Acte médical à part entière, l’administration d’un vaccin est soumise au « consentement libre et éclairé » des parents, s’il s’agit d’un enfant mineur, ou de l’adulte concerné, (ainsi que le précise l’article 1111-4 du Code de la santé publique relatif aux droits des malades, loi du 4 mars 2002).
En respectant les vaccinations obligatoires et recommandées, chacun aura reçu, à l’âge de 20 ans, 38 « tentatives » de stimulation de son système immunitaire par des vaccins.
Les vaccins sont-ils efficaces et sans danger ?
Préalablement à toute vaccination, « le médecin a la charge de prouver qu’il a bien donné à son patient une information claire, loyale et appropriée sur les risques des investigations ou soins qu’il lui propose de façon à lui permettre d’y donner un consentement ou un refus éclairé. Ce devoir pèse aussi bien sur le médecin prescripteur que sur celui qui réalise la prescription » (Cf, arrêts de la Cour de cassation et du Conseil d’Etat).
Malheureusement, « la formation et l’information des médecins sont assurées essentiellement par les laboratoires pharmaceutiques », selon la Cour des comptes qui reconnaît par ailleurs que « la politique du médicament est inféodée aux lobbies pharmaceutiques » (Cf, le rapport sur le budget de la sécurité sociale, septembre 2001).
Peut-on, dans ces conditions, faire confiance aux décideurs (Pouvoir politique, Direction générale de la santé, Agence française de sécurité sanitaire, Institut national de veille sanitaire, comité technique des vaccinations...) qui, en d’autres temps, avaient déjà déclaré que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté à nos frontières ? |
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