Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.
L'Affaire du Paris Match n°1028.

L'Affaire du Paris Match n°1028.


I Introduction

L'affaire du Watergate qui en 1974 entraîna la chute du président Richard Nixon et qui fut déclenchée par l'opiniâtreté et l'ardeur laborieuse de deux journalistes américains, sera sans doute considérée comme une anecdote banale, quand les tenants et les aboutissants de : "l'Affaire du Paris Match N° 1028" éclateront au grand jour. Aucun journaliste de profession n'a jusqu'alors ni révélé, ni même, je pense, rêvé un jour d'avoir à dévoiler une telle affaire. Mais comme le dit si bien un texte sacré bien connu : " Il n'y a rien de caché qui ne doive être un jour découvert, ni de secret qui ne doive être connu »

II La genèse de l' affaire.

C'est en 1972 que je fus contacté en Guadeloupe par Mr Michel GIRARD par l'intermédiaire du Cercle Français de Recherche Ufologique (CFRU) dont j'étais à l'époque membre actif. En fin 1973, Mr GIRARD, alors imprimeur de son état, me montrait une étrange anomalie qu'il venait de découvrir en agrandissant une photographie de la face cachée de la Lune prise par l'équipage d'APOLLO 8 en fin de Décembre 1968 et publiée dans le n°1028 du Paris Match du 18 Jan. 1969.

J'ai commandé alors immédiatement ce n°1028 à Paris Match que je recevais sans problème environ 15 jours plus tard. J'eus alors tout le loisir d'examiner à la loupe l'anomalie en question et de m'apercevoir qu'elle présentait l'aspect d'un demi "porte-avions" de près de 26 kilomètres de long et dont la partie centrale serait constituée de sphères de près de 4 km de diamètre surmontées d'une sorte de "flèche gigantesque ».

Dans le courant du 2ème trimestre 1974, la revue OURANOS (alors organe du CFRU) publie grâce à mon initiative, la première photographie très nette de ce que j'appellerai désormais la "superstructure" du N°1028. Puis c'est le quotidien FRANCE-ANTILLES qui publiera, le 14 Fév. 1975, un article plus détaillé sur la question que je lui avais envoyé. Puis deux nouveaux articles seront publiés par le même journal le 31 mai 1976 et le 22 août 1979 sur le même sujet. Puis ce sera la revue française NOSTRA qui à son tour publiera 2 de mes lettres, le 25 Juillet 1979 dans le N°381 et surtout le 8 sept. 1983 dans le N°586 avec la photographie de la "superstructure" en question. Enfin le premier ouvrage qui fera état de cette affaire sera celui d'Alfred NAHON "les Extra-Terrestres et les mutations mondiales de l'ère du verseau." édité par Buchet-Chastel. Jan 1983 p.160.

Quant à savoir si cette "superstructure" est naturelle ou artificielle, seule l'étude scientifique du négatif de la NASA utilisé par Paris Match pour publier cette partie de la face cachée de la Lune à la page 33 du N°1028 pourra trancher cette question capitale. Mais voilà où l'affaire prend une tournure insolite, ce négatif est introuvable. En janvier 1987, le Chef des Archives Photos de Paris Match que nous avons interrogé à ce sujet, n'a pas su donner des détails sur les références codées de ce négatif, ni même sur la destination précise qui lui a été octroyée après son utilisation par sa revue et il nous a aiguillé vers l'Agence Scoop (Service de diffusion d'articles) qui ignorait également ce qu'était devenu cet important négatif, qui aurait été la propriété de l'Agence World Book Science Service qui hélas n'existe plus.

Mon ami Jean SIDER, auteur de plusieurs ouvrages très documentés sur les ovnis (et en particulier " ULTRA TOP-SECRET ces ovnis qui font peur ", préfacé par le Pr Rémy CHAUVIN aux Editions AXIS MUNDI 1990) a fait des pieds et des mains pour retrouver ce négatif à Paris et à la NASA et a, finalement dû abandonner ses recherches, car tous les clichés d'Apollo8 expédiés par la Nasa à Mr Jean Sider ne présentaient plus rien, au même emplacement où était supposée être cette superstructure sur le Paris Match 1028.

Mais il est à noter qu'à l'intérieur de ce cercle rouge, dessiné par nos soins, apparaît une auréole caractérisée qui pourrait être le résultat de l'application d'une "pastille de camouflage".

Il nous reste cependant la possibilité de recourir à un traitement informatique d'images en trois D, qui seul pourrait nous restituer la finesse recherchée des traits de cette superstructure. Toute aide dans ce domaine, serait aussi la bienvenue.

Pour terminer cet exposé, notons cependant que déjà, dès Mai 1969, Mr Guy TARADE, l'ésotériste français dont la réputation n'est plus à faire, se posait la question de savoir, si les astronautes de, justement cette mission d'Apollo 8, Jim Lowell, Frank Borman et Bill Anders n'avaient pas découvert une base d'ovnis sur la face cachée de la Lune. (Voir son livre remarquable et pourtant très difficile à trouver :"Soucoupes Volantes et civilisations d'outre espace" aux Editions "J'AI LU" n°A 214.)

En effet, le 25 Déc. 1968, exactement 93 h 02 mn après le départ de Cap Kennedy, malgré les appels pressants et réitérés du Centre d'Houston, la cabine Apollo 8, qui venait pourtant de sortir du cône d'ombre électromagnétique de la Lune, resta désespérément muette, pendant près de cinq interminables minutes. C'est alors que le commandant du vaisseau Lowell prononça la phrase inattendue et tout à fait insolite alors que Houston lui réclamait encore une fois de prendre contact avec la Terre :

"On vient de nous informer que le Père Noël existe bien"

Il est plus que certain que ce mot de "Père Noël" représentait un code, car, d'une part, ce vocable avait déjà été utilisé par un autre astronaute Wally Shirra à bord de "Sigma 7" en Oct. 62, alors qu'un objet non identifié s'approchait de son engin, et d'autre part, lorsque Lowell prononça l'incroyable phrase ci-dessus, les contrôles télémétriques prouvèrent, à ce moment précis, qu'il venait de subir une violente émotion. Mais citons ce passage significatif du livre de Mr TARADE :

"Son pouls atteignait 120 pulsations minutes alors que pendant les 93 heures précédentes, son rythme cardiaque avait toujours été normal. Il est presque certain que l'équipage d'Apollo 8, a vu sur notre satellite des choses fantastiques, mais il est trop tôt pour rendre publiques ces découvertes qui risqueraient de bouleverser totalement l'équilibre de notre société".

Monsieur Tarade faisait sans doute là allusion aux conclusions d'un volumineux rapport publié en Déc. 1960 après une enquête qui a coûté près de 100 millions de centimes par l'Institut Brooking aux USA disant que : " la découverte d'une race d'êtres supérieurs dans l'Univers pourrait causer l'écroulement de la civilisation terrestre... et cela pourrait se produire à tout moment.. Même sur notre planète des sociétés se sont désintégrées, quand elles ont été confrontées avec une société supérieure..." (Voir les Incas, les Aztèques... etc) .

Ceci fut vrai à une époque, mais peut-on aujourd'hui qualifier de société moralement supérieure, une civilisation qui pour imposer son système de vie, (comme l'ont fait les Christophe Colomb, Cortes et autres Pizarro..) va détruire physiquement avec ses armes les plus modernes une autre civilisation moins avancée. "La raison du plus fort" est-elle une loi cosmique qui s'applique partout sans exception et sans pitié ?

Si à l'époque de la Guerre froide, où ce rapport Brooking a été constitué, on pouvait encore tenir ce langage, 30 ans après et vu les événements qui ont eu lieu depuis, comme par exemple la chute du mur de Berlin et la disparition de l'URSS, et les efforts considérables faits par l'ONU et autres Organismes Non Gouvernementaux, pour préserver les minorités de cette planète, n'est-il pas désormais urgent d'en finir avec " cette politique du Secret " prônée par certaines Grandes Puissances, politique qui n'a pour but que de diviser les hommes pour mieux les asservir, et aussi pour prolonger une course effrénée aux armements apocalyptiques, course qui ne pourrait être un jour, que génératrice d'un holocauste planétaire ?

Seule la prise de conscience "que nous ne sommes pas seuls dans l'Univers" et que "le choix d'une vie meilleure existe ailleurs," au-delà de notre petite planète, pourra donc briser cet orgueil démesuré qui caractérise les mandarins qui nous gouvernent et les obliger à faire sauter les frontières tant physiques que psychologiques, qu'ils ont sournoisement mis en place pour séparer tous ces Terriens qui ne demandent qu'à vivre en paix pour un humanisme intégral dans une nature toujours plus généreuse, mais hélas de plus en plus polluée et qui cependant commence à donner bien des signes d'essoufflements.

Nos enfants n'hésiteront pas à nous demander des comptes, le moment venu, si nous retardons chaque fois ce sursaut de dignité et de rémission pour sauver ce qui peut encore l'être de notre belle Planète...

III Prolongement révélateur

Le 8 février 1999, je recevais de mon ami Fabrice Bardeau auteur de nombreux ouvrages et en particulier chez R. Laffont de "Les clés secrètes de la chimie des Anciens", une photocopie de la page 33 d'un Paris Match n°1028 qu'il a eu la chance de découvrir dans un lot acheté en vrac de plusieurs Paris Match. Mais quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu'à la place exacte de la superstructure, il y avait une tache blanche caractéristique d'un "caviardage notoire" sans doute exécuté avec un scalpel soit sur le négatif avant tirage, soit sur la revue elle-même bien que l'on distingue cependant la ligne inférieure de la structure.

Des analyses vont être déclenchées pour tirer ceci au clair, qui relance le suspense de cette affaire à un niveau tout à fait surprenant.

Le 2 Août 2000, je recevais d'un ami ingénieur internaute et webmaster du site : http://www.multimania.com/boisse, la très riche information suivante dont j'ai mis en couleur les passages caractéristiques après avoir replacé les accents qui manquaient au texte internet.

Cher Fred
Ayant parcouru ton site à l'adresse :
"http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/match.html", je suis tombé en arrêt sur l'article concernant la présence d'un "artefact" de 28 Km de long sur la lune, découvert sur une photo d'Apollo 8 publiée dans le Paris-Match (PM) n° 1028.


J'ai alors décidé d'investiguer à fond ce "cas" extraordinaire, et voici ce que j'ai trouvé :

1°)- j'ai recherché sur le Web toutes les images d'Apollo 8 disponibles, en particulier sur le site du malin Space Center :

http://www.msss.com/msss_projects.html et sur le site de la NASA :
http://science.ksc.nasa.gov/mirrors/images/html/as8.htm en particulier, l'image:

http://science.ksc.nasa.gov/mirrors/images/images/pao/AS8/10074969.jpg
est hélas tronquée à droite, là où ça pourrait être intéressant...

J'ai au moins déterminé que le cratère brillant en haut à gauche de ta photo est le cratère Joliot-Curie; ça m'a permis de rechercher les images (récentes) de la sonde Clémentine, prises sur cette zone sur le "Clémentine image browser" :
http://www.nrl.navy.mil/clementine/clib/

Le point intéressant se trouve à 27° de la latitude Nord et 235°de longitude Est. Mais les images de Clémentine ne montrent rien à cet endroit (à la résolution max de 1km/pixel) Évidemment, elles pourraient avoir été manipulées. Mais j'ai trituré numériquement les images dans tous les sens et elles ont l'air parfaitement normales.


2°)- J'ai alors décidé de rechercher le numéro 1028 de Paris-Match, que j'ai trouvé hier dans une brocante à 500m de chez moi dans un lot d'une centaine de vieux numéros de cette revue. Effectivement, il y a "quelque chose" à cet endroit sur la photo publiée. Il ne semble y avoir aucun "caviardage". Mais j'ai également remarqué que :


- La photo est une photo pleine page de presque toute la lune, l'objet intéressant mesurant moins de 4mm sur cette page.

- La photo est d'une qualité très moyenne : on y trouve en particulier de nombreuses rayures et même un cheveu collé (en bas a droite).

- Cette photo a été prise à travers un des hublot d'Apollo, ces hublots étaient malheureusement souvent couverts de buée, ce qui fait que la résolution n'est pas fantastique.


Il ne faut pas oublier que, contrairement aux images numériques prises par les sondes spatiales, les "vraies" photos sont des objets physiques qui peuvent être pollués par les manipulations ultérieures, volontaires ou non. Ma conclusion provisoire est que l'artefact publie dans PM peut avoir quatre origines :

a) Une rayure ou une pollution (graisse, morceau de cheveu..) sur le négatif ou sur l'épreuve qui a servi à la photocomposition.
b) Un objet réel, situé sur la lune, dont les dimensions seraient gigantesques.
c) Un objet spatial, situé entre Apollo et la Lune au moment où la photo a été prise.
d) Une trace sur le hublot d'Apollo.


L'attitude à adopter dans un pareil cas est le doute systématique :
l'hypothèse la plus probable est a), ou d). Dans ce cas, il n'y a plus de mystère.

Conclusion : Si une AUTRE photo disponible montrait le même artefact, évidemment, il faudrait remettre en cause cette conclusion provisoire. En l'absence d'une telle seconde photo, il faut rester dubitatif...

J'ai recherché dans ma bibliothèque perso tout ce que j'avais comme photos de la Lune datant de la période Apollo; il se trouve que j'en ai pas mal, en particulier dans des dossiers de presse de l'époque, (Times et associated press), et je n'ai rien vu d'anormal.


"Le doute est le moteur de la science. L'imagination est son carburant. La certitude est son frein."
Il faut dire clairement que l'hypothèse "artefact" n'est qu'une hypothèse…

Fin de la missive de Serge Boisse.

Merci donc à Serge Boisse, pour son analyse si pointue, qu'enfin un véritable scientifique a osé faire. Il est évident que tout autre commentaire sur la question sera le bienvenu.

Mais le 7 Août 2000, je recevais de Serge Boisse. le texte étonnant suivant:

FANTASTIQUE !

J'ai étudié minutieusement les photos de la sonde clémentine prises à l'endroit où devrait se trouver "l'artefact" du Paris Match 1028, et quelle ne fut pas ma surprise d'y trouver, précisément là où je cherchais et avec la bonne orientation, la trace au sol de "quelque chose", qui a disparu entre 1968 et 1994, mais dont la géométrie coïncide parfaitement...

Fin du texte du 7/08

Autre prolongement surprenant: Le 18 Sep. 2000, je recevais d'un aimable internaute, ( dont je ne peux donner ici le nom, sans son autorisation, mais dont je pourrai dire cependant qu'il a été enquêteur dans la revue très sérieuse d'ufologie LDLN,) la missive incroyable suivante:

Bonjour,

Juste pour vous signaler qu'en 1991, j'ai eu en main les originaux des photos concernées, remises à un ami à moi par une personne de la NASA, ces photos étaient plus nombreuses (environ une dizaine) et partaient de la face globale de la lune pour arriver à un zoom de ce qu'on pourrait qualifier de réservoirs ou de citernes sur les côtés de l'objet.

Depuis je cherche désespérément à retrouver des photos de la zone en question mais visiblement tout a disparu... on se demande pourquoi ...??

En tout cas bravo pour votre investigation et votre site très intéressant.
à bientôt.....

Et voici ma réponse à ce monsieur envoyée le lundi 18 sept 2000.


Bien cher Monsieur

Je tombe à la renverse, à la suite de votre message. Nous avons fait des pieds et des mains pour retrouver l'original de la page 33 du PM 1028 et vous me dites que vous l'avez eu en main avec d'autres en plus ? C'est tout simplement incroyable. Si vous voulez que j'en parle dans mon article, ce serait formidable et vous seriez alors un émule du scientifique J.F.Gille, qui n'a pas hésité à mettre avec éclat, le pied dans le plat (voir mon article... le concernant). En attendant d'avoir, de votre part, plus de détails sur votre incroyable incident, je demeure confiant en votre prochaine missive où vous m'en direz sûrement un peu plus sur tout cela, au sujet duquel, je n'en reviens toujours pas.

Fin de la missive du 18 Sep.

A vous donc de juger, maintenant que vous avez en main, des éléments disons... "substantiels".

Dernier rebondissement extraordinaire en date du 20 octobre 2001.

De l'ami Roch S. nous avons reçu le paragraphe suivant :

" J'ai eu la surprise de retrouver récemment sur un site américain http://www.enterprisemission.com/ qui a pour vocation de rechercher des anomalies extra-terrestres dans notre système solaire, cette structure étonnante dont tu dénonces depuis longtemps la présence parfaitement visible sur le Paris Match 1028.

Ma surprise légitime devant un tel "concours de circonstance" allait atteindre son comble à la lecture des commentaires accompagnant la photo sur le site. En effet, cette structure présentée en 1996 lors d'une conférence de presse par RICHARD C. HOAGLAND, auteur et responsable du site américain, fut photographiée, non plus par la mission Apollo 8, comme ce fut le cas pour le Paris Match, mais par la mission Apollo 10 !

La référence de la photo originale de la Nasa, et qui reste introuvable dans la banque d'images mise à disposition sur le Web par la dite administration est : AS10-32-4822.

J'ai pu retrouver à cette adresse :
http://images.jsc.nasa.gov/iams/html/pao/as10.htm le cliché AS10-32-4819 qui chronologiquement précède d'à peine quelques instants cette photo, mais l'image s'arrête malheureusement devant la zone qui nous intéresse. Avis donc aux lecteurs qui auraient la chance de retrouver l'originale de cette photographie sur le site de la Nasa.

Il se trouve que le "Castle" (ainsi a été baptisée la structure en question par monsieur HOAGLAND) se trouvait alors à 9 miles au-dessus du sol lunaire.

Comme je le soupçonnais, il s'agirait donc bien d'une structure mobile, ce qui justifie pleinement sa disparition de la zone où elle avait été photographiée pour la première fois par les membres d'Apollo 8. Cette découverte aussi stupéfiante qu'inattendue signifie qu'à défaut d'être restée à sa place, la structure du Paris-Match 1028 n'a cependant pas quitté la région de la Lune entre ces deux missions historiques.

J’ajoute à l'attention des sceptiques qui auraient peut-être tendance à voir le mal partout, que RICHARD C. HOAGLAND n'a certainement jamais entendu parlé du site Artivision et encore moins de l'affaire qui nous occupe dans cet article. Dans le cas contraire, je ne doute pas qu'il se serait alors empressé d'en informer ses nombreux lecteurs, ajoutant ainsi à son prestige de chercheur.

Alors ? Peut-on encore raisonnablement parler d'une "tache" sur le hublot ou sur l'objectif ? Peut-on parler d'un défaut de pellicule ? Même si la chose n'est pas absolument impossible, reconnaissons qu'elle devient désormais très difficile à soutenir du seul point de vue des probabilités. Ce serait en effet vraiment le comble de l'ironie, si à deux reprises, lors de deux missions Apollo différentes, de simples défauts de pellicule avaient formé la même structure complexe, ayant de surcroît la même taille, autant que l'on puisse en juger sur les photos dont nous ne possédons malheureusement pas les détails techniques.

Le fait que cet auteur américain ait jugé important de parler de cette structure dans une conférence de presse, puis sur son site, et enfin dans deux cassettes intitulées : "The Moon-Mars Connection ", m'incline à penser que l'insistance de notre ami Fred Idylle, à vouloir élucider cette affaire du Paris Match 1028 est loin d'être complètement vaine et sans intérêt.

En conclusion de ce paragraphe, je propose cette ultime question : s'agit-il de la même structure, ou d'une structure analogue de plus petite dimension ? Dans l'affirmative, nous serions alors devant la preuve indiscutable d'une activité sur la Lune.

Voilà bien, encore une fois, ce fameux "hasard" qui nous joue un nouveau tour et qui nous encourage à poursuivre plus que jamais notre quête vers la divulgation de la vérité concernant les mystères de Lune."

Fin du paragraphe envoyé par Roch S.

Merci donc et bravo à l'ami Roch pour sa remarquable contribution à cet article.

Certaines questions restent en suspend

1°) Il serait très intéressant de savoir, si possible, combien d'exemplaires du n° 1028, il a été tiré à l'époque pour la sortie du 18 jan. 1969 ? Ce nombre est sans doute voisin d'un million d'exemplaires, et surtout, combien il en reste en stock ?

2°) Peut-on savoir ce qu'est devenue l'agence WORLD BOOK qui aurait, parait-il prêté le négatif introuvable à Paris Match ? La découverte de l'entrepôt des archives de cette agence serait un point capital de cette enquête.

3°) Peut-on encore retrouver la trace de Mme ou Mlle Monique VALLS qui avait à l'époque rédigé l'article page 33 du n° 1028 et présenté alors les admirables photographies de la face cachée de la Lune que nous n'avons plus jamais rencontrées ultérieurement dans Paris Match et qui connaît sans doute la dernière adresse de World Book ?

4°) Il serait enfin aussi judicieux de vérifier si Paris Match possède encore dans ses archives les négatifs de ces autres photographies de la Lune parues dans les pages 35, 37, 39 du fameux n° 1028.

IV Conclusion

Si ce dernier point, ainsi que le caviardage de certains Paris Match n° 1028, s'avéraient positifs, cela montrerait sans l'ombre d'un doute que l'on nous cache en "Haut Lieu" des choses d'une importance capitale pour toute l'Humanité et qu'il appartient à toute personne soucieuse de découvrir le moindre détail, même infime, dans cette affaire, de nous en faire part, le plus rapidement possible, afin que jaillisse un jour proche, cette vérité qui semble pourtant encore incroyable et si inaccessible.





L'Affaire du Paris Match n°1028. (Spiritualité, Nouvel-Age - O.V.N.I.)    -    Auteur : OVNI - Canada


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dernière mise à jour : 2006-10-06

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