46 Landing Road, Whakatane, Bay of Plenty, Nouvelle Zélande
Robert Adams, ancien président de la section néo - zélandaise de l’Institut des Ingénieurs en Electricité et Electronique est l’inventeur du " Adams Pulsed Electric Generator " (APMG) qui utilise des aimants permanents. Son générateur a un rendement électrique de 690 % et mécanique de 620 %, en fonctionnant à température ambiante. Son invention a été censurée pendant plus de 20 ans.
Adams fait ses premiers pas en radio en construisant son propre poste à galène à l’âge de neuf ans, plus tard il fabriquera des radios à batteries et des amplificateurs de puissance. A 14 ans, il quitte l’école, et est, jusqu'à 19 ans apprenti dans une compagnie de radio à Hastings. Ensuite, il travaille à Auckland. A 27 ans, il est ingénieur concepteur. Il fonde Radio I en Nouvelle Zélande et devient ensuite un spécialiste de premier plan en radiodiffusion. Il a conçu et réalisé du matériel de communication pour Air New-Zeland.
Déçu par le développement industriel dans toute la Nouvelle Zélande, et en mauvaise santé, il est venu s’installer dans une petite ville tranquille du district de Rotorua. C’est là qu’il décide, à 68 ans de publier un manuel de construction contenant les procédures d’essais, les détails de son invention et les instructions pour construire son générateur. Adams espère que la divulgation du APMG donnera un élan et des satisfactions à tous ceux que les appareils à Energie Libre intéressent.
En 1996, Robert Adams a 75 ans.....Sa recherche pour donner au monde l’Energie Libre lui a coûté très cher, comme à d’autres chercheurs...On a placé sur sa route d’innombrables et insurmontables difficultés...Il a survécu à un attentat perpétré par une personne des services secrets néo-zélandais, et de la CIA. Son invention a été étouffée par l’ancien premier ministre de Nouvelle Zélande Robert Muldoon, et par Lucas Industries, une " Géante " anglaise de l’électronique.
Dans les années 70, un petit groupe d’ingénieurs s’est intéressé au APMG. Parmi eux, certains ont fait partie de Air New Zélande, comme Bruce Cathie qui y était alors capitaine. Adams, qui suivait les travaux de Cathie depuis de nombreuses années, contacta ce dernier en 1981 dans l’intention de creuser avec lui les théories en rapport avec l’énigme des Ovnis. Au début de la conversation, Adams fut assez discret, prudent pour parler de sa machine. Bruce Cathie qui est devenu son ami dit de lui >:
" Il est tenace, il croit en lui et en ses idées, il s’attaque aux problèmes avec énergie. Il ne supporte pas plus les imbéciles que les simulateurs. Il a un franc parler, mais heureusement atténué par son sens de l’humour. Il a de profondes idées religieuses et beaucoup d’attentions pour ses amis. C’est aussi un mélomane ".
Bruce Cathie avec ses équations harmoniques participe aux études de certains appareils sur lesquels ils travaillent tous deux sans en révéler bien sûr la totalité des secrets.
C’est en 1978 que Adams a découvert que, non seulement les brevets étaient refusés aux inventeurs de machines à Energie Libre, mais que leurs inventions étaient classées " Réservé aux militaires ", ce qui est bien sûr, une disposition internationale.
Adams a raconté sa vie une fois que Rob Muldoon qui l'avait ridiculisé et lui avait causé de très graves problèmes (financiers, de santé, et une immense frustration) a été décédé.
Les déboires de Robert Adams avec Robert Muldoon
A Tamaki, Adams avait rencontré Muldoon qui l’avait recommandé aux Autorités du Développement des Inventions. En toute bonne foi Adams les a dûment contactées, et c’est alors que toute l’histoire a débuté. Ces autorités le " refilèrent " à la DSIR qui travaillait assidûment sur ses propres systèmes d’énergie et qui aidait le Gouvernement avec de gros projets.
Le temps passait, la DSIR s’est moquée de lui pendant plusieurs mois en repoussant les essais pour des motifs fallacieux. A la même époque, Rob Muldoon, se nomma lui-même Ministre en Charge du SIS, département relié dans le monde entier à la CIA, l’ASIO, le FBI et Interpol !
Adams a su que son téléphone était sur écoute, que son courrier était intercepté, et qu’il était lui-même sous surveillance. Et curieusement les commandes de matériel pour une plus grosse machine n’aboutissaient pas, son correspondant dans l'entreprise n’étant justement plus en fonction…
Plusieurs mois plus tard, la DSIR fit une évaluation de la machine avec un ingénieur en mécanique, n’ayant aucune qualification en électricité et électronique.
Evaluation DSIR= 5,8 % d’efficacité.
Evaluation Lucas Industries = 100 % d’efficacité.
D’autres ingénieurs indépendants, sérieux, y compris l’ex-ingénieur de la DSIR ont obtenu des résultats allant de 96,93 % à 100 % d’efficacité !
Le chef du département ingénierie électrique du district, invité à voir l’appareil dans son labo, admit la réalité des formes typiques d’onde d’entrée et de sortie affichées sur un oscilloscope à double trace, mais dit que cela ne pouvait pas se faire.
Quelques extraits des plans et schémas des moteurs - générateurs de Adams
Il faut beaucoup de patience et de temps pour se procurer les matériaux convenables, les usiner, les assembler. La précision est capitale. Attention, dit Adams, ces machines à vitesse élevée et/ou à forte puissance de sortie sont dangereuses, particulièrement si l’on approche les mains du rotor en marche. Comme il est dit dans le chapitre construction, une vitesse de 2500 tours/minute n’est pas un problème avec seulement 2 pôles distants de 180°...
On peut obtenir les plans et explications des générateurs de Adams auprès de
Nexus, PO Box 30 Mappleton QLD 4560 Australie (Nexus Magazine)
ou Nexus, 55 Queens Road E. Grinstead, W Sussex RH 19 18 G. A. (Angleterre)
Tél : 44 (0) 1342 32 2854 Fax : 44 (0) 1342 32 4574
ou PO Box 372 A. J. Dronten 8250 The Netherlands.
Un modèle de moteur générateur perfectionné de Adams, le MARK – II
Un pôle sud rotor et un stator à circuit ouvert, en approche sont mutuellement attirés. Quand le bord d’attaque d’un pôle sud atteint le bord d’un stator il apparaît, au moment où il commence à se déplacer vers l’intérieur, que la polarité sud du pôle du rotor est exponentiellement retournée vers le nord. De plus, le stator devient un aimant temporaire, qui devient aussi exponentiellement un pôle nord. Pendant ce temps, l’aimant du rotor est encore attiré vers le point zéro du stator et, quand le bord d’attaque du rotor se déplace du point zéro de la zone de la seconde moitié du stator on voit que la force de la polarité nord augmente exponentiellement dans cette zone, et, en devenant parallèle, c’est à dire en atteignant la position du face à face, le renversement de polarité magnétique est alors complet, et les pôles de l’aimant et du stator sont tous deux de polarité nord. C’est maintenant dans cette zone qu’existe l’état d’antigravité et de temps négatif, avec deux aimants de pôles semblables s’attirant l’un l’autre et créant une force gravitationnelle répulsive à l’achèvement du cycle de renversement de polarité magnétique.
Pour avoir les meilleurs résultats de 100 % à quatre chiffres et au-delà en partant d’un MARK II, il faut appliquer les équations de résonance harmonique pour calculer tous les paramètres comprenant les vitesses et la fréquence. Avec les paramètres précédemment évoqués, il est recommandé d’employer un commutateur magnétique ou photo à faible taux de pertes et à efficacité élevée.
Adams poursuit ses travaux sur au moins deux appareils à Energie Libre sans pièces en mouvement.
Jean-Louis Naudin a réalisé d’autres versions du moteur Adams voir son site http://members.aol.com/ . Voir aussi Harold Aspden et G. McMurthy. |
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