Spiritualité, Nouvel-Age - Energies libres
Les travaux de Nikola Tesla sur l'énergie libre

Né dans la nuit du 9 au 10 juillet 1856, à minuit précises, dans la petite ville de Smiljan en Autriche-Hongrie, Nikola Tesla devint l'un des inventeurs les plus extraordinaires des temps modernes. Prix Nobel, auteur de plus de 900 brevets traitant de nouvelles méthodes pour aborder la conversion de l'énergie, récipiendaire de quatorze doctorats des universités du monde entier et maîtrisant 12 langues, il mourut triste et oublié le 7 janvier 1943.

Les inventions

Hormis le fait qu'il est doté d'une mémoire photographique hors pair, Tesla a le talent nécessaire pour expliquer dans un langage adéquat et compréhensible sa vision de l'univers. Il suffit de voir comment il définit l'électricité et le magnétisme :

« Un monde infinitésimal, constitué de molécules et de leurs atomes tournant sur eux-mêmes et se déplaçant le long de leurs orbites, à la manière des corps célestes, entraînant avec eux l'éther en le faisant probablement tourner ou, en d'autres termes, porteurs de charges statiques, me semble l'explication la plus probable, et celle qui rend le mieux compte de la plupart des phénomènes observés. Les rotations des molécules autour d'elles-mêmes et de leur éther définissent les tensions de l'éther ou tensions électrostatiques ; l'égalisation des tensions de l'éther crée d'autres mouvements ou courants électriques, et les mouvements orbitaux produisent les effets de l'électromagnétisme et du magnétisme permanent. »

Entre 1882 et 1888, il a breveté plusieurs dispositifs qui utilisaient des champs magnétiques tournants pour transmettre de l'électricité par courants alternatifs. En fait, il lança les idées qui permirent de concevoir tout le matériel moderne de génération et de transport de l'électricité.

Tesla devint citoyen américain le 30 juillet 1891 et c'est dans ces années qu'il inventa un système générant des tensions extrêmement élevées : la bobine Tesla.

Entre 1891 et 1893, il breveta le système sans fil Tesla (radio télégraphe) et mit au point des lampes électroniques froides. C'est en 1892 que Nikola Tesla, un soir d'orage, constata un phénomène naturel qui influença ses recherches ultérieures :



« Le ciel se chargeait de nuages noirs, mais la pluie ne tombait toujours pas, quand, tout à coup, il y eut un éclair, et tout de suite après, le déluge.(...) Manifestement les deux phénomènes avaient un lien étroit de cause à effet. Après quelque réflexion je conclus que l'énergie électrique contenue dans la précipitation d'eau était insignifiante, et que l'éclair jouait le même rôle de déclenchement qu'un commutateur.(...) Si l'on parvenait à produire des orages électriques de l'intensité voulue, on pourrait modifier la planète entière et les conditions de vie à sa surface.(...) S'il était en notre pouvoir de le bouleverser (le cycle de l'eau) où et quand c'est nécessaire, on pourrait contrôler à volonté cet élément vital qu'est l'eau. »

Entre 1896 et 1898, il publia une théorie toujours valable sur la radioactivité et l'énergie rayonnante. Au cours de ces années, il mit au point des tubes à vide à potentiel élevé (les ancêtres des lampes fluorescentes que le monde entier utilise aujourd'hui). Il mena de pair cette étude avec celle de la transmission d'énergie sans fil : la radio. Une expérience lui montra que l'électricité, lorsqu'elle est soumise à de hautes fréquences, a tendance à s'écouler plus facilement à travers le gaz plutôt que par le métal, sous certaines conditions. Ces conditions correspondent à celle de l'atmosphère à une altitude élevée. A contrario, la basse atmosphère se comporte comme un parfait isolant.

Vers 1898, il construisit des transformateurs à hautes fréquences capables de produire des forces électromotrices de plusieurs millions de volts. C'est alors qu'il s'aperçut que les courants produits par ces bobines étaient conduits librement, même dans l'atmosphère.

Il ne voit alors plus de limite de quantité et de distance dans la transmission d'énergie électrique par le biais de l'atmosphère. Il va jusqu'à supposer à la suite d'une expérience qui fut les prémisses de la transmission par micro-ondes, qu'à plus grande échelle, ce transfert aérien d'énergie pourrait provoquer une illumination de l'atmosphère, à l'image de nos lampes fluorescentes. De plus, grâce aux réactions chimiques que provoquent ces émissions, on pourrait extraire de l'azote de l'air et fabriquer un engrais rentable.

En 1899, il présenta à la marine américaine un sous-marin électrique à commande radio. Il publia la même année des documents expliquant sa découverte de la résonance terrestre et de la loi de la propagation de courants conducteurs à travers le globe.

Au cours de l'été de 1899, Tesla construisit et essaya l'un des dispositifs les plus incroyables que l'humanité ait vu. Tesla avait choisi les montagnes Rocheuses à cause de leurs fréquents orages électriques. L'idée de Tesla était de se brancher sur les nuages très chargés à partir de la terre. Il avait déjà établi que les éclairs de ces orages semblaient se décharger selon une forme d'onde stationnaire particulière qui encerclait la planète entière. Tesla avait convaincu le Colonel John Jacob Astor (du renommé Waldorf Astoria) de jouer 30 000$ sur son essai d'été.
Nikola Tesla dans sa station expérimentale de Colorado Springs

Il y fit construire une station expérimentale surplombée d'un mât métallique de 37 mètres à l'extrémité duquel figure une boule de cuivre de 90 centimètres. Il équipe sa station d'un puissant émetteur amplificateur. Quand il le met en marche, les paratonnerres situés dans un rayon de 30 kilomètres sont continuellement reliés par des éclairs.

En se basant sur la théorie des oscillations mécaniques et de la résonance, on sait que lorsque la fréquence de la force excitante est égale à la fréquence propre du système, l’amplitude du mouvement de l’oscillateur est maximale, ce maximum étant d’autant plus aigu que l’amortissement est faible. Tesla applique ce principe au flux d'électricité produit par son oscillateur géant. Celui-ci se propage dans le système Terre-ionosphère, d'abord en cercles de plus en plus grands, puis en cercles plus petits mais avec une intensité croissante, et convergente en un point du globe directement opposé à Colorado Springs, dans l'océan indien.

Un « Pôle Sud » électrique se crée avec une onde stationnaire proportionnelle à l'émission du « Pôle Nord » du Colorado. La théorie voudrait que l'intensité augmente suivant les flux et les reflux de l'onde.

Mais comme la Terre n'est pas un circuit résonnant parfait, les déperditions font qu'une énergie stabilisée est récupérable à n'importe quel point du globe, et ceci par un simple récepteur radio adapté.

Sur le "Electrical World and Engineer" du 5 mai 1904, Tesla déclarait, au sujet de son essai réussi du 3 juillet 1899 :

« J'ai le premier obtenu la première preuve expérimentale décisive d'une vérité pour le plus grand avancement de l'humanité. (...) Des arcs gros, longs et persistants (éclairs) se formaient presque à intervalles réguliers... aucun doute là-dessus, nous étions en train d'observer des ondes stationnaires. (...) L'énorme signification de ce fait dans la transmission d'énergie par mon système était déjà devenue très claire pour moi [...]. »

Tesla avait découvert un système qui permettait de transmettre des quantités presque illimitées d'énergie électrique n'importe où sur terre avec des pertes négligeables.

Les applications

En 1971, Oleg Jefimenko, un savant de la West Virginia University, annonçait la mise au point du premier moteur alimenté par le champ électrique de la Terre.


Oleg Jefimenko

Il avançait que son moteur pouvait servir à écarter la pénurie d'énergie qui frappait alors l'occident. Cependant les détails de son invention furent vite mis sous silence. On sait que son système faisait appel à un moteur électrostatique pour produire du mouvement et, donc, de l'énergie.

Son premier générateur aurait fonctionné avec un câble soulevé par un ballon qui devait servir à court-circuiter les différences de tension relevées à la surface de la Terre et à une altitude de 500 mètres. Son système produisait environ 75 watts d'énergie continuelle avec comme seule source d'énergie le champ électrique de la Terre.

Ultérieurement, ce système aurait exploité le différentiel des champs magnétiques terrestres non seulement à des altitudes différentes (il mettrait à profit les processus de conductivité de haute altitude et de souterrains nouvellement découverts), mais aussi à différentes latitudes hémisphériques. Ce procédé rendrait l'électricité bon marché n'importe où sur la Terre, sans le problème du transport et des câbles.

Nikola Tesla déclarait :

« Les courants alternatifs, particulièrement ceux de fréquence élevée, traversent avec une facilité étonnante les gaz, même peu raréfiés. Les strates supérieures de l'atmosphère étant raréfiées, les seules difficultés à surmonter pour atteindre une distance de plusieurs kilomètres dans l'espace sont de nature purement mécanique. Il ne fait aucun doute qu'avec les potentiels énormes que l'on peut atteindre en utilisant les hautes fréquences et le procédé d'isolation à l'huile, les décharges lumineuses peuvent traverser de nombreux kilomètres d'air raréfié; grâce à cette énergie de plusieurs centaines de milliers de chevaux-vapeur, les moteurs ou les lampes pourront être actionnés à des distances considérables des sources fixes.(...) Avant longtemps, nos machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l'univers. L'idée n'est pas nouvelle. Nous la trouvons dans le mythe d'Anthée, qui tire de l'énergie de la Terre. A travers tout l'espace se trouve de l'énergie. Cette énergie est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, nos espoirs sont vains; si elle est cinétique - et nous savons qu'elle l'est - les hommes réussiront bientôt à connecter leurs machines aux grands rouages de la nature. »

L’invention d’Oleg Jefimenko n'eut pas de suite publique, tout comme celle de Nikola Tesla qui fut empêché par le banquier J.P. Morgan (1837-1913), lequel coupa les fonds à l'inventeur et fit obstacle à tout nouveau financement.

Il faut savoir que J. Pierpont Morgan était à l'origine de la General Electric Company. Son but était de s'assurer le contrôle de la future électrification de l'Amérique, ce qu'il fit en implantant les systèmes qu'il finançait avant ses concurrents, rendant le prix de tout changement prohibitif.

Mais les travaux de Tesla n'étaient que la partie apparente de l'iceberg. En 1956, la revue Interavia publia l'article intitulé : « Vers la locomotion aérienne... sans contrainte et sans poids ». Cet article expose les possibilités de « l'électrogravitativité ».

(ndlr : pour se rendre compte des possibilités de « l'électrogravitativité » voir notre dossier Lifter dans la rubrique Science Interdite. TOP SECRET n°2. L’énergie libre est-elle la solution pour un lifter libre de toute attache ?…)

Nous nous intéresserons ici seulement à l'extrait qui traite de l'exploitation des champs électromagnétiques :


« Dans le cas des automobiles, des trains, des navires, les difficultés qu'implique la transmission de l'énergie du moteur aux roues ou hélices cesseront tout simplement d'exister. La construction des ponts, des immeubles, etc. ; se trouvera considérablement simplifiée par le recours à l'annihilation induite du poids. D'autres aspects des travaux entrepris suggèrent la possibilité d'une action sur la pousse des végétaux, de nouvelles techniques thérapeutiques, de systèmes de chauffage permanent sans combustible à l'intention des habitations et établissements industriels, de nouvelles sources d'énergie industrielle, de nouvelles méthodes de construction, d'un secteur entièrement nouveau de la chimie.[...] Cette nouvelle science [...] offre dans le domaine des communications des possibilités qui confondent l'imagination. Il existe apparemment dans l'éther une catégorie insoupçonnée d'ondes électriques identiques fondamentalement aux ondes électromagnétiques de la radio. Des ondes électrogravitatives ont été produites et émises à travers des couches concentriques constituées par les matériaux de blindage électromagnétique et électrostatique les plus efficaces, sans aucune perte apparente de puissance. »

Tesla avait déjà découvert un système qui permettait de transmettre des quantités presque illimitées d'énergie électrique n'importe où sur terre avec des pertes négligeables

Si, à l'instar de Tesla, l'on considère la planète comme une sphère de fluide électrique, on peut comprendre comment un circuit résonnant utilisant la Terre comme conducteur pourrait générer de très hautes tensions aux antipodes d'émetteurs à très basses fréquences (TBF) situés sur ou sous terre.


Il est intéressant de constater que le quartier général (d'un coût de 10 milliards de dollars) du North American Air Defense (NORAD) est enfoui à un kilomètre et demi sous le mont Cheyenne. L'antipode de sa station se situerait près d'un petit groupe d'îles dans la partie sud de l'océan indien. Se pourrait-il que les sous-marins électriques ultras secrets des Américains rechargent leurs batteries à plasma dynamique à cet endroit ?

En plein centre de l'Australie, très près du tropique du Capricorne, à précisément 23° 48" Sud sur 133° 43" Est, se situe le centre TBF de l'American Defense Advanced Research Project Agency (DARPA), appelé communément base de Pine Gap.

Cette antenne dans la base de Pine Gap
n’est-elle pas une réminiscence de l’antenne Tesla ?

Cette base est installée sur le puits d'eau le plus profond et le plus droit jamais foré en Australie. Il a une profondeur d'au moins 8 535 mètres. Il pourrait servir d'antenne souterraine pour la diffusion d'électricité à très basse fréquence à son antipode qui se situe très près du tropique du Cancer, au centre du seuil atlantique.


L'émetteur situé au nord de West-Cape, toujours en Australie, près de la Baie d'Exmouth, a, quant à lui, son antipode qui se trouve être au centre du « Triangle des Bermudes »...


West-Cape

Côté ancien bloc de l’est, en Lettonie, l'émetteur TBF de Riga, sur la côte Baltique, émet depuis octobre 1976 un signal d'une extrême largeur de bande qui dure de dix secondes à quelque fois trois minutes. Est-ce simplement un dispositif de brouillage de fréquences ? Presque à la même époque, selon un rapport d'Edward Campbell du London Evening News en juin 1978, « les soviétiques avaient fait la chasse dans tout le pays à toute personne ayant connu ou rencontré Tesla ».

Il est intéressant de consulter la « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles », signée par les pays membres de l'ONU à Genève et entrant en vigueur le 5 octobre 1978 et d'y relever :

« Reconnaissant que les progrès de la science et de la technique peuvent ouvrir de nouvelles possibilités en ce qui concerne la modification de l'environnement, (...) Conscients du fait que l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques pourrait améliorer les relations entre l'homme et la nature et contribuer à protéger et à améliorer l'environnement pour le bien des générations actuelles et à venir ; Reconnaissant, toutefois, que l'utilisation de ces techniques à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles pourrait avoir des effets extrêmement préjudiciables au bien-être de l'homme ; Désireux d'interdire efficacement l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, afin d'éliminer les dangers que cette utilisation présente pour l'humanité, et affirmant leur volonté d’œuvrer à la réalisation de cet objectif,(...)

Article premier

1. Chaque Etat partie à la présente Convention s'engage à ne pas utiliser à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de causer des destructions, des dommages ou des préjudices à tout autre Etat partie. (...)

Article II

Aux fins de l'article premier, l'expression « techniques de modification de l'environnement » désigne toute technique ayant pour objet de modifier - grâce à une manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou l'espace extra-atmosphérique. (...) »

La maîtrise de la nature

C'est en 1892 que Nikola Tesla, un soir d'orage, constata un phénomène naturel qui influença ses recherches ultérieures :

« Le ciel se chargeait de nuages noirs, mais la pluie ne tombait toujours pas, quand, tout à coup, il y eut un éclair, et tout de suite après, le déluge.(...) Manifestement les deux phénomènes avaient un lien étroit de cause à effet. Après quelque réflexion je conclus que l'énergie électrique contenue dans la précipitation d'eau était insignifiante, et que l'éclair jouait le même rôle de déclenchement qu'un commutateur.(...) Si l'on parvenait à produire des orages électriques de l'intensité voulue, on pourrait modifier la planète entière et les conditions de vie à sa surface.(...) S'il était en notre pouvoir de le bouleverser (le cycle de l'eau) où et quand c'est nécessaire, on pourrait contrôler à volonté cet élément vital qu'est l'eau. »

Les ondes stationnaires participent à cette modification climatique. Elles sont créées par l'émission de puissants champs magnétiques à très basse fréquence, champs qui sont dirigés vers le noyau de la terre. L'énergie tellurique de ce dernier alimente cette onde et on obtient une triode qui joue le rôle d'amplificateur, c'est ce que Tesla appelle son « émetteur amplifié ». Suivant la fréquence et la direction de cette onde, celle-ci peut soit se décharger dans le manteau terrestre, provoquant un tremblement de terre ordinaire, soit ioniser l'atmosphère et donc manipuler le climat, brouiller les signaux hertziens et même influer sur le comportement des êtres vivants.

Zbigniew Brzezinski, ministre des affaires étrangères de Ronald Reagan et créateur, en 1972, avec David Rockfeller, de la Commission trilatérale déclare ceci :

« Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l'espace et du climat a remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs. »

Un des problèmes posés par ces ondes stationnaires est qu'en interférant entre elles provoquent un chaos climatique. Cela serait arrivé le 4 février 1983, jour où les ondes ELF (Emited Low Fréquency, onde de très basse fréquence) envoyées par les américains seraient entrées en contact avec des ondes stationnaires envoyées par les soviétiques.
El Niño, courant chaud parcourant le pacifique et contribuant à équilibrer les structures météorologiques une fois tous les dix ans de façon naturelle en régulant les alizés de l'océan pacifique, a été beaucoup plus violent cette année-là.

On peut lire dans le "Washington Post" du 6 mars 1983 :

« Pour des raisons inconnues, les alizés se sont mis à souffler dans la direction opposée, ce qui a provoqué une sécheresse en Australie et des pluies diluviennes au Pérou. Ils ont également provoqué de fortes pluies, des tornades, des coulées de boue dans le sud de la Californie. (...) El Niño de 1983 est le résultat d'énormes ondes stationnaires émises par les Russes. Leurs propriétés permettent de verrouiller les mécanismes météorologiques en créant un bouchon, ce qui empêche les alizés de suivre leur trajectoire habituelle. »

Cette année-là, de nombreux pays dans le monde présentent des dégâts importants alors que l'Union Soviétique a connu un des hivers les plus doux du siècle. Cette stratégie ferait partie d'un plan amorcé par Lénine et qui avait pour but de réchauffer la Sibérie afin d'y développer des cultures. Le problème est que provoquer un type de temps dans un endroit n'est possible qu'en diminuant son potentiel dans un autre endroit.

(Ndlr au mois d’octobre 2000, je tombais par hasard sur un site non référencé qui a malheureusement disparu rapidement, et qui titrait ainsi :

Que s’est-il passé le 10 octobre 2000 ?

Suivait alors une animation satellite absolument extraordinaire. Le forum du site, ainsi que différentes adresses permettaient de vérifier par nous même l’étrange phénomène survenu ce jour là à 12 heures GMT précise dans l’hémisphère nord, provoquant également une grande ombre sombre sur le continent nord américain. L’événement interféra sur de nombreux satellites. S’agissait-il d’une expérience basée sur la technologie Tesla effectuée depuis le pôle nord où l’on connaît depuis quelques années déjà l’existence du mystérieux projet Haarp ?)

Toujours dans le "Washington Post", mais cette fois du 15 mars 1983 : « Un rapport de la National Science Foundation décrit la mort ou la fuite des 17 millions d'oiseaux que compte l'archipel des Christmas Islands ». Des millions de petits crabes rouges sont apparus sur les côtes sud de la Californie, les migrations des poissons sont irrégulières, les coraux du Pacifique, du Panama, des îles Galapagos, de Colombie, des îles de Polynésien et de l'ouest des Philippines meurent à un rythme plus élevé qu'à l'habitude.

Pour tous ces phénomènes on cite El Niño, ou ce qui l'a provoqué, comme possible responsable. Ce qui est certain c'est que, comme le cite l'étude menée par Sheppard et Einsenbud, tous deux membres de l'Institut de l'Environnement du New York Universit Medical Center :

« (...) il existe une influence réciproque entre un champ magnétique ELF et l'équilibre ions-calcium. La plupart des 2500 espèces connues de coraux (...) produisent du carbonate de calcium. Il est probable que cette production de calcium a été perturbée par les ondes stationnaires ELF.(...) Des champs électriques ou magnétiques de faible puissance sont capables de faire apparaître des changements neurophysiologiques et des troubles du comportement. »

La commission pour l'environnement rend les émissions de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et l'effet de serre qui en découle comme principales responsables des catastrophes climatiques qui s'intensifient, et de la future mais inéluctable immersion des zones côtières. Seulement ces changements climatiques sont apparus brutalement alors que l'homme brûle de façon croissante mais quasi régulière toute sorte de matériaux depuis la préhistoire. En fait, les causes sont peut-être tout autres, comme nous venons de le voir. Elles sont peut-être le résultat d'une lutte visant non seulement à tourmenter des pays concurrents ou ennemis, mais aussi à améliorer les conditions climatiques de son propre pays.

Cette tourmente climatique qui a forcément des effets sur l'économie peut aussi en avoir sur le comportement des populations, indirectement et directement... c'est la fameuse guerre psychotronique.

Les influences Védiques

« La première chose dont on se rend compte au sujet de l'éther est sa continuité absolue. Un poisson de mer en eau profonde n'a probablement pas de moyens d'appréhender l'existence de l’eau ; il est immergé uniformément dedans : et c'est notre condition vis-à-vis de l'éther. »

Sir Oliver Lodge, Éther et Réalité.
Nikola Tesla a utilisé la terminologie Sanskrite ancienne dans ses descriptions de phénomènes naturels.

Dès 1891, il décrit l'univers comme un système cinétique rempli d'énergie qui pourrait être harnaché à tout emplacement. Ses concepts, pendant les années suivantes, ont été grandement influencés par les enseignements de Swami Vivekananda.

Après avoir rencontré le Swami et après une étude soutenue des opinions orientales des mécanismes qui conduisent le monde matériel, Tesla a commencé à utiliser les termes Sanskrits comme Akasha ou Prana, et le concept d'un éther lumineux pour décrire la source, l’existence et la construction de la matière.

Le texte ci-dessus tracera le développement de la compréhension de Tesla par rapport à la science Védique, sa correspondance avec le physicien Lord Kelvin qui s’intéresse à cette matière, et la relation entre Tesla, Walter Russell, et un ensemble d’autres scientifiques du siècle qui s’intéressent à une compréhension avancée de la physique. Il donnera une description de la pré-condition requise pour les systèmes d'énergie libres envisagés par Tesla.


Lord Kelvin (W. Thomson) Walter Russel

Science Védique et Swami Vivekananda

C’est en 1891 que Tesla a fait les commentaires suivants, lors d’un discours devant l'Institut américain d'Ingénieurs Électriques :

« Avant longtemps, nos machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l'univers. L'idée n'est pas nouvelle... Nous la trouvons dans le mythe d'Antée, qui tire l'énergie de la Terre ; nous la trouvons parmi les spéculations subtiles de l'un de vos plus grands mathématiciens... A travers tout l'espace se trouve de l'énergie. Cette énergie est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, nos espoirs sont vains ; si elle est cinétique - et nous savons qu'elle l'est alors c'est une simple question de temps avant que les hommes réussissent à connecter leurs machines aux rouages mêmes de la nature. »

Tesla laisse son corps servir de conducteur au courant alternatif
à haute fréquence pour montrer d'une part leur innocuité,
et d'autre part qu'il est possible d'éclairer l'ampoule d'une forte lueur.

Cette description des mécanismes physiques de l'univers a été donnée avant que Tesla soit devenu familier avec la science Védique des Nations de l’Inde orientale, du Tibet, et du Népal. Cette science a été popularisée aux États-Unis et en occident pendant les trois années de visite de Swami Vivekananda.

Les Vedas sont une collection d'écrits vieux d’au moins 5,000 ans qui consistent en cantiques, prières, mythes, comptabilité historique, dissertations sur les sciences, et la nature de la réalité.

La nature de la matière, l’antimatière, et la composition des structures atomiques sont décrites dans les Védas. La langue des Védas est connue comme étant du sanskrit. L'origine du sanskrit n'est pas complètement comprise. Les savants de l'ouest suggèrent qu'il a été apporté dans la chaîne de l’Himalaya et de là, au sud de l’Inde par des migrations de la culture aryenne.

Cependant Paramahansa Yogananda et d’autres historiens n'adhèrent pas à cette théorie, et signalent qu'il n'y a aucune évidence en Inde pour confirmer de telles suppositions.

L'usage que fait Tesla de la terminologie Védique pourrait fournir une clef pour interpréter sa vue de l’électromagnétisme et de la nature de l'univers. Mais où Tesla a-t-il appris les concepts Védiques et la terminologie du sanskrit ?

Anderson a suggéré que c'était à travers Swami Vivekananda que Tesla avait pu rentrer en contact avec la terminologie Sanskrite et que John Dobson, de la San Francisco Sidewalk Astronomers Association, avait fait des recherches sur cette connotation.

Swami Vivekananda est né à Calcutta, en Inde, en 1863. Il a été inspiré par son professeur, Ramakrishna pour servir les hommes comme des manifestations visibles de Dieu. Swami Vivekananda a commencé une visite de l'ouest en assistant au Parlement des Religions qui s'est tenu à Chicago en 1893. Pendant ces trois années de visite aux États-Unis et en Europe, Vivekananda rencontra des scientifiques de renom, y compris Lord Kelvin et Nikola Tesla.

Nikola Tesla a été fort impressionné par les explications de Swami au sujet de la cosmogonie Samkhya et de la théorie des cycles donnée par les Hindous. Swami Vivekananda nous apprend qu'il a été frappé en particulier par la ressemblance entre la théorie Samkhya de la matière et de l’énergie et celle de la physique moderne.

Le yogi a aussi rencontré à New York Lord Kelvin (William Thompson), puis le professeur Helmholtz, deux des principaux représentants des sciences occidentales.

Tesla comprenait la terminologie Sanskrite et la philosophie. Il a trouvé que c'était un bon moyen de décrire les mécanismes physiques de l'univers comme il les voyait. Il incomberait à ceux qui essaieraient de comprendre la science derrière les inventions de Nikola Tesla, d’étudier le sanskrit et la philosophie des écritures saintes de l’hindouisme.

La rencontre avec Swami Vivekananda a grandement stimulé l'intérêt de Nikola Tesla dans les sciences orientales. Swami a affirmé plus tard pendant une conférence en Inde :

« Quelques-uns des meilleurs esprits scientifiques du jour m’ont confiés que les conclusions du Vedanta sont admirablement rationnelles. Je tiens personnellement de l’un d'eux, qui a à peine le temps de manger, ou de sortir de son laboratoire, mais qui arrêterait le temps pour assister à mes conférences sur le Vedanta, parce que, comme il l'exprime, elles sont scientifiques et elles s’harmonisent exactement avec les aspirations de l'époque et avec les conclusions auxquelles la science moderne aboutie. »

Tesla, Lord Kelvin et Walter Russell

William S. Thompson était un des plus éminents scientifiques et ingénieurs de la fin du 19° siècle. Il a développé des analogies entre la chaleur et l’électricité, et son travail a influencé les théories développées par James Clerk Maxwell, un des fondateurs de la théorie électromagnétique.

Thompson a surveillé la pose couronnée de succès du câble TransAtlantique et pour ce travail a été adoubé Lord Kelvin. Kelvin avait pourtant soutenu les théories de Tesla et les systèmes proposés pour la transmission sans fil d’énergie électrique.

La correspondance entre Lord Kelvin et Tesla nous prouve que ce dernier a continué à étudier l’Hindou et la philosophie Védique pendant plusieurs années.

Walter Russell, quant à lui, était un des artistes, sculpteurs, écrivains et scientifiques les plus accomplis de l’époque. Son tableau périodique des éléments a prédit correctement l'emplacement et les caractéristiques des quatre éléments des années avant qu'ils n’aient été découverts dans les laboratoires.

Ils sont maintenant connus sous le nom de Deutérium, Tritium, Neptunium, et Plutonium.

Russell est entré apparemment dans un état surélevé de conscience après avoir été frappé par un éclair. Pendant plusieurs semaines, il a dessiné et écrit au sujet de la nature basique et la fabrication de l'univers physique. La famille de Russells a appelé finalement le docteur de famille pour déterminer si Russell devait être interné. Le docteur, en voyant les résultats des semaines de travail de Russells, a dit qu'il ne savait pas ce que Russell faisait, mais qu'il n'était pas dément.

Walter Russell

On peut noter l'analogie avec les symptômes dont souffrait Tesla, et qu'il décrit lui-même :

« Un handicap bizarre dû à l'apparition d'images, souvent accompagnées de forts éclairs de lumière, qui troublaient la vision des objets réels et gênaient mes pensées et mes actes. Ce n'était jamais des créations de mon imagination, mais des images d'objets et de scènes que j'avais réellement vues. Quand un mot était prononcé devant moi, l'image de l'objet qu'il désignait me sautait aux yeux, et j'étais quelque fois incapable de savoir si ce que je voyais était réel ou non, ce qui me causait un profond malaise et une grande angoisse. Aucun des psychologues ou des médecins que j'ai consultés n'a pu expliquer ces phénomènes de manière satisfaisante. »

Bien que l’heure et le lieu exact de leur réunion n'aient cependant pas été déterminé, Nikola Tesla et Walter Russell se sont rencontrés et ont discuté de leurs cosmologies respectives. Tesla a reconnu la sagesse et le pouvoir de l'enseignement de Russells, et Russell a préconisé d'enfermer ses connaissances dans un coffre-fort pour 1,000 années jusqu'à ce que l'homme fût prêt pour à ça.

Implications socio-économiques

de l'énergie gratuite :

Bien que Tesla n'ait pas accepté beaucoup des tenants de la relativité et de la théorie du quantum et n’ait jamais fait le rapport entre la matière et l’énergie, il a reconnu comme possible l’existence d’une énergie libre et illimitée comme il le démontre par la déclaration suivante du 13 mai 1907, pour "Actors, Fair Fund" :

"Que l’homme puisse contrôler les merveilles, n’est-ce pas le plus effrayant de tous les processus de la nature ?... S'il pouvait le faire, il aurait des pouvoirs presque illimité et surnaturel... Il pourrait causer des collisions entre les avions et produire ses soleils et ses étoiles, sa chaleur et sa lumière. Il pourrait créer et développer la vie dans toute l’infinité de ses formes... [De tels pouvoirs] le placeraient à côté de son créateur, lui feraient accomplir son destin ultime. »

Et décrivant ce qui est maintenant connu comme la Résonance Schumann (7.8 Hz), il dira :

« Si stupéfiant sont les faits dans ces connexions, qu'il paraîtrait que le Créateur lui-même aurait conçu cette planète électriquement... »

Tesla se pose la question, spécule, cherche une réponse.

La statue de Nikola Tesla aux chutes du Niagara

L'invention la plus mal comprise de Tesla est communément connue sous le nom de « Rayon de la mort ». C'était simplement une arme composée d’un faisceau de particules qu'il a proposé en 1937 et qui a été fabriqué sous contrats avec Alcoa Aluminium et les gouvernements anglais et Italiens.

Il a utilisé les techniques de la propulsion électrostatique. Des appareils semblables sont développés aujourd'hui par l'Organisation de l'Initiative de la Défense Stratégique américaine (Strategic Defense Initiative Organization, SDIO) et le pôle de stratégie de défense de l'Armée Américaine (US Army Strategic Defense Command).

L’espèce humaine n'a pas encore acquis le pouvoir infini de l'univers comme l’envisageait Nikola Tesla. Mais la question reste en suspend. Les appareils d'énergie libres, s'ils sont réalisables, ne concernent pas un domaine marginal des sciences ou des technologies. Leur avènement pourrait révolutionner le statu quo socio-économique sur la planète Terre.

En ce moment le gâteau est divisé irrégulièrement. Un cinquième de la population possède 85% des richesses de la planète, et l'écart ne cesse de se creuser. Que faisons-nous pour remédier à cette situation ?

Le vaisseau spatial Terre a besoin d'un plan de vol

L'alternative consiste à diviser le gâteau plus équitablement, ou bien à le rendre plus grand. La première option exige que notre niveau de vie s’abaisse afin que le niveau de vie du tiers-monde puisse augmenter. La deuxième option nous permet de maintenir notre niveau de vie pendant que nous aidons à élever le niveau de vie des nations défavorisées.

Trente mille personnes meurent de faim tous les jours sur cette planète, la plupart d'entre eux sont des enfants. Les nations luttent contre les nations, la guerre fait partie de nos vies.

Qu'est-ce qui conduit notre économie dans le monde occidental, qu'est-ce qui nous permet de jouir d’un haut niveau de vie, une vie de loisir comparée à nos voisins situés au sud d’une ligne imaginaire appelée frontière ? Beaucoup de réponses à la fois économiques, sociales, politiques, et spirituelles peuvent être données.

Nous savons que le niveau de vie d’une nation est directement lié à sa consommation d'énergie. L’énergie dirige l’économie des nations et le but de Tesla était de rendre l’énergie électrique également disponible à tous les occupants de cette planète.

Pourquoi est-ce que cette énergie libre n'a-t-elle pas été rendue disponible à tous les peuples et les nations ? Pourquoi, au lieu de construire des barrages, sources de nouveaux chantages et conflits entre les nations du sud si dépendantes de l’eau, pourquoi n’a-t-on pas développé et mis en vente les nombreux appareils d'énergie libres décrits par Tom Bearden, John Bedini, Bruce DePalma, et d’autres qui ne se sont jamais matérialisés ?

Peut-être parce que « les choses faciles sont rarement faites, pour les mêmes raisons que les choses impossibles sont peu souvent réalisées : personne ne paiera quelque chose qu’il pensera être facile ou impossible »

(Ndlr : Depuis quelques années certaines grandes villes américaines vivent sous la menace d’une pénurie d’énergie avec de brèves périodes de rationnement.)

En fait, les visions de Tesla ont été différées à une date indéterminée. Les chamailleries ont commencé avec Thomas Edison, J.P. Morgan et Nikola Tesla lui-même. Peut-être que la raison du retard dans la transmission de l’énergie sans fil ou les mensonges au sujet des appareils d'énergie libres réside plus profondément dans la psyché humaine.

Est-il possible de comparer l'histoire Tesla à l'histoire biblique ? Bruce Gordan le pense. Dans l'analyse de Gordan, la tentative de Tesla pour construire un prototype qui magnifie la transmission d’énergie le place en parallèle avec le passage 11:1-9 de la Genèse.

Genèse 11 :

1. Toute la terre avait une seule langue et les mêmes mots.

2. Comme ils étaient partis de l'orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Schinear, et ils y habitèrent.

3. Ils se dirent l'un à l'autre : Allons ! faisons des briques, et cuisons-les au feu. Et la brique leur servit de pierre, et le bitume leur servit de ciment.

4. Ils dirent encore: Allons ! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la face de toute la terre.

5. L'Éternel descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes.

6. Et l'Éternel dit : Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c'est là ce qu'ils ont entrepris; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu'ils auraient projeté.

7. Allons ! descendons, et là confondons leur langage, afin qu'ils n'entendent plus la langue, les uns des autres.

8. Et l'Éternel les dispersa loin de là sur la face de toute la terre; et ils cessèrent de bâtir la ville.

9. C'est pourquoi on l'appela du nom de Babel, car c'est là que l'Éternel confondit le langage de toute la terre, et c'est de là que l'Éternel les dispersa sur la face de toute la terre.

La tour de Tesla fut finalement démontée
pièce par pièce et vendue au prix du métal.

Conclusion

La transmission sans fil d'énergie libre n'a pas encore vue le jour

(ndlr : libre, peut être pas, mais dirigée certainement ! voir l'article sur Sciences & Vie n°1006 de juillet 2001 intitulé : « de l'électricité sans fils » ou la présentation d'un projet du CNES (Centre National d' Etudes Spatiales) pour alimenter le village de « Grand-Bassin » situé dans le S.O de l'île de la Réunion.

Peut-être que nous ne sommes pas prêts, peut-être que le Monde n'est pas prêt, ou peut-être que ceux qui le dirigent ne veulent pas assumer les risques de déséquilibrer une planète dont l'économie est basée sur la recherche, l'exploitation, la transformation et la commercialisation de l'énergie.

Les habitudes ont la vie dure, et les instances gouvernantes, les personnes qui sont au sommet des organisations financières et économiques, en un mot, les maîtres du monde, ne sont pas les plus mal lotis. Ces derniers n'ont aucun intérêt à changer un système qui les enrichis.

En outre la tendance populaire dans les pays civilisés est à l'apathie et à la conservation des avantages acquis, qui se réduisent d'ailleurs comme peau de chagrin, bien que certaines illusions de progrès tentent de nous faire croire que nous allons dans le bon sens.

Pogo a formulé l’idée ainsi :

« Nous avons rencontré l'ennemi et c'est nous. »

Dans les vues de Jung au sujet de l’inconscient collectif, les choses se passent quand le temps est juste, nous obtenons ce auquel nous consentons.

Visitez le site : http://conspiration.com/
Une introduction à l’énergie libre

Les machines à énergie libre constituent certainement
les preuves tangibles de l'existence d'une forme d'énergie
totalement ignorée du monde des sciences.

Ces machines à énergie libre transforment une certaine forme d'énergie non répertoriée par la science moderne, en énergie mécanique bien tangible. Elles fonctionnent à l'aide d'électricité et produisent plus d'énergie qu'elles n'en consomment. N'en déplaise à quelques physiciens, cela ne viole pas le sacro-saint principe de conservation de l'énergie car la machine ne crée pas quelque chose qui n'existait pas auparavant, mais elle transforme quelque chose que l'on ne sait pas détecter en quelque chose d'utilisable.

Ce type de machine fonctionne sur un principe que le scientifique inventeur génial Nikola Tesla avait énoncé. Pour rependre son analogie : imaginez-vous dans un cirque en contre-bas, entouré de falaises retenant de l'eau en hauteur tout autour de vous. Imaginez maintenant que vous creusiez une fente à un endroit précis d'une falaise en haut. Alors, l'eau s'écoule à grande vitesse du haut de la falaise vers vous au fond du cirque. Imaginez maintenant que vous ayez un moyen de faire retourner l'eau qui s'est écoulée en haut sans que cela ne vous coûte de l'énergie (si vous la chauffez pour l'évaporer ou la transportez, cela vous coûte autant d'énergie [et même plus avec toute l'énergie gaspillée en frottement lors de la descente] que l'énergie que vous avez récupérée lors de la descente de l'eau. Imaginez maintenant que l'eau représente l'énergie du vide (c'est l'énergie qui est récupérée par la machine). La machine crée une faille dans ce haut niveau d'énergie à l'aide d'une certaine forme d'excitation électrique. En retour, l'énergie du vide travaille (comme l'eau qui descend la pente) et produit une énergie sous forme d'une induction magnétique supplémentaire de la bobine de la machine qui provoque un supplément de mouvement mécanique.

Ce faisant, elle rejoint son état d'énergie initial. Bien sûr, cette explication n'a de valeur qu'en tant qu'image et des théories beaucoup plus précises ont été proposées dans un détail technique bien plus complet. Vous pourrez vous référer à une documentation sur un site américain http://www.eskimo.com/~billb/freenrg/fnrg.html

Il existe quelques inventeurs indépendants qui ont construit de telles machines et dont les résultats ont été publiés au grand jour et vérifiés, mais comme la communauté scientifique ne comprend pas les principes théoriques sur lesquels reposent ces inventions, elle en ignore tout simplement l'existence. Ainsi, tout va bien. Et le commun des mortels de se dire : si ça existait, on en aurait entendu parler.

Posons alors la question : qui vous en aurait parlé ? Prenons l'exemple de la machine à énergie libre de Joseph Newman, un inventeur américain professionnel. Sa machine a un rendement de 800%. Il a fait vérifier son invention par le bureau des brevets américains, qui a conclu, après avoir envoyé une équipe d'ingénieurs bardés d'instruments de mesures, que sa machine fonctionne exactement comme il l'annonçait (c'est même cette équipe qui a calculé le rendement de 800%), sans aucune supercherie d'aucune sorte, ni source d'énergie cachée.

Mais, étant donné qu'il n'existe pas de principes physiques reconnus selon lesquels on peut expliquer le fonctionnement de la machine, ce même bureau des brevets l'a informé qu'il ne pouvait donc pas délivrer de brevets. Point final : question réglée.

Imaginez donc de quelle curiosité scientifique ils font preuve ? Devant l'insistance de l'inventeur qui se bat depuis plus de vingt ans pour faire reconnaître son invention, une commission d'études composée de physiciens compétents s'est réunie en présence de Mr Newman, mandatée par les organismes officiels pour désavouer son invention, mais c'est le contraire qui s'est passé.

Les scientifiques étaient tellement intéressés par les résultats de Mr Newman ainsi que par son modèle théorique, que la petite réunion d'une heure qu'ils avaient prévue s'est vue durer de nombreuses heures, et beaucoup voulaient trouver des moyens pour creuser la question. Ces conclusions n'étant pas celles qui avaient été espérées par les instigateurs de la réunion, ils ont démandaté la commission et ont rédigé leur propre conclusion : sans intérêt.

Un physicien (ph. D.) indépendant venu démontrer une supercherie a lui aussi dû s'en remettre à l'évidence de la réalité face à nos hautes idées de ce qu'elle devrait être et s'est rallié à la cause de Mr Newman avec qui il travaille depuis plusieurs années à l'élaboration d'une théorie solide.

Imaginez-vous que cela existe depuis 20 ans : en avez-vous déjà entendu parler ? Non, puisque au contraire tout est fait pour enterrer la question. Aujourd'hui, Mr Newman est parti travailler au Japon avec une équipe d'industriels qui ont l'idée de construire une voiture propulsée par son moteur à énergie libre.

Un autre américain , un physicien (ph. D.) a conçu une machine à énergie libre : Mr Bruce De Palma. Il s'est vu confisquer son invention par les autorités officielles parce qu'il s'en servait pour alimenter toute l'énergie électrique de sa maison gratuitement. Interdiction lui a été faite d'en reconstruire une. Il a dû aller lui aussi travailler avec des Japonais qui travaillent actuellement avec lui à perfectionner un défaut de surchauffe de son moteur à énergie libre.

Dans quelques années peut-être (cela dépendra de la puissance des lobbys énergétiques pétroliers, nucléaires... et de manière générale de tous ceux qu'une énergie à très faible coût empêcherait de s'enrichir, ainsi que de la très grande inertie des milieux scientifiques, due à leur orgueil et leur impossibilité d'admettre leur modestie face aux nombreuses inconnues de l'univers), des engins fonctionnant à l'aide de machines à énergie libre seront sur le marché, mais ce sera alors par la force des choses, et pas grâce à la bonne volonté !


Je préciserais enfin qu'un ancien astronaute américain très intéressé et très conscient de l'extrême utilité de cette nouvelle branche inexplorée par la science tente depuis quelques années de réunir toutes les personnes et les informations en relation avec les systèmes à énergie libre, au niveau international. Il a constitué un centre de connaissance à cet effet. Devant autant de réaction négative, ce n'est qu'ainsi que les choses ont des chances d'avancer. Le proverbe dit : « l'union fait la force ».

Visitez le site : http://membres.lycos.fr/pascuser/





Les travaux de Nikola Tesla sur l'énergie libre (Spiritualité, Nouvel-Age - Energies libres)    -    Auteur : zen - Canada


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