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Applications des travaux de TESLA par les militaires : guerre climatique, tremblements de terre, tsu

Applications des travaux de TESLA par les militaires : guerre climatique, tremblements de terre, tsunami...


Nous avons traduit la totalité de ce document qui nous avait été transmis en 1978 par une source américaine, document que nous devions garder confidentiel. Il lui manquait trois pages probablement celles où devaient figurer des photos.

En le lisant il faut bien garder à l’esprit que cette analyse a été faite en 1978. A cette époque les armes psychotroniques * servant à manipuler les climats et les personnes étaient très peu connues.

Nous n’avons rien changé à ce texte, même si la partie concernant Tesla est bien connue des lecteurs, compte tenu de tout ce qui a déjà été publié depuis et se trouve en partie dans notre site de base ( http://www.quanthomme.org/)

En 1978 aucun livre en français sur Tesla n’était sorti, quelques articles avaient été écrits sur des revues à tirage très limité. Le premier livre en français sur Tesla est celui de Margaret Cheney paru aux Editions Belin en 1987 dont le texte est encadré d’une préface et d’une postface inutiles et réductrices. A cette époque, les laboratoires de recherche militaires avaient bien compris, eux, le parti qu’ils pouvaient tirer des recherches de Tesla .

Pendant longtemps, le nom même de Tesla a été comme censuré dans les dictionnaires, ou alors, quand on en parle, Tesla est pratiquement dépouillé de toutes ses inventions.

Un exemple : Marconi qui lui avait pris son invention de la radio et qui avait été condamné dans un procès retentissant aux USA, est toujours désigné comme étant l’inventeur de la radio même s’il a reconnu qu’il s’était servi des inventions de Tesla pour déposer ses brevets.

Tesla devait donc disparaître de la conscience collective ? Ce grand savant avait eu l’audace de vouloir nous débarrasser des trusts producteurs d’énergie et malheureusement (avec le recul) la base même de ses inventions a pu servir au complexe militaro-industriel.

Là où Tesla voyait la possibilité de mettre en place un système anti guerre par la protection des villes, l’armée a vu une technologie offensive redoutable pour attaquer d’autres nations.

Quand, en 1986, tous les médias annoncèrent la catastrophe de Tchernobyl, nous avons bondi sur un Atlas et la position de Gomel à proximité de Tchernobyl nous mit la puce à l’oreille. Gomel pouvait donc bien être alimenté par Tchernobyl, ce qui explique peut-être que les autres réacteurs aient été laissés en fonctionnement. **

Ce document qui s’appuie sur une argumentation basée sur les travaux de Tesla montre bien l’importance qu’ils avaient aux yeux des rédacteurs de ce rapport, destiné, rappelons-le, à sensibiliser des investisseurs américains afin de recueillir des fonds pour pousser plus loin la recherche sur ces armes de destruction massive et à combler ainsi le retard que les Américains avaient sur les Russes dans ce domaine.

Tesla, Homme de Paix transformé en homme de guerre, Tesla, secret militaire, à chacun de juger…

Traduction B. Soarès ''Quant’Homme''
Première page du document (la qualité graphique est celle de la copie reçue)



LES APPLICATIONS DE LA TECHNOLOGIE DE TESLA DANS LE MONDE D’AUJOURDHUI


La transmission d’énergie sans câbles ni fils



Selon les règlements des bourses de Philadelphie, Montreal et Midwest, il est exigé qu’un rapport de recherche d’investissements soit approuvé par un directeur de la firme. Cette exigence a été observée.



27 janvier 1978

INTRODUCTION

Il ne peut y avoir aucun paramètre dans la recherche d’investissement parce qu’une société humaine évolue constamment.

La poursuite de la recherche d’investissements consiste à essayer d’identifier le changement avant que son impact ne soit largement compris.

Ceci est un rapport inhabituel, car le sujet est tellement étranger à la plupart des actionnaires, des banquiers et des analystes, mais toutefois, les implications seront si grandes sur le travail qu’ils essaient de faire et sur les responsabilités qu’ils ont, qu’il est nécessaire qu’ils acquièrent maintenant une connaissance de base sur la manière dont un cerveau humain peut être contrôlé de l’extérieur par des ondes électromagnétiques (EM).

Premièrement, il est nécessaire d’avoir quelques connaissances sur Nicola Tesla.

Deuxièmement, comprendre ce que l’Union Soviétique est en train de faire dans le domaine de la production d’ondes EM de longue durée, à basse fréquence, et haute énergie ; l’impact que celles-ci paraissent avoir sur les conditions météorologiques, et puis, finalement, les applications de cette technologie par les militaires.

Ce rapport n’est en aucune façon exhaustif, et il a seulement l’intention de créer une prise de conscience.



NIKOLA TESLA



Nikola Tesla est né en Yougoslavie en 1856. Son père était un prêtre orthodoxe, et sa mère bien que sans instruction, était très intelligente. Tesla était un rêveur. Il était un peu poète mais en vieillissant il a acquis de fortes qualités d’autodiscipline.

Il suivit les cours de l’Université technique de Graz, en Autriche et puis en 1882, il vint travailler à Paris pour la compagnie Continental Edison. Pendant son temps libre, il construisit le premier moteur à induction. Il arriva aux Etats Unis en 1884 avec 4 cents en poche, quelques uns de ses poèmes et des calculs pour un engin volant.

Il trouva un emploi auprès de Thomas Edison, mais c’était deux inventeurs très différents.

En 1885, George Westinghouse, chef de la Compagnie électrique Westinghouse de Pittsburg acheta les droits des brevets de Tesla concernant le système polyphasé sur les dynamos, les transformateurs, et moteurs à courant alternatif et ceci déclencha la grande lutte entre les systèmes de courant continu (CC) d’Edison, et l’approche Tesla Westinghouse en courant alternatif (CA).

Westinghouse finalement gagna. La bobine Tesla inventée en 1891, est largement utilisée aujourd’hui dans les postes de radio et de télévision, et d’autres équipements électroniques.

De 1899 à 1900, Tesla résidait à Colorado Springs où il fit une de ses plus importantes découvertes : il s’agissait des ondes stationnaires terrestres.

Dans cette découverte, il démontra que la terre pouvait être utilisée comme un conducteur et pourrait être aussi sensible qu’un diapason aux vibrations électriques d’une certaine fréquence. Il alluma aussi 200 lampes sans fil à une distance de 40kms et créa artificiellement des éclairs produisant des flashs de 4m.

Il était très futuriste dans ses prophéties et comme Darwin à son époque il a été ridiculisé pour cela. En 1900 il écrivait :

''Dans un proche futur, nous pourrons voir une grande quantité de nouveaux usages de l’électricité. Nous pourrons être capables de disperser des brouillards par la force électrique et par des rayons puissants et pénétrants…des installations sans fils seront mises en place dans le but d’illuminer les océans…la transmission de l’image par les méthodes télégraphiques ordinaires sera bientôt accomplie…une autre nouveauté valable encore sera une machine à écrire électrique fonctionnant avec la voix humaine…nous aurons des destructeurs de fumée, des absorbeurs de poussière, des stérilisateurs d’eau, d’air, de nourriture et de vêtements…il deviendra bientôt impossible de contracter des germes de maladie et la population de la campagne viendra à la ville pour se reposer et bien se porter. Si nous usons du combustible pour obtenir notre énergie, nous vivons sur notre capital et nous allons l‘épuiser rapidement. Cette méthode est barbare, c’est un gaspillage gratuit et elle devra être arrêtée dans l’intérêt des générations qui viennent.

La conclusion inévitable est que l’énergie hydraulique est, de loin, notre ressource la plus valable.

C’est sur elle que l’humanité doit fonder ses espoirs pour le futur. Avec son développement complet et un système parfait de transmission sans fil de l’énergie à n’importe quelle distance, l’homme sera capable de résoudre tous les problèmes de l’existence matérielle. La distance, qui est le principal obstacle au progrès humain sera totalement annulée en pensée, parole et action. L’humanité sera unie, les guerres seront impossibles et la paix règnera en maître. ''

Tesla pensait que l’énergie électrique inépuisable de l’atmosphère terrestre pourrait être directement amenée au consommateur, sans fil ou système de transmission complexe.

En langage courant, son approche a été récemment décrite par Andrija Puharich (docteur en médecine et en droit) dans un article intitulé '' Les principes physiques de l’émetteur amplificateur de Tesla, et la transmission de l’énergie électrique sans fil. ''



''Le système de Tesla peut être décrit en langage simple : entre la surface de la terre et la plus haute atmosphère existe un potentiel électrique de quelque 2 milliards de volts. Ce vaste réservoir d’énergie inépuisable nous montre la puissance de son énergie disponible fugitivement par les cent coups de foudre qui frappent la terre chaque seconde.

Tesla a inventé un système pour capter l’électricité de ce vaste réservoir d’énergie. Il montra qu’il était possible de faire osciller ce réservoir d’électricité essentiellement statique, d’une manière à le rendre disponible pour des usages pratiques de l’énergie. C’est ce que l’on fait en utilisant l’énergie électrique provenant d’une source existante d’énergie hydroélectrique pour mettre en oscillation le réservoir électrique atmosphère-terre à une fréquence spécifique que nous appellerons fréquence Tesla.

L’atmosphère électrique de la terre oscillant à la fréquence Tesla, peut être captée à n’importe quel endroit de la terre grâce à un récepteur d’énergie accordé.

Tesla démontra cet effet en transportant à la main une ampoule accordée qui peut être allumée sans aucun fil de connexion.

La même technologie peut alimenter en énergie des autos, des bateaux, des avions, des maisons, des usines et des systèmes de communication.

Le système de Tesla est propre, car il s’approvisionne dans la réserve naturelle d’électricité atmosphérique naturelle qui est activée par l’énergie hydroélectrique.

Tesla travailla aussi à fond sur un système économiquement faisable d’hydrolyse dans les centrales hydroélectriques, pour produire de l’hydrogène et de l’oxygène. L’hydrogène peut être utilisé comme combustible en combinaison avec l’oxygène atmosphérique ou dans une pile à combustible. Les deux méthodes fournissent une énergie propre. Tesla a breveté plusieurs appareils collecteurs d’énergie solaire qui fournissent de l’électricité.

Ces sources d’énergie, plus la transmission sans fil constituent les quatre piliers du système d’énergie mondiale de Tesla.

Ces sources sont non seulement propres, mais renouvelables, et non épuisables. ''



Tesla aimait beaucoup la solitude. Il vivait seul. Pendant de nombreuses années, il a résidé au Waldorf Astoria, à New York et dînait seul en grande tenue à une table spécialement dressée pour lui, à l’écart. Dans ses installations expérimentales des Montagnes Rocheuses, il a découvert beaucoup de nouveaux principes d’énergie et de transmission, dont la plupart l’ont suivi dans la tombe car il avait peu de collaborateurs et gardait ses secrets.

Son cerveau avait tendance à fonctionner de façon tridimensionnelle et il voyait les choses très clairement : c’était comme une vision. Il avait des pouvoirs suprasensoriels comme il le révèle lui-même dans ses mémoires :

'' En 1899, quand j’étais âgé de quarante ans passés et que je poursuivais mes expériences dans le Colorado, je pouvais entendre très distinctement des coups de tonnerre à une distance de 880km. La limite d’audition de mes jeunes assistants dépassait rarement plus de 240km. Mon oreille était donc ainsi 3 fois plus sensible, encore que j’étais à ce moment-là, sourd comme une pierre par rapport à l’acuité de mon ouïe quand j’étais sous tension nerveuse. ''

C’est Tesla qui a inventé un récepteur super sensible pour détecter les orages électriques, et a produit le premier dispositif fait de main d’homme pour détecter les signaux radio en provenance du cosmos. Et cela 30 ans avant les laboratoires Bell.

Tesla est mort dans la misère. En 1912, il avait été choisi pour partager le prix Nobel de physique avec Edison, mais il l’a refusé. Tesla soutenait qu’il y avait une distinction précise entre les inventeurs d’appareils utiles et les découvreurs de nouveaux principes, lui-même considérant qu'il était un découvreur et qu'Edison était inventeur.

Quand il mourut, sa succession comportait quelque 100.000 documents écrits en 5 langues, et elle comprenait 13718 pages de matière biographique, 75000 pages de lettres à 6900 correspondants, 34552 pages d’articles scientifiques, de notes, de croquis, d’articles et de brevets ; tous ses diplômes, ses distinctions honorifiques scientifiques et des coupures de journaux.

Il y avait 5297 pages de dessins techniques et de plans et plus de 1000 photos. Toutes ces choses se trouvent maintenant au musée Nikola Tesla dans la rue de la Brigade Prolétarienne à Belgrade en Yougoslavie.
Dans un de ses articles, Tesla écrivait :

'' Bien que cela semble impossible, cette planète, en dépit de sa grande étendue se comporte comme un conducteur de dimension limitée. La formidable importance de ce fait pour la transmission d’énergie dans mon système était devenue tout à fait claire. Non seulement il était possible d’envoyer des messages télégraphiques à n’importe quelle distance sans fil, comme je l’avais admis il y a longtemps, mais aussi d’imprimer sur le globe entier la faible modulation de la voix humaine.

Plus importante encore est la possibilité de transmettre l’énergie dans des quantités illimitées à presque toute distance terrestre, sans perte. ''

C’était pour prouver cette idée que Tesla alluma une série de 200 ampoules à filament de carbone consommant environ 10kW, à 41km de la station expérimentale, sans aucune connexion entre elles, c’est quelque chose qui n’a jamais été renouvelé depuis.



CE QUE L’URSS EST EN TRAIN DE FAIRE DANS LE DOMAINE DES ONDES STATIONNAIRES ELECTROMAGNETIQUES, PULSEES, A BASSE FREQUENCE ET A HAUTE ENERGIE



Le 14 octobre 1976, les communications radio sur toute la planète ont été interrompues par des ondes radio puissantes émanant d’URSS.

De nombreux centres d’écoute officiels répartis dans le monde entier enregistrèrent à cette occasion des détails caractéristiques. Plus tard, ces signaux réapparurent, quelquefois à très basse fréquence ou à très haute fréquence et à des intervalles et durées irréguliers.

Des protestations officielles ont été adressées à la Russie par le Canada, l’Angleterre, les Etats-Unis et les pays Scandinaves. La Russie s’excusa pour l’interférence occasionnée, dit-elle, par les expériences qu’elle menait.

Les personnels des centres de radiocommunications, aussi bien amateurs que professionnels, interceptèrent ces émissions essayant d’identifier leur nature, leur origine et leur but.

Les Services de la Défense et du Renseignement des USA étaient particulièrement concernés et en décembre 1976, ils avaient la conviction que les émissions provenaient de puissants ''signaux radar au-dessus de l’horizon'' russes.

Pendant un certain temps, ceci devint l’explication officielle et c’était très plausible.

Mais, ensuite, la nature des radiations changea de façon spectaculaire. De très grandes ondes EM stationnaires étaient formées sur des centaines de km de long, provenant du sous-sol et montant droit jusqu’à la ionosphère. Ces ondes stationnaires avaient une périodicité variant de 4 pulsations/seconde à 26/s.

Evidemment cela ne pouvait pas être des « signaux radar au dessus de l’horizon », tout le monde devait revoir ses idées.

Pendant environ un an, ces ondes EM apparurent sporadiquement sans davantage d’explication de la part des Russes, seulement un promesse de réduire leurs expériences et éventuellement de tout arrêter.

D’innombrables explications ont été avancées côté Ouest mais le seul progrès substantiel a été de déterminer que les radiations EM provenaient d’une source près de Riga en Lettonie.

L’émetteur à Gomel ** près de Minsk fut seulement adjoint à l’opération quand les choses commencèrent à devenir incontrôlables au printemps de cette année.

Actuellement la compréhension de ce phénomène (acceptée par un grand nombre de scientifique, de chercheurs et analystes professionnels, mais pas par tous et certainement pas par la majorité des hommes politiques et autres profanes influents) relie un certain nombre d’événements apparemment disparates et indépendants.

Un scientifique soviétique au Canada, au cours d’une visite d’échange officielle a dit qu’il connaissait, en Russie, quelques personnes maintenant très âgées qui avaient connu Tesla dans leur jeunesse.

Apparemment, quelques temps avant, ces personnes avaient été contactées par des scientifiques russes qui tentaient de tirer d’elles toute l’information dont elles pourraient se rappeler concernant les premières expériences de Tesla.

Pendant qu’il travaillait au Québec, ce savant russe et un certain nombre d’autres personnes inconnues, comprenant des fonctionnaires canadiens, rendirent très souvent visite à Arthur Mattews (le dernier assistant survivant connu de Tesla) et tous désiraient des détails sur l’installation d’origine de Tesla.

Le délégué soviétique indiqua que la reproduction et le développement du travail primitif de Tesla était en train d’être entrepris en URSS. Après que les Russes aient produit leurs ondes stationnaires EM à basse fréquence, pulsées, à très haute puissance, des rapports météorologiques arrivant au Centre National de Recherche Atmosphérique de Boulder (Colorado) montrèrent qu’un mécanisme de blocage était en effet situé le long de la côte Ouest de l’Amérique du Nord. Un autre était localisé sur la côte Est et un troisième en Europe, allant du Nord au Sud, suivant la frontière entre Pologne et Russie, du haut de la Finlande vers le bas de la Roumanie.

Ces systèmes bloquants se produisent quelquefois naturellement, mais ils ne durent jamais longtemps. Ces trois systèmes de blocage durèrent pendant un temps inhabituellement long, vraiment trop long pour qu'on les pense issus de causes naturelles, et en même temps on n’avait aucune explication rationnelle ou autre.

Simultanément avec ces blocages météorologiques, des ondes stationnaires EM de très grande ampleur étaient détectées et coïncidaient géographiquement avec eux.

Ces ondes contenaient un taux énorme d’excitation électrique, assez, selon certains experts pour dévier les alizés normaux. Pendant leur durée il y avait un temps anormalement froid aux USA et au Canada, avec de la neige à Miami et des inondations, et un temps bouleversé en Europe de l’Ouest. Une fois les ondes dissipées, il y eut une mauvaise sécheresse dans la partie Ouest des USA.

Les forces militaires des USA dirigées par le Pentagone, utilisent des satellites espions pour contrôler les activités militaires russes. Parmi beaucoup d’autres choses, ils contrôlent l’emplacement des sous-marins soviétiques tout autour du globe. Ceci se fait en détectant une radiation à très basse fréquence produite par les propulseurs des sous-marins lorsqu’ils tournent. Pendant un certain laps de temps les signaux reçus à ce sujet par les satellites espions ont été interrompus par quelques signaux étranges que les chefs de la Défense étaient incapables d’identifier jusqu’à ce qu’on leur parle de l’existence de ces ondes à très basse fréquence que les Russes étaient en train de produire. Ils vérifièrent immédiatement et trouvèrent que les signaux qu’ils recevaient provenaient en effet de cette source.

En 1976 une publicité considérable était donnée à un rapport parlant du fait que les Russes avaient réussi à pointer un laser sur quelques satellites espions américains et les avaient aveuglés. Ces rapports ont tout d’abord été démentis par le Ministère de la Défense.

Plus tard, le Pentagone reconnaissait que les satellites avaient été aveuglés mais incriminait l’existence de flamboiements inhabituels provenant de pipe-lines de gaz disjoints situés sur le territoire russe. C’était un peu tiré par les cheveux. Dans les exposés les plus récents, le secrétaire de la Défense Harold Brown a admis que 2 satellites avaient été détruits par les Russes au moyen d’une technologie de rayonnement électronique. Des sources provenant des Service secrets scandinaves affirment que plusieurs satellites ont été détruits mais on ne peut pas le confirmer.

Pour chaque objet physique dans l’univers il existe une fréquence particulière, qui par une vibration mécanique sera mise en résonance et l’énergie communiquée à chaque cycle s’accumulera et l’amplitude de la vibration augmentera jusqu’à ce que l’objet casse ou éclate.

Il arrive ainsi que les fréquences de résonance pour les très grands navires pétroliers s’étendent dans la bande de fréquences utilisées par les Russes pour créer ces ondes stationnaires géantes. Des experts des deux côtés du rideau de fer, sont maintenant convaincus que ces ondes peuvent provoquer la destruction de ces grands pétroliers s’ils sont pris dans une zone où ces ondes sont actives.

Plus précisément, des recherches discrètes sont en cours pour d’essayer de déterminer s’il est vrai que de récentes mésaventures de ce genre ont été ainsi causées.

Les travaux de Nikola Tesla n’ont pas, non plus, été ignorés aux USA. Le Pentagone a été intéressé par une partie du phénomène que Tesla décrivait, et avait donné son approbation à des travaux de développement et d’expérimentation. Un de ceux-ci est un contrat avec Golka Associates *** de Brockton (Massachusetts)

Cette compagnie avait été fondée par Robert A. Golka, un homme qui avait été fortement intéressé par les théories et les travaux de Nikola Tesla et les avait étudiés à fond. Selon ce contrat, dans un hangar de l’Air Force à Wandover (Utah), Robert Golka a construit l’équivalent moderne de l’appareil de Tesla.

Son but n’a pas été de reproduire exactement le matériel de Tesla, et ses expériences, mais de les interpréter en termes de connaissances et de matériaux modernes, croyant de cette façon qu’un saut quantique de progrès peut être fait à un niveau un peu plus poussé que ce que Tesla avait réussi à faire.

Ces résultats ont été divulgués, mais, disent les sceptiques, sont peu vraisemblables pour découvrir les lois fondamentales que seul Tesla connaissait et a emporté avec lui dans la tombe.



L’IMPACT QUE LES ONDES E.M. PARAISSENT AVOIR SUR LES CONDITIONS METEOROLOGIQUES



Le 21 novembre 1977, une importante onde stationnaire EM a été observée sur la côte Pacifique de l’Amérique, onde s’étendant de l’Alaska au Chili. Des photos prises par satellite, au même moment, montrent des amoncellements de nuages sur cette partie d’océan, s’étendant au large sur la totalité de cette distance, et effleurant seulement la terre en Californie.

Les photos ont montré une ligne noire, comme tracée à la règle au centre de la masse nuageuse. Une observation rapprochée et des mesures montrèrent que c’était une éclaircie dans les nuages, large de 1600km et longue de 320km.

C’est un phénomène qui n’a pas d’équivalent dans des enregistrements passés. Il n’y avait aucune explication connue.

Quoique aucune prévision ou loi scientifique n’existe pour un tel phénomène, une corrélation rétrospective de l’observation avec la théorie montre que l’apparition d’une telle éclaircie dans un amoncellement de nuages est en accord avec la théorie des tachyons tournoyants. Théorie qui a été avancée pour expliquer quelques uns des résultats obtenus par Tesla. (Tesla précisait qu’il y avait un minimum de 100 millions de volts pour son émetteur amplificateur. Un tel potentiel communique une vitesse relativiste aux électrons isolés et par les interactions complexes de plusieurs champs de force crée des paires de particules électron, – positron les tachyons élusifs.) Quand les électrons sont détachés d’un atome, l’énergie qui primitivement les liait au noyau est libérée en tant qu’énergie excédentaire, généralement sous forme de photons.

Les ondes stationnaires avec lesquelles la masse nuageuse sur la côte Pacifique étaient associées durèrent tout le mois de décembre et dans l’année suivante.

Elles paraissaient être une obstruction à la circulation normale des conditions météorologiques, de l’Est à l’Ouest au moins au-dessus de l’Amérique du Nord.

Sur le côté Pacifique du blocage, le temps avait été inhabituellement sec pendant que l’intérieur des terres subissait des précipitations record. Avec la circulation normale de l’atmosphère bloquée, le tourbillon circumpolaire a erré plus loin au sud qu’il n’est normal à cette époque de l’année, et semble être en train de contrôler le temps en Amérique du Nord.

En novembre et Décembre, et fréquemment en janvier, cette masse d’air continue à descendre sur la totalité du continent à l’Est et au milieu, provoquant plus de pluie et de temps froid qu’il n’est normal à cette période de l’année.

On n’a pas pu prouver de relation de cause à effet entre ces deux événements simultanés. Ces conditions climatiques, bien que rigoureuses ne sont pas des records.

Le 21 novembre 1977, le jet stream Nord-Américain (courants d’air stratosphériques, très rapides, de flux laminaire horizontal) changea de place de manière inhabituelle et imprévisible. Cela se traduisit par une masse d’air provenant de l’océan atlantique, envahissant la moitié Est du Canada et des USA.

Il y eut une série d’explosions mystérieuses en haute altitude, le long de la côte atlantique des USA. Deux se produisirent le 2 décembre, cinq le 15 décembre, deux le 20 décembre et une le 22 décembre.

Dans quelques cas, elles étaient accompagnées d’éclairs de lumière éclatante mais il y a quelques incertitudes dans les observations, à savoir si les éclairs lumineux coïncidaient bien avec les sons entendus.

Le bureau Science et technologie du gouvernement des Etats-Unis, s’intéressa à la cause et à la nature de ces explosions, en collaboration avec le Pentagone, recueillant le maximum de renseignements auprès de toutes les agences gouvernementales concernées, pour savoir si elles en étaient responsables. Pas une ne pouvait donner d’explication et toutes nièrent leur responsabilité.

Le Dr William Donn, scientifique en acoustique à l’Université de Columbia a dit que les explosions ne ressemblent à rien de connu.

Le 27 décembre, le Président Carter exigea un rapport complet. Il n’y a pas de preuve pour relier ces explosions aux expériences russes sur les radiations EM, mais il y a eu quelques spéculations sur le fait qu’elles peuvent être un sous-produit imprévu et accidentel des essais russes pour enlever une onde stationnaire sur la côte atlantique, semblable à celle du côté Pacifique.

Apparemment, de telles explosions ne seraient pas incompatibles avec la théorie des tachyons et, en particulier puisque l’énergie en excès émise dans la formation des paires électron-positron apparaît sous forme de photons, ce qui peut justifier les observations d’éclairs.

En ce moment, cette explication est extrêmement mince puisqu’il n’y a aucune preuve la confirmant, on admet que la formation des paires électron-positron se produit à la source de l’énergie en présence d’un potentiel électrique de 100 millions de volts. C’est une situation dans laquelle on doit garder l’esprit ouvert particulièrement du fait que les mystérieuses explosions auxquelles il est fait référence ici ne sont pas nouvelles. Il y a des souvenirs dignes de foi d’explosions s’étant produites à des intervalles réguliers quelque part aux USA dans les 200 dernières années.

Ce qui suit est un extrait d’un rapport du New York Times daté du 23 décembre 1977.

''Trois semaines de mystérieuses explosions le long de la côte Est ont amené les scientifiques à explorer un certain nombre d’explications mais tous semblent être d’accord sur le fait que les explosions sont fortes et dans l’atmosphère, ayant leur origine à des dizaines de kilomètres au large.

Les dernières ont été entendues vendredi matin en Caroline, et dans la nuit de mercredi sur la côte du New Jersey.

Le Pentagone, en fait, a nié toute connaissance des explosions, hormis celles des reportages de la presse et a dit qu’on ne pouvait pas les expliquer.

Les micro barographes du Dr Donn enregistrent de microscopiques variations de la pression barométrique telle que celle produite par des explosions nucléaires éloignées. Le modèle ou signature de ces explosions au large ne ressemble pas du tout à de telles explosions, dit-il vendredi, dans une interview téléphonique.

Il est clair que les événements se situaient haut dans l’atmosphère. Ils n’étaient pas assez proches de la surface de l’océan pour produire des ondes sismiques à travers la mer et à travers la croûte terrestre.

Les stations de contrôle sismique de Caroline du Nord et de Nouvelle Angleterre enregistrèrent les faits mais seulement selon les caractéristiques des temps de propagation de l’atmosphère. C'est-à-dire qu’ils répondaient à un effet des ondes de pression atmosphérique sur la terre dans la proximité immédiate de chaque station.

Sur les 25 stations évoquées ci-dessus, et sous l’autorité de l’observatoire de l’Ouest du Collège de Boston, 6 dans le sud de la Nouvelle Angleterre ont ressenti les explosions.

Dans chaque cas, selon le Dr Edward Chiburis de cet observatoire, le premier enregistrement a été fait par une station près de Danbury dans le Connecticut, une des stations la plus proche de la zone source au large de la côte du Sud Jersey.

Quelques cas ont été observés même en juillet dernier. D’une manière précise, ce ne sont pas des phénomènes naturels, dit-il vendredi. Seulement il ne peut imaginer aucune autre explication que des explosions sonores. ''

Des capteurs installés en Californie pour mesurer les variations à basse fréquence et à bas niveau dans le champ magnétique terrestre, enregistrèrent quelques changements très locaux dans ce champ et qui coïncidaient avec la constatation de la présence d’ondes stationnaires au large de la côte Pacifique. Cette anomalie paraît être très localisée et avec la tolérance d’erreur de mesure de l’équipement utilisé, elle a été estimée se situer dans une zone de 64km de diamètre. Les mesures ne peuvent pas être vérifiées indépendamment ce qui signifie que les résultats rapportés doivent être traités avec quelque prudence.

Cependant il est intéressant d’observer qu’il y a une anomalie de la gravité bien connue, très localisée à cet endroit de Palmdale en Californie (ndlr: ville voisine de la base militaire Edwards) .

On n'a pas vraiment pu déterminer s'il y a ou non une relation entre les deux phénomènes, encore une fois, les observations magnétiques ne sont pas incompatibles avec les théories de Tesla. Des mesures du champ magnétique terrestre ont révélé qu’il y a une modulation superposée à très basse fréquence.

Ici il manque 3 pages dans le document d'origine qui peuvent correspondre aux pages de photos et peut-être aussi à un titre et/ou un texte.

a) La pulsation magnétique de la terre a été contrôlée au moyen d’une bobine magnétique accordée et on a trouvé que la terre ''bat'' sur une onde sinusoïdale fixe à une puissance crête située à l’extrémité supérieure de la fréquence Tesla, soit 8Hz

b) L'onde de la terre, ou une onde sinusoïdale magnétique de 8Hz produite artificiellement, n’est pas diminuée ni déformée au passage des murs d’une chambre blindée d’acier et de cuivre.

c) Une onde sinusoïdale magnétique faible (1mw), de 8Hz dirigée sur un être humain induira des ondes cérébrales en 4 à 6 secondes. Les effets psychologiques d’une telle onde sinusoïdale de 8Hz sont positifs et bénéfiques.

d) Une onde sinusoïdale magnétique faible (1mw) de 4Hz modifiera les ondes cérébrales humaines en 6 à 10 secondes. Les effets psychologiques d’une telle onde magnétique de 4hz sont négatifs et provoquent vertiges, nausées, mal de tête, vomissements avec un effet sur les voies biliaires et hépatiques.

e) Une onde magnétique au dessus de 8hz est aussi active psychiquement et produit quelques effets négatifs sur les surrénales.

f) Les moyens et méthodes utilisés ci-dessus pour induire et mesurer les effets psycho actifs sont tous à la pointe de la technologie. On n’a jamais encore découvert de moyens pour se protéger contre les effets de tels signaux.



On croit que ces effets étudiés en laboratoire peuvent être produits à grande échelle au moyen du Transmetteur Amplificateur de Tesla (Tesla Magnifying Tranmitter ou TMT) jusqu’à un tel point qu’une vaste population pourrait être électroniquement incitée à avoir un comportement instable – au bas de l’échelle de Tesla – ou à un comportement stable voisin de l’hypnose à l’autre bout de l’échelle.

Des observations éparses provenant du Canada, montrent que les Russes ont déjà mené à bien de tels effets dans trois villes canadiennes.

On sait que le gouvernement canadien est en train de contrôler les signaux russes. Ceux qui ont observé ces données supposent que les Russes sont en train de reproduire une copie du TMT. Dans ses brevets aux USA et certains articles, Tesla concluait que : lorsque la Terre est alimentée en énergie par le TMT, dans la bande de fréquence de 0,01 Hz à 40 Hz, avec une puissance crête de 6,67 à 7,83 Hz, les effets suivants peuvent se produire :



1 - de grandes quantités d’énergie électrique peuvent être transmises sans fil

2- les effets dus aux mouvements climatiques, électriques, et ioniques dans l’atmosphère, la stratosphère, et la ionosphère, et qui contrôlent le temps, peuvent être modifiés

3 – cela sert de moyen de détection pour les mouvements sous la surface de la mer, sur terre, dans l’air ou sur l’eau.



L’article (en annexe) traitant des champs magnétiques sur le cerveau humain provient du numéro de Science (cliquer sur Science pour le lire en français) de Janvier 1978. Il montre que les champs magnétiques électriquement induits font partie de l’activité normale du cerveau et puisque tout champ EM et magnétique est susceptible d’interagir avec un autre champ EM et magnétique coexistants, il s’ensuit que le cerveau humain peut être affecté par un champ EM ou magnétique appliqué extérieurement.

LES IMPLICATIONS MILITAIRES



Tesla construisit un émetteur-amplificateur géant dont la puissance-crête était évaluée à 75 millions de watts.

Dans un article du numéro de février 1935 de Liberty Magazine, Tesla donnait à entendre qu’il pouvait être adapté à des fins militaires. Dans l’article il disait :



« Mon invention exige une grande installation, mais une fois établie, il sera possible de détruire n’importe quoi, hommes ou machines, approchant dans un rayon de 320 km. Elle fournira, si l’on peut dire un mur d’énergie présentant un obstacle insurmontable à toute agression effective. »



L’été dernier (1977), à la conférence de Genève du comité sur le désarmement, les Russes ont présenté un document imposant qui paraissait être un essai d’accord pour interdire le développement et la fabrication de nouvelles armes de destruction massive.

Le fond essentiel de l’accord proposé peut être compris à partir des premières et des dernières pages que nous présentons ici.

Les sous paragraphes détaillés de l’annexe sont importants car ils décrivent le genre de choses que les Russes savent être faisables et qui peuvent être utilisées, si elles ne sont pas interdites.

Ils ne seraient pas habituellement aussi précis, en fait, ils ne voudraient pas être eux-mêmes les initiateurs de tels documents ou soulever ces sujets dans les négociations. Ce qu’ils ont fait les désigne comme étant des gens qui ont examiné chaque point en détail, en prenant leur temps bien sûr, intéressés qu’ils étaient par un usage à leurs propres fins de ces armes. Ceci inclurait une expérimentation et un développement suffisant pour convaincre la hiérarchie du Politburo sur ce que seraient les conséquences pratiques si ces armes étaient fabriquées, répandues et opérationnelles.



CONFERENCE DU COMITE SUR LE DESARMEMENT

CCD 511 REV 1

8 aout 1977

Anglais

Original Russe



Union des Républiques Socialistes Soviétiques



Projet d’accord sur l’interdiction du développement et la fabrication de nouveaux types d’armes de destruction massive et de nouveaux systèmes de telles armes.



Les états participant à cet accord,



guidés par les intérêts du renforcement de la paix internationale et de la sécurité

désirant contribuer à la cause du sauvetage de l’humanité du danger de l’utilisation de nouveaux moyens de guerre limitant la course aux armements et amenant le désarmement

reconnaissant que la science moderne et la technologie ont atteint un niveau où un danger sérieux survient en raisons du développement de nouveaux types encore plus destructeur d’armes de destruction massive et de nouveaux systèmes de telles armes

conscients que le développement et la fabrication de telles armes portent en eux les plus sérieuses conséquences pour la paix et la sécurité des nations

gardant à l’esprit que ces dernières années ont vu la conclusion d’un nombre d’accords importants concernant la limitation de la course aux armements et le désarmement, y compris ceux relatifs à l’interdiction des armes de destruction massive

exprimant l’intérêt profond des états et des peuples dans l’adoption de mesures pour prévenir l’utilisation des réalisations de la science moderne et de la technologie pour le développement et la fabrication d’armes de destruction massives mentionnées ci-dessus

désirant promouvoir le renforcement de la confiance entre les nations et l’amélioration ultérieure de la situation internationale

cherchant à contribuer à la réalisation des buts élevés et des principes de la charte des Nations Unies

ont adopté ce qui suit



Article 1



Chaque état membre de cet accord s’engage à ne pas développer et fabriquer de nouveaux types d’armes de destruction massive ou de nouveaux systèmes de telles armes

8.77-88856



Annexe à l’accord



Une liste approximative de types et de systèmes d’armes de destruction massive que recouvre l’Accord sur l’interdiction du développement et la fabrication de nouveaux types d’armes de destruction massive et de nouveaux systèmes de telles armes.



Doivent être interdits par l’accord



1 - Moyens radiologiques du type non explosif agissant grâce à des matériaux radioactifs

2 - Moyens techniques pour infliger des blessures par radiations basés sur l’usage de particules chargées ou neutres pour atteindre des cibles biologiques.

3 - Moyens à infrasons utilisant la radiation acoustique pour attaquer des cibles biologiques

4 - Moyens utilisant un rayonnement EM pour attaquer des cibles biologiques.



Cette liste de types et de système d’armes à interdire peut être complétée si nécessaire.



Les phrases utilisées :



Les phrases officielles utilisées dans l’annexe sont volontairement vagues de façon à dissimuler de futurs développements non précisés dans la même catégorie. Voici ce qu’ils veulent dire au niveau actuel du développement.

1- Il s’agit principalement de dispersion de plutonium ou de poussières radioactives aussi toxiques que le plutonium. La population peut être virtuellement anéantie sans aucun dommage physique aux biens et aux pays. Les animaux et les végétaux seraient atteints. Si des matières à rayonnement hautement toxique de courte durée sont utilisées, le résultat serait semblable à celui d’un gaz toxique idéal.

On peut concevoir un dispositif nucléaire qui fasse cela automatiquement. Pour la guerre non nucléaire, une dispersion peut être réalisée en tant que charge explosive dans un missile , pulvérisée à partir d’un missile Cruise ou par contamination des adductions d’eau.

Le plutonium quoique plus efficace dans ce but peut rendre les zones atteintes dangereuses pour des millénaires. Ceci exclut une occupation par l’agresseur. Donc pour une mise en œuvre pratique, des isotopes excessivement radioactifs d’éléments plus légers devraient être fabriqués sur une assez grande échelle. Ceci pourrait être assez facilement réalisé en se servant d’un réacteur nucléaire affecté à cette tâche.



2- Ceci couvre deux sortes d’armes : la plus avancée est la bombe à neutrons et procédé similaire.

L’autre est une forme de l’abominable rayon de la mort (l’autre forme principale de rayon de la mort est le laser). La technologie peut produire des versions mobiles et même des fusils, des machines utilisées maintenant pour la destruction atomique. Ces armes tireraient des particules élémentaires subatomiques comme des balles provenant d’une mitrailleuse.

L’effet sur les cibles humaines et animales détruirait le tissu vivant en dissociant les molécules individuelles.



3- Un son à haut volume ultra basse fréquence c'est-à-dire en dessous du seuil d’audition humaine rend les êtres humains et les animaux fous.

Il interfère littéralement avec la coordination totale du corps et de l’esprit. A très haut volume, près des populations visées, le corps est réduit en bouillie. Ce type d’arme utilisé d’une façon moins violente peut frapper insidieusement d’incapacité de grandes populations sans beaucoup de destruction physique de biens ou de perte totale de vie.

En tant qu’arme de destruction massive, dans des zones à forte densité de population, elle peut être très efficace. Il y a peu de possibilité de s’en défendre, cela convient particulièrement à la guérilla urbaine.



4 – Il s’agit de l’utilisation des ondes radiodiffusées, c'est-à-dire du rayonnement EM pour désorienter des populations entières. Les effets s’étendent simultanément sur la totalité de la zone couverte par les ondes radio, et on peut rendre ces effets quasi instantanés – il ne faut que quelques secondes pour amorcer une instabilité mentale dans chaque être. D’une autre manière, le rayonnement EM peut aussi être utilisé pour détériorer lentement la qualité de l’activité mentale et des fonctions du corps par exposition constante à des rayonnements relativement faibles sur une période plus longue.

Les avantages tiennent dans le fait que le champ d’application est si général qu'il est presque impossible de s’en défendre et qu’ils n’entraînent aucune logistique, et qu' aucune '' quincaillerie''» du genre missile, tanks, avions, bateaux de guerre ni troupes n'est exigée pour pénétrer sur les territoires ennemis.

L’inconvénient est l’incapacité à définir la zone couverte pour s’adapter aux conditions requises. Par exemple le champ irradié ne peut être adapté aux frontières territoriales. C’est premièrement une arme stratégique, mais elle peut être adaptée à un usage tactique en utilisant des rayons à haute intensité dirigés sur des cibles spécifiques.



Le Major Général G.J. Keegan, précédent chef des Services Secrets des USA a mis en évidence que, si l’URSS en arrivait à utiliser des rayons de particules concentrées contre les missiles des USA, la situation ne serait pas complètement désespérée. Si, dit-il, le rayon consiste en particules chargées, utilisé sur de longues distances, les fluctuations du champs magnétique terrestre provoqueraient des déviations des rayons, suffisantes pour les rendre inopérants. Pour prendre des mesures positives pour les neutraliser, et de façon à ne pas se baser sur des éléments naturels imprécis, on peut ‘’trafiquer’’ le champ terrestre.

Il y a dans cette remarque une évidente implication que les USA savent non seulement comment faire ça, mais probablement ont, ou auront très bientôt les moyens de le faire. Si les Russes utilisent un rayon de particules neutres, tels que les noyaux d’hydrogène, le rayon pourrait être dissipé en provoquant une explosion à grande échelle dans l’atmosphère, élevant des tonnes d’air chaud dans la stratosphère et au-delà.

En vérifiant les connaissances relatives au développement des armes à rayon de particules, nous avons trouvé qu’elles ont été tout d’abord proposées par des scientifiques du Royaume Uni pendant la deuxième guerre mondiale. En 1944-45, le R-U avait un programme actif en cours pour développer une arme à rayon de particules. Le projet a été abandonné non pas parce qu’il n’y avait aucun progrès de fait mais simplement parce qu’ils ne pouvaient pas avoir suffisamment d’électricité pour continuer leurs expérimentations. A cette époque, le gouvernement des USA n’en était pas informé, et ses scientifiques ignoraient tout de ce domaine.

Plus tard, le Ministère de la Défense des USA entama le projet SEESAW. Celui-ci a été abandonné depuis 4 ans et demi : il avait été considéré comme infaisable. Le projet SEESAW était basé sur l’utilisation d’un rayon électronique complètement inadapté à cette application. Les USA aussi bien que l’URSS, dans leurs dernières expériences, utilisent en ce moment des protons et des neutrons qui conviennent mieux.

Le programme scientifique des Russes s'appuie principalement sur leur théorie de la structure cristalline de la Terre..

On a remarqué que, lorsque les Russes ont mis en service un second émetteur pour renforcer celui de Riga, ils ont choisi Gomel ** qui, selon leurs théories, est un des nœuds du réseau cristallin de la Terre.

Tout cela n’est peut-être pas clair mais beaucoup pensent que c’est important.

Des rapports sur l’interférence causée par le ''radar soviétique au-dessus de l’horizon'' provenant d’un lieu près de Kiev, firent encore irruption en novembre et pendant décembre. L’interférence était si forte qu’elle a incité toutes les associations d’opérateurs radio de 10 pays différents, à envisager sérieusement un boycott du service aux vaisseaux russes dans l’espace.

L’étendue de l’interférence peut être évaluée par le fait que les communications entre le sol et les vols aériens à Miami, en Floride, ont été sérieusement atteintes.

Les tout derniers rapports montrent que l’émetteur russe, expédie des pulsations occupant une largeur de bande d’environ 100 kilocycles pendant quelques secondes, puis glisse sur une fréquence voisine pendant quelques secondes, selon une séquence dont le côté aléatoire apparaît comme étant délibérément choisi sur une étendue d’environ 1,5 mégacycles.

La coïncidence du retour de ces transmissions avec l’arrivée de l’onde stationnaire au large de la côte Ouest de l’Amérique a entraîné, et c’était prévisible, la spéculation suivante : à savoir qu’il y a une relation directe et que les deux faits sont les parties d’un seul et même phénomène. Kiev est seulement à 240km au Sud de Gomel mais cette distance est trop grande pour qu’aucune des nations européennes n’ait fait erreur sur les radiations issues de Gomel ** comme provenant de Kiev.

Il y a deux scenarii possibles :



A – Nous savons que les Russes ont développé et ont commencé à déployer un nouveau système radar connu sous le nom de X-3. Il est destiné à être l’élément clé d’un système de missiles anti-balistiques pour la défense des grandes villes. Principalement pour la ville de Moscou. Il est extrêmement puissant, fonctionnant dans des bandes de fréquences que les USA et les alliés de l’Otan n’utilisent pas pour la guerre électronique, et emploie un système d’oscillateur de fréquences formé d’impulsions répétées d’une certaine forme qui le rendent à peu près impossible à brouiller et contre lequel aucun équipement couramment employé dans l’arsenal des Alliés de l’Ouest n’est efficace. L’équipement est très mobile, et resterait ainsi très opérationnel si les hostilités venaient à se déclarer.

Les interférences décrites ‘’collent’’ tout à fait à ce système radar, en raison du son particulier que de tels signaux émettent, quand ils sont reçus sur des équipements d’écoute, ce son est connu au R-U comme le '' pivert russe''».



B – Selon des rapports sur les transmissions russes, provenant de Borge Nielsen, ingénieur en chef de l’administration des Postes et Télégraphes Danoises, il n’y a pas que deux sites pour les émetteurs dits Tesla, mais trois. Si M. Nielsen ne se trompe pas, alors il est possible que Kiev (Gomel) soit la troisième station, auquel cas l’interférence radio pourrait ne pas avoir eu une origine radar, mais se présente comme des harmoniques des fréquences fondamentales utilisées pour établir les ondes stationnaires.

Ceci, bien sûr est pure spéculation mais on doit prendre ces faits en considération dans toute étude sérieuse sur les expériences de transmission radio entreprises par l’URSS. Des sources officielles américaines placent le troisième émetteur à Semipalatinsk. (NDLR ;souligné par nous)

Il faut observer très sérieusement l’article 4 de l’annexe du projet d’accord soviétique. Il y a là une masse d’informations concernant les effets des ondes de champs EM à très basse fréquence (ELF). Ces champs à très basse fréquence ont la possibilité de pénétrer dans les immeubles et les tissus vivants, ce qui signifie qu’ils sont des stimuli biologiques potentiels.

On sait que des pièces blindées de cuivre et d’acier coupent complètement toute radiation magnétique, électrostatique et EM mais n’offrent aucune protection contre les ondes de champs ELF. De telles radiations sont associées à des perturbations géomagnétiques, météorologiques, des décharges d’appareils électriques, et des mouvements sismiques. ** Elles ont une capacité anormale à se propager sur de longues distances sans affaiblissement notable.

De nombreuses données expérimentales montrent que ces champs peuvent influencer le comportement, la façon de se déplacer, l’oxygénation, les échanges endocriniens, les fonctions cardiovasculaires et la coagulation du sang.

Tesla a appelé son appareil le plus perfectionné ''émetteur amplificateur Tesla '' (TMT). Et il affirmait qu’avec lui, il était possible d’amplifier la puissance dissipée provenant d’un appareil bien isolé. Ceci fait penser à ''on a quelque chose à partir de rien'' et semble défier les lois gouvernant la conservation de l’énergie. On l’a en général interprété comme signifiant augmenter la puissance ‘’efficace’’ ce qui est tout à fait autre chose.

Toutefois il y a un phénomène de transmission radio qui se produit dans le haut Arctique et en Antarctique et dans lequel les ondes radio paraissent être piégées entre deux couches d’ionisation dans la ionosphère et se propagent sur des distances considérables, engendrant un processus de changement de fréquence Doppler ce qui communique un son audible au signal reçu lorsqu’il est démodulé. C'est ce que l'on nomme les '' siffleurs''.

Au camp de recherche Antarctique américain (à la station Siple), le Dr Robert Helliwell a entrepris des expérimentations considérables pour éclaircir le comportement et les systèmes de ''siffleurs''. Ses résultats montrent d’une manière tout à fait probante que les ondes radio peuvent être amplifiées jusqu’à 1000 fois dans la ionosphère. Les détails concernant ses découvertes ont été classés secrets. Pourquoi ? Le Pentagone a des contrats avec Golka Associates *** pour réaliser les expériences de Tesla, qu'ils présentent ostensiblement comme étant des applications à la recherche sur la fusion. Cependant la recherche sur la fusion est entièrement sous la compétence de l’ERDA ; le Ministère de la Défense (DoD) n’est pas impliqué. On a de bonnes raisons de penser que le Pentagone en sait plus qu’il n’y paraît.

Pendant la deuxième semaine de janvier 1978, une délégation officielle du R.U se trouvait aux USA pour parler des événements décrits ici et pour échanger des informations et des idées avec des chercheurs américains.



Cependant, les choses ne sont pas aussi unilatérales que ce rapport peut le montrer. Les gouvernements des puissances de l’Ouest sont tout à fait au courant des opérations soviétiques et de l’interprétation que l’on peut en faire. Aux USA, le DoD a développé depuis plus de 10 ans un rayon de la mort. (Comme il a été dit dans notre rapport de février 1975 sur la fusion nucléaire.)

Le principal travail a lieu au groupe de développement d’armes laser du DoD à la base Air Force de Kirkland à Albuquerque, au Nouveau Mexique, et est connu sous le nom de code : Eight Card. Il fonctionne sous l’égide du DoD dans les Projets de Recherche d’Avant-Garde. Depuis longtemps, ils se sont démenés avec les lasers et dans les derniers temps avec des rayons de particules chargées, ne faisant toutefois que peu de progrès à la suite d’une approche en force ''brutale''.

Dans les derniers 18 mois, des progrès considérables ont été faits et des résultats significatifs accomplis.

Depuis la révélation que les scientifiques soviétiques développent des armes à rayon électronique pour un usage dans l’espace, dans le but de détruire des satellites ennemis et des missiles envahisseurs, le Pentagone a admis qu’il avait des programmes en cours pour le développement des armes électroniques.

Une large gamme d’armes basées sur le laser, sont en cours de développement dans les 3 départements militaires et ceci, pour divers usages.

Cela va des fusils d’infanterie pour aveugler un ennemi personnel, en passant par des missiles et bombes guidés par laser, aux armes navales lourdes, aux systèmes de défense anti missile, aux armes destructrices de satellites pour utilisation dans l’espace.

La technologie d’utilisation de particules chargées, que ce soit rayon ou rideau, n’est en aucun lieu aussi avancée (qu’en URSS).

En ce moment, le consensus général est que les Russes ont une terrible avance dans le développement des lasers actuels et la technologie à haute énergie des particules chargées. Leurs dispositifs mécaniques ont des performances supérieures et sont considérablement plus puissants que leurs équivalents américains.

Au cours de sa recherche pour établir ce rapport, l’analyste responsable a examiné des copies des rapports officiels du Ministère des transports qui contrôle les activités russes dont on parle ici.

Les photos des traces sur oscilloscope, et les mesures enregistrées des signaux radio, sont toutes compatibles avec des rapports provenant d’autres sources.

Elles sont en forme d’ondes très distinctes de haute amplitude et d’une fréquence extrêmement basse. Le gouvernement des USA et ses experts ont pu obtenir ces rapports sur des bases de réciprocité. Depuis le phénomène apparu le 21 novembre, on n’a plus jamais eu accès aux rapports. Ils ont bloqué toute information dans ce domaine : ce que cela signifie... nous ne sommes pas capables d’en tirer des conclusions.

Il est prématuré d’en arriver au fait qu’il y a des implications économiques et politiques de ces développements sauf en termes vagues qui sont évidents pour quiconque travaille soit dans le domaine économique, soit dans le domaine politique.

A notre point de vue, il semble important à l’heure actuelle d’être conscient de ces développements de façon que, une fois connus de nouveaux éléments, on puisse les corréler entre eux de manière logique et qu’on puisse donner un avis quant à leurs conséquences et implications probables.



POSTCRIPTUM



Faisant suite à la préparation de ce rapport, les articles supplémentaires ci-après, ont attiré notre attention, ce qui peut être d’un certain intérêt pour le lecteur.

Au début des années 1960, Robert Uffen, un géophysicien de l’Université de la Reine, montra de manière sûre et concluante que les changements climatiques constatés dans le monde entier et relevés dans nombre d’universités, à long terme, coïncidaient avec des changements du champ magnétique terrestre.

A l’Université Columbia, l’Observatoire géologique Lamont Doherty trouva que, lorsque l’intensité du champ magnétique décroît, la moyenne des températures décroît et vice-versa. Le Dr J. W. King, du laboratoire Appleton au R.U. publia dans le numéro du 18 janvier 1974 de Nature un article qui montre le lien entre la météorologie et le géomagnétisme et de ce fait fonda la science : Magnéto météorologie.

Le point de départ du Dr King est une similitude remarquable entre le modèle du champ magnétique de notre planète sur l’hémisphère Nord et le modèle des lignes isobares.

Les deux schémas ont une forme d’haltère et les deux courbes de répartition magnétique et de pression se superposent presque.

En termes météorologiques, les centres de basse pression qui commandent la circulation de l’hémisphère Nord coïncident avec les centres de plus grande intensité magnétique. De très nombreuses preuves montrent qu’il y a une corrélation très étroite entre le temps et le champ magnétique terrestre, et que les variations dans ce champ, particulièrement ces variations causées par le cycle des tâches solaires de 11 ans ont un effet direct sur le climat de cette planète.
Voici trois articles associés aux négociations SALT : ils sont significatifs et reliés entre eux :



1 – Il est à peu près certain que les autorités Russes, avaient, en 1976, vraiment le désir d’avoir terminé les développements dont nous avons parlé avant que les négociations imminentes de SALT ne commencent. Pour réussir, ils instituèrent un programme ''catastrophe'' de développement et s’étaient préparés à risquer d’interrompre les communications dans le monde entier et à faire détecter leurs expériences et de ce fait révéler leur objectif aux puissances de l’Ouest. La fin justifie les moyens.



2 – Les scientifiques soviétiques mirent sur pied (et ce n’était qu’une partie de ce programme ''catastrophe'') des ondes stationnaires de plus grande puissance; la faisant même monter jusqu’à 40 millions de kW, produisant ce qu’ils avaient calculé être la fréquence optimale de résonance transmise de 7 pulsations par minute.

Le résultat était la formation d’ondes stationnaires énormes d’une amplitude de loin supérieure à ce qu’ils avaient calculé. Si grande en fait qu’ils ont été complètement terrifiés et ont fait silence sur leur équipement. Dans des circonstances normales, quand on enlève leur puissance aux ondes stationnaires dans un circuit résonant, elles se dissipent normalement vers ce qui est appelé une oscillation amortie avec l’amplitude d’onde qui décroît exponentiellement à chaque cycle complet et, dans un temps relativement court, elles sont toutes dissipées. Cependant, dans ce cas là, cela ne s’est pas produit, et les ondes stationnaires ont presque maintenue leur pleine amplitude. Sérieusement alarmés, les Russes mirent en route des explosions à intense radiation d’énergie HF, s’efforçant de disperser ces ondes et de les faire s’évanouir.



3- Pendant les renégociations SALT, les Russes d’une manière aussi soudaine qu’inattendue, demandèrent que les clauses qui interdisaient l’usage de manipulations artificielles de modèles climatiques comme moyen de faire la guerre, soient modifiées pour inclure très spécifiquement l’utilisation de moyens électriques de stimulation et de modification des modèles climatiques locaux et généraux.

En faisant cette requête, les Russes sortaient de leur ligne de conduite habituelle de négociations. Le 18 mai 1977, montrant une hâte imprudente, le gouvernement Russe signa un accord avec les USA et 29 autres pays promettant de ne jamais s’attaquer l’un l’autre en initiant des raz de marée, tremblements de terre, et orages créés artificiellement. La date est significative, car, au même moment, les Russes essayaient désespérément de disperser leurs ondes stationnaires en modifiant leurs émetteurs de Riga et Gomel ** pour envoyer des pulsations géantes d’énergie à très haute fréquence.

Apparemment ce fut un échec et les ondes continuèrent d’être là en mai et en juin.

Ces 3 articles, une fois revus dans le contexte, sont évidemment reliés entre eux.

En 1975, le Major de l’USAF, G.J. Keegan qui jusqu’à sa récente retraite dirigea les activités des services de renseignement de l’USAF passés à William Colby, puis dirigea la CIA, donna à un certain nombre de ses conseillers scientifiques en nucléaire une information précise montrant que les Russes étaient en train de développer un dispositif de rayons à particules chargées, destiné à détruire les têtes nucléaires offensives de missiles balistiques intercontinentaux à lancement sous-marin. Cette activité est menée depuis Semipalatinsk à quelque 480 km au nord du point de rencontre des frontières de la Sibérie, de la Chine et de la Mongolie. Cette installation impliquait d’énormes travaux de construction de génie civil comprenant d’énormes sphères creuses en acier, soudées, de si gigantesques proportions que l’on pensait qu’elles servaient de réservoir, dans lesquels explosaient des dispositifs nucléaires qui fournissaient ainsi l’énergie suffisante pour activer les rayons de particules chargées en cours de mise au point. L’énergie de l’explosion est dirigée sur des conduites de gaz pressurisé dans des condensateurs géants, à l’extrémité d’un grand bâtiment aux murs épais. Le long d’un côté de 231 m de long sont placés le fusil injecteur électronique et l’accélérateur collectif. On les alimente en énergie pour produire un rayon de protons qui est courbé dans un angle par des miroirs magnétiques et propulsé à une vitesse proche de celle de la lumière le long de tubes passant à un kilomètre sous terre. Les tubes sont sous vide pour stimuler l’action du rayon dans l’espace et sont utilisés seulement pour les tests de propagation du rayon. Il y a 5 anneaux concentriques espacés d’environ 5km construits autour du bâtiment.

Tous les 5 degrés d’arc, il y a un capteur vertical qui mesure l’impact du rayon afin d’en suivre la trace.

Même si ce dispositif est couronné de succès en produisant un rayon électrique efficace de particules chargées suffisant pour détruire un missile balistique, tout l’ensemble est trop encombrant et lourd pour un usage opérationnel. Le niveau d’énergie est énorme et ne justifie pas le résultat final. Les dangers à faire fonctionner un dispositif alimenté en énergie par explosion nucléaire sont énormes.

A AZGIR, au Kazakhstan, près de la mer Capsienne, les Russes ont construit un puissant générateur magnéto-hydro-dynamique (M.H.D. ****) pulsé, à fusion, destiné à être une alternative possible pour l'alimentation en énergie d'un système de rayons de particules chargées.

Des expériences ont été menées, l’année dernière, dans une chambre souterraine sous une zone de formation naturelle de dômes de sel, dans le désert, et ont été contrôlées par les satellites de surveillance avancée des USA stationnés au-dessus de l’océan Indien. Cependant même ce dispositif serait trop lourd pour un usage opérationnel actuel.

Si Tesla a dit vrai au sujet de son appareil capable de produire un rayon électronique ou un mur de particules chargées, alors, ce serait, de loin un dispositif plus convenable pour un usage opérationnel. Relativement parlant, l’équipement est très simple, l’énergie admise à l’entrée est plus faible et le système fonctionne sur des principes de base et non pas par force brutale, comme ce qu’on essaie de faire à AZGIR et à Semipalatinsk. Des membres de la délégation scientifique soviétique au Canada avaient bien dit que les expériences sur le travail de Tesla étaient conduites pour produire un rayon de la mort et un mur de particules chargées.

Si ces efforts sont couronnés de succès les implications sont effrayantes. Un rideau de telles particules autour de Moscou ou autour d’une grande ville protégerait contre toute attaque de missiles. C’est à ce point de vue que le choix de Gomel ** et de Riga comme sites des transmetteurs Tesla est significatif. Des rideaux de particules chargées lancés de ces deux lieux pourraient entre eux, intercepter tout missile expédié par les forces de l’Otan contre Moscou. Une installation supplémentaire située quelque part sur une ligne entre Moscou et Murmansk pourrait intercepter tout missile tiré contre Moscou par les Etats contigus aux USA. Une fois la technologie totalement maîtrisée, les Russes pourraient rapidement défendre toutes leurs plus grandes villes et installations militaires, puisqu’en termes relatifs, comparés à d’autre projets majeurs de défense tels que leur puissance navale, les ressources industrielles et financières exigées seraient alors modestes. On peut facilement apprécier les implications militaires et stratégiques de cette possibilité.



Appendice

LE « ZAPPING » DE L’AMERIQUE ou la destruction de l’Amérique

Micro ondes, leurs risques mortels et la censure

Paul Brodeur – Norton - $ 12,95

Publié dans le Washington mensuel Octobre 1977



''En 1971, une équipe de chercheurs de l’Université de l’Alabama étudiant les statistiques des anomalies de naissance parmi les enfants blancs de 2 comtés de l’Alabama sont tombés sur un fait curieux.

De juillet 1969 à novembre 1970, 17 enfants sont nés avec un pied bot. Statistiquement ils n’auraient pas dus être plus de 4. Des investigations plus poussées ont fourni le renseignement étonnant à savoir que ces 17 cas avaient été accouchés à l’hôpital de Fort Rucker ; et ce n’était pas tout : leurs pères étaient tous pilotes d’hélicoptères.

Le Dr Peter B. Peacock, chef de l’équipe de recherche et président du département santé et d’épidémiologie de l’université d’Alabama, supposa que le facteur en cause était une radiation de micro ondes.

Fort Rucker entretenait une grande concentration de radars. Les pilotes d’hélicoptère volent à basse altitude, là où les émissions de micro ondes sont les plus intenses.

Mais, quand on a voulu faire une étude plus minutieuse, les projets ont été contrecarrés : l’armée a choisi de ne pas coopérer.

L’utilisation des micro ondes à grande échelle commença pendant la deuxième guerre mondiale avec le radar qui permettait de trouver la distance des cibles en faisant rebondir des micro ondes M.O. sur elles et en mesurant l’intervalle de temps entre le départ et le retour des signaux. Ensuite, depuis cette époque, il y a eu une croissance phénoménale des dispositifs qui produisent des M.O dont. quelques uns à petite dose, d’autres à fortes doses.

Quelques éléments de la liste des M.O. pourraient comprendre presque 1000 stations de télévision, 15.000 machines diathermiques, plusieurs millions de fours à micro ondes, des satellites d’émissions radio puissants, des fusils radar de police et votre système d’ouverture de portes de garage automatique. Les usages industriels des M.O. couvrent la gamme de pré cuisson du bacon au séchage du tabac...

Depuis presque aussi longtemps que nous utilisons les M.O. des preuves se sont accumulées sur le fait qu’elles causent des dégâts biologiques tels que cataracte, cancer et dommages génétiques.

En 1971, un conseil consultatif du président prévint que les niveaux d’énergie dans les villes américaines, les industries, ou les maisons pouvaient être déjà biologiquement significatifs et la population à risque ''pouvait bien être la population entière''.

Mais singulièrement, il n’y eut pratiquement aucune recherche systématique aux USA sur l’effet du rayonnement des M.O. sur la population qui y avait été exposée. L’URSS a mené de telles études et ses précautions sont de loin plus grandes que les nôtres. Par exemple, les fours à M.O. vendus aux USA ont l’autorisation légale d’avoir 5 milliwatt par cm 2 de fuites soit 500 fois plus que la norme russe le permet.

En février 1976, lorsque l'on apprit avec stupeur que l’ambassade américaine à Moscou était soumise à des radiations de M.O. par les Russes , cette nouvelle a engendré dans le public la première inquiétude au sujet du danger des M.O (la connaissance russe de ces dangers rend leur conduite doublement bizarre). Parmi les faits qui ont émergé plus tard, il y avait celui que les Russes avaient irradié l’ambassade dès 1962, mais le Département d’Etat avait gardé cette information provenant des employés de l’ambassade…

…que l’ambassadeur Walter Stossel souffrait d’un saignement des yeux et d’un trouble sanguin ressemblant à la leucémie (il a été depuis rapatrié de Moscou).

…que deux de ses prédécesseurs les ambassadeurs Bohlen et Thompson étaient morts d’un cancer…

…que selon Zbigniev Brzezinski, le taux de cancer parmi les américains de l’ambassade de Moscou était le plus élevé du monde…

…que 16 femmes américaines qui étaient en service à Moscou étaient atteintes de cancer du sein…

…que les tests sanguins pratiqués parmi le personnel de l’ambassade montraient que le compte moyen des lymphocytes était de 40 % plus élevé que dans d’autres personnels en service à l’étranger…

…que les tests du Département d’Etat pratiqués sur les employés revenant de Moscou afin de rechercher les dommages génétiques, ont trouvé des cassures chromosomiques en nombre significatif (le Département n’avait pas du tout parlé de l’objet des tests aux employés).

On ne sait pas vraiment si les Russes ''zappaient'' l’ambassade pour contrecarrer l’équipement d’écoute américain comme ils disaient ou si c'était pour d’autres raisons. Il n’est pas évident aussi de savoir si le Département d’Etat a caché à ses employés et au public les informations ayant trait aux irradiations, dans un intérêt stupide de préserver sa politique de ''détente'', par crainte de poursuites judiciaires de la part d’employés en colère ou à cause du secret dont le gouvernement entoure les M O.

En tant que plus grands utilisateurs de M.O du gouvernement, le DoD finance la recherche pour déterminer leurs dangers ce qui, dit Brodeur, place le renard en position de gardien de la cage à poules, et fait de nous tous des cobayes.

''Le zapping de l’Amérique''est un livre important non seulement pour la controverse valable qu’il provoquera au sujet des M.O et de leurs effets mais aussi parce qu’il met en question l’objectivité de toute recherche faite par les agences du gouvernement ayant trop d’intérêts investis dans les résultats.''



Notes

* Emission sur ARTE diffusée en 1999 - La vie en face - Russie secrète - Les zombis des tsars rouges (90 minutes)

** Le 01/01/2005, Tom Bearden (qui est colonel en retraite), répondant à une question d'un correspondant soupçonnant une cause pas très naturelle au tsunami en Indonésie, a écrit une longue lettre dont voici un extrait particulièrement précis au sujet de l'accident de Tchernobyl... qui alimentait l'interféromètre de Gomel.

''...Mais 10 ans plus tard en 1986, les Russes commencèrent à mettre leurs plans en action, tel qu’il en avait été décidé auparavant par Brejnev, c’est à dire réellement détruire le monde occidental. Ce plan incluait l’utilisation d’interféromètres scalaires (ondes longitudinales) qui iraient directement à travers la Terre et les Océans provoquer des tremblements de terre, des éruptions volcaniques, aidant en cela aux manipulations climatiques, etc dans les zones ciblées à cet effet.

En Avril 1986 nous aurions subi de très importantes destructions, à Los Angeles et San Fransisco, et aussi le long de la faille de San Andréas, car les Russes avaient commencé à pomper de l’énergie (LW) dans cette faille, et ce à une bonne cadence de façon à provoquer une secousse de magnitude 9 ou un super tremblement de terre équivalent à ce que l’on vient de voir en Indonésie. En le mesurant (car il y a bien des gens qui y arrivent et nous promettons de taire leurs noms ) il est un fait qu’une très grosse secousse était en gestation. Pour un gros tremblement de terre, il faut tout doucement augmenter l’énergie induite dans les plaques et failles car la friction statique est beaucoup plus importante que la friction dynamique lorsque les plaques en viennent à glisser. En maintenant la friction statique le plus longtemps possible, un surplus d’énergie (piézoélectrique) peut être emmagasinée dans la plaque et la faille avant que la rupture (comprenez le glissement majeur) ne se produise. C’est, en peu de mots, de cette façon qu’une secousse de 9.0 se concocte. Il en résulte aussi une longue période d’activité sismique ''continue et significative'' dans les zones cibles de secousses.

Dans tous les cas de figure, une analyse de risques/bénéfices pour mettre hors d’état de nuire un des plus gros transmetteurs interféromètres fut évaluée (par votre serviteur). Le risque en a été déclaré acceptable, bien qu’étant important mais des dégâts inacceptables, pour le pays – USA - étaient par ailleurs garantis si les interféromètres n’étaient pas réduits au silence. De cette façon ma recommandation, après avoir bien évalué et pesé cette situation épineuse fut de le détruire.

Ainsi fut fait. Le gros émetteur Russe qui manipulait le rayonnement Est -Ouest (l’autre rayonnement descendait la faille de San Andréas, en provenance de la calotte glaciaire Arctique) fut anéanti pratiquement instantanément. Les circuits de sécurité (Dieu Merci) se mirent en fonction, retenant ainsi la décharge d’ondes longues existantes, déjà accumulée et tout doucement les a déchargées à la Terre. Le transmetteur était à 30 ou 40kms de Tchernobyl. Les opérateurs ne pratiquaient pas d’expériences de leur propre initiative, il leur avait été ordonné d’arrêter les réacteurs (en y insérant les barres de contrôle) au moment où le transmetteur fut détruit. Les circuits de sécurité tinrent le coup pendant 24 heures puis se désintégrèrent et le reste de l’énergie de l’onde existante se déchargea d’un coup dans la Terre et se répandit en direction de Tchernobyl. Le premier réacteur en fonction l’a ramassé de plein fouet, le matériel nucléaire n’eut que le temps de faire '' phoof !'' ce qui souffla la zone de confinement, et c’est ce qui s’est vraiment passé au cours de l’accident de Tchernobyl. Pendant des années les Russes ont gardé pour eux la confirmation de cette activité sismique précédant l’accident qui a atteint Tchernobyl quelques secondes avant qu'il ne soit soufflé. En fin de compte (mais du bout des lèvres) ils finirent par l’admettre.

Si les circuits n’avaient pas tenu, tous les réacteurs de Tchernobyl auraient explosé violemment et le plus grand désastre de l’histoire se serait produit. Des millions de gens auraient péri de par le monde et ce n’est pas une exagération….

Il est certain que ce fut risqué. Mais ça s’inscrivait dans les paramètres : risques / bénéfices / coûts, et cette action n'était pas la seule car il y en avait d’autres destinées à contrecarrer (non initiées par les USA) et on est bel et bien passé au travers, en 1986, une fois de plus sans être détruits... ''

D'autres correspondances de Tom Bearden sur http://www.cheniere.org/correspondence/index.html

Ndlr : Ce témoignage de Bearden fait comprendre pourquoi tous les médias de l’époque, affirmaient sans se poser de questions que les satellites de surveillance américains n’avaient pas vu l’incendie entre autres informations (ou déformations!) … mais ce n’est pas le seul mensonge ou la seule omission qu’ils aient faits d’ailleurs, et en France, la météo à elle seule, a bien falsifié ses documents , sur ordre du gouvernement, pour ‘’stopper’’ le nuage radioactif à la frontière…secret militaire…

*** http://www.totse.com/en/fringe/tesla/tcad.html

**** De Jean Pierre Petit :

''Les enfants du diable - la guerre que nous préparent les scientifiques'', voir aussi sur son site http://www.jp-petit.com/nouv_f/EMP_bombs/EMP_bombs.htm




Applications des travaux de TESLA par les militaires : guerre climatique, tremblements de terre, tsu (Spiritualité, Nouvel-Age - Sciences Parallèles)    -    Auteur : Jessie - USA


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