Vie pratique - Science et Technologie
Les vaccins sont-ils efficaces ? si oui, sont ils sans danger ? - Qu’en est-il des autres vaccins obligatoires ?
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L’éradication des autres maladies infectieuses a toujours été attribuée par les autorités sanitaires à l’efficacité des campagnes de vaccination alors que leur décroissance avait toujours été observée de nombreuses années avant leur mise en route grâce notamment aux progrès de l’hygiène et l’assainissement des eaux. Quel que soit le vaccin, toutes les études épidémiologiques publiées chez nos voisins britanniques ou allemands confirment ce fait irréfutable, tandis que les autorités sanitaires françaises continuent d’affirmer le contraire minimisant ou niant les accidents. a) la diphtérie Responsable de nombreux abcès tuberculeux, la crédibilité de ce vaccin a été sauvegardée avec le déclenchement de la dernière guerre mondiale qui a mis fin aux poursuites pénales lancées par de nombreux parents. Plusieurs députés, dont Mr Plard de Troyes, s’étaient même engagés devant le parlement dans la désobéissance civile après avoir conduit au cimetière plusieurs enfants qui venaient d’être vaccinés.

Le tétanos
Malgré le vaccination effectuée chez tous les soldats, la mortalité par tétanos a été 7 fois plus élevée dans l’armée française pendant la deuxième guerre mondiale que dans l’armée grecque qui, elle, n’était pas vaccinée. La fréquence du tétanos, qui n’est pas contagieux et n’assure aucune immunité, a beaucoup diminué depuis une trentaine d’année. La France se situe en queue du peloton européen juste devant le Portugal, tandis que les pays comme la Grande-Bretagne ou l’Allemagne qui ont abandonné depuis de nombreuses années cette vaccination sont aux premières places derrière la Suède qui n’a jamais pratiqué cette vaccination.

La polio
Les défenseurs de la politique vaccinale se réfèrent systématiquement à la « spectaculaire » réussite de cette vaccination pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale. Ils citent volontiers le Pr Lépine de l’Institut Pasteur qui affirmait en 1975 : « en 15 ans, la poliomyélite est passée de 2 566 cas à 21 cas. De tels résultats ne sont obtenus que si les efforts en faveur de la vaccination et les nécessaires rappels sont inlassablement maintenus. [...] C’est donc bien à la vaccination, et à la vaccination seule qu’est dû le recul spectaculaire, allant jusqu’à la disparition de la poliomyélite, que nous observons dans les pays autrefois les plus atteints » (cf, Vaccinations, Que sais-je)

Maniant avec habilité la langue française, cet illustre professeur de médecine se gardera bien de préciser qu’ avec l’introduction du vaccin, la polio était passé de 1 150 cas en 1956 à 4 109 cas l’année suivante pour ensuite décroître sans influence de l’obligation vaccinale à partir de 1964. L’OMS, qui avait pourtant promis l’éradication de cette maladie contagieuse pour l’an 2000, a du déchanter :

Déjà, en 1986 en Afrique de l’Ouest, une importante épidémie avait touché toute une région « près de 200 enfants que l’on pensait correctement vaccinés ont contracté la maladie. Certains sont morts » (« Le Monde » du 2 février 1987).

En Albanie, où grâce à l’amélioration des conditions d’hygiène la poliomyélite avait disparu, on a enregistré officiellement, entre le 8 et le 13 avril 1996, 90 cas de polio dont 12 mortels à la suite d’une vaccination de masse.

Le 1er février 1997, une dépêche de l’A.F.P. signalait que 133 cas de polio avaient été recensés aux U.S.A. entre 1980 et 1994, dont 125 étaient directement imputables à l’administration du vaccin oral.

Début 1999, en Ouganda, à la suite d’une massive campagne de vaccination contre la polio, 200 cas de paralysies avaient été signalés.

fin 2000, dans le cadre d’une campagne de rappel de vaccination aux Caraïbes, des enfants présentèrent de mystérieuses paralysies.

Ce n’est qu’en janvier 2001 que le CDC (centre de contrôle des maladies américains) nous donnera les explications sur ces poliomyélites et autres paralysies se manifestant lors des campagnes de vaccination. Responsable du département éradication de la poliomyélite au CDC, Roland Sutter reconnaîtra en effet que : « Il est clair qu’une sonnette d’alarme a été tirée. Notre problème est de savoir si l’heure est grave ou non » (Le Courrier international, 8 février 2001).

Ces paralysies étaient la conséquence d’une mutation de l’un des virus du vaccin, lequel a entraîné, avec les vaccins Diphtérie et coqueluche auquel il est associé aux Etats-Unis, 631 hospitalisations et 349 décès, à court terme pour les années 1999-2002 (Cf, rapport VAERS).

Le BCG
La France est le seul pays du monde à maintenir cette vaccination qui “ n’est plus scientifiquement fondée et médicalement n’est plus défendable ” selon les Pr Grosset, Sors, Dautzenberg, Derenne, Coudreau, directeur du Comité national contre la tuberculose ou Pariente (Cf, La Tribune médicale du 20 février 1982 ; Le Concours médical du 7 décembre 1985).

L’OMS a d’ailleurs recommandé à tous les pays d’abandonner ce vaccin au profit d’un programme d’isolement-endiguement (programme D.O.T.S) que la France n’applique toujours pas.

Grâce à des mesures d’hygiène, manifestement plus efficaces que le BCG qu’ils avaient abandonné depuis 1939, les Pays-Bas ont vu le taux de tuberculose tomber en 1970 à 1 pour 100 000, alors que celle-ci reprenait de la vigueur dans les pays où le BCG était toujours pratiqué, comme en France où la mortalité y était sept fois plus élevée avec le BCG obligatoire depuis 1950 (Cf. Le Bulletin statistique du ministère de la santé publique et de la sécurité sociale, N°1, 1974).

Malgré ces faits scientifiques irréfutables, reconnus par le ministère de la santé, le Pr Lépine, professeur honoraire à l’Institut Pasteur et membre de l’Académie de Médecine, n’hésitera pas à déclarer mensongèrement que « si dans la lutte contre la tuberculose, maladie sociale, il faut devant le recul généralisé de la maladie tenir compte non seulement des vaccinations, mais de l’amélioration du niveau de vie (alimentation, logement) et des thérapeutiques nouvelles (chimiothérapie), il n’en demeure pas moins que partout où la vaccination par le BCG a été appliquée, elle a réduit la mortalité tuberculeuse à un sixième ou à un septième de celle observée chez les non vaccinés » (Cf. Que sais-Je », 1976).

Les autres vaccins[/B]

La promotion commerciale, très médiatisée, des autres vaccins recommandés par les autorités sanitaires ne respecte aucunement l’obligation de prudence et le devoir d’information transparente. Les spots publicitaires ne font notamment pas état :

-*des accidents rapportés par le VAERS aux Etats-Unis chez les enfants de moins de six ans pour les années 1999-2002 :
- 3 224 hospitalisations et 843 décès pour le vaccin Haemophilus B
- 1 736 hospitalisations et 110 décès pour le ROR.

*des publications scientifiques révélant que « Les rougeoles ont été dix-huit fois plus nombreuses aux Etats-Unis en 1990 (27 672 cas) qu’en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978.[ ]. L’échec d’une vaccination préscolaire se traduit donc par une transformation paradoxale de la rougeole en maladie des vaccinés. » (Cf, SmithKlinebeecham)

*de l’accroissement considérable de l’autisme en rapport avec le mercure présent dans le vaccin ROR. On est ainsi passé aux USA de 1 cas pour 1990 à 1 pour 380 en 2000 tandis qu’ en Grande-Bretagne plus de 2 000 plaintes étaient déposées par les parents.

*des centaines de myofasciites à macrophages associées une fois sur trois à une maladie auto-immune et qui se déclarent jusqu’à plus de dix ans après tout vaccin comportant de l’aluminium (seuls le BCG, le vaccin contre la grippe et le ROR n’en comportent pas).

*de l’augmentation considérable des cancers, notamment au point d’injection des vaccins, Entre 1983 et 1993, la fréquence des cancers a été multipliée par 18,3 chez les animaux domestiques aux USA, avec le plus souvent présence d’aluminium vaccinal à proximité des tumeurs. du risque de transmission de la maladie de Kreutzfeldt-Jakob par l’emploi du sérum de veau ou de l’albumine humaine dans la majorité des vaccins, ce qu’aucune étude scientifique ne peut écarter.




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Les vaccins sont-ils efficaces ? si oui, sont ils sans danger ? - Qu’en est-il des autres vaccins obligatoires ? (Vie pratique - Science et Technologie)    -    Auteur : Patrice - France


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dernière mise à jour : 2009-09-17

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