Selon Deepak Chopra, ce qui fait de nous des êtres humains, notre capacité de penser et de ressentir, a été projeté dans notre monde physique à partir d'un champ intemporel à l'origine de notre conscience, et qui existe de toute éternité.
Selon les matérialistes, quand le cerveau meurt, la personne meurt aussi de manière définitive et irréversible. Heureusement, au cours des deux dernières décennies, certaines expériences ingénieuses ont suscité l'espoir, y compris chez des athées endurcis, que notre vie se prolonge par delà la durée d'existence de notre cerveau et que des qualités inestimables, telles que l'amour et le sens de la vérité, existent sans doute dans le champ de notre conscience de façon permanente et bien au-delà de notre plan d'expérimentation 3D actuel.
Loin d'être une vision religieuse ou sectaire, la présence avérée de ce champ (qui correspond au fameux "point zéro" de la physique quantique), explique l'univers mieux que n'importe quelle autre hypothèse. Elle met à la disposition aussi bien des spiritualistes que des scientifiques la possibilité de relier par un pont logique l'esprit et la matière.
C'est ce que démontre, entre autres, Deepak Chopra dans son nouveau et brillant livre "La vie après la mort : le livre des réponses" (Éd. Guy Trédaniel), dont voici un court mais très important extrait.
Le Docteur Deepak Chopra
« Pour un matérialiste, quand le cerveau meurt, la personne meurt aussi…
Plus nous parviendrons à montrer que le champ de la conscience est intelligent, plus nous serons enclins à penser que notre propre intelligence peut survivre après la mort. Une façon d'aborder ce problème qui peut paraître singulière, mais qui s'avère très fructueuse, c'est de réfléchir sur la télépathie animale. Nombreux sont les maîtres d'animaux familiers qui affirment qu'un chien ou un chat est capable de savoir ce que pense son maître. Quelques minutes avant d'aller se promener, un chien est excité et agité ; le jour où on va emmener un chat chez le vétérinaire, il disparaît et reste introuvable. De telles remarques ont conduit le chercheur britannique Rupert Sheldrake, biologiste expérimenté devenu théoricien, à mener des expériences rigoureuses pour découvrir si les chiens et les chats peuvent vraiment lire dans l'esprit de leur maître.
Voici comment s'est déroulée une enquête très simple : Sheldrake a téléphoné à soixante-cinq vétérinaires dans la région de Londres et leur a demandé s'ils savaient que des propriétaires de chats annulaient des rendez-vous parce que leur chat avait disparu ce jour-là. Soixante-quatre vétérinaires ont répondu par l'affirmative et le soixante-cinquième a déclaré qu'il renonçait à donner des rendez-vous pour soigner des chats car un trop grand nombre d'entre eux étaient introuvables quand on devait les lui amener.
Sheldrake fit une autre expérience avec des chiens. Quand un chien est excité à l'heure de la promenade, cela ne signifie pas grand-chose si la promenade est prévue tous les jours à heure fixe, ou si le chien a repéré les indices qui l'informent que son maître se prépare à sortir. Sheldrake a donc placé les chiens dans des chenils isolés, loin de leur maître ; il a alors demandé aux maîtres de penser à sortir leur chien à des moments choisis au hasard, cinq minutes avant d'aller le chercher. Pendant ce laps de temps, les réactions du chien étaient enregistrées sur cassette à l'endroit où il était isolé. Sheldrake a fait le constat suivant : quand le maître commençait à penser à emmener son chien se promener, dans plus de 50 % des cas le chien courait à la porte en battant de la queue, tournait sans arrêt en rond et continuait de se comporter ainsi jusqu'à l'arrivée du maître. Aucun chien ne manifestait de signe d'attente, quand le maître ne pensait pas à faire la promenade.
Voilà de quoi s'étonner : le lien entre un animal familier et son maître crée une relation subtile au niveau de la pensée. Selon des sondages, environ 60 % des Américains croient avoir eu une expérience télépathique. Ce n'est pas tout. Après avoir publié les résultats obtenus avec des animaux familiers, Sheldrake reçut un courriel envoyé par une New-yorkaise : son perroquet gris d'Afrique non seulement lisait ses pensées mais y répondait en parlant. Par exemple la femme et son mari pouvaient être assis dans une autre pièce où l'oiseau, qui s'appelait N'kisi, ne pouvait les voir. S'ils avaient faim, N'Kisi s'exclamait : « Vous voulez miammiam. » Si la maîtresse du perroquet et son mari envisageaient de sortir, N'kisi pouvait dire : « Faut sortir. À plus. »
Fortement intrigué, Sheldrake entra en relation avec la propriétaire de l'oiseau, une artiste du nom d'Aimée Morgana. Quelle ne fut pas sa surprise ! Les perroquets gris d'Afrique sont de tous les oiseaux ceux qui sont les plus doués dans le domaine du langage. N'kisi avait un vocabulaire considérable de plus de 700 mots. Ce qui était encore plus extraordinaire, il s'en servait comme les hommes, sans répéter un mot stupidement « comme un perroquet », mais en l'utilisant à bon escient. S'il voyait quelque chose qui était rouge, il disait « rouge », et si l'objet était d'une autre couleur, il disait le mot correspondant à cette couleur. Mais Aimée avait des histoires encore plus étonnantes à raconter à Sheldrake. Un jour où elle regardait un film de Jackie Chan à la télévision, pendant une scène où Chan était perché dangereusement sur une poutre, N'kisi dit : « Ne tombe pas », alors que sa cage se trouvait derrière le poste de télévision sans aucune possibilité de voir l'image. Quand une publicité pour une automobile apparut sur l'écran, N'kisi dit : « C'est ma voiture. » Une autre fois Aimée lisait dans un livre la phrase suivante : « Plus la baie est noire, plus le jus est sucré. » Alors, en même temps, depuis une autre pièce l'oiseau dit : « La couleur est noire. »
Le biologiste Rupert Sheldrake
Sheldrake voulut en avoir le cœur net. Lors de sa première visite, Aimée lui donna un aperçu du don de N'kisi. Elle regarda la photo d'une fille dans un magazine et, d'une voix remarquablement claire, depuis la pièce voisine le perroquet s'exclama :« Ça, c'est une fille !» L'étape suivante consista à faire une expérience en bonne et due forme. Si N'kisi pouvait comprendre les mots et avait aussi des capacités télépathiques, les deux choses pouvaient-elles être testées à la fois ? Sheldrake proposa à Aimée de regarder des images qui correspondaient aux mots que son perroquet connaissait déjà. Elle s'assiérait dans une pièce tandis que N'kisi resterait isolé dans une autre. L'oiseau aurait deux minutes pour prononcer un « mot clé » qui correspondrait à l'image. S'il disait le mot en temps voulu, il marquerait un point. S'il ne disait pas le mot, ou s'il le disait une fois les deux minutes écoulées, cela compterait comme un échec.
Pour s'assurer qu'il n'y ait pas de tricherie, quelqu'un en plus d'Aimée choisirait à la fois les images et les mots clés qui correspondaient à chacune d'elles. (Cela s'avéra un peu injuste à l'égard de l'oiseau, puisque la personne en question choisit certains mots comme « Télé » que N'kisi n'avait dits qu'une ou deux fois auparavant. L'oiseau ne prononça pas ces mots au bon moment durant l'expérience ou il ne les dit pas du tout.) Lorsque les épreuves furent terminées, on fit entendre à trois juges la bande sur laquelle était enregistrée ce qu'avait dit N'kisi. Ils notèrent ce qu'ils avaient entendu. Si N'kisi ne prononçait pas distinctement le mot juste, l'oiseau ne marquait pas de point. Les résultats dépassèrent l'entendement. Ainsi quand Aimée regarda une image représentant des baigneuses vêtues du strict minimum sur une plage, N'kisi marmonna un instant, puis les trois juges l'entendirent déclarer : « Regardez mon joli corps nu. ». Quand Aimée vit sur une image quelqu'un qui téléphonait, N'kisi dit :« Qu'est-ce qu' tu fais au téléphone ? » Peut-être sa remarque la plus surprenante vint-elle quand Aimée concentra son attention sur une gravure représentant des fleurs. Au lieu de prononcer simplement le mot clé « fleur », N'kisi dit :« Ça, c'est une "grav" de fleurs. »
Quel jugement global peut-on porter ? N'kisi a réussi 23 tests sur 71. Le taux de réussite aurait été de 7,4 si les résultats avaient été fortuits. D'après Sheldrake le résultat est d'autant plus significatif que N'kisi ne savait pas qu'on le testait et qu'il avait souvent prononcé le mot clé qui convenait une fois que le temps qui lui était alloué était passé.
Cette preuve s'est ajoutée à la montagne de preuves attestant que l'homme n'est pas le seul à posséder un esprit, et qu'en fait l'esprit pourrait exister en dehors du cerveau. Il peut paraître étrange qu'on puisse communiquer avec le règne animal, mais les animaux familiers ne peuvent pas tricher et ils n'ont aucune raison de prouver qu'ils ont des capacités particulières. Les rishis ont affirmé il y a longtemps que l'univers tout entier est intelligent, parce qu'il est pénétré par la Conscience. Voyons comment nous pouvons exprimer cette idée en langage moderne.
Pénétrer dans le champ de l'esprit
L'esprit est resté une énigme métaphysique pendant des siècles parce qu'il ressemble à un fantôme qui hante le monde physique. Les Occidentaux adoptent ce point de vue parce qu'ils ont un parti pris en faveur du concret, du tangible. Nous insistons pour que le cerveau soit la source de l'esprit : le cerveau n'est-il pas une chose visible ? C'est comme si on disait qu'une radio doit être la source de la musique parce que c'est un objet visible d'où provient la musique. Les rishis ont adopté le point de vue opposé. Pour eux il est évident que les choses visibles ne peuvent pas être la source de l'esprit puisque le plan physique est le moins conscient de tous les plans. L'activité du cerveau pendant qu'il pense peut sembler significative, mais une radio est active au cours d'une émission, et il ne fait pas de doute que N'kisi (pour ne pas mentionner les télépathes humains) a saisi une pensée qui était émise par quelqu'un.
Notre préjugé occidental contre l'invisible n'est pas facile à surmonter. On prouvera que l'esprit existe en dehors du cerveau seulement s'il laisse une sorte de trace, un signe visible aussi convaincant que la preuve concrète de l'activité neurale fournie par l'IRM. Une de ces preuves, c'est l'information. Si l'information pénètre tout le champ quantique, elle peut relier l'esprit et la matière dans des termes plus acceptables pour un matérialiste. Aucun scientifique n'a de peine à croire que la matière et l'énergie ne peuvent être ni créées ni détruites, et les physiciens les plus en pointe se demandent si l'information ne peut être, elle aussi, ni créée ni détruite. Ce que nous voyons dans l'univers est en constante transformation. Les atomes d'hélium fournissent du combustible au Soleil, envoient de la chaleur à la Terre qui, par photosynthèse, se transforme en plantes et en toutes les autres formes de vie. On peut dire sans risque de se tromper que la vie consiste en un échange d'informations auquel procèdent les atomes du Soleil avec les atomes de la Terre. (L'énergie est de l'information au sens où toutes les charges chimiques ou électriques peuvent être exprimées comme des plus ou des moins, comme positives ou négatives, comme des 0 ou des 1.) Peu importe alors que votre corps n'ait aucune ressemblance avec une étoile qui brille. Tous les deux appartiennent au même champ d'informations, qui subit des transformations sans fin à l'intérieur de lui-même. Ou, comme l'a dit le Seigneur Krishna dans le Bhagavad Gita : « En me repliant sur moi-même, je crée encore et encore. »
Le Seigneur Krishna, huitième avatar de Vishnou
Selon Amit Goswami, éminent physicien dont les écrits sur l'univers conscient sont particulièrement nombreux, la créativité est simplement un autre mode de la transformation. « L'univers met toujours du vin nouveau dans des vieilles bouteilles, ou du vin nouveau dans des nouvelles bouteilles. ». Les mêmes amas d'énergie, contenant les mêmes informations, sont continuellement brassés dans le champ du point zéro. Goswami aborde la réincarnation dans la même optique. Les anciennes identités circulent dans le champ d'informations, échangent des données avec de nouvelles identités qui donnent l'impression de constituer un nouveau « moi » mais sont en fait des transmutations de 0 et de 1 indestructibles, qui forment de longues chaînes d'idées et d'expériences.
Le physicien Amit Goswami, auteur de "La Physique de l'âme"
Actuellement vous êtes une masse d'informations intégrées dans votre esprit et dans votre corps. Vous avez des souvenirs uniques ; vos cellules ont subi des modifications chimiques qui n'existent chez personne d'autre. Quand vous mourrez, aucune de ces informations ne disparaîtra, parce que c'est impossible. Il n'y a pas d'endroit où puissent aller les plus et les moins, le positif et le négatif puisque le champ ne contient rien d'autre que des informations. Leur seule alternative est donc de se combiner à nouveau. Comment procèdent-elles ?
La réponse se trouve dans la racine du mot information, qui est « forme ». Selon Ervin Laszlo nous habitons un « univers in-formé », qui enfile des atomes le long de la double hélice de l'ADN, des fragments d'information sous forme physique, tout comme il enchaîne des informations sous forme virtuelle en tant qu'idées. Cela nous rapproche de la notion stupéfiante selon laquelle l'univers tout entier est l'esprit de Dieu ; c'est-à-dire un champ dynamique d'informations sans fin qui subissent des transformations sans fin. Mais nous ne pouvons franchir ce pas si nous ne savons pas comment les idées insignifiantes survivent, et encore moins les idées de portée cosmique.
Le philosophe Ervin Laszlo, spécialiste de la physique quantique
Les rishis ont enseigné que les idées survivent dans le champ akashique en tant que souvenirs. Vous et moi, nous accédons constamment à la mémoire akashique alors que nous nous imaginons accéder à notre cerveau. Dans les cercles ésotériques, la mémoire akashique a pour rôle de nous donner des renseignements sur des défunts et sur des vies passées. Dans la psychologie jungienne l'existence d'une mémoire unique explique pourquoi les cultures partagent les mêmes mythes et archétypes. Vénus et Mars sont des créatures invisibles, et pourtant présentes et vivantes. L'akasha se souvient de tous les dieux créés par les hommes et de tous les combats épiques, de toutes les idylles et de toutes les quêtes. Nous y puisons toujours au fur et à mesure que l'histoire humaine se déroule à travers le temps.
Le cerveau a un centre de mémoire que l'on peut localiser, mais l'esprit n'est pas limité au cerveau. Considérez une expérience très significative dans votre vie - un premier baiser, ou la dernière fois où vous avez vu un grand-père bien-aimé. Ce souvenir est la trace d'un événement qui a eu lieu dans le temps et dans l'espace. L'expérience peut être réactivée dans votre cerveau, ce qui signifie que des millions de molécules qui pourraient circuler de façon aléatoire d'un neurone à l'autre savent qu'elles doivent rester groupées pour que vous gardiez votre souvenir, année après année, sans qu'il s'efface. Comment pourraient-elles avoir cette connaissance, si elles n'étaient pas douées d'intelligence ? La base physique de la mémoire reste totalement inconnue des neurologues. Aussi pouvons-nous seulement échafauder des hypothèses.
D'une façon ou d'une autre votre premier baiser survit. La vie après la mort n'est pas physique, parce qu'il n'y a absolument aucune différence entre l'hydrogène, l'oxygène, l'azote et le carbone dans un neurone et ces mêmes éléments dans un arbre, une feuille morte ou des matières végétales en décomposition.
Les neurones ne sont pas immortels. Ils meurent tout comme le reste du corps et, à chaque seconde, des atomes y pénètrent et en sortent. Alors comment un souvenir est-il transféré dans un nouvel atome ou dans un nouveau neurone quand vient le moment où l'ancien doit périr ? On n'a repéré aucun processus physique qui permette ce transfert. Alors peut-être la mémoire persiste-t-elle à un niveau qui n'est pas physique. Les neurologues défendent à cor et à cri l'idée opposée, à savoir que l'esprit existe seulement dans le cerveau. Ils se servent de scanners et d'imagerie par résonance magnétique pour prouver ce qu'ils avancent. Mais ces images ne sont que des cartes. Elles montrent les aires cérébrales quand une idée ou une émotion survient ; elles ne prouvent pas que le cerveau est l'esprit, pas plus qu'une empreinte de pas dans le sable ne peut être assimilée à un pied.
Imaginez que vous puissiez dresser la carte de toutes les vibrations qui se manifestent dans les minuscules terminaisons nerveuses en bordure de l'oreille interne. Si elles étaient représentées sur une feuille, à chacun des mots et des phrases que perçoit l'oreille correspondrait un schéma d'une infinie complexité, mais ce schéma serait seulement la carte d'un mot, non pas la carte générale du territoire. Une phrase aussi percutante que « Je t'aime » représente davantage que ses vibrations, puisqu'il est impossible de faire figurer sur la carte la plus parfaite la puissance de l'amour, sa signification et l'intention qui l'anime.
La mémoire semble être un effet de champ. Pour que vous pensiez au mot « rhinocéros » et que vous voyiez dans votre esprit l'image de l'animal, des millions de cellules cérébrales doivent agir simultanément. (Nous laisserons de côté la question plus difficile de savoir pourquoi vous avez choisi « rhinocéros » parmi tous les mots que vous auriez pu choisir, puisque tout choix de mot peut être fondé sur la raison, l'émotion ou des associations d'idées personnelles dans la mémoire. On peut apprendre à un ordinateur à choisir n'importe quel mot donné, mais il n'a aucune raison particulière de le faire - vous, vous en avez une ou plusieurs.) Les neurones impliqués dans le choix du mot « rhinocéros » ne passent pas en revue tout l'alphabet jusqu'à ce qu'ils arrivent à la lettre « R » ; ils ne prononcent pas chaque syllabe tour à tour, ils ne feuillettent pas des archives photographiques d'animaux pour associer le mot adéquat à l'image adéquate. Au lieu de cela, le cerveau s'active de façon appropriée et simultanée. Le cerveau agit comme un champ, il coordonne différents événements en même temps, excepté que nous devons admettre que le cerveau n'est pas un champ à proprement parler. C'est une chose composée d'éléments chimiques apparemment sans vie.
L'aiguille d'une boussole se déplace parce qu'elle réagit au champ magnétique de la Terre. Et s'il en était de même pour l'activité du cerveau ? Et si le champ de l'esprit envoyait des signaux ? Et si des milliards de cellules cérébrales se regroupaient en constellations pour répondre aux signaux que leur adresse le champ ? C'est exactement ce qu'a suggéré une équipe de scientifiques désireux d'innover. Henry Stapp, spécialiste de physique théorique de Berkeley, Jeffrey Schwartz, neuropsychiatre à l'université de Los Angeles, et Mario Beauregard, psychologue de l'université de Montréal se sont associés pour formuler une théorie de « l'esprit quantique » qui peut révolutionner la façon dont l'esprit et le cerveau entretiennent des rapports l'un avec l'autre. La « neuroplasticité » est au centre de leur théorie : les cellules cérébrales sont ouvertes au changement et répondent avec souplesse à la volonté et à l'intention. |
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