Spiritualité, Nouvel-Age - Sciences Parallèles
LA CIVILISATION DE L'ATLANTIDE RECONNUE PAR L'EXPLORATION DE LA PYRAMIDE SOUS-MARINE DE BIMINI ?

I Introduction
C'est pendant le mois de Septembre 1968 que l'équipe du professeur MANSON VALENTINE, œuvrant pour le Musée des Sciences de Miami en Floride, découvre au nord-ouest de Bimini, petite île des Bahamas, à environ 1200 km de la Guadeloupe, des structures cyclopéennes immergées à environ 6 mètres sous la surface de la mer. Cette découverte fut rendue possible grâce à l'engin Remora M-114-E, scooter sous-marin construit par Dimitri Rebikoff, explorateur, ingénieur spécialisé dans le domaine de la photographie sous-marine et grâce également au concours de Paul Aranda aviateur et de Robert MARX, célèbre plongeur , passionné de recherches sur les anciennes navigations et sur l'archéologie sous-marine des îles Bahamas.

II Genèse de l'affaire
C'est en fin de 1971, que les chercheurs découvrirent qu'il s'agissait d'une gigantesque structure de la forme d'un grand U pouvant faire office de port dont la jetée courbée mesurait plus de 600 m de long sur 10 m de large et formée de blocs de pierres dont la constitution ne présente aucune ressemblance avec les formations naturelles qu'ils surplombent.

Ces blocs sont régulièrement alignés, parfaitement à l'équerre dans leurs trois axes et assemblés par une sorte de ciment. Certains d'entre eux avaient près de 5 m de côté et leur épaisseur variait entre 50 et 150 cm , ce qui parfois correspondait à une masse d'environ 5 tonnes par bloc. De plus on constata en effectuant des tranchées d'exploration que certains de ces blocs étaient posés sur des piliers carrés de 30 cm de hauteur, ce qui détruisait définitivement la thèse de certains géologues, comme le nommé Harrison qui d'emblée sans attendre la fin de l'exploration de l'équipe "Valentine" avaient déclaré que le mur de Bimini était un ensemble d'origine strictement naturel. Par la suite on découvrit encore aux alentours de Bimini d'autres structures de formes linéaires, rectangulaires, polygonales et même pyramidales .

Mais quel pouvait être l'âge de ces constructions? Des études de datation au carbone 14 estimèrent que pour une profondeur de 6 m, ces structures devaient être à la surface il y a environ 10000 ans , ce qui ne signifie pas qu'elles venaient d'être édifiées à ce moment là . Mais en ce qui concerne les bâtisseurs, c'est le mystère le plus total. En effet rien de ce qui nous est connu de l'histoire des amérindiens (qui remonte à environ 2000 ans avant J.C) ne nous permet la moindre hypothèse concernant le peuple qui vivait à cette époque et même en Europe aucune peuplade n'aurait été capable en cette période d'édifier une construction aussi monumentale. C'est pourquoi il valait mieux étouffer cette affaire dans l'oeuf , comme certains ont cru devoir le faire aisément. Quelques revues sérieuses en ont cependant fait état sommairement: Science&Vie n°640 de Jan. 1971-Sciences et Avenir les numéros 286, 291, surtout 298 de Dec.1971, puis vint l'ouvrage de Pierre Carnac: "L'Histoire commence à Bimini"chez R. Laffont 1973

Il est cependant à noter un fait étrange concernant le site de Bimini. Le 14 Août 1926 soit 42 ans plus tôt dans une déclaration faite sous hypnose contrôlée et référencée sous le N°996-1, (et surtout sans que l'on ne lui ait rien demandé à ce sujet), le fantastique thérapeute et médium américain EDGAR CAYCE révélait que sur le plateau de Bimini avait existé jadis une formidable civilisation, (Voir les remarquables ouvrages:"les Mystères de l'Atlantide revisitée" de E.E Cayce, aux Editions de Mortagne 1994, ou "l'univers d'Edgar Cayce"de D.K. de BIZEMONT n° 2786 Ed. de poche J'AI LU New Age ), et en 1933 , il révélait aussi que : "des vestiges des temples de Poséidia, portion engloutie de l'Atlantide, allaient ressurgir de la vase des fonds sous-marins près de l'île de BIMINI au large de la Floride et probablement vers les années 1968 ou 1969 ".

III Conclusion
Tout ceci semble donc bien lui donner raison. Ainsi donc, la découverte des structures cyclopéennes de Bimini , illustre encore admirablement, le majestueux passé des civilisations anciennes , dont il ne demeure hélas, pour activer l'éveil de la mémoire fugitive et pourtant orgueilleuse des hommes , que l'alignement de pierres gigantesques, toujours plus énigmatiques.
P.S.en date du 12/04/99.
Quelques paroles de circonstance : "Tu me demandes de te parler de technologies avancées et je te réponds ceci: Vous ne pouvez tirer aucun avantage de technologies avancées sans pensée avancée. Sans pensée évoluée, la technologie évoluée n'engendre pas l'avancement, mais la mort...
Vous en avez déjà fait l'expérience sur votre planète et vous êtes tout juste sur le point de l'expérimenter de nouveau... Je vous dis qu'il vous est déjà arrivé sur votre planète d'atteindre les hauteurs - de dépasser les hauteurs en fait - vers lesquelles vous grimpez lentement à l'heure actuelle.
Vous aviez sur Terre une civilisation plus avancée que celle qui existe à présent et elle s'est détruite. Non seulement l'a-t-elle fait, mais elle a presque détruit tout le reste aussi. Elle l'a fait parce qu'elle ne savait pas comment gérer les technologies mêmes qu'elle avait développées. Son évolution technologique était si en avance sur son évolution spirituelle qu'elle a fini par faire de la technologie son Dieu.
Les gens vénéraient la technologie et tout ce qu'elle pouvait apporter ... Ils sont littéralement mis fin à leur monde."
(D'après le C.A.D. nº3 de Neale Donald Walsch aux Éditions ARIANE. fév. 1999)

Pour en savoir plus voir aussi les ouvrages modernes suivants:
-L'Atlantide (Les révélations d'une civilisation perdue) De Shirley ANDREWS aux Editions AdA
- L'Énigme de L'Atlantide (A la recherche de nos origines perdues dans un cataclysme planétaire) de Edouard BRASEY 1998.

Prolongement révélateur en date du 27/11/00.
Il est peut-être opportun de présenter ici quelques informations, peu divulguées, remontant cependant aux années 77 et 78 et qui concernent directement la découverte de Bimini et qui contredisent formellement les déclarations d'un documentaire de 1997 intitulé "Il était une fois l'Atlantide"de Renan Pollès de la Chaîne Télé Image avec la participation de Canal+ et de la Cinq diffusé régulièrement sur les chaînes Antilles-Sat, TF1, Tampo, Voyage, et qui est passé même à Disney Channel le 11/11/01, prétendant que les murs de Bimini n'étaient que des formations naturelles. Sans doute les réalisateurs de ce documentaire n'ont jamais eu connaissance des textes ci-dessous, sinon ils auraient été plus circonspects dans leurs affirmations:

Lundi 4 Avril 1977: Agence-France-Presse relayée par France-Antilles 11è année n°2132

Découverte d'une pyramide immergée dans le fameux Triangle des Bermudes
L'écrivain américain Charles Berlitz estime que la pyramide, qu'il affirme avoir découverte sous les eaux de l'Atlantique, dans le “Triangle des Bermudes”, est plus grande que la pyramide égyptienne du pharaon Chéops.
“Il ne s'agît pas d'une plaisanterie ou d'un poisson d'avril” a déclaré samedi a Mexico Mr Berlitz, qui, en annonçant vendredi cette découverte, a provoqué un certain étonnement dans les milieux scientifiques, et notamment aux Etats-Unis. “Cette pyramide, a-t-il ajouté a un angle identique à celle de Chéops et se trouve curieusement située sur la même latitude que la pyramide égyptienne”.
Écrivain linguiste et explorateur des fonds-marins, Berlitz, qui est âgé de 60 ans et qui s'est rendu célèbre par un best-seller, “Le Triangle des Bermudes”, a d'ailleurs annoncé qu'il comptait organiser d'ici à trois mois une expédition sous-marine afin de photographier la pyramide et de vérifier si elle est sur le lieu exact où il l'a localisée, précisant en riant qu'il n'avait pas envie que son collègue français Jacques Yves Cousteau, soit au courant.
“ Si nous parvenons à déterminer exactement la nature de cette pyramide de deux cents mètres de hauteur et enfouie à une profondeur de neuf cents mètres, nous prouverons ainsi l'existence d'une civilisation, qui, si elle n'est pas celle de l'Atlantide, est néanmoins aujourd’hui' disparue” souligne l'écrivain.
Précisant que cette expédition serait composée de six ou sept personnes, Mr Berlizt a déclaré qu'il aurait aimé utiliser l'un des bathyscaphes français, comme celui de “la Calypso”, mais que c'était “ horriblement” cher.
A propos de la découverte elle-même, l’écrivain a précisé que ce sont des amis pécheurs qui ont été le premiers à repérer l’existence de ce qui semblait être le sommet d'une montagne sous-marine.
Berlitz s'est alors rendu lui même sur place a confirmé la présence de la pyramide grâce à un nouveau système de sonar latéral plus perfectionné que le sonar horizontal, que l'on utilise pour localiser les bancs de poissons.

-Tous les détails de cette découverte seront d'ailleurs bientôt dévoilés dans un livre qui doit être publié à Paris par la maison d'édition “Flammarion” et dont le titre français n'a pas été révélé. En anglais. Berlitz a intitulé son ouvrage “Without a Trace” ou "sans une trace" L'écrivain a avoué d'autre part qu'il éprouvait une certaine crainte à l'idée de s'aventurer sous les eaux du Triangle des Bermudes, où de nombreux bateaux et avions ont disparu mystérieusement. Berlitz attribue ces mystérieuses disparitions à des phénomènes électromagnétiques produisant une “désintégration moléculaire” qui explique, selon lui, que l'on ne trouve jamais de traces des bateaux ou des avions disparus.

- Berlitz qui est né à New York, vit actuellement au bord de la mer à Glen-Cove (Long Island). Petit fils du fondateur des écoles de langues Berlitz, il affirme connaître une trentaine de langues. Il a écrit de nombreux ouvrages qui ont été traduits dans 22 langues.
- Berlitz a commencé à s'intéresser au mystérieux Triangle des Bermudes dés 1945, alors qu'il était lieutenant colonel dans l'Armée de l'Air Américaine et que de nombreux bombardiers américains avaient disparu à cet endroit.

- Enfin, l'écrivain affirme que depuis six mois, les Etats-Unis et l'Union Soviétique enquêtent conjointement dans le Triangle des Bermudes, dans le cadre d'un plan dénommé “Polymode” auquel participent des bateaux des deux puissances.
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France-Antilles le Samedi 30 Avril 1977 n° 2154

L’EXISTENCE DE LA CIVILISATION DE L'ATLANTIDE SERA T-ELLE PROUVÉE PAR L'EXPLORATION DE LA PYRAMIDE DU TRIANGLE DES BERMUDES ?

La pyramide que l'écrivain Américain Charles Berlitz a affirmé avoir découverte SOUS les eaux de l'Atlantique, dans le Triangle des Bermudes, serait à peine moins grande, - et non plus grande - que la pyramide. Égyptienne de Chéops.

C 'est ce qui ressort du nouveau livre de M. Berlitz, “Without a trace” “Sans laisser de traces”), à paraître le 27 Mai prochain, à New York, aux éditions “Doubleday”, puis à Paris, chez Flammarion.

L'ouvrage contient un schéma de la pyramide sous-marine, tel qu'il a été tracé par l'homme qui le premier l'a repérée au sonar, le capitaine Don Henry - Au début du mois d'Avril, à Mexico, dans des déclarations à l'AFP, l'auteur du best-seller “le Triangle des Bermudes” avait laissé entendre que la pyramide engloutie était plus haute que la grande pyramide de Gizeh.

Annonçant qu'une expédition sous-marine serait organisée l'été prochain afin de photographier la pyramide, Mr Berlizt avait ajouté : “Si nous parvenons à déterminer exactement la nature de cette pyramide de deux cents mètres de haut et enfouie à neuf cents mètres de profondeur, nous prouverons l'existence d'une civilisation, qui si elle n'est pas celle de l’Atlantide, est néanmoins aujourd'hui disparue”

L'écrivain américain avait également précisé que la découverte remontait a deux mois à peine et qu'elle occuperait une place importante dans "Without a Trace".

Or, Si l'on en juge d'après l'exemplaire du nouveau livre de M. Berlitz remis à l'AFP par les éditeurs, nulle part dans le texte il n'est fait mention de cette découverte, qui n'est signalée que dans la partie réservée aux illustrations et seulement sous la forme d'un dessin et d'une légende.

La légende dit notamment “le sonar latéral ou celui utilisé pour repérer les bancs de poissons ont révélé la présence, au fond de la mer, de masses volumineuses qui font penser à des pyramides et à d'autres constructions. Le profil ci-dessus obtenu par le capitaine Don Henry depuis son bateau, équipé de sonar pour la pêche, montre ce qui parait être une pyramide dont la hauteur est estimée à 420 pieds (128 mètres), avec une base de 540 pieds (164 mètres). Si c'est bien d'une pyramide qu'il s'agit, elle se rapproche beaucoup de la grande pyramide de Gizeh en Egypte, dont la hauteur est d'un peu plus de 480 pieds (146 m)” . Le profil obtenu au sonar révèle bien une forme pyramidale parfaitement symétrique avec un léger gradin dans sa partie supérieure. Mais les annotations à la main portée sur le schéma ne paraissent pas correspondre exactement aux mesures contenues dans la légende : elles attribuent à la pyramide une base de 520 pieds (158 mètres) et une hauteur de 470 pieds (143 mètres), ce qui, de toutes manières, confirmerait que la mystérieuse “construction”, - Si c'en est une - découverte dans le Triangle des Bermudes n'est pas de dimensions supérieures à celles de la Pyramide de Chéops.

Il convient de rappeler, toute fois, que M. Berlitz avait souligné, à Mexico, qu'il s'était rendu lui-même sur place et qu'il avait pu confirmer l'existence de la pyramide grâce à un nouveau système de sonar. M. Berlitz ne fait aucune allusion dans son ouvrage à cette enquête personnelle. Il n'apporte pas non plus de précisions sur le lieu exact où il aurait repéré la pyramide.

En ce qui concerne les énigmatiques disparitions de bateaux et d'avions constatées depuis des dizaines d'années dans le Triangle des Bermudes, M. Charles Berlitz révèle, dans "Without a Trace", qu'au cours de la période 1974-1976, “plus de six cents yachts et autres bateaux de plaisance ont disparu au large des côtes des Etats- Unis et qu’un pourcentage considérable de ces pertes a été enregistré dans le Triangle”.

A l'heure actuelle, affirme t-il, “les disparitions dans le Triangle continuent de se produire au rythme d'un avion par quinzaine environ et d'un bateau ou yacht presque chaque semaine”.

Les apparitions d'objets volants non identifiés (OVNIS) occupent également une large place dans le nouveau livre de Berlizt , véritable appendice de son best-seller de 1974, qui a été traduit en une vingtaine de langues et dont plus de cinq millions d'exemplaires ont été vendus à travers le monde.

A ce propos, l'auteur rappelle que M. Jimmy Carter avait lui-même vu un OVNI à Thomaston, Georgie, en 1973, et qu'il a en outre déclaré au mois de Juin 1976 “Si je deviens président, je ferai en sorte que toutes les informations que les Etats-Unis détiennent sur les apparitions d'OVNIS soient mises à la disposition du public et des savants”.
René CENTASSI
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le Jeudi 15 Juin 1978 Agence France Presse relayée par France Antilles n° 2493

Va-t-on éclaircir le mystère de la pyramide sous-marine des Bermudes ?
Une expédition scientifique se rendra, au mois d'Août prochain, a deux cents milles nautiques au sud des Bahamas pour tenter d'identifier l'objet de forme pyramidale qui a été localisé par 100 m de profondeur sous la mer.

Organisée par l'industriel grec, Ari Marshall, elle sera dotée de moyens très importants comprenant notamment un sous marin de poche. Le Docteur Manson Valentine, de Miami, spécialiste en archéologie sous marine et le recordman du monde de plongée libre, le Marseillais Jacques Mayol, feront partie du voyage. Selon ce dernier, l'étude de films, pris il y a trois semaines a démontré qu'il s'agit bien d'un objet de forme pyramidale de 150m de haut et de 300m de longueur à la base. L'aspect rectiligne de cet objet est marqué par deux Ouvertures latérales où l'eau s'engouffre à une vitesse prodigieuse.

PRENDRE DES ECHANTILLONS - “Je suis convaincu à 60%, a déclaré Jacques Mayol, qu'il s'agit d'une pyramide. Mais la seule façon de vérifier c'est d’y aller avec un sous-marin de poche d'une part, et de perforer la pierre d'autre part, pour prendre des échantillons. Je pense que la Compagnie Maritime d'Expertise pourrait envoyer des plongeurs par la suite. Mais je crois qu'elle s'intéressera a l'aventure dans la mesure où il y aura des indices assez valables pour le faire”.

Evoquant les relations de cause à effet qui pourraient être faites entre la découverte d'une pyramide sous-marine dans cette région et le mystère du “Triangle des Bermudes” le plongeur marseillais s'est montré très réservé.

“Tout ceci, a-t-il dit, est très difficile à relier. Certains esprits romantiques aimeraient bien voir une relation entre ce qui pourrait être les vestiges d'une vieille civilisation qui utilisait des forme d'énergie que nous ne connaissons pas et les disparitions constatées dans secteur. Pour le moment ce n'est pas très scientifique, bien que les phénomènes électromagnétiques signalés dans cette zone soient vraiment troublants, puisque les boussoles se mettent à tourner à des allures hallucinantes et que des pilotes disparaissent et réapparaissent après que leurs montres se soit arrêtées durant ce temps.”

Le plongeur marseillais estime que “toutes les hypothèses sont maintenant valables, même la rupture de la continuité espace-temps”.

L'expédition coûtera plus d'un million de Francs et sera uniquement financée par M. Marshall, un riche propriétaire de mines.
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Prolongement révélateur en date du 12/12/01.
Comme suite à ce que nous disions récemment dans notre article : HYPERLINK "http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/peupleciel.html" http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/peupleciel.html :http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/peupleciel.html , voici qu'arrive bizarrement, maintenant, une confirmation de cette phrase, écrite pourtant par l'auteur autour de l'année 1980 :

"Pour en savoir plus, voir les pages 152 et 153 de l'ouvrage exceptionnel "Le triangle des perturbations" d'André ALFAYA publié en Août 1981 chez Robert Laffont dans la prestigieuse collection "Les Enigmes de L'univers". Ce livre nous apprend, entre autres choses surprenantes, que l'on a trouvé sous l'eau de mer de la région, des blocs taillés et des pyramidions, sommets de monuments plus grands qui se prolongent plus profondément et en longueur sous le sable."

En effet le 8/12/01 nous avons reçu de notre ami Joël Baran le message:

From: HYPERLINK "mailto:joel.baran1@net-up.com" \o "joel.baran1@net-up.com" joel.baran1
To: HYPERLINK "mailto:fred.idylle@wanadoo.fr" \o "fred.idylle@wanadoo.fr" fred idylle
Sent: Saturday, December 08, 2001 7:19 PM
Subject: message du 8 décembre 2001

Cher Fred

Il y a deux jours, j'ai vu un article fort intéressant de l'agence Reuters à l'adresse:
HYPERLINK "http://dailynews.yahoo.com/htx/nm/20011206/sc/cuba_discovery_dc_1.html" http://dailynews.yahoo.com/htx/nm/20011206/sc/cuba_discovery_dc_1.html

Où il est question d'étranges ruines trouvées pas loin des caraïbes.
Amitiés

Joêl

Voici donc notre modeste traduction du texte anglais en question, placé plus bas cependant, pour les puristes qui peuvent nous en rectifier les erreurs.

Agence Reuters | SPACE.COM | AP

Jeudi 6 Décembre 6 à 11:13 AMET
Des explorateurs voient les ruines d'une "cité perdue" dans les eaux Caraïbes
Par Andrew Cawthorne
La HAVANE (Reuters)

- Des Explorateurs utilisant un sous-marin miniature pour sonder le fond de la mer au large de la côte de Cuba ont déclaré, jeudi qu'ils confirmaient la découverte de structures de pierre profondément immergés en dessous de la surface de l'océan qui pourraient avoir été érigées par une civilisation inconnue, il y a des milliers d'années de cela.
Les chercheurs, aidés par une entreprise canadienne d'exploration dirent qu'ils ont filmé pendant l'été, des ruines submergées d'une éventuelle "Cité Perdue" de la Péninsule Guanahacabibes sur l'extrémité ouest de l'île Caraïbéenne. Le chef d'expédition a dit , jeudi, que les chercheurs ont averti qu'ils n'ont pas entièrement compris la nature de leur trouvaille et ont projeté de retourner en janvier pour l'analyser plus avant.

Les explorateurs ont dit qu’ils pensaient que les structures mystérieuses, découvertes à la profondeur étonnante d'environ 2,100 pieds (voisin de 640m:note du traducteur) et qui se présentent à la manière d'une zone urbaine, pourraient avoir été construits, il y a au moins 6 000 années auparavant. Ceci serait plus ancien d'environ 1500 ans, que les grandes pyramides de Gizeh d'Egypte.

"C'est vraiment une merveilleuse structure qui pourrait avoir été un grand centre urbain" a dit l'ingénieur femme des techniques océanes, canadienne d'origine soviétique, Paulina Zelitsky, qui est un membre l'ADC de la Colombie britannique (Avanced Digital Communications).

"Cependant, il serait totalement irresponsable de dire ce qu'il en était, avant que nous en ayons la preuve" a déclaré Zelitsky à l'Agence Reuters.

Zelitsky a dit que les structures devraient avoir été construites par des gens inconnus, quand le lit actuel de l'océan était en réalité au-dessus la surface. Elle a dit que l'activité volcanique peut expliquer comment le site a pu être immergé à grandes profondeurs en dessous de la surface de la Mer Caraïbe.
En juillet 2000, les chercheurs de l'ADC, utilisant un équipement sophistiqué muni d'un sonar à balayage, ont identifié un grand plateau sous-marin avec des images claires de structures en pierres symétriquement organisées, qui ressemblaient à une organisation urbaine recouverte partiellement par le sable. D'au-dessus, ces chercheurs disaient voir apparaître d'éventuelles formes de pyramides, de routes et de bâtiments.

"ULISES" ASSISTE CETTE ODYSSEE SOUS-MARINE Ce dernier mois de Juillet, les chercheurs d'ADC , accompagnés des experts et partenaires de l'Académie Cubaine de Sciences, sont revenus sur le site avec leur navire "Ulises". Ils ont dit qu'ils ont utilisé un sous-marin miniature sans pilote, appelé ROV (Remotely Operated Vehicle : véhicule d'opération téléguidée ) pour filmer en eau profonde des parcelles d'une zone de 7,7 mille carrés.(voisin de 12,4 km2)

Les chercheurs ont déclaré que ces images confirmaient la présence d'énormes et lisses, blocs de granite découpés comme dans des formations perpendiculaires et circulaires, certains en forme de pyramides. Ils déclarèrent aussi que la plupart des blocs, mesurent entre 6.5 et 16 pieds (2m et 4,9m) de longueur, et certains sont empilés les uns sur les autres. D'autres étaient recouverts de sédiments et du beau sable blanc qui caractérise la région.

Ces chercheurs ont aussi dit que l'intrigante découverte a fourni la preuve que Cuba, autrefois était lié au continent de l'Amérique latine par la bande de terre de la Péninsule du Yucatan.

"Il y a de nombreuses nouvelles hypothèses concernant le mouvement terrestre et la colonialisation, et ce que nous voyons ici, devrait apporter une très intéressante et nouvelle information ", a dit Zelitsky. L'équipement en eau profonde de L'ADC comprend sonar de haute précision à double fréquence, possédant un système de positionnement intégré du fond océanique, par satellite, et le ROV. La société est entrain de mettre au point actuellement, ce qu'elle appelle le premier excavateur mondial du fond océan pour l'archéologie sous-marine afin de commencer l'exploration à la fois du site de Guanahacabibes et de celui relatif aux épaves de navire.

ADC est l'opérateur agissant au niveau le plus profond parmi quatre firmes étrangères travaillant dans l'entreprise commune avec le gouvernement du Président Fidel Castro (actualités du web) pour explorer les eaux Cubaines contenant des centaines de navires chargés de trésors de l'ère coloniale.

L'entreprise Canadienne a déjà découvert plusieurs navires historiques espagnols coulés. Dans une découverte précédente très pointue, ADC a testé en fin de l'an 2000, l'équipement au large de la Baie de la Havane, quand cette société a trouvé la vieille épave du siècle précédent, du cuirassé Américain USS le Maine.

Le navire n'avait pas été localisé depuis qu'il avait explosé mystérieusement en 1898, tuant 260 marins Américains et enflammant la Guerre Hispano-américaine.

Le regain d'intérêt pour les mers territoriales de Cuba, au cours de ces dernières années, est dû en partie à la reconnaissance du gouvernement de Castro du fait qu'il n'a pas les fonds ou la technologie pour en entreprendre par lui même l’exploration systématique, bien qu'il ait des plongeurs excellents.

Les entreprises américaines ont été empêchées d'opérer à Cuba par le long embargo américain sur le l'île communiste.

Et voici le texte d'origine:

Reuters | SPACE.com | AP
Thursday December 6 11:13 AM ET
Explorers View 'Lost City' Ruins Under Caribbean
By Andrew Cawthorne

HAVANA (Reuters)

-Explorers using a miniature submarine to probe the sea floor off the coast of Cuba said on Thursday they had confirmed the discovery of stone structures deep below the ocean surface that may have been built by an unknown human civilization thousands of years ago.
Researchers with a Canadian exploration company said they filmed over the summer ruins of a possible submerged ``lost city'' off the Guanahacabibes Peninsula on the Caribbean island's western tip. The researchers cautioned that they did not fully understand the nature of their find and planned to return in January for further analysis, the expedition leader said on Thursday.
The explorers said they believed the mysterious structures, discovered at the astounding depth of around 2,100 feet and laid out like an urban area, could have been built at least 6,000 years ago. That would be about 1,500 years earlier than the great Giza pyramids of Egypt.
``It's a really wonderful structure which looks like it could have been a large urban center,'' said Soviet-born Canadian ocean engineer Paulina Zelitsky, from British Columbia-based Advanced Digital Communications (ADC).
``However, it would be totally irresponsible to say what it was before we have evidence,'' Zelitsky told Reuters.
Zelitsky said the structures may have been built by unknown people when the current sea-floor actually was above the surface. She said volcanic activity may explain how the site ended up at great depths below the Caribbean Sea.
In July 2000, ADC researchers using sophisticated side-scan sonar equipment identified a large underwater plateau with clear images of symmetrically organized stone structures that looked like an urban development partly covered by sand. From above, the shapes resembled pyramids, roads and buildings, they said.

"ULISES" ASSISTS UNDERWATER ODYSSEY

This past July, ADC researchers, along with the firm's Cuban partner and experts from the Cuban Academy of Sciences, returned to the site in their ship ``Ulises.'' They said they sent a miniature, unmanned submarine called a Remotely Operated Vehicle (ROV) down to film parts of the 7.7-square-mile area.
Those images confirmed the presence of huge, smooth, cut granite-like blocks in perpendicular and circular formations, some in pyramid shapes, the researchers said. Most of the blocks, measuring between about 6.5 and 16 feet in length, were exposed, some stacked one on another, the researchers said.
Others were covered in sediment and the fine, white sand that characterizes the area, the researchers sa
id. The intriguing discovery provided evidence that Cuba at one time was joined to mainland Latin America via a strip of land from the Yucatan Peninsula, the researchers said.
``There are many new hypotheses about land movement and colonialization, and what we are seeing here should provide very interesting new information,'' Zelitsky said.
ADC's deep-water equipment includes a satellite-integrated ocean bottom positioning system, high-precision side-scan double-frequency sonar, and the ROV. The company currently is commissioning what it calls the world's first custom-designed ocean excavator for marine archeology to begin work both at the Guanahacabibes site and at ship wrecks.
ADC is the deepest operator among four foreign firms working in joint venture with President Fidel Castro (news - web sites)'s government to explore Cuban waters containing hundreds of treasure-laden ships from the colonial era.
The Canadian company already has discovered several historic sunken Spanish ships.
In an earlier high-profile find, ADC was testing equipment in late 2000 off Havana Bay when it spotted the century-old wreck of the American battleship USS Maine. The ship had not been located since it blew up mysteriously in 1898, killing 260 American sailors and igniting the Spanish-American War.
The rush of interest in Cuba's seas in recent years is due in part to the Castro government's recognition that it does not have the money or technology to carry out systematic exploration by itself, although it does have excellent divers.
American companies are prohibited from operating in Cuba by the long-running U.S. embargo on the Communist-run island.
Fin de citation
Prolongement révélateur en date du 27/12/01.
En hommage à Jacques Mayol qui nous a quitté hélas brusquement et qui en connaissait long sur la question, nous vous proposons le nouveau paragraphe suivant:

Tiré, par la perspicacité de l'ami Roch Saüquere, du site anglais dont les informations remontent déjà à 1997:
HYPERLINK "http://www.planetarymysteries.com/atlantis/atlndisc.html" http://www.planetarymysteries.com/atlantis/atlndisc.html

Nous vous proposons la modeste traduction suivante:

L'ATLANTIDE A-T-ELLE ÉTÉ DÉCOUVERTE?

Source: Aaron Du Val
Président de la Société d'Egyptologie
Miami, La Floride
Communiqué de Presse du 6 Juillet 1997
Entrevue personnelle du 16 Juillet 1997
communiqué de presse de 1997

Les ruines de temples datées de 12.000 ans ont été trouvées près de Bimini, Bahamas. L'analyse préliminaire a indiqué que les structures originelles, bien que d'une taille plus réduite que celle la grande pyramide de Gizeh, semblent avoir été plus anciennes. On a mesuré des pierres du revêtement qui épousent le même angle unique que celui de la Grande Pyramide.


Les ruines sont mégalithiques et soutiennent une ressemblance remarquable avec les sites antiques de l'Égypte. Les prétendues "blocs modélisés" trouvées dans les carrières d'Assouan et également sur la Grande Pyramide, elle-même, apparaissent comme des cure-dents en regard de ceux trouvés sur les temples mégalithiques de Bimini. D'autres caractéristiques concordent étroitement avec les caractéristiques des sites mégalithiques trouvés au Pérou, au Yucatan, en Irlande et en Scandinavie. Les pierres retiennent déjà une attention internationale et de recherches pointues et des projets d'analyse sont entrepris et l'on espère débuter des investigations plus précises sous peu.

L'analyse de ces antiques et énigmatiques temples construits près de Bimini, il y a 12.000 ans, a tout juste commencé. Bien que beaucoup de cartes du royaume merveilleux ornent divers murs de ces temples mystérieux de Bimini, il y a un manque presque complet d'autres inscriptions. Des rares glyphes (ciselure gravée en creux formant un motif: note du traducteur) qui existent, cependant, plusieurs ressemblent à ceux trouvés dans la caverne célèbre d'Altamira en Espagne qui contient la peinture bien connue de bisons. En outre, il y a des positions orbitales exactes des planètes et ce qui semble avoir été des rayonnements complexes d'étoiles, des murs plaqués de métal, et des pierres imbriquées de diverses couleurs.

La Société d'Égyptologie, qui prétend être affiliée avec le Musée des Sciences de Miami, accueillera cet été, au Musée plusieurs meetings pour présenter des preuves de tout cela au public. Le premier meeting, y compris les premières images et montage vidéo publics, sera tenu le 25 juillet.
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L'entrevue suivante est d'Aaron Du Val (ADV), président de la société d'Egyptologie a été conduite par James Gregory (JG), rédacteur en chef du NHNE News Brief le 16 juillet 1997 :

JG: Où sont placées les ruines exactement et qui les a découvertes?

ADV: Ni la découverte ni l'endroit n'ont été annoncés encore. Il est probable que cette information soit annoncée lors de la réunion juillet 25. Si tout va bien, nous serons entrés en contact avec les musées et le gouvernement à ce moment-là de sorte que le site pourra être protégé.

JG: Les ruines sont-elles sous-marines?

ADV: Certaines d'entre elles sont sous l'eau et certaines sont encore ensablées sous l'eau.

JG: Quelle taille ont les structures?

ADV: De façon générale, elles ne sont pas aussi grandes que les pyramides de Gizeh, mais certaines des pierres sont extrêmement grandes.

JG: Les pierres sont-elles en place, où ont-elles été dispersées ?

ADV: Elles ne sont pas dans leur formation d'origine.

JG: Quel genre de réponse avez vous obtenu à la suite de votre annonce?

ADV: Nous recevons des appels des personnes partout dans le monde. Une chose nous surprend, c'est le nombre de personnes qui sont contre toute idée qui puisse établir une liaison entre ce site et l'Egypte -- cela les déconcerte grandement. Nous avons eu des personnes qui ont appelé le Musée des Sciences de Miami avec une telle fureur qu'ils ne savent même pas par où pour commencer pour vociférer -- Finalement elles arrivent à se plaindre au sujet de la ponctuation concernant les libellés de nos déclarations.
Atlantis est un sujet superbement délicat. Peut-être ce sera une occasion pour déclencher chez de nombreuses personnes l'envie d'explorer des idées qui ont été tabous dans le passé. Des structures mégalithiques ne sont pas (officiellement) censées être aux Bahamas. Celles-ci sont plus près de ce que vous trouveriez à Gizeh que ce que vous trouveriez au Mexique ou au Pérou et qui sont très étranges. Les gens disent des choses incroyables comme par exemple que ceci pourrait nous forcer à une réinterprétation du cours de l'histoire humaine.

JG: Les inscriptions assorties invitent-elles à penser que ces pierres viennent des mêmes carrières que celles des monuments de Gizeh?

ADV: Non. Ce sont juste les mêmes inscriptions qui ont été utilisées. Il y a beaucoup de théories différentes quant à la façon dont ces structures ont été faites -- probablement par l'utilisation appareillages soniques ou par l'utilisation de formes d'abord liquide et qui auraient durci par la suite .

JG: Edgar Cayce a prévu justement que cette sorte de chose serait découverte.

ADV: Cette découverte est bien une de ses prédictions. Maintenant nous ne disons pas que c'est l'Atlantide, mais c'est sûr, c'est étrange comment ces faits correspondent non seulement aux prévisions de Cayce, mais aussi aux écritures de Platon, même en ce qui concerne les murs plaqués de métal.

Michael Wilson

Lightworks Audio Et Visuel, Inc.. HYPERLINK "http://www.lightwired.com" http://www.lightwired.com ou contacter Grégory à HYPERLINK "mailto:@@jpg@sedona.net" @@jpg@sedona.net

L'INFORMATION IMPORTANTE

Un de nos lecteurs envoyés l'e-mail suivant:

"je suis entré en contact avec le musée à Miami concernant "révélations" de Bimini. Elles ont répondu en disant qu’elles ne pourraient pas commenter alors que la société concernée est seulement en contact avec le musée par le fait qu'elle y tient ses réunions. C'est bien peu comme contact. (Je pense que cette société est gênée par toute l'agitation qui se fait autour de cette affaire.) Incidemment, la réunion du 25 juillet qui devait annoncer ces résultats au monde fut chose étonnant, oui étonnante...décommandée.
Se pourrait-il que quelqu'un essaye de détourner notre attention loin des excavations réalisées à Gizeh ? Qui sont également plutôt en elles-même plutôt subtiles."
Fin de traduction

Roch Saüquere nous dit aussi qu'il a retrouvé l'image de l'écho sonar de la fameuse pyramide immergée à cette page :
HYPERLINK "http://www.sens-de-la-vie.com/Archepages/vsv_20_d2_01_5_passe.htm" http://www.sens-de-la-vie.com/Archepages/vsv_20_d2_01_5_passe.htm
Bimini : des vestiges archéologiques sous-marins existent et ont été photographiés et filmés au large de Bimini et il y a même l'écho sonar d'une pyramide !

Légende de l’image:

The sonar chart obtained by Captain Don Henry, purportedly showing a gigantic underwater "pyramid."
INCLUDEPICTURE "http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/echoradarpyramide.jpg" \* MERGEFORMATINET

Ce graphisme a été montré pour la première fois en France, page 95 de l'ouvrage remarquable de Charles Berlizt "Sans Trace : Le triangle de Bermudes 2", publié dés Févier 1978 chez l'Editeur Flammarion et que les réalisateurs du film documentaire de 1997 intitulé " Il était une fois l'Atlantide" de Renan Pollès de la Chaîne Télé Image avec la participation de Canal+ et de la Cinq auraient été bien inspirés de lire avant de faire leur film.
Autre prolongement en date du 7/04/02
Le 6 Avril 2002 nous avons reçu d'un aimable internaute que nous ne connaissions pourtant pas et que nous remercions encore ici, l'importante missive suivante :

----- Original Message -----
From: HYPERLINK "mailto:luigy.ex@wanadoo.fr" \o "luigy.ex@wanadoo.fr" luigy.ex@wanadoo.fr
To: HYPERLINK "mailto:fred.idylle@wanadoo.fr" \o "fred.idylle@wanadoo.fr" fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Saturday, April 06, 2002 2:43 PM
Subject: Atlantide

Bonjour, je vous envoie une dépêche Reuters publiée la semaine passée, trouvée sur le site HYPERLINK "http://" Boursorama.fr ; j'en profite pour vous dire que j'apprécie votre travail.
Bonne continuation, cordialement.

**
Et s'il y avait réellement une cité engloutie près de Cuba...
Reuters le 30/03/2002 01:52
par Andrew Cawthorne

LA HAVANE, 30 mars (Reuters) - Des chercheurs scientifiques ont annoncé vendredi qu'ils espéraient être en mesure de
mieux déterminer cette année si la formation rocheuse inhabituelle découverte en profondeur aux larges des côtes
cubaines pouvait s'avérer une cité engloutie provenant d'une civilisation jusque-là inconnue.

"Ce sont des structures extrêmement particulières (...). Elles sollicitent toute notre imagination", a déclaré le
géologue cubain Manuel Iturralde lors d'une conférence après une semaine passée sur un bateau au-dessus du site.

"Si je devais expliquer cela sur le plan géologique, j'aurais du mal", a-t-il ajouté ensuite devant des journalistes.

L'étude des échantillons de roches qui doivent être prélevés dans les prochains mois devrait permettre de mieux
comprendre comment s'est formée la péninsule de Guanahacabibes à l'extrémité occidentale de Cuba.

Iturralde, directeur de recherches au musée d'histoire naturelle de Cuba, a rejoint la société canadienne d'explorations Advanced Digital Communications (ADC) afin de tenter de résoudre le mystère de la formation rocheuse lisse, semblable à du granite, et surtout géométriquement conçue. Les roches sont disposées dans des structures
ressemblant à des pyramides et des routes sur une zone de 20km² à plus de 600 mètres de profondeur.

ADC a suggéré que ces roches pourraient appartenir à une civilisation ayant colonisé le continent américain il y a
des milliers d'années, s'installant probablement sur une île qui a sombré dans les profondeurs à la suite d'un cataclysme tel qu'un séisme.

Cette théorie, et son inévitable parallèle avec le mythe de la cité perdue de l'Atlantide, suscite le scepticisme de certains scientifiques qui jugent peu crédibles la profondeur et l'âge - ADC parle d'au moins 6.000 ans.

Des archéologues européens arguent que les pierres sur lesquelles ADC avait buté en juillet 2000 en recherchant à l'aide de sonars des trésors et galions espagnols engloutis, pourraient tout simplement provenir de roches calcaires naturelles.

Mais la conclusion d'Iturralde selon laquelle il n'y a pas pour l'instant d'explications naturelles à la formation rocheuse a donné du crédit à la théorie d'ADC.

"IL FAUT AVOIR L'ESPRIT OUVERT"

"Il semble qu'il y a une certaine forme de conception intelligente dans la configuration et l'organisation de la structure", a souligné Paulina Zelitsky, ingénieur océanographe de chez ADC.

"J'ai travaillé dans ses zones pendant 30 ans et je n'ai jamais vu auparavant de structures naturelles dessinées avec une telle symétrie et une telle organisation intelligente. Dès le premier moment, j'ai suspecté que ces structures n'étaient pas naturelles".

Même si Iturralde a fourni la preuve vendredi d'un mouvement sismique sur le site, qui a pu submergé la partie émergée, il n'est pas allé jusqu'à conclure que la formation rocheuse n'était pas d'origine naturelle. Mais si cette théorie était prouvée, elle révolutionnerait la compréhension de l'histoire des Amériques, a-t-il expliqué à des journalistes.

"Récemment, un archéologue français a découvert des preuves de la présence d'êtres humains en Amérique du Sud il y a 40.000 ans. C'était quelque chose que nous n'avions pas envisagé, donc il faut toujours être ouvert aux choses auxquelles on ne s'attend pas, qui ne se trouvent pas dans le cadre de notre connaissance actuelle (...). Il se peut que nous ayons découvert quelque chose auquel personne
n'avait jamais pensé".

ADC compte acheminer un robot spécialement conçu sur le site d'ici quelques mois pour récupérer des échantillons de roches et des sédiments afin d'essayer de les dater et d'y chercher des indices prouvant qu'ils aient pu être un jour émergés. Ils rechercheront également des signes de vie humaine tels que des dessins, sculptures et objets fabriqués.

"Il ne sera pas facile de prélever des échantillons de ces structures parce qu'elles ressemblent à du granite. Et forer du granite à 600 mètres de profondeur est très difficile", a noté Zelitsky.

Elle estime que ces découvertes pourraient changer le cours de l'Histoire. "Je pense qu'il s'agit des origines du continent américain. Il y a beaucoup d'hypothèses sur la colonisation du continent (...). C'est sujet à beaucoup de controverses et je pense que notre découverte représentera la première existence physique des véritables origines de la civilisation développée des Amériques".
Le 20 Juin 2002, après de fructueuses recherches sur le Web, notre ami Joël Baran, nous a fait part de sa découverte, à notre grand étonnement, faisant état du fait que le scientifique français Jean-Pierre Petit chargé de recherches au C.N.R.S., était un plongeur expérimenté et qu'il avait participé aux recherches sous-marines dans les Bahamas en 1979. Vous trouverez les détails très importants sur cette participation sur la page en date du 24 décembre 2001, intitulée "Requiem pour Jacques Mayol" et placée à:
HYPERLINK "http://www.jp-petit.com/dangers/Mayol/Mayol.htm" http://www.jp-petit.com/dangers/Mayol/Mayol.htm
Corrélativement, et bien que cela n'intéresse pas directement la Zone de Caraïbes, nous apprenions aussi la découverte au large du Japon près de l'île d'Yonaguni dans l'archipel d'Okinawa, d'une structure sous-marine spectaculaire (même si elle était naturelle) de 120m de long sur 40 m de large et qui si elle avait fait été faite de main d'homme remonterait avant 12000 ans quand la zone en question était hors de l'eau. Nous vous donnerons plus bas, notre modeste traduction concernant ce texte important qui en parle intitulé "Lost Word of Okinawa" de Kenny Ehman placé à :
HYPERLINK "http://www.divernet.com/profs/okinawa799.htm" http://www.divernet.com/profs/okinawa799.htm
Voici donc de quoi il s'agit en un prolongement spécifique :

Prolongement révélateur en date du 4 nov 2001 .

Nous avons reçu de l'internaute : HYPERLINK "mailto:ugh02@infonie.fr" \o "ugh02@infonie.fr" ugh02 le texte suivant qui est extrait du Sunday Times de Londres daté du 26 avril 1998.

Vous trouverez cet article en anglais sur le site: HYPERLINK "http://www.ufocom.org/UfocomS/japzig.htm" http://www.ufocom.org/UfocomS/japzig.htm .

Et voici la traduction de cet article, que nous devons à l'amabilité de l'internaute Trushar Barot :

Une structure, qui apparaît comme étant la plus vieille construction d’envergure du monde (deux fois l’âge des pyramides d’Egypte), vient d’être découverte. Cette ziggourat rectangulaire en pierre, retrouvée au fond de la mer du Japon, près des côtes nippones, pourrait être le premier témoignage d’une civilisation encore inconnue de l’âge de pierre, de l’avis même des archéologues.

Voici trois photographies du site:
INCLUDEPICTURE "http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/okinawa1.gif" \* MERGEFORMATINET INCLUDEPICTURE "http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/okinawa2.jpg" \* MERGEFORMATINET
INCLUDEPICTURE "http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/okinawa3.jpg" \* MERGEFORMATINET <>
Le monument fait environ 183 mètres de large, et 27 mètres de haut. Sa datation a révélé qu’il remontait à au moins 8000 ans av. JC. La plus vieille pyramide d’Egypte, à Saqqarah, a été construite plus de 5000 ans après.

La structure de Yonaguni, une petite île au sud-ouest d’Okinawa, fut tout d’abord découverte, par 22 mètres de fond, par des plongeurs il y a 10 ans. Les populations de la zone pensaient que c’était une construction naturelle.

Le professeur Masaki Kimura, un géologue de l’université Ryükyü à Okinawa, qui fut le premier scientifique à étudier le site, a conclu que la mystérieuse structure de 5 étages avait été bâtie de la main de l’homme. "Cet objet n’a pas été façonné par la nature. Si cela avait été le cas, on pourrait s’attendre à trouver des débris dus à l’érosion autour du site, mais il n’y a pas de fragments de roche ici " a-t-il indiqué. "La découverte de ce qui apparaît être une route entourant la construction est une autre preuve de la nature artificielle du bâtiment"a ajouté le professeur Kimura.

Robert Schoch, professeur de géologie à la Boston university, a effectué des plongées sur le site en mai 1998.

"Cela ressemble essentiellement à des séries d’énormes marches, toutes d’une hauteur d’environ un mètre. C’est une paroi de falaise ressemblant à une face de pyramide à degrés .C’est une structure très intéressante." , déclara-t-il. "Il est possible que l’érosion hydraulique, combinée avec un processus de fracture et d’éboulement de la roche ait pu créer une telle structure, mais je n’ai jamais rencontré de processus pouvant créer une construction aussi régulière que celle-là."

Une autre preuve de l’origine artificielle de ce monument fut apportée par la découverte dans les alentours d’autres tertres sous-marins, plus petits. Comme la construction principale, ces mini-ziggourats sont des dalles agencées en gradins, qui mesurent environ 10 m de large et 2m de haut.

Kimura a affirmé qu’on ne savait pas encore qui avait bâti le monument et dans quel but. "Ce bâtiment pourrait être la preuve de l’existence d’une culture inconnue jusqu’alors, puisqu’il n’y a aucun souvenir de gens assez intelligents pour avoir construit un tel monument il y a 10000 ans." a ajouté le géologue. "Ces constructions n’ont pu être réalisées que par un peuple possédant un haut degré de technologie, et qui venait probablement du continent asiatique, d’où sont issues les plus anciennes civilisations. L’utilisation d’un outillage approprié a également dû être nécessaire pour bâtir un édifice aussi énorme".

Teruaki Ishii, professeur de Géologie à l’université de Tokyo, a affirmé que la ziggourat remonte à au moins 8000 Av. JC., au moment où les terres sur lesquelles elle a été construite ont été submergées, a la fin du dernier âge glaciaire. "J’espère que ce site est artificiel, ce qui serait très intéressant. Mais pour le moment, il est trop tôt pour pouvoir l’affirmer. Je pense que même si la structure est artificielle, une partie de celle-ci doit avoir été construite de main d’homme." a-t-il déclaré.

Les premières traces d’une quelconque civilisation au Japon remontent à environ 9000 Av.JC. Les hommes y étaient à cette époque des chasseurs-cueilleurs. Il n’y a rien dans les archives archéologiques qui permettent de penser à la présence à cette époque d’une culture assez avancée pour bâtir une structure telle qu’une ziggourat.

Les archéologues britanniques s’intéressent également à cette découverte, qui fera l’objet d’un documentaire sur Channel 4 cet été.


Et voici enfin la traduction du texte " Lost Word of Okinawa", où il est aussi question du célèbre plongeur français Jacques Mayol.
Le monde perdu d'Okinawa
Par Kenny Ehman
Artificiel ou naturel ? Tel est le débat faisant rage au sujet de cette structure mystérieuse de pierres, trouvée au large du Japon. Kenny Ehman s'y rendit pour l'observer et découvrit une autre légende venant du plongeur autonome Jacques Mayol, dont les conceptions sont particulières à ce sujet.

Yonaguni est la dernière île de l’archipel d'Okinawa s'étendant au sud du Japon. Cette île apparaît comme un lieu de rassemblement en eaux profondes de grands bancs de requins-marteaux qui s'y rendent de Février à Mars. Mais récemment, Yonaguni est devenu le site archéologique sous-marin le plus important des environs, et se trouve lui-même au coeur du débat sur la civilisation humaine primitive.

Cela est dû à la découverte à quelques encablures de son littoral, d'une structure sous-marine de pierre mesurant 120m par 40m. En tant que phénomène naturel, ceci est déjà spectaculaire, mais si cette structure a été érigée par des humains , comme beaucoup de scientifiques le croient, alors elle daterait d'à peu près 12 000 ans, quand la zone émergeait au-dessus des eaux, avant la fin de la dernière période glaciaire. Ce serait alors la plus vieille structure artificielle jamais, découverte dépassant l'age des pyramides d'Egypte de plusieurs milliers d'années et cela impliquerait éventuellement, l'existence d'une ancienne civilisation inconnue.

Un des plongeurs bien connu, qui a pu visiter le site en question, est Jacques Mayol, le pionnier de la plongée en apnée, et qui fût celui qui inspira le réalisateur du film "Le Grand Bleu", l'homme qui a une affinité incroyable avec des baleines et des dauphins . Il connaît aussi un grand nombre de sites archéologiques sous-marins.

Quand je me rendis à Yonaguni, Mayol était entrain de le visiter avec son ami Kihachiro Aratake, le guide local de plongée sous-marine qui découvrit le monument, 13 années auparavant, avec des membres de son équipe "homo delphinus". Pour vous joindre à l'équipe dit Mayol, "vous devez avoir un souffle soutenu d'un plongeur expérimenté , et par-dessus tout, ne pas vous prendre au sérieux et garder le sourire".

Mais notre préoccupation était de nous procurer une tenue de plongée.

Avec deux membres de l'équipe "Homo Delphinus" et un membre de du personnel d' Aratakès pour ouvrir la voie, je commençai à me préparer mentalement pour aller de l'avant. Comme notre bateau voisinait l'emplacement, j'essayais d'imaginer ce à quoi pouvait ressembler le littoral, il y a près de 12 000 ans auparavant.

Quelques minutes plus tard, nous étions près à entrer dans l'eau. Les moteurs étaient coupés, et nous arrivâmes sur le site. Mon coeur battait la chamade, déjà avant l'heure. L'eau était incroyablement bleu, offrant au moins 45m de visibilité.

Nous entrâmes dans un petit tunnel au travers certains rochers à environ 20m de profondeur. Se dressant devant nous, sur l'autre côté, deux énormes monolithes s'étiraient, droit vers le haut, paraissant atteindre presque la surface. La clarté incroyable de l'eau rendait le décor presque irréel. Je touchais une des colonnes, découvrant ses aspérités comme si j'attendais qu'elle me donne une certaine sorte de réponse sur raison de sa présence en ce lieu.

Nous avons suivi le monument autour de sa face sud. De cette face, des marches montaient de sa base vers des terrasses selon des niveaux différents. Cette disposition parut continuer ainsi jusqu'au au sommet. M'agrippant à une petite coupure dans le rocher, et scrutant vers le haut les forts courants qui circulaient autour de mon corps, j'essayais d'imaginer quelles significations possibles donner à toutes ces lignes mystérieuses et ces plateaux. Seules les silhouettes de nombreux poissons au-dessus de moi me rappelaient que j'étais sous l'eau.

Nous avons nagé quittant le monolithe en surplombant certaines formations coralliennes et rocailleuses. En regardant derrière nous la taille du monolithe nous parut impressionnante. Les nombreuses terrasses et marches paraissaient appartenir à un certain type de plan architectural, conçu dans un but sous-jacent. Je savais que je voyais là une découverte surprenante, mais dans le même temps, cela me remplissait de perplexité.

Aratake, qui ressemblait à un pirate du 18ème siècle, avec sa chevelure tirée vers l'arrière en queue de cheval et une grosse barbe, est un "loup de mer " avec ses 30 années d'expérience de plongée sous-marine . Il découvrit accidentellement le monument alors qu'il recherchait de nouvelles zones de plongée à inscrire sur la carte de son entreprise (la SWYDS: South-West Yonaguni Dive Shop). Il a enregistré de nombreux spots de plongées du site et en connaît les contours mieux que quiconque. " J'ai entendu toutes sortes de théories de scientifiques," dit-il.»Ce que je crois c'est qu'il s’agit une certaine sorte de tombeau ancien."

Un aspect du monument qui a fait que certains archéologues doutent de son appartenance à une oeuvre humaine, réside dans plusieurs de ses grandes marches. Elles paraissent beaucoup trop hautes pour une personne. Aratake, cependant, croit qu'elles n'étaient pas destinées à cette fin.

Il me montre un tombeau de style traditionnel d'un ancien cimetière d' Yonaguni. "Vous voyez ces deux marches sur chaque côté de l'entrée?" dit-il en me les montrant. "Elles sont très semblables à ce que j'ai vu sur le monument. Elles ne sont pas utilisées comme des marches, mais chaque tombeau Yonaguni en a". Je constate bien cette ressemblance parfaite. Peut-être ces marches ont-elles une certaine signification qui a été perdue, mais qui est reliée au monument.

Dr Masaaki Kimura, un professeur et géologue de L'université du Ryükyü, a étudié le monument pendant sept années et est convaincu qu'il montre des signes de modification humaine. D'autres sont plus sceptiques. Ils indiquent qu'il y existe de nombreuses et étonnantes des formations de rocheuses sur notre Terre, mais qu'elles sont complètement naturelles. De plus, le site de Yonaguni est composé de grès, qui tend à se casser suivant des lignes très droites et est aisément érodé par le temps. Dr Koremasa Tsuji de l'université de Guam croit c'est le mouvement extensif de la tectonique des plaques de la zone qui en est responsable.

Cependant Mayol, pendant des années, a visité un certain nombre de structures sous-marines par delà le monde et il envoie se promener les théories qui affirment que le monument est issu d'un phénomène naturel.

Quand je lui demande s'il croit que cela pourrait être en relation avec les sites sous-marins qu'il a étudiés dans les îles Canaries et à l'île de Bimini, ses yeux s'étincellent avec enthousiasme. "Il y avait une race d'humains que l'on appelait les Cro-Magnon. Certains os de Cro-Magnon ont été trouvés dans les Iles canaries, où ils sont connus localement sous le nom de Guanches. Ces humains avaient une hauteur moyenne de 2m. Ils avaient la chevelure blonde et yeux bleus, et avaient des aptitudes extrêmement artistiques. La théorie est qu'ils peuvent être venus d'un continent perdu - peut-être l'Atlantide," explique Mayol avec émotion alors que nous étions au bord d'une des grandes falaises de Yonaguni.

Avant que les continents dérivent jusqu'à leur emplacement actuel, les îles d'Okinawa, desquels Yonaguni fait partie, auraient probablement formé un pont terrestre entre le continent Japon et Sud-est asiatique. Cela pourrait avoir été un carrefour migratoire et pourrait même avoir été un lien entre les premières traversées trans-pacifiques.

Cette théorie est soutenue par ces scientifiques qui ne croient pas que la migration humaine vers l’Amérique puisse avoir eu lieu par le détroit de Béring, mais qu'elle s'est faite à travers le Pacifique. Des éléments de poterie ont été découverts en Equateur et présentent des similarités avec ceux des poteries venant de la culture Jomon au Japon, qui fut active, il y a de cela, plus que 10 000 années.

Yoaguni a assurément excité la curiosité de Mayol. "Je sens que je me trouve devant quelque chose qui me dépasse, a-t-il confié. J'avais ressenti la même étrange sensation alors que, il y a vingt ans, je faisais souvent de la plongée sous-marine pour explorer les sites préhistoriques situés dans la région des îles Bahamas. Je pense que le monument Yonaguni est en partie artificiel. Il est absolument évident pour moi qu'il n'est pas totalement naturel." Comme un vrai philosophe, Mayol fait aussi ce commentaire: "Nous n'essayons jamais de comprendre la vraie nature de choses. Nous regardons trop ce qui est en dehors de nous, et pas assez ce qui vient de l'intérieur. Vous voyez, la vraie connaissance vient du dedans."

A l'université de Ryükyü, le Dr Kimura me révéla les cinq points qui le conduisirent à admettre que le monument a été modifié par des humains :

- Le premier est sa forme entière. Il ressemble une pyramide ou un château.
- Le second est qu'il a de nombreuses petites dénivellations, d'environ 20cm de hauteur, qu'une personne pourrait avoir utilisés comme des marches .
- Le troisième point est qu'il y a certaines parties du monument qui auraient été très difficiles à se former par l'action des vagues.
- La quatrième est qu'il y a quelque chose ressemblant à une route sans presque aucun fragment de rochers, ce qui montre qu'il est improbable que ce soit fait par des forces naturelles.
- Et le dernier point est le mur de pierre entourant la route.

La théorie de Kimura est que la structure fut employée à la fois comme un château ou comme un temple. Regardez la maquette à l'échelle mise au point par Kimura et son équipe après qu'ils aient sonder le site, la ressemblance avec un château d'Okinawa du 14 siècle est évidente. Les similarités avec les châteaux japonais de Shun et de Nakagusku incluent des zones avec des terrasses larges, et plates ; une arche pouvant représenter, une porte, située à l'ouest du monument; et de profonds et inexplicable trous situés dans une autre section.
Au sommet du monument, il y a une entrée conduisant en bas de ce qui ressemble à une sorte de "mausolée". Kimura me dit que cela ressemble à ceux que l'on trouve dans ancienne Corée et l'ancien Japon.

Kimura explique en plus ""qu'il y a des marches situées sur le côté du nord du monument qui affronte le littoral. L'action des vagues ne pourrait pas avoir structuré le côté opposé du monument," dit-il.

Il est difficile de contester l'argument que la forme géométrique du monument, indique qu'il aurait été élaboré par des humains. Il y a aussi des structures sous-marines mystérieuses situées au large de la côte de certaines autres îles d’Okinawa. Il pourrait même être possible que d’autres monuments aussi grands que celui d'Yonaguni attendent pour être découvert.

Comme le débat se poursuit, Kimura continue rassembler des données. A moins que des artefacts, appuyant sa théorie puissent être aussi trouvés, il sera difficile de prouver définitivement que le monument est d'origine humaine.
Jusqu'à ce qu'une théorie soit prouvée, la meilleure façon de juger est de venir voir par vous-même.
Une nouvelle édition du livre précurseur de Jacques Mayol's "Homo Delphinus : L’homme dauphin " sera publié cet automne. Le livre décrit les remarquables plongées libres de Mayol, ses expériences avec des dauphins et autres espèces marines, et ses conceptions en ce qui concerne la place de l'homme et des autres mammifères terrestres dans le monde d'océan.
Pour plus de détails sur les publications mondiales sous-marines à: 0181 943 4288, fax 0181 943 4312, e-mail

Traduction de BOB en date du 15 Déc. 2002

Spéculation notoire au sujet de la découverte de pierres mystérieuses au large des côtes de Cuba.
Certains croient qu'elles sont les fragments de la ville perdue légendaire d'Atlantis

Kevin Sullivan, Washington Post Samedi, 12 Octobre 2002

La Havane - Les images apparaissent lentement sur l'écran vidéo, comme des fantômes. La bande-vidéo tournée par un sous-marin robot-téléguidé, montre des blocs de pierre de forte dimension, curieusement symétriques disposés en carré ou en pyramide qui reposent dans les profondeurs de l'océan. L'écho sonar obtenu par un navire de recherches se trouvant à 2000 pieds (voisin de 610m) plus haut, révèle des choses encore plus étonnantes, car on distingue nettement que les blocs de pierre polies sont arrangées de façon géométrique. On croirait être en présence des vestiges d'une cité, ce qui rend perplexe, car à de telles profondeurs - ces vestiges étant dispersés sur une étendue de presque huit miles carrés (voisin de 2070 hectares) à l'extrémité de l'île de Cuba - on ne peut imaginer l'œuvre d'être humains. "Un vrai mystère», affirme Paul Weinzweig, de Advanced Digital Communications, une compagnie canadienne chargée par le gouvernement de Fidel Castro de dresser la carte des fonds marins des eaux territoriales cubaines. À bord du vaisseau amarré à un quai du port de la Havane, Weinzweig fait remarquer, tout en promenant son doigt sur les listings d'imprimante de l'écho sonar, "qu'on était en présence d'un phénomène que l'on ne pouvait attribuer à la nature", et "qu'il restait inexplicable. " L'objectif principal de notre entreprise, a souligné ce dernier, est de retrouver les épaves de navires qui transportaient de précieuses cargaisons d'or et de bijoux, et découvrir des nappes de pétrole et de gaz naturel prometteuses en eaux profondes, que les Cubains n'ont pas les moyens d'exploiter. L'avancement de la technologie a rendu de plus en plus populaire la chasse aux trésors sous-marins, car elle permet de pousser les recherches à de plus grandes profondeurs avec une précision accrue.

Pour effectuer ses travaux de recherches, la compagnie Advanced Digital utilise le Ulises, un ancien chalutier converti par le célèbre océanographe, le défunt commandant Cousteau. Cette compagnie dispose, depuis qu'elle a commencé ses opérations, il y trois ans, de moyens de détection très sophistiqués, comme un sonar à balayage latéral et un système de positionnement informatisé. Weinzweig affirme que sa compagnie a déjà trouvé et répertorié d'importants gisements/nappes de pétrole et de gaz naturel, ainsi qu'une vingtaine d'épaves de navires. Les épaves de ces navires, comme des centaines d'autres, croit-on, sont disséminées sur le parcours d'anciennes routes maritimes. Parmi elles, se trouve le Maine, le célèbre navire de guerre américain qui avait explosé et coulé dans le port de la Havane, en 1898. C'est d'ailleurs cet incident qui avait déclenché la guerre hispano-américaine. En 1912, les autorités militaires américaines ont procédé au renflouage du navire qui a été remorqué au large et sabordé. De forts courants ont entraîné l'épave du navire loin du lieu où il avait été coulé. Sa trace avait été perdue jusqu'à ce que le sonar du Ulises, le repère, il y a deux ans. Un jour d'été, en 2000, alors que le Ulises tirait de long en large son sonar - un peu comme on passe la tondeuse sur le gazon - ce dernier détecta une formation rocheuse insolite et en envoya une image qui stupéfia Weinzweig, les membres de son équipe et sa femme, Paulina Zelitsky, qui avait conçu les plans de bases de sous-marins sous le régime soviétique. "Nous avons exploré bien des océans et des fonds marins à travers le monde, a déclaré ce dernier, mais jamais nous n'avons vu quelque chose de semblable." La découverte raviva la spéculation sur l’Atlantide, la fameuse citée disparue dont avait parlé le premier Platon, en l'an 300 avant Jésus Christ. Le couple se garda bien de parler de l'Atlantide (... were careful not to use the A-word : A for Atlantis) et précisa qu'avant de tirer des conclusions définitives, il fallait procéder à des études plus approfondies. Malgré cela, on y alla des plus folles spéculations, notamment sur Internet, car chacun avait sa petite idée au sujet de la cité engloutie qu'on situait soit au large de Cuba, de l'île de Crête, de Gibraltar ou ailleurs. : " Je ne suis pas d'accord avec ceux qui affirment que les mythes sont sans fondement, a précisé Erikson dont le livre sur l'Atlantide a été boudé par certains archéologues." L'auteur insiste sur le fait que la légende remonte bien trop loin dans le temps pour n'être que le fruit de l'imagination et que si les vestiges trouvés au large de Cuba sont bien ceux de l'Atlantide, il espère être le premier à dire à ses détracteurs : " Je vous l'avais bien dit! "

Fin de la traduction de Bob Article mis en page en Juillet 97 et revu le 15/07/2001 puis le 12/12/01 et le 25/12/01 puis le 27/12/01 puis le 7/04/02 puis le 26/06/02, puis le 18/12/02, puis le 16/03/03et enfin le 26/08/03.
IDYLLE Fred




LA CIVILISATION DE L'ATLANTIDE RECONNUE PAR L'EXPLORATION DE LA PYRAMIDE SOUS-MARINE DE BIMINI ? (Spiritualité, Nouvel-Age - Sciences Parallèles)    -    Auteur : Enriette - Canada


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