Al Bielek est interviewé par
Connecting Link Magazine
AL BIELEK: Mon père (Alexander Duncan Cameron senior) s'est engagé dans l'U.S. Navy avant que les U.S.A. n'entrent dans la première guerre mondiale. Il m'a engendrer ainsi que plus tard A. Duncan Cameron junior (mai 1917) avec des mères différentes.
Duncan et moi, en tant que demi-frères, avons été élevés en grande partie par notre tante Arnold dans la Grande Maison, encore à West Islip, Long Island (notre père est resté dans la Navy jusqu'en 1930 où il a pris sa retraite avec une pension). Depuis nous n'avons jamais manqué d'argent (à cause de la fortune du grand magasin Arnold/Constable), Duncan Jr. et moi (après avoir terminé le lycée) sommes allés dans différentes universités. Je suis allé au début à Princeton, et plus tard à Harvard pour obtenir un Ph.D. en physique. Duncan est allé à l'Université d'Edinbourg en Ecosse et a également obtenu un Ph.D. en physique, en été 1939.
En septembre 1939, nous nous sommes engagés tous les deux dans l'U.S. Navy obtenant le grade de Lieutenant (J.G.) et ensuite on est allé à une école d'entraînement de 90 jours pour "Affectation Spéciale" du personnel de la Navy à Providence, Rhode Island.
Après cette préparation, on a été assigné tous les deux à l'Institut d'Etudes Avancées (Princeton, New Jersey) et directement dirigés au "Projet Invisibilé".
Avec un test complètement réussi en 1940 (Arsenal de la Navy Brooklyn), le projet a été classifié et renommé "Project Rainbow". Les bureaux se trouvaient dans l'arsenal de la Navy à Philadelphie. Duncan et moi effectuions des allers et retours entre Philadelphie et Princeton.
En janvier 1941, on a été envoyé en mer pour faire notre service maritime sur l'U.S.S. Pennsylvania. On a sillonné dans le Pacifique jusqu'en octobre 1941 quand le Pennsylvania fut mis en cale sèche à Pearl Harbor. Nous sommes allé en permission à San Francisco et nous y sommes resté jusqu'en décembre 1941, puis nous sommes retournés à l'Institut début janvier 1942. On travaillait sur le projet durant l'année 1942 lorsque Nikola Tesla s'est retiré, en mars 1942, et le docteur Von Neumann à pris la relève à ce moment.
Duncan et moi, nous étions présent sur le Projet durant les deux tests avec l'Eldridge en 1943. Le second test du 12 août 1943 fut un désastre total, avec de nombreuses victimes et avec Duncan qui a disparu de manière permanente.
Je suis resté avec la Navy et je me suis marié à la fin de l'année 1943. Un fils, est né en février 1944. En juillet 1944, ma famille et moi avons été transféré à Los Alamos au Nouveau Mexique où je suis resté jusqu'au 2 juillet 1947. A ce moment-là, on m'a enlevé par la force et séparé de ma famille que je n'ai jamais revu par la suite.
Avec des accusations d'espionnages qui étaient lancées contre moi, je m'attendais à passer au tribunal militaire. Au lieu de ça, j'ai été transféré à Washington D.C., où les accusations ont été retirées et j'ai été transféré à la base militaire Fort Hero de Montauk, Long Island. A partir de ce point j'ai été déplacé dans le temps en 1983, de retour dans le Projet Phoenix. Une fois là, on m'a effectuer un super lavage de cerveau toute ma mémoire a été déménagée. De plus, on m'a régressé en âge (réduction de l'âge et de la taille physique à partir de mes trente ans jusqu'à approximativement l'âge d'un an) et puis, à l'âge d'un an, j'ai été renvoyé dans le temps en 1927 et placé dans une nouvelle famille comme substitut d'un fils mort. Cette nouvelle famille - les Bielek - est devenue mes seuls parents connus durant un demi siècle !
Lors de la seconde guerre mondiale, j'ai été incorporer dans la Navy (une seconde fois) comme marin jusqu'en 1946. Après mon service militaire, j'ai essayé de monter une entreprise (qui a échouée) et je suis allé au collège (1949-1950) à Newark, New Jersey, et plus tard à UCLA. Une carrière s'en est suivi comme ingénieur électronicien (1958-1988), avec la retraite en 1988.
Avec le retour de mes mémoires, en mai 1986, du Projet Phoenix et de l'Expérience de Philadelphie (Projet Rainbow) en janvier 1988, je me suis engagé dans de nombreux écrits et conférences sur le sujet de l'Expérience de Philadelphie, ses ramifications et le Projet Phoenix qui a suivi, ainsi que les incroyables conséquences de leur verrouillage à travers le temps.
CONNECTING LINK : Parlez nous du Projet Phoenix.
AL BIELEK : Je vais aborder la phase finale du Projet Phoenix et certains aspects qui en résultent. J'ai rejoint le projet en 1953 en tant que Al Bielek. Je faisais ce que le livre, "The Montauk Project" désigne, l'interface d'ordinateur entre la chaise psychique utilisée pour contrôler les tunnels de temps dans la phase finale des opérations. Ces phases au début étaient très difficiles, elles ne fonctionnait pas bien et elles avaient beaucoup de problèmes. Mais, j'y étais impliqué en tant que Al Bielek. Preston Nichols y était impliqué en tant que Preston Nichols, et Duncan Cameron y était impliqué en tant que Duncan Cameron dans son second corps, ne se souvenant de rien de son implication dans l'Expérience de Philadelphie.
Le projet générait les tunnels de temps. Les gens avait la possibilité de voyager dans le temps et l'espace et ils le faisaient. Mais ils avaient également d'autres projets en cours à Montauk. On ne sait pas encore tout de ceux-là.
La technologie pour les tunnels nous était donnée par un effort coopératif de groupes extraterrestres, principalement le groupe Orion, auquel étaient mêlés les reptiliens, un sous-groupe appelé les Leverons. Le groupe technique qui nous fournissait la plupart de l'assistance, était le groupe de Sirius A. Des gens très scientifiques, très matérialistes. Peut-être pas un mauvais coeur mais mal orienté, car ils avaient des contrats à très long terme avec les Orions qui leur fournissaient les connaissances techniques et l'assistance dont ils avaient besoin. Et ils fonctionnaient avec notre gouvernement en secret pour mettre en place les techniques et technologies de contrôle de la pensée et pour pousser vers une société hautement technique et automatisée qui serait beaucoup plus facile à contrôler qu'elle ne l'ait actuellement. Mais nous approchons de cela rapidement.
Il y avait aussi beaucoup de petits Gris qui étaient dans nos pattes. Il y avait d'autres groupes qui ne participaient pas au projet, mais ils étaient là comme observateurs et le groupe d'Antares, des gens joviaux, très gais, très humains. Vous ne pouviez pas les distinguer d'un esprit humain. En fait, je ne pense que vous pouviez les distinguer anatomiquement non plus. Pourquoi ils étaient là, je ne sais pas. Ils ne faisaient rien. Ils étaient observateurs.
Mais les extraterrestres fournissaient la compétence, les outils. Ils transposaient ça depuis leurs données informatiques vers les IBM 360. Cela ne fonctionnait pas encore mais ça a marcher lorsque des modifications ont été faites. Je suis devenu largement impliqué dans la réalisation du système de fabrication du tunnel de temps. C'était une technologie extraterrestre. On n'avait pas la théorie. Mais on avait la capacité, la compétence technologique pour construire l'appareillage, et on l'a fait, selon leurs spécifications.
ITT faisait partie du contrat. Tout était sous le niveau de laisser passer "Black Card" [Carte noire], qui est en l'occurrence le plus haut niveau de laisser passer qui existe, et la plupart des gens ne savent même pas que ce niveau existe. Et ça signifie, en essence, qu'un tel projet est un profond Trou Noir de sorte que toutes les archives, tout ce qui a un lien avec ça, est enterré dans un coffre-fort noir et personne n'a accès à ça sans avoir le laisser-passer adéquat et la nécessité de savoir. Cela inclut les départements d'achats qui achètent le matériel pour ces projets. Les archives des achats, des ventes, tout est enfermé dans un coffre-fort noir. Donc personne ne peut le trouver. C'est pourquoi ils appellent ça un projet Trou Noir. Il y a de nombreux projet de ce type. Celui-ci en est un parmi d'autres.
Les tunnels sont devenus complètement opérationnels vers 1977 après de nombreuses modifications. Vers 1979 ils ont eu tous les résultats qu'ils voulaient. Jusqu'au 12 août 1983, la nuit, lorsque le projet a été délibérément détruit. Saboté de l'intérieur. Cela est raconté dans le livre (The Montauk Project). Mais avant ça, ce qu'ils ont fait était incroyable.
L'une des applications du Projet Phoenix, dans l'utilisation des Tunnels de Temps, était de fournir un soutien aux Colonies Martiennes. Les Colonies Martiennes ont existé depuis le début des années 70. On est allé publiquement sur la Lune en 1969. En fait les Allemands étaient sur Mars en 1947. Et nous on y était en 1962 avec une expédition mixte, Russe et Américaine. Ils sont allés sur Mars le 22 mai 1962. Le film, Alternative 3, fait par Anglia Television, 01 avril 1977, qui est disponible dans l'"underground", l'expose complètement. Il montre la transmission réelle. Les prises de vue en couleur venaient de Mars par transmissions TV, lorsque cet Exploreur voyageait et atterrissait. Nous avons des colonies là-bas sur Mars depuis la fin des années 60 ou peut-être le début des années 70. Ils ont trouvé beaucoup de choses artificielles là-bas. Il y a plus qu'une cité en ruine. Et bien sûr le fameux visage sur Mars, les Pyramides et ce complexe entier (photos sur ce site) que Hoagland (Dr. Richard) a parlé et a présenté au public. Il y a deux vidéos là-dessus plus son livre.
[Site du Dr Richard Hoagland: http://www.enterprisemission.com/index.html]
Ce qu'ils ont trouvé sur la surface indiquait qu'il y avait beaucoup plus de choses là, qu'ils ne pouvaient pas trouvées, qui étaient enterrées. Et ils n'avaient pas apporté, et n'avaient pas à disposition un quelconque engin à cette époque. Ils n'avaient aucune pelleteuse ou gros tracteur ou cette sorte de chose. C'était trop lourd a emporter.
Donc, une requête a été envoyé par radio à la Terre, "On pense qu'il y a des installations souterraines ici. On a vu des ouvertures qui sont scellées. Vous les gars là en bas, pouvez-vous nous dire quoi faire?" Donc, l'information est allé à Montauk, au Projet Phoenix. Et ils ont répondu en retour, bon donnez-nous des coordonnées de la surface de Mars où vous pensez que ces sites se trouvent". Et ils l'ont fait. Et ils ont dit, "On va l'explorer". Et ils l'ont fait. Parce qu'ils pouvaient aller à n'importe quel endroit avec le tunnel, ils sont aller sur Mars aux coordonnées.
En premier ils n'ont pas envoyé quelqu'un. Ils ont fait aboutir un tunnel dans ce qu'ils pensaient pouvoir être une cavité souterraine et, plutôt que de risquer de tuer quelqu'un en l'enterrant dans le roc solide, ils ont envoyé une caméra, une caméra pour voir à distance. On a découvert que c'était une véritable caverne avec suffisamment de sécurité et alors Montauk a envoyé des personnes. Duncan et moi étions dans cette équipe. La première équipe qui y est allé, dirigé par Montauk pour explorer le sous-sol de Mars. Ce n'est pas mentionné dans le livre qui est sorti, mais on y est allé. Et il y en a eu probablement d'autres. On y est allé plusieurs fois. On a trouvé toutes sortes de choses artificielles. On a trouvé un système d'éclairage souterrain encore fonctionnel, un système d'énergie. On l'a trouvé et on l'a allumé et il fonctionnait encore. Aucun indice de vie. Un tas d'objet manufacturé, fichiers, archives, objets religieux, statues, tout stocké comme si c'était un entrepôt de magasin. Un énorme entrepôt.
CONNECTING LINK: Est-ce que les inscriptions étaient en anglais ?
AL BIELEK : Non. C'était dans un autre langage. Ce n'était pas en anglais. Duncan était capable de traduire certains d'entre-eux. J'en ai vu mais je ne pouvais pas les traduire. Et beaucoup d'affaires et d'archives ont été ramenées. Et en fait Duncan et moi avons décidé d'y retourner clandestinement de notre propre initiative. (Après qu'un voyage est fait, tout est enregistré. Toutes les coordonnées et opérations nécessaires pour opérer le système sont enregistrées sur bande magnétique. Et vous pouvez prendre cette bande, la connecter à l'ordinateur, et sans utiliser le psychique et le numéro de chaise, vous pouvez ouvrir le tunnel au même endroit puisque l'ordinateur contient toutes les données célestes de tous les mouvements de la Terre, les mouvements du système solaire, tout est dans l'ordinateur, donc il y a la référence complète à la nouvelle position où doit se trouver la planète. Et "brancher" le tunnel exactement au même endroit.) Donc nous sommes allés deux fois à notre initiative pour nos propres petites explorations.
CONNECTING LINK: Et personne ne s'occupait de la machine pour votre retour ?
AL BIELEK : On avait mis en route l'équipement, on savait comment le faire. Et personne n'était là. Au second voyage on a été découvert parce qu'il y a des enregistrements automatiques qui disent combien de fois cet équipement est utilisé, et pour quel objectif, et à quelle date, heure, etc. Enregistreurs permanents et automatiques d'événements. Donc on a été appelé lorsque nous sommes revenu. On a été écarté du projet et on s'est fait taper sur les doigts. "Vous ne ferez pas cela une fois de plus", et une des personnes qui était impliquée, un vétéran scientifique, a séparé notre équipe. Duncan et moi n'avons plus fait grand chose ensemble après cela mais par la suite les explorations ont été faites par d'autres. Ce qu'ils ont trouvé, on ne sait pas.
Certaines personnes avaient été choisies à l'avance , telle que moi-même et Duncan et Preston pour faire partie de ce programme. Et le niveau de lavage de cerveau variait. Duncan a eu un puissant lavage de cerveau, ainsi qu'une programmation, pour avoir fait ce qu'il a fait là et puisqu'il n'allait plus être utiliser dans sa compétence technique. On m'a fait un lavage de cerveau à un certain degré, et Preston, très fortement.
Mais on a reçu ce que vous pourriez appeler le "debriefing" après que ce projet entier fut détruit et a été déclaré formellement terminé le 1er janvier 1984. On a eu notre "debriefing" ce qui signifie qu'on a effacé de notre esprit tout ce qu'on a fait dans le cadre du projet. Et ils ont espéré que cela tiendrait indéfiniment.
Ça n'a pas été le cas. La raison pour laquelle cela n'a pas tenu indéfiniment était que le site n'a pas été détruit. Il est encore là. Il a été rendu à la Commission des Parcs de l'état de New York le 1er janvier 1986 ou courant janvier 1986 pour faire partie du parc qui existait déjà là-bas. L'Etat n'a jamais rien détruit. Ils n'ont jamais démoli un batiment. Ils ne l'ont jamais ouvert en tant que parc.
Ils ont abattu les barrières donc les gens penvent aller là et se promener et camper s'ils le veulent, durant la journée. Ils ne peuvent pas rester la nuit sans un permis spécial de la ville de Montauk. Cela n'est pas permis et les rangers du parc patrouille et les sortent.
Mais la propriété reste inchangé. En allant là-bas, comme je l'ai fait au début d'août 1985 à l'invitation de Preston (j'avais emmené Duncan avec moi), aucun de nous ne savait, à ce moment, que nous avions fait partie du Projet Montauk. Preston, en tant que revendeur de surplus électroniques, avait été là-bas pour la récupération d'équipement avant cette visite en août.
CONNECTING LINK : C'est là que le livre, "The Montauk Project" débute.
AL BIELEK : Exact. Et il ne savait pas qu'il avait été impliqué. Il n'avait aucun souvenir. Lors de cette promenade au mois d'août, Preston nous a dit, "Vous êtes tous les deux sensitifs. Voyons ce que vous captez quand on se ballade par ici". Il a dit, "Je pense que vous n'êtes jamais venu ici auparavant". Il ne savait pas, honnêtement, à ce moment-là. Donc on s'est baladé et on a ressenti cette ambiance terrible sur la base, que quelque chose d'atroce s'était passé là. On a senti ce monstre, qui est apparu à la fin de l'histoire, qui a aidé dans le processus de destruction de cette station.
Preston et Duncan avait bien sûr l'avantage d'être sur place tandis que j'étais simplement en visite et suis retourné à Phoenix. Ils sont allé là à plusieurs reprises, et ils sont devenus conscient de leur implication dans le projet plus tôt que je ne l'ai été.
Je suis retourné à Montauk en mai 1986 et ai fait une autre visite avec un groupe de Phoenix sponsorisé, je crois, par le sénateur Barry Goldwater. Parce que j'avais parlé à ce groupe, que je connaissais depuis décembre 1985, à propos du projet et ils sont partis faire une enquête de détournement possible de fonds fédéraux depuis un projet fédéral normal vers un projet illégal. Ils cherchaient des preuves. Et c'était leur modus operandi, leur raison pour obtenir des autorisations de l'Etat de New York, de la Commission des Parcs, pour aller sur la base, à l'intérieur des bâtiments fermés. Il y en avait encore certains de fermés. Et de trouver, s'il y a lieu, une preuve si cela avait pu être un projet détournant des fonds fédéraux.
On sait maintenant qu'aucun financement fédéral n'était impliqué. Les principales enquêtes ont prouvées cela. Mais dans le processus on a pris un tas de photographies, et dans cette visite, la même que celle de mai 86, ma mémoire de Montauk a commencé à revenir puisque j'étais en train de visiter le site, la scène du crime, si vous voulez.
CONNECTING LINK : Et cela a agit comme un déclic.
AL BIELEK: C'était le déclic. Le même que pour Duncan, le même que pour Preston. Donc ma mémoire est revenue. J'ai su alors que j'avais participé à ça. Et mes souvenirs étaient en train de revenir car ils ne sont pas revenus tous à la fois comme dans un rush.
Ils reviennent par morceaux, cela dépend de ce que les déclics ramènent. Mais une fois que vous avez fait un trou dans le mur, c'est comme une fissure dans une digue. Le trou commence à s'agrandir et il continue de grandir et finalement tout passera au travers.
Donc j'ai su, finalement, que j'avais été fortement impliqué à un niveau technique et administratif dans de nombreux projets. Duncan a été aussi impliqué dans plus d'un projet.
Preston a été le chef technique de station après Matthew Zaret. Le professeur Zaret a été muté en 1980. En fait, il a quitté à ma suggestion, mais ils ne voulaient pas le lâcher, donc il a été envoyé à un projet parallèle à Brentwood, Long Island, où il est mort. Preston a pris la suite comme directeur technique, s'occupant de toute la gestion. Il concevait et construisait tout les systèmes modulateurs à ondes pulsées et les émetteurs de fréquences radio, dans tout ce qui touchait les RF(*) et les émetteurs il était un expert.
(*) RF: transmissions électromagnetiques en Fréquences Radio, spécialement pour les radars.
Et c'était sa compétence et son travail habituel, puisqu'il travaillait pour une compagnie de l'aérospatial à Long Island durant quinze ans jusqu'à ce qu'il soit viré il y a deux ans. Il a été viré mais ils ont camouflé ça. C'était parce qu'il en savait trop et il parlait trop ouvertement, il avait retrouvé trop de mémoire et il était en train de divulguer de l'information, à plusieurs reprises, aux conférences de l'USPA [United States Psychotronic Association] que le gouvernement ne voulait pas rendre publique. Donc ils lui ont retiré son laisser-passé, et ensuite ils l'ont viré en juillet 1990 pendant qu'il était à une conférence de l'USPA. Quand il est revenu, il n'avait plus de boulot, on lui a dit, "Tu es fini, ramasse tes affaires et va-t-en". Et son patron n'a même pas su pourquoi. Ce n'est pas son patron qui l'a viré. C'était une manipulation du gouvernement.
Il était expert dans la conception des émetteurs, des émetteurs hautes puissances, pour radar, pour quoi que ce soit. Dans le cas du Projet Montauk, pour les étages finals d'un Amplitron spécial qui est montré dans le livre, il y a une photo de ça. C'était conçu et construit spécialement pour le projet par Raytheon Electric(*) à Goleta en Californie.
(*) Les établissements R & D. La production était à Weymouth, MA, au moins 4000 amplitrons ont été produits.
Je me souviens être descendu là-bas pour homologuer la première livraison de tubes. Ils étaient très, très, chers et construit spécialement. Ils coûtaient plusieurs millions de dollars chacun. Ils en ont commandé plusieurs milliers. Donc vous pouvez voir pourquoi le coût de ce projet était hors d'imagination. Les condensateurs pour les réseaux en mode pulsé et le modulateur étaient aussi conçues spécialement selon des spécifications très strictes. Ils ont finalement trouvé quelqu'un pour les construire. Et tout le monde dans l'industrie, excepté un, a refusé de les faire. Ils ont finalement été capable de les fabriquer aux spécifications, et ils les ont vendu au gouvernement en paquets de cinquante à la somme modique de vingt cinq milles dollars le condensateur. Et ils en avaient une centaine sur chaque station. Un paquet complet de cinquante pour deux émetteurs opérationnels, et un paquet entier en réserve. Donc cela faisait deux millions et demi de dollars multipliés par 25 stations !
Ils étaient à court d'or. (Le projet avait commencé avec 10 milliards de dollars en or. L'histoire de l'or est documenté dans le livre "Nazi Gold" [L'or nazi]) Ils étaient à court de finances. Donc ITT a payer la note.
CONNECTING LINK : Et toute cette technologie provenait de groupes extraterrestres ?
AL BIELEK : Ils avaient la coopération des ET. Voyez, ils avaient un OVNI crashé, qui a été délibérément crashé, en accord avec Hitler, par un certain groupe de Pléiadiens. Il était bourré de technologies. Et la raison pour l'avoir crashé, c'était que le Haut Commandement Allemand, s'il y était contraint, pouvait dire, "Oui, nous avons trouvé une soucoupe crashée dans les Alpes Bavaroises" ou dans un lieu comme ça, "et nous l'avons récupérer, nous l'avons démontée et analysé la technologie".
Ça n'a certainement pas été rendu public. Mais les restes de ce vaisseau ont été trouvés près de Peenemunde après la fin de la guerre. C'était la base allemande d'essai des fusées, et où Wernher Von Braun opérait avec son équipe. Quand la guerre se terminait, avec son groupe il s'est délibérément déplacer vers l'ouest, vers les américains. Et un autre groupe a été capturé par les russes, incluant, je crois, son professeur, Herman Oberth. Bien sûr c'est là que les Russes ont eu une tête d'avance en matière de fusées sur les U.S.A., ils avaient le professeur qui a enseigné Wernher Von Braun!
Ils en avaient peut-être certains autres car les Russes ont capturés un nombre assez important d'élites intellectuelles allemandes lorsque Berlin est passé sous leur contrôle. Donc la guerre, en fait, a reçu une énorme explosion technologique en provenance des Pléïadiens. En ce qui concerne ce genre d'accord, Roosevelt avait fait le premier aux U.S.A en 1934, pas avec les Pléïadiens, qui avaient offert d'aider les Etats-Unis à sortir de l'enfer de la grande dépression qui sévissait, mais il a choisi un groupe différent pour des raisons personnelles quelconques que nous ne connaissons pas. Ils s'appelaient le Groupe K ou les Kondroshkin. Autant que je peux le déterminer aujourd'hui, ce groupe s'est révélé être les bleu-gris. Pas les petits gris, mais un groupe plus vaste qui est appelé les bleu-gris.
En tout cas, il avait fait ses accords avec eux. Ils avaient fait une offre pour fournir une base technologique entièrement nouvelle pour l'énergie atomique américaine en 1938. Roosevelt au début avait accepté et ensuite il a refusé parce que les militaires lui ont dit, "Oh, oh. On ne peut pas contrôler cela de A à Z. On ne sait pas ce qu'ils vont faire avec ça et comment ils pourraient nous manipuler à la fin". Donc ils [le groupe K] ont disparu dans la nature.
En 1943 eut lieu l'Expérience de Philadelphie et le verrouillage avec le Projet Phoenix, créant un énorme trou dans l'espace-temps. Cela a été fait délibérément par les extraterrestres à la fin 1983 pour opérer une trouée dans la trame de l'espace-temps, suffisamment grande pour que les extraterrestres et les vaisseaux puissent y entrer. Ils avaient toutes les capacités de voyager dans le temps, mais la trouée était nécessaire pour permettre aux grands vaisseaux extraterrestres (principalement les gris, et aussi d'autres types) de passer et faire une invasion massive des Etats-Unis, et plus tard de l'Europe. Quand ils ont atterri à la Base Edwards de l'Air Force dans le Muroc Dry Lake tout comme sur une autre base de l'air, je suis en train de sauter un tas de détails, le gouvernement savait déja pertinemment que les extraterrestres étaient sur cette planète. [Ils savaient] depuis 1887 avec la première commission d'enquête sous Grover Cleveland.
En tout cas, ils savaient qu'ils étaient là, mais ensuite ils arrivaient en masse. Nous étions confronté à une technologie que nous ne pouvions pas contrecarrer, avec laquelle nous ne pouvions manoeuvrer, nous ne savions pas quoi faire en face de cela. Donc le compromis d'Eisenhower et de ses conseillers était de signer un traité avec eux, un traité de non-interférence et prendre d'eux toute la technologie que nous pourrions. Faire un accord quelconque. Nous gagnerions du temps et nous verrions ce que nous pourrions faire plus tard.
C'était la base de l'accord. A cause de cela, un très grand nombre d'extraterrestres sont arrivés et en fait ont participé au Projet Phoenix. Ils étaient en train de planifier l'avenir. Nous ne savions pas ce qu'ils fabriquaient. Et en regardant cela rétrospectivement, ce n'est pas ce que nous pensions à l'époque. Ils planifiaient l'avenir. Ils savaient ce qu'ils étaient en train de faire. Ils manoeuvraient et manipulaient le Projet Phoenix. Ils ne s'attendaient pas à sa destruction alors. Je suis sûr qu'ils anticipaient sa continuité pour une autre décade, au moins dans les années 90.
Cependant, à cause de certaines personnes qui soudainement, si vous me pardonnez l'expression, "ont vu la lumière", "sont entrées en religion", ou quoique ce soit qui les a frappé, Duncan, et quelques autres, ont conspiré pour détruire la station. Et la raison en était qu'ils en avaient assez de tout ce qu'ils ont vu comme malveillance se perpétrer ici. |
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