Nikola Tesla dans sa station expérimentale de Colorado Springs
Il y fit construire une station expérimentale surplombée d'un mât métallique de 37 mètres à l'extrémité duquel figure une boule de cuivre de 90 centimètres. Il équipe sa station d'un puissant émetteur amplificateur. Quand il le met en marche, les paratonnerres situés dans un rayon de 30 kilomètres sont continuellement reliés par des éclairs.
En se basant sur la théorie des oscillations mécaniques et de la résonance, on sait que lorsque la fréquence de la force excitante est égale à la fréquence propre du système, l’amplitude du mouvement de l’oscillateur est maximale, ce maximum étant d’autant plus aigu que l’amortissement est faible. Tesla applique ce principe au flux d'électricité produit par son oscillateur géant. Celui-ci se propage dans le système Terre-ionosphère, d'abord en cercles de plus en plus grands, puis en cercles plus petits mais avec une intensité croissante, et convergente en un point du globe directement opposé à Colorado Springs, dans l'océan indien.
Un « Pôle Sud » électrique se crée avec une onde stationnaire proportionnelle à l'émission du « Pôle Nord » du Colorado. La théorie voudrait que l'intensité augmente suivant les flux et les reflux de l'onde.
Mais comme la Terre n'est pas un circuit résonnant parfait, les déperditions font qu'une énergie stabilisée est récupérable à n'importe quel point du globe, et ceci par un simple récepteur radio adapté.
Sur le "Electrical World and Engineer" du 5 mai 1904, Tesla déclarait, au sujet de son essai réussi du 3 juillet 1899 :
« J'ai le premier obtenu la première preuve expérimentale décisive d'une vérité pour le plus grand avancement de l'humanité. (...) Des arcs gros, longs et persistants (éclairs) se formaient presque à intervalles réguliers... aucun doute là-dessus, nous étions en train d'observer des ondes stationnaires. (...) L'énorme signification de ce fait dans la transmission d'énergie par mon système était déjà devenue très claire pour moi [...]. »
Tesla avait découvert un système qui permettait de transmettre des quantités presque illimitées d'énergie électrique n'importe où sur terre avec des pertes négligeables.
Les applications
En 1971, Oleg Jefimenko, un savant de la West Virginia University, annonçait la mise au point du premier moteur alimenté par le champ électrique de la Terre.
Oleg Jefimenko
Il avançait que son moteur pouvait servir à écarter la pénurie d'énergie qui frappait alors l'occident. Cependant les détails de son invention furent vite mis sous silence. On sait que son système faisait appel à un moteur électrostatique pour produire du mouvement et, donc, de l'énergie.
Son premier générateur aurait fonctionné avec un câble soulevé par un ballon qui devait servir à court-circuiter les différences de tension relevées à la surface de la Terre et à une altitude de 500 mètres. Son système produisait environ 75 watts d'énergie continuelle avec comme seule source d'énergie le champ électrique de la Terre.
Ultérieurement, ce système aurait exploité le différentiel des champs magnétiques terrestres non seulement à des altitudes différentes (il mettrait à profit les processus de conductivité de haute altitude et de souterrains nouvellement découverts), mais aussi à différentes latitudes hémisphériques. Ce procédé rendrait l'électricité bon marché n'importe où sur la Terre, sans le problème du transport et des câbles.
Nikola Tesla déclarait :
« Les courants alternatifs, particulièrement ceux de fréquence élevée, traversent avec une facilité étonnante les gaz, même peu raréfiés. Les strates supérieures de l'atmosphère étant raréfiées, les seules difficultés à surmonter pour atteindre une distance de plusieurs kilomètres dans l'espace sont de nature purement mécanique. Il ne fait aucun doute qu'avec les potentiels énormes que l'on peut atteindre en utilisant les hautes fréquences et le procédé d'isolation à l'huile, les décharges lumineuses peuvent traverser de nombreux kilomètres d'air raréfié; grâce à cette énergie de plusieurs centaines de milliers de chevaux-vapeur, les moteurs ou les lampes pourront être actionnés à des distances considérables des sources fixes.(...) Avant longtemps, nos machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l'univers. L'idée n'est pas nouvelle. Nous la trouvons dans le mythe d'Anthée, qui tire de l'énergie de la Terre. A travers tout l'espace se trouve de l'énergie. Cette énergie est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, nos espoirs sont vains; si elle est cinétique - et nous savons qu'elle l'est - les hommes réussiront bientôt à connecter leurs machines aux grands rouages de la nature. »
L’invention d’Oleg Jefimenko n'eut pas de suite publique, tout comme celle de Nikola Tesla qui fut empêché par le banquier J.P. Morgan (1837-1913), lequel coupa les fonds à l'inventeur et fit obstacle à tout nouveau financement.
Il faut savoir que J. Pierpont Morgan était à l'origine de la General Electric Company. Son but était de s'assurer le contrôle de la future électrification de l'Amérique, ce qu'il fit en implantant les systèmes qu'il finançait avant ses concurrents, rendant le prix de tout changement prohibitif.
Mais les travaux de Tesla n'étaient que la partie apparente de l'iceberg. En 1956, la revue Interavia publia l'article intitulé : « Vers la locomotion aérienne... sans contrainte et sans poids ». Cet article expose les possibilités de « l'électrogravitativité ».
(ndlr : pour se rendre compte des possibilités de « l'électrogravitativité » voir notre dossier Lifter dans la rubrique Science Interdite. TOP SECRET n°2. L’énergie libre est-elle la solution pour un lifter libre de toute attache ?…)
Nous nous intéresserons ici seulement à l'extrait qui traite de l'exploitation des champs électromagnétiques :
« Dans le cas des automobiles, des trains, des navires, les difficultés qu'implique la transmission de l'énergie du moteur aux roues ou hélices cesseront tout simplement d'exister. La construction des ponts, des immeubles, etc. ; se trouvera considérablement simplifiée par le recours à l'annihilation induite du poids. D'autres aspects des travaux entrepris suggèrent la possibilité d'une action sur la pousse des végétaux, de nouvelles techniques thérapeutiques, de systèmes de chauffage permanent sans combustible à l'intention des habitations et établissements industriels, de nouvelles sources d'énergie industrielle, de nouvelles méthodes de construction, d'un secteur entièrement nouveau de la chimie.[...] Cette nouvelle science [...] offre dans le domaine des communications des possibilités qui confondent l'imagination. Il existe apparemment dans l'éther une catégorie insoupçonnée d'ondes électriques identiques fondamentalement aux ondes électromagnétiques de la radio. Des ondes électrogravitatives ont été produites et émises à travers des couches concentriques constituées par les matériaux de blindage électromagnétique et électrostatique les plus efficaces, sans aucune perte apparente de puissance. »
Tesla avait déjà découvert un système qui permettait de transmettre des quantités presque illimitées d'énergie électrique n'importe où sur terre avec des pertes négligeables
Si, à l'instar de Tesla, l'on considère la planète comme une sphère de fluide électrique, on peut comprendre comment un circuit résonnant utilisant la Terre comme conducteur pourrait générer de très hautes tensions aux antipodes d'émetteurs à très basses fréquences (TBF) situés sur ou sous terre.
Il est intéressant de constater que le quartier général (d'un coût de 10 milliards de dollars) du North American Air Defense (NORAD) est enfoui à un kilomètre et demi sous le mont Cheyenne. L'antipode de sa station se situerait près d'un petit groupe d'îles dans la partie sud de l'océan indien. Se pourrait-il que les sous-marins électriques ultras secrets des Américains rechargent leurs batteries à plasma dynamique à cet endroit ?
En plein centre de l'Australie, très près du tropique du Capricorne, à précisément 23° 48" Sud sur 133° 43" Est, se situe le centre TBF de l'American Defense Advanced Research Project Agency (DARPA), appelé communément base de Pine Gap.
Cette antenne dans la base de Pine Gap
n’est-elle pas une réminiscence de l’antenne Tesla ?
Cette base est installée sur le puits d'eau le plus profond et le plus droit jamais foré en Australie. Il a une profondeur d'au moins 8 535 mètres. Il pourrait servir d'antenne souterraine pour la diffusion d'électricité à très basse fréquence à son antipode qui se situe très près du tropique du Cancer, au centre du seuil atlantique.
L'émetteur situé au nord de West-Cape, toujours en Australie, près de la Baie d'Exmouth, a, quant à lui, son antipode qui se trouve être au centre du « Triangle des Bermudes »...
West-Cape
Côté ancien bloc de l’est, en Lettonie, l'émetteur TBF de Riga, sur la côte Baltique, émet depuis octobre 1976 un signal d'une extrême largeur de bande qui dure de dix secondes à quelque fois trois minutes. Est-ce simplement un dispositif de brouillage de fréquences ? Presque à la même époque, selon un rapport d'Edward Campbell du London Evening News en juin 1978, « les soviétiques avaient fait la chasse dans tout le pays à toute personne ayant connu ou rencontré Tesla ».
Il est intéressant de consulter la « Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles », signée par les pays membres de l'ONU à Genève et entrant en vigueur le 5 octobre 1978 et d'y relever :
« Reconnaissant que les progrès de la science et de la technique peuvent ouvrir de nouvelles possibilités en ce qui concerne la modification de l'environnement, (...) Conscients du fait que l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins pacifiques pourrait améliorer les relations entre l'homme et la nature et contribuer à protéger et à améliorer l'environnement pour le bien des générations actuelles et à venir ; Reconnaissant, toutefois, que l'utilisation de ces techniques à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles pourrait avoir des effets extrêmement préjudiciables au bien-être de l'homme ; Désireux d'interdire efficacement l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, afin d'éliminer les dangers que cette utilisation présente pour l'humanité, et affirmant leur volonté d’œuvrer à la réalisation de cet objectif,(...)
Article premier
1. Chaque Etat partie à la présente Convention s'engage à ne pas utiliser à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de causer des destructions, des dommages ou des préjudices à tout autre Etat partie. (...)
Article II
Aux fins de l'article premier, l'expression « techniques de modification de l'environnement » désigne toute technique ayant pour objet de modifier - grâce à une manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou l'espace extra-atmosphérique. (...) »
La maîtrise de la nature
C'est en 1892 que Nikola Tesla, un soir d'orage, constata un phénomène naturel qui influença ses recherches ultérieures :
« Le ciel se chargeait de nuages noirs, mais la pluie ne tombait toujours pas, quand, tout à coup, il y eut un éclair, et tout de suite après, le déluge.(...) Manifestement les deux phénomènes avaient un lien étroit de cause à effet. Après quelque réflexion je conclus que l'énergie électrique contenue dans la précipitation d'eau était insignifiante, et que l'éclair jouait le même rôle de déclenchement qu'un commutateur.(...) Si l'on parvenait à produire des orages électriques de l'intensité voulue, on pourrait modifier la planète entière et les conditions de vie à sa surface.(...) S'il était en notre pouvoir de le bouleverser (le cycle de l'eau) où et quand c'est nécessaire, on pourrait contrôler à volonté cet élément vital qu'est l'eau. »
Les ondes stationnaires participent à cette modification climatique. Elles sont créées par l'émission de puissants champs magnétiques à très basse fréquence, champs qui sont dirigés vers le noyau de la terre. L'énergie tellurique de ce dernier alimente cette onde et on obtient une triode qui joue le rôle d'amplificateur, c'est ce que Tesla appelle son « émetteur amplifié ». Suivant la fréquence et la direction de cette onde, celle-ci peut soit se décharger dans le manteau terrestre, provoquant un tremblement de terre ordinaire, soit ioniser l'atmosphère et donc manipuler le climat, brouiller les signaux hertziens et même influer sur le comportement des êtres vivants.
Zbigniew Brzezinski, ministre des affaires étrangères de Ronald Reagan et créateur, en 1972, avec David Rockfeller, de la Commission trilatérale déclare ceci :
« Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l'espace et du climat a remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs. »
Un des problèmes posés par ces ondes stationnaires est qu'en interférant entre elles provoquent un chaos climatique. Cela serait arrivé le 4 février 1983, jour où les ondes ELF (Emited Low Fréquency, onde de très basse fréquence) envoyées par les américains seraient entrées en contact avec des ondes stationnaires envoyées par les soviétiques.
El Niño, courant chaud parcourant le pacifique et contribuant à équilibrer les structures météorologiques une fois tous les dix ans de façon naturelle en régulant les alizés de l'océan pacifique, a été beaucoup plus violent cette année-là.
On peut lire dans le "Washington Post" du 6 mars 1983 :
« Pour des raisons inconnues, les alizés se sont mis à souffler dans la direction opposée, ce qui a provoqué une sécheresse en Australie et des pluies diluviennes au Pérou. Ils ont également provoqué de fortes pluies, des tornades, des coulées de boue dans le sud de la Californie. (...) El Niño de 1983 est le résultat d'énormes ondes stationnaires émises par les Russes. Leurs propriétés permettent de verrouiller les mécanismes météorologiques en créant un bouchon, ce qui empêche les alizés de suivre leur trajectoire habituelle. »
Cette année-là, de nombreux pays dans le monde présentent des dégâts importants alors que l'Union Soviétique a connu un des hivers les plus doux du siècle. Cette stratégie ferait partie d'un plan amorcé par Lénine et qui avait pour but de réchauffer la Sibérie afin d'y développer des cultures. Le problème est que provoquer un type de temps dans un endroit n'est possible qu'en diminuant son potentiel dans un autre endroit.
(Ndlr au mois d’octobre 2000, je tombais par hasard sur un site non référencé qui a malheureusement disparu rapidement, et qui titrait ainsi :
Que s’est-il passé le 10 octobre 2000 ?
Suivait alors une animation satellite absolument extraordinaire. Le forum du site, ainsi que différentes adresses permettaient de vérifier par nous même l’étrange phénomène survenu ce jour là à 12 heures GMT précise dans l’hémisphère nord, provoquant également une grande ombre sombre sur le continent nord américain. L’événement interféra sur de nombreux satellites. S’agissait-il d’une expérience basée sur la technologie Tesla effectuée depuis le pôle nord où l’on connaît depuis quelques années déjà l’existence du mystérieux projet Haarp ?)
Toujours dans le "Washington Post", mais cette fois du 15 mars 1983 : « Un rapport de la National Science Foundation décrit la mort ou la fuite des 17 millions d'oiseaux que compte l'archipel des Christmas Islands ». Des millions de petits crabes rouges sont apparus sur les côtes sud de la Californie, les migrations des poissons sont irrégulières, les coraux du Pacifique, du Panama, des îles Galapagos, de Colombie, des îles de Polynésien et de l'ouest des Philippines meurent à un rythme plus élevé qu'à l'habitude.
Pour tous ces phénomènes on cite El Niño, ou ce qui l'a provoqué, comme possible responsable. Ce qui est certain c'est que, comme le cite l'étude menée par Sheppard et Einsenbud, tous deux membres de l'Institut de l'Environnement du New York Universit Medical Center :
« (...) il existe une influence réciproque entre un champ magnétique ELF et l'équilibre ions-calcium. La plupart des 2500 espèces connues de coraux (...) produisent du carbonate de calcium. Il est probable que cette production de calcium a été perturbée par les ondes stationnaires ELF.(...) Des champs électriques ou magnétiques de faible puissance sont capables de faire apparaître des changements neurophysiologiques et des troubles du comportement. »
La commission pour l'environnement rend les émissions de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et l'effet de serre qui en découle comme principales responsables des catastrophes climatiques qui s'intensifient, et de la future mais inéluctable immersion des zones côtières. Seulement ces changements climatiques sont apparus brutalement alors que l'homme brûle de façon croissante mais quasi régulière toute sorte de matériaux depuis la préhistoire. En fait, les causes sont peut-être tout autres, comme nous venons de le voir. Elles sont peut-être le résultat d'une lutte visant non seulement à tourmenter des pays concurrents ou ennemis, mais aussi à améliorer les conditions climatiques de son propre pays.
Cette tourmente climatique qui a forcément des effets sur l'économie peut aussi en avoir sur le comportement des populations, indirectement et directement... c'est la fameuse guerre psychotronique.
Les influences Védiques
« La première chose dont on se rend compte au sujet de l'éther est sa continuité absolue. Un poisson de mer en eau profonde n'a probablement pas de moyens d'appréhender l'existence de l’eau ; il est immergé uniformément dedans : et c'est notre condition vis-à-vis de l'éther. »
Sir Oliver Lodge, Éther et Réalité.
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