Nota : Eve répond partiellement à cette question dans la troisième partie de ce texte.
Charles Hall s'avère être un personnage intelligent et réfléchi. Il possède une licence en physique et une maîtrise en physique appliquée (nucléaire), et il pense avoir compris les principes fondamentaux du système de propulsion utilisé par les G.B. dans leurs vaisseaux spatiaux.
Il n'y a pas été par quatre chemins pour décrire le comportement intimidant des G.B. et leur promptitude à utiliser des moyens potentiellement mortels pour se protéger, et surtout pour protéger leurs enfants contre les éventuelles menaces, que celles-ci soient volontaires ou accidentelles. Ainsi qu'il le décrit dans ses livres, le simple fait de surprendre ou d'effrayer leurs enfants suffisait à ce qu'ils menacent les humains avec leurs armes perfectionnées.
Au cours de l'interview, il a simplement déclaré que les G.B. ne réagissaient que lorsque, pour l'une ou l'autre raison, ils se sentaient menacés. Il a précisé que le principe "œil pour œil, dent pour dent", qu'ils observaient est somme toute traditionnel dans la société humaine : c'est la fameuse loi du talion à laquelle se réfère la Bible.
NOTA : Michael Salla a découvert récemment (Cf. la troisème partie de cette page) qu’en réalité, les Grands Blancs ne pratiquent pas la loi du talion. Mais comme ils captent les pensées des humains, ils savent se prémunir instantanément contre leurs velléités agressives ou belliqueuses, même lorsqu’elles sont soigneusement dissimulées.
Charles s’est montré moins sévère à l'égard des G.B. au cours de son interview que dans ses livres. J'espère pouvoir éclaircir un jour cette contradiction, car elle devrait aider à en savoir plus sur les raisons de la présence des G.B. sur la Terre. Charles a soutenu qu'ils n'avaient pas d'intentions colonisatrices ni de volonté de contrôler les gouvernements terrestres. Il a fait la comparaison entre cette base G.B. et les bases militaires américaines dans le Pacifique ou en Italie, où le principe consiste à faciliter les opérations, tout en respectant les souverainetés et les mœurs locales. De même que le gouvernement et les militaires US sont sensés ne pas avoir l'intention d'exercer un contrôle sur l'Italie, les G.B. n'auraient pas l'intention de contrôler la Terre.
Cependant, si les G. B. ont besoin de la Terre en tant que base pour leurs activités commerciales trans-espace, il serait sans doute naïf de croire qu'ils n'ont pas la moindre intention de se mêler des affaires humaines et d'influencer les institutions politiques. L’histoire humaine à montré que, lorsqu'une puissance installe une base sur un territoire étranger, il est ensuite plus difficile de l'en faire partir et de l'em¬pêcher d'intervenir dans les affaires politiques locales. Cette étape est peut-être déjà franchie, suite à des ac¬cords passés entre les G.B et des comités humains secrets chargés des affaires extraterrestres.
NOTA : Là encore, il est probable que le Docteur Salla ait désormais changé de point de vue et ne croit plus du tout aujourd’hui aux éventuelles velléités des G.B.de contrôler nos gouvernements.
En se basant sur certains échanges et sur les visions historiques reçues, Charles pense que les G.B. sont chez nous au moins depuis le début des années 1950, voire depuis deux siècles ou davantage. C'est une question cruciale qu'il faudra approfondir, car il est évident que la connaissance de l'époque de la première présence des G.B. sur Terre influencera notre évaluation de leurs ul¬times motivations…
En résumé, j'estime que le témoignage de Charles Hall est d'importance primordiale et susceptible d'éveiller l'attention d'un large public. Certains médias commencent déjà à aborder son histoire comme une révélation majeure et son auteur force l'adhésion à ses thèses grâce à son évidente intégrité, sa clarté et sa cohérence. La révélation des expériences de Hall à la base aérienne de Nellis à Indian Springs de 1957 à 1967 sera sans doute déterminante dans la prise de conscience de l'opinion publique de la réalité de la vie extraterrestre et des implications de sa présence pour notre planète. »
Michael Salla
NOTA : Le Dr. Michael Salla (ci-contre) est titulaire d'un doctorat en philosophie de gouvernement de l'université de Queensland et d'une maîtrise en philosophie de l'université de Melbourne, Australie. Il a occupé des postes académiques à la School of International Service, American University, Washington DC (1996-2001), et au Department of Political Science, Australian National University, Canberra, Australie (1994-96). Il a enseigné en tant que membre de faculté adjoint à l'université George Washington, à Washington DC, en 2002.
II. Seconde interview de Charles J. Hall (extraits)
Karma One : Avez-vous eu connaissance de cas d’enlèvements d’êtres humains par des G.B. ?
Charles Hall : Non, je n'ai jamais vu de G.B. enlever des gens d'une manière malveillante comme le décrivent les cas typiques d'abductions. Au contraire, comme je l’ai raconté dans mes livres, alors que j'étais sur le terrain, dans leur domaine, quand les G.B. estimaient qu'un être humain était en danger ou avait besoin d'aide, il leur arrivait de s'en approcher pour le secourir s'ils le pouvaient. L'homme, terrifié et confus pouvait aisément confondre ce comportement avec une tentative d'enlèvement. Certaines activités peuvent parfois apparaître aux yeux des humains comme étant des enlèvements alors qu'elles n'en sont pas en réalité.
Karma One : Considérez-vous les G.B. comme des êtres surnaturels ?
Charles Hall : Mes observations personnelles à ce sujet sont les suivantes :
- Je n'ai jamais vu quoi que ce soit qui pourrait m'amener à croire que les G.B. soient des êtres surnaturels, qu'ils seraient là pour ensemencer notre planète, créer des hybrides ou qu'ils utilisent des portes interdimensionnelles ou intertemporelles, que ce soit vers le passé ou vers l'avenir.
- J'ai pu observer régulièrement des vaisseaux G. B. qui voyageaient de façon routinière plus vite que la vitesse de la lumière.
Karma One : Dans certaines histoires à propos des races extraterrestres, on peut trouver des descriptions de certains “grands blonds nordiques” aux yeux bleus. Pensez-vous que l'on puisse établir un lien entre le phénomène des G.B. et cette typologie d'extraterrestres ?
Charles Hall : Je n'en ai aucune idée. Je ne peux que parler de mon expérience personnelle. Il n'y a aucune corrélation que je puisse voir entre les G.B. et les présumés extraterrestres de type nordique.
Karma One : Avez-vous des informations à propos de la première interaction entre l'US Air Force et les G.B. lorsque l'armée est arrivée dans le Nevada pour construire la base de Nellis ? Vous semblez dire que les G.B. n'étaient pas exactement des nouveaux venus mais qu'en réalité ils étaient installés à cet endroit bien longtemps avant l'armée US ?
Charles Hall : Je ne dispose pas d'informations personnelles concernant les premières interactions entre le gouvernement US et les extraterrestres G.B. Cependant la G.B. que j’ai rencontrée et qui se faisait appeler “l'enseignante” affirmait que Pamela (l’une des leurs) était née dans la vallée d'Indian Springs à l'époque où James Madison était le Président des États-Unis. Cela remonte aux environs de l'année 1812.
Nota : Indian Springs est une région située en plein cœur de la base de Nellis au sud de l'Aire 51 et “appartenant” aux G.B.
J’ai vérifié que les légendes des anciens Grecs qui remontent à 972 avant J.C. se réfèrent à un groupe de “dieux” G.B. que l'on disait provenir d'un ensemble d'étoiles appartenant à la constellation du Bouvier. Ils désignaient “Acturus” (Alpha de cette constellation) sous l'appellation du “Veilleur”.
Karma One : Dans l'imaginaire public, la base de Nellis de l'US Air Force est généralement associée à l'Aire 51. Ce lieu est supposé être une base pour les extraterrestres que l’on désigne communément sous le nom de "Petits Gris". On dit que ces entités extraterrestres vivraient dans des bases souterraines profondes et entretiendraient des relations agitées avec l'US Air Force. Avez-vous entendu parler de l'existence d'autres races extraterrestres à Nellis ? Si oui, quelles étaient les relations entre les G.B. et les Petits Gris ? Les G.B. vous ont-il parlé d'autres races extraterrestres ? Comment les considèrent-ils ? Est-ce qu'ils nous ont mis en garde contre le danger constitué par d'autres races extraterrestres ?
Charles Hall : Selon ma compréhension du phénomène, les seuls extraterrestres présents sur les terres de Nellis sont les G.B. J’ai de bonnes raisons de croire que les G.B. et les Petits Gris se détestent mutuellement. Je suis à peu près certain que les G.B. n'auraient jamais permis aux Petits Gris de venir dans une zone voisine de leur propre base et de leurs propres habitations ou dans quelque endroit où leurs enfants pourraient se trouver. Pour cette raison, je ne crois pas qu'il y ait des Petits Gris sur l'Aire 51, sur l'Aire 52 ni dans les autres zones de Nellis.
Les environs de la base de Nellis : une région en apparence aride et désolée, mais pourtant hautement stratégique du point de vue des G.B.
En ce qui concerne votre question relative aux autres races extraterrestres, je vous citerai un extrait de mon livre : j’avais demandé à "l’enseignante" s’il existait d’autres planètes comparables à la Terre dans l'espace. “Oui,” m’a-t-elle répondu, “il y en a un certain nombre. Cependant, parmi les êtres que nous avons observés, les humains sont les seuls êtres "évolués" qui continuent à vivre proches de leurs animaux... De même, les humains mangent à peu près n'importe quoi. Sur tous les autres mondes, les êtres intelligents ne mangent que des plantes. Nous, par exemple, sommes strictement végétaliens”.
Karma One : En supposant que les G.B. soient les seules créatures extraterrestres vivant à Nellis et dans l'Aire 51 sur Papoose Dry Lake, pensez-vous que les histoires à propos de Petits Gris vivant là seraient de la désinformation, un écran de fumée ?
Charles Hall : Les G.B. ne vivent pas sur l'Aire 51 (Groom Lake) ni sur l'Aire 52 (Papoose Lake). Ils vivent dans des souterrains de l'Aire 53. Leur base principale est dans une montagne à l'est de l'Aire 53, qui se trouve être l'Aire 54. Les Aires 53 et 54 et les parties occidentales des « territoires de jeux du désert du Sud Ouest » (Desert Southwest Game Range) sont connues sous le nom de Dreamland. C'est une région qui est si contrôlée, surveillée et interdite que j'avais par exemple une carte officielle de l'US Geographical Survey (l'autorité gouvernementale qui publie les cartes les plus complètes) qui ne montre et ne détaille aucune des montagnes et des vallées de cette région. Cette carte ne figure qu'une grande zone blanche baptisée “territoires inexplorés”. Les G.B. sont les seules créatures que j'ai personnellement vues dans les déserts, les vallées et les montagnes au nord d'Indian Springs, dans le Nevada. Cependant, je suis certain que les “Petits Gris” sont réels et sont ici sur Terre.
Je suis certain que la Terre est régulièrement visitée par différentes races extraterrestres. Cependant, je suis également convaincu que le gouvernement US diffuse périodiquement de la désinformation et de fausses informations qui font partie d'une campagne visant à générer un “écran de fumée”, comme vous dites. Je crois qu'une partie substantielle de l'information relative à l'Aire 51 est effectivement de la désinformation et un leurre…
Karma One : Les G.B. semblent très ambigus sur le plan émotionnel. Vous les décrivez dans votre livre comme arrogants et capables de tuer quelqu'un en un clin d'œil, et d'un autre côté, vous affirmez qu’ils peuvent montrer de l'amour et de la compassion comme ils le font par exemple avec leurs enfants. Comment avez-vous perçu leur comportement émotionnel ? S'agit-il là d'une absence d'émotions ou d'une manière différente de les exprimer ?
Portrait-robot de Grand Blanc dessiné par Lynette Ruiz, artiste-peintre travaillant pour le compte du Département de Police d’Anaheim. (On notera que pour éviter le casse-tête de la représentation des cheveux, la chevelure a cette fois tout simplement été éliminée !)
Charles Hall : Les G.B. que j’ai rencontrés étaient très différents les uns des autres, comme le sont les humains. Les réactions émotionnelles des uns étaient éloignées de celles des autres. Pour qu'un humain puisse survivre à leur contact, il lui était nécessaire de reconnaître et de comprendre à quel point chacun d'entre eux était différent et représentait une individualité.
Karma One: Lorsqu'on lit vos récits, vous semblez faire preuve d'un profond sentiment de désarroi et de crainte à l'égard des G.B. Vous dites qu’ils ont l'air humain mais qu’en même temps, ils ne nous ressemblent absolument pas. Pouvez-vous nous décrire vos premières émotions lorsque vous les avez vus pour la première fois. Votre inquiétude provenait-elle de leur taille, du fait qu'une vive lumière émanait d'eux ?
Charles Hall : Je voudrais d’abord préciser que je n'avais aucun point de référence dans l'expérience de la rencontre avec des créatures qui ne proviennent pas de notre planète. Je n'avais reçu aucun briefing de mes supérieurs. Il faisait nuit noire comme dans un four. J'avais mon abri dans les grands baraquements vides de la base d'Indian Springs. J'étais complètement seul dans ces baraques. La réalité est très différente de ce que l'on peut supposer. L'expérience que j'ai vécue avec eux pendant deux ans et même vers la fin de cette période, n'a jamais été sereine…
Karma One : Avez-vous fait l'objet de menaces, de pressions ou de manipulations de la part de l'US Air Force (vos ex-employeurs) ou du gouvernement US en général ?
Charles Hall : Non ! La décision de m'envoyer, moi et pas un autre, dans ces territoires a été prise par un comité d'individus qui incluaient des G.B. et des généraux de haut rang de l'US Air Force ainsi que de hauts responsables du gouvernement des États-Unis. Les G.B. veillent méticuleusement à ce que les accords soient respectés et attendent du gouvernement américain qu’il soit tout aussi méticuleux qu'ils le sont eux-mêmes…
Souvenez-vous aussi que je n'étais qu’un simple observateur météo. J'étais un conscrit. On ne m'a jamais montré de documents “classifiés”. On ne m'a jamais convié à des briefings secrets. Je n'ai jamais fait partie d'un quelconque programme classifié comme la construction d'un avion secret. Je n'ai jamais pris de photographies. Je n'ai jamais dérobé du matériel appartenant au gouvernement, ni aucun agenda ni livre de bord lorsque j'ai quitté les terres de Nellis. Je ne suis sorti de Nellis qu'avec mes souvenirs.
Karma One : Quelles furent les réactions de vos amis, proches et collègues lorsque vous avez révélé votre histoire ? Et quelles furent aussi les réactions des ufologues ? Avez vous été surpris par ces réactions ?
Charles Hall : J'ai parlé des extraterrestres à mon épouse au début des années 70 alors que nous n'étions mariés que depuis 3 mois. Elle n'était pas très intéressée par le fait de savoir si les extraterrestres existaient ou non. Elle a simplement dit : “ Tout ce que je sais, c'est que si j'en rencontre un, j'espère me comporter d'une manière digne qui apporterait du crédit aux humains ”.
Au cours des années, j'ai raconté mon histoire à des amis, à mes enfants et à des collègues. Il est difficile de décrire leurs réactions puisque les gens n'expriment pas souvent leurs vrais sentiments afin de ne pas vous froisser et aussi pour préserver la relation que vous entretenez avec eux. Depuis que j'ai publié les livres, je dirais que les réactions des ufologues ont généralement été de nature cordiale…
Karma One : Avez-vous été capable de corroborer votre histoire avec les témoignages d'autres personnes qui ont également travaillé à Nellis, dans la région et dans d'autres régions du monde où les G.B. se seraient installés ?
Charles Hall : Parmi les personnes qui ont travaillé pour l'US Air Force et qui ont servi avec moi à Indian Springs, nombreuses sont celles qui ont vu des G.B. dans le désert. Et au cours des années qui ont passé depuis cette histoire, j'ai moi-même personnellement rencontré plusieurs personnes qui ont vu les G.B.
Karma One: Les vaisseaux que vous décrivez ne correspondent pas aux descriptions classiques des soucoupes volantes ou des appareils de type “Triangle noir volant”. Avez-vous aussi vu ce genre d'appareils ? Savez-vous si les appareils de type disque ou triangle volants sont des vaisseaux que l'on peut aussi trouver dans l'arsenal des G.B. ?
Charles Hall : J'ai personnellement assisté à des vols de vaisseaux noirs triangulaires. Ils font typiquement beaucoup de bruit. Je crois pouvoir affirmer que tout vaisseau qui fait beaucoup de bruit lorsqu'il vole a été construit par l'US Air Force. Le vaisseau G.B. utilise un système de propulsion à antigravité. C'est parfaitement silencieux. Cela ne laisse aucune trace, pas même un son. Je note que le vaisseau qui s'est écrasé à Roswell en 1947 avait la forme d'un disque et pouvait également se déplacer dans un silence parfait…
Karma One : Pour ce que vous en savez, l'organisation de leur société pourrait être comparée à quel genre de structure ? Une société militarisée et centralisée ? Une forme de démocratie ou une société orientée sur les sciences et le commerce ?
Charles Hall : J'ai personnellement observé que leur société est dotée d'une organisation comparable à la nôtre, assez proche du système américain ou européen.
Karma One: Les G.B. ont-ils une sorte de religion, une conception métaphysique de l'univers ?
Charles Hall : Je n'en ai aucune idée. Ils n'ont jamais discuté religion ou philosophie avec moi. Cependant, lorsque "l'enseignante" était en train de parler avec d'autres extraterrestres G.B., elle leur a dit que je croyais en Dieu et ils ont tous compris ce qu'elle voulait dire. Un nombre significatif d'événements de ce genre m'ont convaincu qu'ils ont également une religion et sont naturellement religieux.
Karma One: Vous affirmez que les G.B. craignent nos “capacités intuitives et nos perceptions extrasensorielles”. Pourriez-vous nous expliquer ce point ? Sommes-nous si intuitifs à leur égard et en comparaison d'eux ?
Charles Hall : Il m’a semblé que les G.B. envient notre capacité mentale "multi-tâches", multifonctions. Ils ne semblent être capables de se concentrer que sur une seule chose à la fois. Les G.B. sont physiquement plus fragiles que nous ne le sommes et par conséquent, ils nous craignent un peu comme nous, humains, craignons naturellement les gorilles dans la jungle. Cette peur n'a aucun rapport avec nos capacités intuitives et nos perceptions extrasensorielles.
Ils ont également peur parce que nous sommes entièrement chez nous, sur la planète Terre. Nous, en tant qu'êtres humains, sommes naturellement conçus pour survivre ici sur Terre. Nous comprenons les animaux et sommes à l'aise en leur compagnie. Nous nous disputons les uns avec les autres, nous nous battons, nous rions de la situation puis nous redevenons amis. Nos corps peuvent supporter d'énormes dégâts physiques et guérir rapidement. Nous supportons les piqûres d'abeilles, les morsures de chiens, les ruades d'ânes, les pertes de connaissance, etc. Nous aimons regarder des sports de contact ou y participer.
Eux seraient incapables de pratiquer ou d’endurer ce genre de choses. Ils considèrent la Terre comme une “étendue sauvage, froide et désolée”. Le fait qu’il y a des guerres sur notre planète et que nous n’hésitons pas à nous entretuer les amène à percevoir les humains comme des créatures rudes, primitives et désordonnées qui ont découvert un peu par hasard comment fabriquer des armes nucléaires. Ils craignent naturellement ce côté primitif.
Karma One : Les G.B. semblent avoir des capacités télépathiques et utiliser le "mind control", le contrôle du comportement. Peuvent-ils lire les pensées et à quelle distance ? Est-ce un pouvoir naturel, ou bien ont-ils besoin de recourir à un dispositif technologique ?
Charles Hall : Les G.B. ne peuvent lire les pensées humaines que s'ils emploient leur technologie. En particulier, ils doivent porter un dispositif de communication électronique. J'ai pu constater que la plus longue distance sur laquelle ces appareils fonctionnaient était de 500 mètres. Il arrivait fréquemment, particulièrement le jour, qu’un groupe de G.B. viennent à l'endroit où je me trouvais sans qu’ils ne portent leur dispositif électronique. À ces occasions, si aucun d'eux n'avait appris à parler l'anglais; la seule manière de communiquer avec eux était gestuelle.
S'ils choisissaient d'hypnotiser électroniquement un être humain, ils devaient utiliser l'un de leurs appareils à micro-ondes. Dans ce cas, l'être humain pouvait être contrôlé, exactement de la même manière que s'il avait été hypnotisé par un magicien au cours d'un spectacle.
Je note que les G.B. ont une capacité d'audition au moins aussi bonne que celle d'un chien. Comme les chiens ou les rhinocéros, il semble qu'ils soient capables d'entendre des sons dont la fréquence est bien trop élevée pour une oreille humaine. Je crois d’ailleurs que, comme les rhinocéros, leurs cordes vocales peuvent aussi produire des sons bien trop élevés pour être entendus par un humain. Lorsque certains d'entre eux venaient à proximité de l'endroit où je me trouvais, ils pouvaient parler entre eux en employant des sons que je n'entendais pas. À ces occasions, on aurait pu croire qu'ils communiquaient télépathiquement entre eux.
NOTA : Les facultés télépathiques des G.B. ont depuis été confirmées.
Karma One : Connaissez-vous le genre de technologies que les G.B. auraient pu échanger avec l'US Air Force: des ovnis, des armes, de la technologie relative au contrôle mental ?
Charles Hall : Les G.B. étaient uniquement disposés à échanger de la technologie avec les militaires américains s'ils y voyaient un avantage. Je suis certain que la technologie relative à la construction de meilleurs dispositifs de radiocommunication et d'électronique en général a été un secteur sur lequel les G.B. et les militaires US ont pratiqué un échange technologique. La création de meilleures constructions et matériaux de constructions qui peuvent être employés pour réparer leurs "vaisseaux d'exploration de l'espace profond" (Deep Space Craft) a été un autre secteur.
Les G.B. étaient d'accord pour échanger de l'information relative à la médecine, à la nourriture, aux vêtements, à l'électronique, à des réacteurs nucléaires ainsi que des détails scientifiques concernant notre système solaire et les systèmes solaires voisins tout comme la création de meilleurs métaux, de céramiques et de matières plastiques. Cependant, ils ont toujours refusé d’échanger des secrets technologiques relatifs à la propulsion, à l'antigravité, aux voyages dépassant la vitesse de la lumière et aux formes variées d'armements avancés. Ils préfèrent de loin constituer des équipes mixtes avec les militaires US, au sein desquelles ils fournissent et pilotent eux-mêmes les vaisseaux.
Karma One : Le gouvernement américain et la CIA sont-ils au courant de l'existence des G.B. et d'un accord avec l'US Air Force, ou bien cet accord est-il d'ordre privé, une sorte d'opération occulte ne regardant que l'US Air Force et les G.B.?
Charles Hall : Je suis à peu près certain que les G.B. ont passé plusieurs accords avec les plus hauts niveaux du gouvernement américain, ce qui inclut le président des États-Unis, le Congrès, l'US Air Force, les militaires en général et la CIA. Je suis également à peu près certain que les chefs G.B. ont rencontré les plus hauts responsables du gouvernement, ce qui inclut le président, plusieurs sénateurs de haut rang, les généraux les plus hauts gradés de l'US Air Force, ainsi que les plus hauts responsables de la CIA. Il est plus que vraisemblable que certains leaders politiques actuels soient tout à fait au courant qu'il y ait eu des rencontres avec les G.B.
Karma One: Avez-vous des regrets d'avoir vécu cette expérience ?
Charles Hall : Non, je n'ai jamais regretté d'avoir vécu ces événements. Si l'on m'avait donné le choix, je les aurais revécus sans l'ombre d'une hésitation, aussi pénibles qu’ils aient été. J'ai toujours été très fier du service que j'ai rendu à mon pays. Si le choix m'était donné, je recommencerais volontiers, même si cela impliquait que je doive revivre les mêmes épreuves.
J'ai apprécié l'opportunité de répondre à vos questions ; merci.
Charles Hall
Interviewé par Karma One le 15 avril 2005 |
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