Révélations d’Éric Julien
Éric Julien nous fait découvrir certains aspects étonnants de ses contacts avec des créatures bleues d’outre-espace avant son apprentissage à bord de leur vaisseau.
Le premier livre de l’énigmatique Éric Julien, "La Science des Extraterrestres", traitant de la question des OVNI et de leurs modes de propulsion, est devenu en quelques mois un best-seller de l’ufologie.
Son nouvel ouvrage, "Enfants des Étoiles (Désirez-vous nous voir apparaître ?)" retrace les principales expériences de ce contacté atypique. Le premier tome, disponible fin avril 2006, décrit la période de sa vie allant de son enfance aux événements étranges et spectaculaires qui précédèrent et accompagnèrent sa brusque disparition du domicile de sa compagne en mars 2004. (Le deuxième tome, qui sera publié dans quelques mois, nous fera découvrir l’intimité de ses relations avec des créatures bleues et ce qu’il a découvert au cours de son voyage à bord de leur vaisseau).
À la suite de cette mystérieuse disparition, il affirme avoir vécu des séances de pilotage d’OVNI au cours d’une nuit de dix jours "de temps dilaté", avant d’être retrouvé deux mois plus tard sur l’île de la Réunion, ce qui lui a valu l’acharnement de nombreux détracteurs.
Le fait qu’un collectif E.T. ait pressenti Éric Julien pour lui apprendre à piloter l’un de leurs vaisseaux peut cependant s’expliquer pour deux raisons : la première est qu’il avait déjà une expérience de près de vingt années dans l’aéronautique : il était pilote professionnel d’avions biréacteurs et fut même, à une époque, animateur au Space Camp qui appartenait, entre autres, à l’astronaute français Patrick Baudry. Les "spaciens" - comme on les nomme - s’entraînaient sous ses yeux dans le module de pilotage de la future navette spatiale européenne (Hermès), dans la centrifugeuse, au simulateur de gravitation lunaire et au MMU trois axes (Manned Manoeuver Unit) de sortie extravéhiculaire.
La seconde raison du choix d’Éric Julien par des E.T. réside vraisemblablement dans son intérêt pour les OVNI et son érudition en matière d’ufologie et de technologies extraterrestres. Il est en effet connu depuis plusieurs années pour son article sur le temps 3D dans lequel il avait décrit pour la première fois avec précision les quatre technologies mises en œuvre dans les OVNI. Il dit avoir obtenu ces informations à l’occasion d’un contact psychique intense en 1990 alors qu’il était encore pilote professionnel.
La présence et l’influence des extraterrestres est extrêmement perceptible, presque palpable dans les lignes qui vont suivre. Le lecteur aura par moments l’impression de pouvoir les toucher. C’est en tout cas ce que nous avons déjà tous ensemble réussi à faire par la pensée, puisque le Référendum Mondial « Désirez-vous nous voir apparaître ? », initié par Éric Julien sous le pseudonyme de Jean Ederman, (Cf. notre page Changeons le monde par effet de levier !) a d’ores et déjà commencé à montrer ses effets.
Ce qui nous paraissait improbable il y a peu est en train de se réaliser dans les faits. Pour la première fois de notre histoire, des extraterrestres ont commencé à se montrer massivement en différents points du globe. Depuis trois ans, ils accumulent des signes forts de leur bonne volonté à notre égard (Cf. le texte ci-dessous). Ils demeurent le plus souvent à l’état lumineux, mais ils ont promis de se matérialiser si nous le désirons collectivement.
Ce référendum planétaire n’est donc pas encore terminé et notre action peut encore faire pencher la balance vers une ère de paix et de coopération mutuellement bénéfique. Les extraterrestres bienveillants continuent de nous poser la même question déterminante et vitale : « désirez-vous nous voir apparaître ? » Éric Julien l’affirme : « Je les ai regardés dans les yeux. J’y ai vu la compassion envers chacun d’entre nous, et un respect particulier envers ceux qui agissent. »
Mais notre détermination est-elle suffisante ? Les nuages s’amoncellent et l’orage risque d’éclater à tout moment au sein de notre humanité tourmentée. L’élan engendré par les quelques sites Internet qui ont répercuté le message mondial en France et à l’étranger fut incontestable. Il constitue un premier effet de levier. Mais il faut maintenant passer à une autre échelle et continuer inlassablement à diffuser ce message autour de soi… ou bien se résigner à vivre la transition collective vers l’Ère Nouvelle dans la douleur.
Se voiler la face est la dernière tentation de l’ego !
Voici quelques extraits de "Enfants des Etoiles (Désirez-vous nous voir apparaître ?)".
Le guide spirituel extratemporel.
« Juin 2003 : Alors que je me trouvais sur le bord de la piscine de notre résidence de la Saline, je profitai de la température clémente que le ciel réunionnais du littoral dispensait en fin de journée. Je fis un appel en direction des extraterrestres. Alors que j'avais les yeux fermés, un contact visuel eût lieu. L'image était extrêmement nette. J'étais face à un petit être qui m'arrivait au niveau de la poitrine. Je n'ai pu apercevoir de lui que le visage et les épaules jusqu'aux bras. Cette apparition était vraiment saisissante de réalité. Nous étions dans une sorte de salle blanche, ou dans un décor extérieur d'une extrême blancheur. Nous étions seuls à ce qu'il me semble. Sa peau était bleu clair et ses yeux étaient très grands, de forme oblongue vers l'arrière du crâne. Ce crâne était large, au moins une fois et demi le nôtre, puis effilé vers l'arrière et le haut. Ses grands yeux - quatre à cinq fois la dimension des nôtres - étaient violets et étincelants par endroit. La bordure de ses yeux était plus brillante. Cette couleur violette était aussi présente sur la peau en petits points éparpillés. Je l'ai trouvé d'une grande beauté.
Il régnait beaucoup de paix de son visage et son intention était juste de montrer qu'il avait entendu mon appel. J'ai ressenti que son rôle sur Terre était important. Cela dit, les yeux étaient plus proches de l'indigo que du violet pur. Le plus frappant, et c'est ce à quoi je ne pouvais m'attendre, ce sont ces luminescences mauves dans les yeux, autour des yeux et sur la peau par petits points, comme des diodes.
D'autres rencontres de ce type eurent lieu alors que je me trouvais en compagnie d'une autre personne chez qui je résidais temporairement. De nombreux événements, tant psychiques que physiques s'égrenèrent durant plusieurs mois jusqu'à un contact d'un genre nouveau… »
La piste d'atterrissage.
« Été 2003 : Les contacts se multiplièrent au point qu'ils en devenaient quotidiens. Outre les nombreuses opérations médicales que les extraterrestres me dispensaient lors de mes voyages de conscience, dits aussi remote viewing, je prenais des cours de pilotage de vaisseau dans une base souterraine située sous les Grands Lacs, à la frontière entre États-Unis et Canada.
Avant d’y venir, il me faut décrire certaines interventions chirurgicales auxquelles je me soumettais en pleine connaissance de cause sans difficulté. Elles étaient effectuées dans une salle appropriée contiguë à la salle d’accueil sur un plan de conscience non physique. Une grande table trônait au milieu d’une salle blanchâtre. Au-dessus, légèrement sur les côtés, plusieurs appareils étaient disposés de façon à atteindre sans difficulté le patient. Le dispositif ressemblait beaucoup à une salle de dentiste.
Certains bras, dont il était difficile de dire s’ils étaient articulés ou non, possédaient de longues aiguilles, d’autres un appareillage plus imposant duquel sortaient des faisceaux lumineux plus ou moins intenses. Alors que je fus allongé, je vis que les praticiens extraterrestres à la peau bleuâtre et à l’encéphale disproportionné s’activaient derrière mon crâne. Je vis apparaître des arceaux épousant la forme de la tête. De chaque extrémité des arcs sortait un pointeur en direction des tempes et du front. Je sentis qu’un quatrième pointeur était appliqué au somment du crâne.
Tandis que je constatai la liberté de mouvement de mes membres, l’un des extraterrestres me demanda de me concentrer sur ce que j’allais ressentir à l’intérieur de ma boîte crânienne, en évitant de faire le moindre mouvement. Le seul fait de porter attention sur un lieu pour le moins virtuel pour mes yeux normaux suffit à évacuer l’envie de bouger. Il m’expliqua que des forets de lumière allaient transpercer les couches éthériques successives de mon encéphale pour se rejoindre en son milieu. Le but était tout d’abord de nettoyer les paquets filandreux de cristallisation psychique qui m’empêchaient de visualiser correctement la réalité du voyage de conscience. L’objectif était donc de m’aider à y voir de plus en plus clair dans les méandres de la conscience perceptive.
C’est alors que pour la première fois de mon existence je sentis mon cerveau vivant, comme peut l’être une bouteille d’eau pétillante que l’on vient d’ouvrir. Je sentais se dissoudre des enchevêtrements de circuits réflexes auxquels je m’étais habitué. Ces circuits ressemblaient un peu à une toile d’araignée qui se serait insinuée dans les circonvolutions du cortex cérébral. Les connexions dont mon cerveau s’alimentait en temps normal devaient être reconfigurées pour les optimiser au voyage de conscience. Je sentis concrètement dans mon corps physique, resté dans l’Indre en France, des picotements aux tempes, sur le front et au-dessus du crâne. J’eus la nette impression que des tiges métalliques traversaient de part en part ma tête. Pourtant, aucune douleur ne vint me troubler. Je sentis des zones de chaleur électrique entre mes deux oreilles. Mais la taille de ces zones était curieusement supérieure à celle de mon crâne lui-même. Aucun effet secondaire désagréable ne se manifesta.
Ce ne fut pas le cas de mon œil droit. Les extraterrestres m’indiquèrent que pour atteindre une meilleure visualisation en simulateur de vol, et pour piloter concrètement un vaisseau, il était indispensable de procéder depuis la base souterraine, sur le plan de conscience du voyage mental, à plusieurs modifications physiques. L’une de celles-ci consistait à injecter une énergie particulière dans mon bras droit astral. Je ressentis parfaitement, dans mon corps physique, l’introduction d’une sonde au milieu du bras. Elle était bien sûr invisible dans la réalité matérielle, mais la sensation d’intrusion était très nette.
Mais plus impressionnante encore fut l’opération de la cornée de mon œil droit. Je vis en voyage de conscience l’instrument qui s’approchait de mon iris droit. Le scalpel lumineux fit avec une remarquable précision le tour de ma cornée. Tandis que la paupière matérielle était normalement fermée, j’eus aussitôt une douleur aigue dans mon œil physique droit. Cette douleur intense m’obligea à quitter sur le champ la base extraterrestre par le procédé psychique habituel. La souffrance dura toute la journée et me contraignit à l’inactivité quasi-totale. Fort heureusement, les extraterrestres m’avaient averti des effets secondaires. Ce qui me permit de patienter et d’attendre la disparition « naturelle » de cette douleur. (…)
C'est ainsi qu'il nous fut demandé de réaliser une piste d'atterrissage bien physique pour l'un des vaisseaux, à côté de la maison dans l’Indre en France.
Piste d’atterrissage aménagée sur instructions des extraterrestres
Elle était située en bord de Creuse dans un environnement forestier bucolique. A côté de la maison, un terrain vague de trois à quatre mille mètres carrés était envahi de ronces et d'arbustes. Personne n'y venait jamais. Nous nous sommes donc mis à débroussailler la moitié du terrain. Cette opération, qui avait pour but de ne pas nous blesser au moment du contact physique conscient à venir, dura un mois complet. La progression fut difficile et harassante car l’épaisseur des tiges était importante. Il nous fallait un courage et une foi à toute épreuve pour se donner toute cette peine. De plus, comme nous n'en avions parlé à personne, ce travail se fit dans le plus total isolement moral. Bientôt, le terrain était nivelé et la piste d'atterrissage fut prête. Mais nous ne savions pas du tout quand un vaisseau devait se montrer.
Les semaines passèrent et aucun vaisseau physique ne s'approchait. En revanche, nous eûmes des apparitions étranges dans le jardin. Des entités éthérées se déplaçaient. Nous percevions des formes tantôt très grandes, tantôt petites. J'ai vu clairement à plusieurs reprises ces formes évanescentes. Les trois chattes de la maison se mettaient en arrêt devant des présences invisibles et bondissaient tout à coup, comme si de curieux personnages les caressaient sans avoir préalablement fait connaissance. Eliott, le teckel, se mettait à aboyer sans raison aucune, de nuit comme de jour, en particulier dans le couloir principal de la demeure. Toutes ces activités mystérieuses n'allaient pas sans des contacts psychiques avec nos amis. Ils nous expliquèrent que notre surveillance s'était terriblement accrue par des créatures peu recommandables. Ils ne pouvaient donc pas s'approcher.
Plusieurs événements émaillèrent les quelques semaines qui suivirent la réalisation de la piste d'atterrissage. La nuit, trois lumières formant un triangle isocèle survolèrent la maison à plusieurs reprises. Il est probable qu'il s'agissait d'un vaisseau triangulaire réputé être de la partie hostile. Sur la colline d'en face, nous aperçûmes en fin de soirée des lasers rouges pointés dans notre direction alors que cette colline est absolument déserte. Bruits et scintillements mystérieux se succédaient. La situation semblait bloquée. Mais la partie n'était pas finie… »
Espionnage et surveillance.
« Incontestablement, mes contacts avec les extraterrestres semblaient suivre une courbe ascendante. Les rencontres se faisaient crescendo. Il devint évident que le plus important était à venir. Je m’attendais donc à de nouvelles aventures. Aussi suis-je devenu plus attentif aux signes subtils.
Je vais donc aborder quelques uns d’entre eux avant de décrire l’événement de ma disparition de la nuit du 11 au 12 mars 2004. Une liste exhaustive serait fastidieuse à énumérer.
Une série de rêves surprenants, mettant en scène des extraterrestres et des humains, évoquait un scénario de l’avenir. Une atmosphère de suspicion et de résistance entourait des opérations d’évacuation. Une base lunaire accueillait des astronautes d’un nouveau genre puisque des enfants y vivaient. D’autres situations montraient la part croissance de la présence extraterrestre dans mon environnement. Il se fit de plus en plus clair que les autorités militaires ne devaient pas rester indifférentes à la problématique OVNI. Mais entre le ressentir et le constater, la différence est notable. Alors que je me trouvais encore en France métropolitaine, trois accès personnels furent trouvés ouverts le même jour alors qu’ils avaient été verrouillés : une porte de garage, le portail d’entrée et les portières avant du véhicule alors que ce dernier était en ville.
À deux reprises, des viseurs lasers rouges furent aperçus en cours de soirée sur la colline faisant face à la maison que nous habitions sur le bord de Creuse. Ils étaient distincts et inquiétants. Il faut préciser que personne n’habite cette petite colline extrêmement boisée et feuillue. C’était, en revanche, un promontoire idéal pour surveiller la maison.
Une recherche d’indices probants de l’irruption d’un vaisseau extraterrestre semble avoir été secrètement entreprise à proximité de la piste d’atterrissage dont j’ai parlé dans l’épisode précédent. Hélicoptères et véhicules militaires ont été aperçus dans ce secteur alors qu’ils y sont habituellement absents. Suite à ma disparition dans la nuit du 11 au 12 mars 2004, ma compagne alerta la gendarmerie d’Eguzon dans la Creuse. Comme la procédure le veut, des gendarmes se sont déplacés jusqu’au domicile pour prendre sa déposition et noter des indices utiles. Mes affaires étaient encore présentes. (…) Par un curieux hasard, ce gendarme était précisément intéressé par la question des OVNI !
Lorsqu’un an et demi plus tard, en septembre 2005, j’ai rencontré ce même gendarme à l’occasion d’une invitation personnelle, il m’apprit qu’il avait contacté le SEPRA à Toulouse, aussitôt après la déposition de ma compagne, ainsi que le préconise son manuel de gendarme. Le Service d’Expertise des Phénomènes Rares Aérospatiaux est, en effet, en charge au sein du Centre National d’Etudes Spatiales des enquêtes sur les OVNI. Or, après être tombé sur un numéro de téléphone correspondant à une entreprise privée (le livret n’était donc pas à jour), il composa le second numéro indiqué et tomba cette fois sur le répondeur du SEPRA. Il y laissa un message fort distinct à la fois par son origine (Gendarmerie d’Eguzon) et le caractère exceptionnel de la situation (disparition d’un individu après atterrissage d’OVNI). Il faut se souvenir que ce gendarme avait constaté de visu l’existence du terrain vague voisin, c’est-à-dire la piste d’atterrissage. Ce qui le choqua fut le silence total du SEPRA qui suivit son appel. À aucun moment, affirma-t-il, le SEPRA ne donna suite. Précisons que Badecon le Pin, lieu de l’incident, n’est qu’à cinq heures de route de Toulouse et que le mois de mars n’est pas une période de vacances.
Ma compagne m’a indiqué, alors que j’avais disparu, et après l’appel du gendarme au SEPRA, qu’une colonne de véhicules militaires légers s’était arrêtée sur le chemin surplombant la maison et le champ voisin dans les dix jours qui ont suivi ma disparition. Elle a affirmé avoir clairement vu ces militaires qui observaient dans la direction du terrain d’atterrissage. Certains utilisaient même des jumelles. Ils étaient armés. Quelques uns étaient debout dans leur véhicule pour mieux apercevoir le terrain. Rien d’autre que ce terrain ne pouvait représenter un quelconque intérêt en ces lieux. Le plus remarquable est qu’en sept ans de vie dans cette zone, ce fut la première fois que l’on vit des militaires sur ce chemin qui, en fait, est une impasse !
Le plus curieux est que ma compagne se tenait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine face à ces militaires. À aucun moment ils ne la considérèrent mais restaient, tout au contraire, figés sur leur observation. Ils constatèrent alors, qu’à l’exception de la zone que nous avions défrichée pour permettre à un vaisseau d’atterrir, les ronces montaient à près d’un mètre cinquante de haut, interdisant à quiconque d’approcher cette zone, sauf à entrer dans la propriété que nous habitions, seul accès à la piste d’atterrissage !
On me demanda un jour pourquoi fallait-il dégager les ronces pour que les extraterrestres me prennent à bord de leur vaisseau. Les extraterrestres ne l’ont-ils pas déjà fait à plusieurs reprises sans que l’individu n’ait eu à bouger de chez lui ? Ils ont en effet parfaitement la possibilité d’agir ainsi. Mais ce que cet interlocuteur n’avait, semble-t-il, pas compris était le caractère extraordinairement important de la démarche consciente et volontaire de l’approche du vaisseau par un être humain dans un contexte de rapprochement et de respect mutuel des races. Ainsi, dégager les ronces m’était plus précieux que pour eux. Car comment avancer face à un tel obstacle ? Néanmoins, mes amis extratemporels devaient également éloigner tout risque matériel pour leur train d’atterrissage qui aurait pu rester emprisonné dans les liens inextricables des végétaux. Je devais monter à bord et non pas me faire enlever ! La différence psychologique est pour le moins colossale. »
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