Vie pratique - Science et Technologie
Avons-nous fait tout ce qui est en notre pouvoir pour que notre civilisation perdure ?

Les pyramides modernes que nous construisons sont-elles à l'image de celles de l'Egypte ancienne, ou bien ne sont-ce que quelques apparats éphémères, destinés à disparaître au premier coup de vent ?
Notre foi civilisatrice se nourrit d'objets virtuels, consommables dans l'heure, et nos enfants nous montrent par leurs errements que nos préoccupations quotidiennes manquent de profondeur.
Nous sommes là, à casser de l'atome et des gènes à tout va, comme on se tarte la gueule à la récré. C'est un jeu, qui consiste à modifier les règles pour toujours rester gagnant !JLL

Autrefois le savant cherchait dans les grimoires la manne secrète de son existence. Puis à son tour il tentait de mettre sa compréhension en symboles.

Aujourd'hui les hiéroglyphes, l'ADN, la structure atomique, et d'autres sujets plus complexes ne résistent guère longtemps aux investigations humaines.

On pourrait dire que plus rien ne demeure caché... C'est ce qu'on aimerait nous faire croire J?

En fait on s'aperçoit que les techniques pour mettre un sujet dans l'ombre sont de plus en plus sophistiquées. On discrédite l'auteur, par des rumeurs, des on-dit etc. On coupe ou on refuse de débloquer les lignes de crédit. On met en place des démonstrations contradictoires totalement bidons (l'absence de preuve n'est pas une preuve fondamentale, heureusement pour nos démocraties !) Quelquefois on va même jusqu'à créer de nobles associations qui ont pour buts avoués de combattre l'hérésie de certains dossiers secrets.

Finalement, la connaissance, pur produit spirituel, se fait accaparer par le virus de l'Officiel. En dehors du sceau de La Grande Organisation rien ne fonctionne... Hélas, c'est piétiner avec rage les fondements du « comment savoir »... LLL

Bien des sujets méritent notre attention ! Pour les ignorer il faudrait démontrer, preuves à l'appui, que le sujet aurait été par ailleurs déjà débattu et aurait fait l'objet d'un consensus de fond ( Il existe encore des paradoxes sans solution en termes actuels ) Avec des références SVP. Parce que, même si Docteur vous êtes, seule l'expérience peut faire preuve ! Et des preuves, en avez-vous ? Du genre massif, que tout un chacun pourrait partager ? OK J ? L Ou bien vos cogitations ne seraient-elles que masturbations spirituelles en comités restreints ? L

Anti-gravité
Que signifie ce terme ?

Les forces de gravitation sont des forces liées à la présence de masses. Les masses de notre Univers s'attirent mutuellement. On voit de suite les difficultés qu'il y aurait, à mesurer ces forces, si l'on devait prendre en compte toutes les masses de l'univers ! Heureusement pour nous, ces forces sont faibles et diminuent rapidement avec le carré de la distance qui sépare les masses.

Pour simplifier la compréhension nous isolons deux masses (M) et (m), séparées d'une distance (d).

La Gravitation qui les relie s'exprime par une paire de force :
+F(M->m) = - F(m->M) = I K* m*M / d² I.

Où K est une constante qui dépend du système de mesure utilisé.

Le préfixe "anti" signifiant "contraire à", l'anti-gravité signifie peut-être un processus qui stoppe les effets de la gravité. (Un anti-douleur n'est pas une ascension au paradis du plaisir !) Jusqu'à ce jour aucun travail significatif, n'est en mesure de nous démontrer qu'il est possible d'inverser les champs de gravité. Or l'interprétation du terme anti-gravité est trop souvent liée à cette idée... Qu'avons nous fait de l'enseignement de Gandhi, (on s'en balance ?) Lutter contre une force ne signifie pas l'inverser J Ce hiatus philosophique, pénalise lourdement le chercheur qui aurait franchi la première étape : arrêter les effets de la gravité J!

Je vous propose de faire une expérience:

Si vous avez suffisamment confiance en vous, le récit vous suffira.
Prenez une boule de pétanque. Décidez, à l'aide d'un repère, d'une hauteur quelconque que vous atteindrez en lançant la boule au-dessus de vous. Faites vous aider par un observateur, qui vous chronométrera et comptera les lancers.

Phase Un : Vous allez régulièrement lancer la boule jusqu'au repère, puis la recevoir, puis la lancer à nouveau, le tout d'une manière régulière pendant une minute. Votre partenaire vous donne les tops départ et arrêt, compte le nombre de lancer, et évalue votre état de fatigue.

Après un temps de repos, vous passez à la Phase Deux :
Vous doublez la hauteur du repère, et vous recommencez l'exercice. L

Résultats/analyse : Connaissant le nombre de lancer de la phase un, la mécanique de Newton peut aisément prédire le nombre de lancer de la phase deux. Cette précision est inutile pour saisir le fond de l'expérience. Ce qui est certain c'est que plus le repère est bas plus le nombre de lancer augmente. Ce qui est sûr aussi c'est que l'état de fatigue augmente avec la hauteur.

Il faut fournir plus de travail en phase deux, bien que le nombre de lancer soit moindre.

Un petit tour du côté mécanique nous apprend que l'énergie dépensée ( pour un champ de gravité fixé soit g = 9.81 m/s² à Paris (parce qu’ en plus il varie avec la distance J) dépend du carré du temps de chute ou d'ascension, plus exactement : E =(n) m g² t²
Cette expérience nous montre simplement que si on sait recevoir et envoyer une masse assez rapidement à faible hauteur, on dépense très peu d'énergie.

Si on connaissait un moteur qui se substituerait à l'expérimentateur, qui de plus, n'aurait besoin d'aucun point d'appui, alors on pourrait parler d'anti-gravité, mais êtes-vous prêts à accepter que la science officielle ne puisse vous aider dans ce sens là !

Cette première réflexion : E=(n)mg²t², date de 1984. C'est armé de cette intuition doublée d'une certitude-conviction, que j'ai abandonné mes activités d'homo sapiens bien pensant et bien agissant, pour me consacrer à une étude en profondeur des fondements de cette idée purement mathématique.

Un espace naturel loin des cogitations effrénées de mes semblables me semblait être le lieu idéal. L'Amazonie, et la Guyane réunissaient ces éléments.
Quatre années de travaux furent nécessaires pour trouver une ouverture. En fait, excédé par l'absence de solution, un jour je fis un tas de tous mes supports gnostiques, et l'âme meurtrie... j'y mis le feu ! (ho ! sacrilège.)

Mais c'était oublier le feu Sacré. La rage de savoir ! Elle m'obligea à reprendre les chemins de l'école. Et comme Hélène, la nuit je défaisais l'ouvrage du jour. Pour garder le vrai espoir…
Nous allions voir si la connaissance était véritablement en place ! Travail de fourmi, tout refaire, tout recalculer, tout réapprendre !

Et jusqu'à quand ?
...Jusqu'à ce que l'étincelle devienne brasier ! Et bien non, ce ne fut pas un feu d'artifice, bien au contraire, une braise dans les cendres, sous-jacente, invisible mais bien chaude !
Quelque chose me tracassait : je n'arrivais pas à faire le tour du moment inertiel. Notion fondamentale en mécanique. Non pas que je ne retrouvais pas les équations de la mécanique de Newton.... Non ce qui me manquait était plus fondamental, comment avions nous fait les expériences de fond ? Tous les cas de figures avaient-ils été explorés ? Oui et non !

- OUI car dans certains ouvrages ma mémoire me disait que oui, le cas de la translation et de la rotation était abordé.

- NON car aucune équation n'en était tirée ! Aucun travail ne parlait de la relation Translation /Rotation ! Peut-être par méconnaissance…

Donc ce domaine, hors de ma portée médiatique devenait un point d'interrogation insupportable ! Une vraie galère... sans support, sans outils, que faire ?

Refaire le monde !
La seule solution... tout recommencer depuis le début !
Où, comment, et avec quoi ? Avec mes mains, mes méninges, mon imagination... et en avant, fissa !
Et oui, il y avait urgence ! Ce problème était un véritable barrage sur la voie Newtonienne ! Si je ne pouvais intégrer cette situation, Newton et Galilée devenaient mes ennemis !
Comment ? Des années d'études pour un obstacle, gros comme une montagne ?... Dans mon esprit... mais guère plus important qu'un fétu de paille pour la mécanique traditionnelle !

Il s'agissait d'un travail intellectuel et manuel. Du genre cogitations sur des données UFO ou OVNI. Mais j’étais aussi mécanicien, et les expériences, je devais les faire et les refaire, comme vous pourriez les vivre selon les modus opéranti que je vous donne !
Vous auriez aimé que je vous offre l'antigravité sur un plateau d'argent, hélas je ne peux le faire sans vous inviter à travailler au moins une expérience ! Et même, cette expérience faite, la logique qui l'accompagne serait-elle à votre mesure ?

Je ne peux en quelques lignes résumer toute une philosophie, et 20 ans de travail.
J'espère que vous comprendrez le fait que ma découverte est basée sur une expérience pivot qui n'a fait l'objet d'aucun consensus à ce jour ! Pourtant, si vous daignez faire l'expérience proposée, vous constaterez par vous-même qu'il faut être illettré (dans le moindre des cas) pour ne pas saisir ce qui se passe !

Sur mes sites Internet, l'expérience est définie en termes on ne peut plus mathématiques, mais que diable, n'est-il pas possible d'évincer un arnaqueur soit-disant matheux ? Et vous aimeriez qu'en deux phrases ou trois schémas j'explique le tout ? Cette base que je vous invite à expérimenter est fondamentale. Avec cette connaissance nous pouvons aller plus avant ! Oseriez-vous parler de sous-marins sans les bases d'Archimède ? Alors soyez patient et ne vous méprenez pas sur l'investissement à fournir.
Je veux et cela est mon plus vif désir, mettre en oeuvre l'anti-gravité, mais la facture n'est pas simple à négocier !

L'expérience
La vraie
La seule
L'unique

Prenez un triple décimètre (30 cm) ancien modèle, du genre en bois avec un petit bouton en laiton au milieu !
Mettez-le à l'envers (bouton en bas), en face de vous, parallèle à vos épaules, sur une surface lisse et propre !
L'expérience consiste à faire tourner le système, en lui donnant une pichenette...
Mais cette pichenette, ne sera pas donnée comme ça sans réfléchir !
En premier lieu vous devriez vous appliquer à faire et reproduire la même pichenette. Ensuite vous déplacerez régulièrement le point d'application de votre effort !
Au début vous frappez sur le triple décimètre, juste au milieu du rotor, au niveau du bouton.
Puis régulièrement vous vous déplacez vers une extrémité de ce rotor improvisé !
Et vous regardez ce qui ce passe ! Enfin vous mesurez et vous constatez !
Et que constatez-vous ?

Ce n'est pas à moi de vous le dire, il parait que je n'ai pas le droit d'en parler ! Cette expérience semble être signée du sceau du diable !
Si tu dis la vérité, tu prends des risques, du genre tu seras exclu. Et si tu l'ouvres de trop, on va te la fermer !
Ca c'est moderne et parfaitement coexistant.

Alors voulez-vous que j'en dise plus ?…
L'idée de fond du moteur, est de s'affranchir de tout point d'appui externe. Les forces apparaissent toujours par paires opposées, pousser la structure dans un sens implique faire naître une force contraire, comment s'en sortir ? La solution est dans l'absorption de cette deuxième force. Une force tangentielle sur un rotor libre en translation est en partie absorbée par sa rotation, (Expérience Pivot) voilà la solution ! Bien que le tour ne soit pas joué, l'approche semble sereine... Que reste-t-il à résoudre ? Une petite difficulté subsiste, que faire de ce rotor qui est malgré tout en translation inverse ? (Impossible de la supprimer ?)

Deux éléments vont nous aider ! Tout d'abord la présence d'un ressort qui permet d'inverser cette fâcheuse translation résiduelle, et enfin la géométrie particulière du moteur, qui par sa symétrie autorise l'inversion des mouvements de rotation-translation. Sans cette géométrie, le rotor aurait du tourner de plus en plus vite à chaque impulsion. Ouf !

Mais tout n'est pas encore fini, en effet ce choc élastique entre le rotor et la structure est pénalisant pour la translation de l'ensemble. Heureusement la mécanique des chocs élastiques nous offre une solution : si le rapport des masses Structure/Rotor est grand, la perte d'énergie concédée dans ce choc est faible, ainsi le moteur devient fonctionnel.

C'est aussi simple que ça, dans la mesure où les notions fondamentales ont bien été assimilées !

Ainsi naquit le moteur à réaction absorbée !




Avons-nous fait tout ce qui est en notre pouvoir pour que notre civilisation perdure ? (Vie pratique - Science et Technologie)    -    Auteur : morgane - Canada


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dernière mise à jour : 2006-09-27

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