mais voyez ce montage comparatif.

Si, prises isolément, ces structures ne semblent pas très naturelles, les sceptiques pourront toujours arguer que le hasard géologique en est seul responsable. Cependant, le fait de les retrouver à différentes reprises et à différents endroits renforce l’idée que nous avons affaire ici à des anomalies complexes qui ne devraient pas se trouver là, et qui n’ont rien à voir avec des évènements géologiques. Cela tend également à prouver l’existence dans notre galaxie d’une civilisation suffisamment avancée, et qui a pu coloniser notre système solaire avant que nous n’en ayons même l’idée.

Conclusion
Il est très difficile, voire impossible de se faire une idée précise de ce qu’il y a sur la lune en étudiant les documents dont nous disposons sur le Web. Preuve, s’il le fallait, que nous ne connaissons finalement pas grand chose de la configuration du sol lunaire. Si la Nasa n’a rien à cacher, alors, nous devrions peut-être nous cotiser une bonne fois pour toute, afin d’offrir à cette prestigieuse administration un bon polaroïd qui lui permettra enfin de nous présenter des photographies dignes de ce nom !

Mais la Nasa a peut-être des choses à nous cacher. Et de la nature de ces choses, seuls les astronautes pourraient nous parler. Voici une ultime image d’Apollo 12 que nous soumettons à votre sagacité. De toutes les images d’Apollo que nous avons eu le plaisir de visionner, c’est peut-être la seule qui ait échappé à l’hypothétique censure, et qui nous montre qu’il y avait bel et bien quelque chose sur la lune ! L’anomalie est clairement visible dans le hublot du casque de l’astronaute. En effet, on voit distinctement dans le coin droit une forme structurée en suspension dans les airs. S’agit-il cette fois encore d’un vulgaire reflet ou d’une tache sur la pellicule ? Rien n’est moins sûr ! La forme semble parfaitement structurée et aucune explication logique ne semble pouvoir justifier sa présence.

La première explication possible serait de dire qu’en réalité la mission Apollo 12 n’était pas composée d’une mais de deux équipes ! On se souvient du film « Contact » tiré du roman de Carl Sagan qui fut conseiller à la Nasa. Dans ce film, les américains construisent non pas un mais DEUX capsules spatiaux-temporels ! Tandis que le premier engin fait l’objet de toute l’attention des médias, le second reste totalement ignoré du public. « Lorsqu’on peut construire quelque chose en un exemplaire, on le construit en deux car cela revient moins cher en définitif » déclare l’énigmatique milliardaire, protecteur de l’héroïne.
Carl Sagan se serait-il inspiré de sa propre expérience à la Nasa ?
Le premier module apparaissant en arrière plan à droite de l’astronaute, la structure visible sur le hublot serait alors le « module lunaire » du second équipage que l’on verrait en train de se poser ! Voyez à quoi ressemble un module Lunaire et comparez vous même.

La seconde explication, plus extraordinaire encore, serait d’imaginer que nous avons à faire là à un ovni !
Les choses en seraient restées à ces deux hypothèses, si justement, 26 ans plus tard, nous n’avions pas retrouvé cet « ovni », ou tout au moins un ovni en tout point identique, au-dessus d’une ville de la République d’Equateur.
Cet objet similaire à celui qui planait au-dessus des astronautes d’Apollo 12, a été filmé à 23 heures 47, le 9 septembre 1995.

Cette nuit-là, Victor Chiluiza, son ami et ses deux cousins, habitants l'Equateur, en Amérique du Sud, furent les témoins privilégiés de cet évènement particulièrement insolite. Laissons la parole à Victor :

"D'abord nous avons juste vu une grosse lumière rouge dans le ciel. J'ai eu à peine le temps d'aller chercher ma caméra, la lumière était déjà comme une cathédrale de flash et de couleur. De la dentelle lumineuse. Cinq minutes plus tard, j'enregistrais l'événement."


Le film de Victor nous montre clairement un objet doté d'une architecture structurée un peu comme un lustre, et dont le mouvement tournant est facilement visible dans l'obscurité de la nuit. Victor a décrit l'objet comme étant une étoile à six pointes qui tournait lentement sans faire le moindre bruit. A ce qu'il paraît, environ 500 autres personnes furent témoins de l'événement cette nuit-là.

Sur la lune, il n’y eut guère que deux témoins, et ils eurent tous deux pour consigne de garder le silence…




Pourquoi avons-nous abandonné la colonisation de la Lune ? Toutes les infos dérangeantes sur la lune (Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.)    -    Auteur : mélanie - Canada


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dernière mise à jour : 2006-10-07

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